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  • Comment les Français sont tirés vers le bas

    La France va mal. Ses élites sont décriées, vilipendées, honnies. Les Français ne font plus confiance à ceux qui sont censés les représenter. Le divorce est consommé et la colère qui monte depuis plus de quatre ans est alimentée – souvent bien inconsciemment – par le système lui-même. Les leçons de morale pleuvent et sont données par des personnages qui n’ont pas grand-chose de recommandable. Radio, télévision, presse écrite, tous les moyens traditionnels de communication donnent le sentiment que la bêtise et la médiocrité sont deux valeurs cardinales dans notre pays qui est détruit méthodiquement.

    Mai 2012. François Hollande est élu président de la République. Celui qui ne peut revendiquer aucun héritage politique mis à part d’avoir géré la boutique socialiste pendant une décennie devient la figure la plus importante du pays. " Flamby " comme l’appelait alors Laurent Fabius occupe le Palais de l’Elysée sans trop savoir quoi faire d’un pouvoir qui lui est tombé dessus à la suite d’événements aussi imprévisibles que la sordide affaire strauss-khanienne du Sofitel new-yorkais. Un quinquennat catastrophique plus tard, Hollande sort par la lucarne, mais aura laissé des marques terribles au pays. Les marques du mensonge, de l’infamie, des politiques brutales comme l’imposition du mariage pour tous et celle de l’absence de politique à de bien trop nombreuses reprises ont fait mal, mais l’expérience la plus terrible peut-être est celle de l’exemple.

    Rien ne sert de réussir, tout est dans la médiocrité

    Figure ultra-exposée, le président de la République se doit d’être un exemple. L’exemplarité avait d’ailleurs été érigée en vertu lors de la campagne présidentielle de 2012 avec en point d’orgue l’anaphore " Moi président " dont reste très fier Hollande selon les auteurs du livre Un président ne devrait pas dire ça. Sauf que le parcours et l’action du futur ex-chef de l’Etat n’ont rien d’exemplaire. Pire, cela est tellement évident que les Français se sont rapidement détournés de celui qu’ils avaient élu. Prenant conscience qu’ils avaient porté un ectoplasme à la présidence, ils ont aussi vu chaque jour depuis mai 2012 que la médiocrité n’est pas forcément un handicap, bien au contraire.

    Un président portant le ridicule en étendard secondé par plusieurs équipes gouvernementales fondées sur les rapports de force politiciens et non pas construites en fonction des mérites individuelles. La chose n’a certes pas débuté sous Hollande, mais elle a été érigée en art de vivre et de gouverner. Le défilé des mauvais, des jaloux, des bras cassés et des petits esprits vils n’a pas cessé avec comme cerise sur le gâteau la bien inutile et éphémère nomination de Le Roux au ministère de l’Intérieur. Spectacle pathétique qui montre que rien ne sert de mener une vie saine et ambitieuse (humainement). Les contre-modèles ont pris le pouvoir et la vertu n’a pas sa place en haut de la pyramide.

    Vive le fric!

    L’idée d’attribuer un revenu universel dès le premier jour de sa naissance participe de l’envie sauvage de défaire ce qui fait un pays et un individu. Certains bateleurs de la primaire socialiste prétendent que le fait de vivre donne un droit (sacré) perçu sous forme sonnante et trébuchante. La vie est-elle à ce point si insupportable que l’Etat doit s’excuser en donnant une compensation financière mensuelle? Outre l’impossibilité comptable de recourir à une telle mesure, il est temps de se questionner l’idéologie qui sous-tend ce caprice socialiste.

    Être payé pour vivre? Ou être payé pour continuer à vivre dominé par une caste de médiocres aussi ambitieux que sans-scrupules? Les socialistes ont peut-être trouvé l’ultime pirouette pour continuer leur manège. On paie tout le monde à commencer par les gueux, les racailles, les décrochés scolaires, etc… pour s’acheter une paix sociale factice et continuer à dominer une populace qui décidément ne vote plus comme elle devrait (Grèce, Brexit, Trump, etc.).

    Dans un monde où l’argent n’a plus de prix et où la planche à billets a remplacé l’huile de coude, pourquoi ne pas payer pour que nous autres manants la fermions bien?! L’argent n’est pas un problème. La télévision en est un triste exemple avec les innombrables "journalistes", présentateurs et chroniqueurs qui sont rémunérés des fortunes pour raconter n’importe quoi et abrutir le quidam. La révélation du traitement dont bénéficie Stéphane Guillon pour faire le bouffon cinq minutes par semaine a choqué. 10 000 euros? Allez, banco mon gars! Mais Guillon n’est pas le seul. Son collègue du service public, Laurent Ruquier, gagne la même somme à chaque émission qu’il présente. Il invite ses potes ou les artistes qu’il aime, en laisse quelques uns en pâture à ses deux chroniqueurs payés 1 500 euros par pige et hop, on rentre à la maison. L’exercice de style est facile et très rémunérateur. Comme pour les hommes politiques, les Français sont abreuvés de médiocrité à la télévision et dans les autres médias et savent désormais qu’elle se rémunère à prix d’or.

    On flatte le Français, pris sans cesse pour un gogo et on s’interroge sur la qualité du travail dans les entreprises et les services publics. Comment expliquer aux jeunes générations que le travail est une valeur positive quand ce sont les mauvais qui sont promus juste pour les dégager au plus vite du service où leur (absence de) travail est un boulet bien lourd. Nul en Corrèze? Allez, direction le PS! Nul au PS? Allez, direction l’Elysée! Nul à l’Elysée? Direction l’Union européenne? Ça ne vous rappelle personne?

    24heuresactu.com

  • Catastrophique!

    L’islamisation galopante de la police française

    Soumise à rude épreuve depuis les attentats de Charlie Hebdo il y a deux ans, la police est entrée dans une spirale infernale. Non, pas celle de l’extrême-droitisation dont nous parlent sans cesse les médias friands de rentrer dans le jeu de la gauche écervelée, mais celle de l’islamisme radical qui gangrène de nombreux services de police. A en croire l’ouvrage “Où sont passés nos espions“? qui vient de paraître et qui s’appuie sur une note en date du 9 novembre 2015 de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), dix-sept policiers travaillant dans l’agglomération parisienne se sont radicalisés.

    Dix-sept. Ce chiffre laisse pantois. Comment des agents de police censés protéger les citoyens peuvent-ils être sujets au lavage de cerveau made in Daech? Sauveurs de la veuve et de l’orphelin le jour et amateurs de vidéos de décapitation la nuit? La réalité est bien plus inquiétante encore puisque ces policiers convaincus que la justice se trouve dans la charia et le massacre des non-musulmans sont de plus en plus nombreux et ne cachent pas leur haine contre la France et nos valeurs. Les dix-sept policiers sont en fait des centaines et nourrissent leur haine chaque jour un peu plus jusqu’au jour où ils se décideront à nous frapper.

    Fermer les yeux et mourir

    Il suffit de passer quelques jours dans une unité pour comprendre que l’islamisme radical est un problème particulièrement inquiétant. La hiérarchie, confrontée quotidiennement à ce problème ne fait aucune vague de peur d’être débarquée pour racisme et mal-pensance. Car au-dessus, les politiques veillent au grain et font tout leur possible pour qu’aucune information ne filtre à ce sujet. Les élites ferment les yeux et participent pleinement à la mise à mort de la France à travers l’islamisation bien réelle de la police.

    Entre un agent obsédé par les chants religieux lors de ses patrouilles et une fliquette qui a honte d’être dans la police et qui appelle à la mise à mort des politiques, la police française prend les airs de milice islamique.

    Une autre policière auteure de graves propos tenus sur les réseaux sociaux a été écartée et mise en arrêt maladie! Non contente de vouloir soumettre la France à ses desseins islamiques, elle est payée par nos impôts à préparer chez elle une attaque!

    Lorsqu’on en arrive à de telles aberrations, la question de la fin de notre civilisation se pose avec acuité.

    Régulièrement et dans la plus grande discrétion, des policiers qui ne sont que des terroristes en puissance sont écartés de leur service, mais on écope une partie infime et le bateau coule très rapidement. Seule une prise de conscience rapide et radicale pourra faire émerger un espoir de changement. Mais cette prise de conscience n’a-t-elle pas pu avoir lieu après les attentats de Paris, de Nice, de Saint-Etienne-du-Rouvray, Magnanville, etc…? Apparemment non, les politiciens n’ont tiré aucun enseignement et attendent benoitement le prochain drame et espérant qu’ils ne seront pas désignés à la vindicte publique.

    Mais où trouver l’homme politique qui prendra les mesures qui s’imposent ? A gauche, le combat est déjà perdu avec un Valls coupable (ministre de l’Intérieur puis Premier ministre), et des dangers comme Peillon et Hamon qui ne trouvent rien à redire à la situation religieuse et sociale dans le pays.

    Fillon? L’inflexion pourrait arriver mais sera trop faible pour changer le fond du problème. Alors Le Pen? De Le Pen, aucun salut n’est à attendre car dans sa volonté de se “normaliser“ elle est prête à faire part d’un pseudo “sentiment de malaise“ quand le candidat Républicain affirme être catholique.

    Malaise il y a. Celui d’être considéré comme un paria dès lors qu’on est catholique. Celui de voir une police et un pays s’enfoncer dans l’islamisme radical sans que personne n’ose même le dénoncer.

    Source : 24heuresactu

  • Maroc : interdiction de fabriquer et de vendre la burqa

    La Burqa bannit du Maroc. Une circulaire du ministère de l’intérieur interdit la confection et la commercialisation, à compter de cette semaine, de ce voile intégral afghan qui couvre les yeux. Selon des médias marocains, une campagne de sensibilisation auprès des commerçants a été menée à Casablanca. Si le port de la burqa reste un phénomène marginal dans le royaume, son interdiction pose désormais la question de celle du niqab, plus répandue dans les régions plus conservatrices.

    Cette décision, rapportée par la presse, serait motivée par des raisons sécuritaires, "des malfrats ayant à maintes reprises utilisé ce vêtement pour perpétrer leurs crimes".

     (…) L’Orient – Le Jour

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    Et pendant ce temps-là, en France, une connas…

    Dijon (21) : déjà condamnée pour port du voile intégral, elle refuse de se plier à la loi

    Déjà condamnée pour avoir porté publiquement le voile intégral, la contrevenante de 29 ans est à nouveau devant la justice pour les mêmes faits. Par choix de vie, elle refuse de se plier à la loi.

    Revêtue du voile intégral, elle marchait, place Jean-Bouhey, à Dijon, lorsque les policiers l’ont interpellée et verbalisée, le 6 octobre dernier, jour de son vingt-neuvième anniversaire. (…)

     

  • Attentats du 13 novembre: un couple de fausses victimes condamné à six mois ferme

    Les deux conjoints qui affirmaient avoir été blessés par l'attaque du Stade de France en 2015 ont été condamnés à un an de prison, dont six mois ferme. Une tentative d'escroquerie aux attentats qui n'est pas la seule.

    Un homme de 47 ans et une femme de 36 ans, soupçonnés de s'être fait passer pour des victimes des attentats de novembre 2015, ont été condamnés ce mercredi par le tribunal de Bobigny. Le parquet avait requis un an de prison ferme contre ces Serbes de 36 et 47 ans, jugeant leur comportement "innommable". Ce couple avait affirmé, en février 2016, avoir été blessé par l'explosion à proximité du McDonald's, près du Stade de France, le soir du 13 novembre. L'homme handicapé à 80% et son épouse, enceinte de leur deuxième enfant, s'étaient constitués partie civile "par appât du gain", explique un policier au Figaro, "ils avaient entendu parler à la télévision que les victimes pouvaient se voir indemniser".

    Les deux conjoints, qui sont vendeurs d'écharpes aux alentours du Stade, avaient évoqué un choc psychologique et des douleurs ORL appuyées par un certificat médical. Mais la géolocalisation de leur téléphone a démontré qu'"à l'heure de ladite attaque, à 21h53, ils n'étaient plus à Saint-Denis mais à Aulnay-sous-Bois, où ils habitent. C'est le bornage téléphonique de leur portable qui les a trahit", assure le policier. Des mensonges "qu'ils ont rapidement reconnus" en garde à vue.

    Dans le box du tribunal, visiblement bouleversés, ils ont dit "regretter" avoir menti aux policiers et aux médecins. Et tenté de se justifier en évoquant le couple d'amis, réellement blessés, qui leur auraient dit de "faire comme eux". "Ce sont des gens tellement désemparés qu'ils ne se sont pas rendu compte de la portée de leur acte. On est dans le procès de ce que la misère, pécuniaire comme intellectuelle, peut produire", a défendu leur avocat, Olivier Monin. L'avocat du Fonds de garantie, qui recevra un euro symbolique, avait lui réclamé une peine qui "marque". Et déploré que le travail de la structure, qui a déjà indemnisé 2.434 victimes du 13 novembre, soit "perturbé" par ces fausses victimes qui croient jouer à "la roue de la fortune".

    Interrogée par Le Figaro, la secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes Juliette Méadel a réagi à cette nouvelle tentative d'escroquerie. Elle dénonce des "pratiques scandaleuses qui doivent être punies comme il se doit", mais affirme que, de façon globale "la fraude reste très isolée". Le fonds de garantie des victimes du terrorisme et d'autres infractions (FGTI) "est très vigilant, et plusieurs autres dossiers sont encore très sérieusement étudiés", précise la secrétaire d'État.

    D'autres cas de fraude recensés

    Cette tentative d'escroquerie aux attentats n'est pas la première. En décembre dernier, un couple de fausses victimes a été condamné à trois et six ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Grasse (Alpes-Maritimes) pour avoir indiqué être présents le soir du 13 novembre 2015 près du Stade de France. Les deux escrocs avaient été démasqués après avoir déposé une autre demande d'indemnisation pour l'attentat de Nice, le 14 juillet 2016.

    Laura O., une femme de 24 ans, était, elle, jugée en novembre dernier pour avoir présenté aux policiers des faux certificats médicaux attestant qu'elle était au bar parisien Le Carillon, cible d'une attaque terroriste, le 13 novembre 2015. Elle s'était présentée en décembre 2015 au commissariat des Mureaux, dans les Yvelines, en prétendant avoir été "gravement blessée à un bras". Mais lors de sa déposition, elle avait affirmé "avoir été soufflée par une explosion", alors que Le Carillon a été attaqué au fusil d'assaut.

    Une autre femme, condamnée en juillet dernier par le tribunal correctionnel de Bobigny à six mois d'emprisonnement avec sursis, avait prétendu être au Bataclan le soir des attentats, et avait réclamé 10.000 euros au FGTI. Mais son téléphone avait indiqué que, ce soir-là, elle se trouvait à plus de vingt kilomètres du Bataclan… Lors de son procès, la fausse victime avait admis avoir menti par appât du gain.

    Autre tentative d'escroquerie, celle d'un chauffeur de VTC qui affirmait, en décembre 2015, être présent au restaurant Le Petit Cambodge, dans le 10ème arrondissement de Paris, le soir des attentats. Il avait livré une version des faits entendue dans les médias. L'enquête avait révélé qu'il était une victime de l'attentat du RER B à Saint-Michel à Paris en 1995.

    A Toulouse, il y a fort longtemps, il y a eu une explosion de gaz dans un immeuble bordant une rue, un dimanche matin. L'immeuble avait été largement éventré. J'ai connu un monsieur qui promenait son chien et qui était passé trois minutes avant l'explosion. Mais, il n'a jamais été blessé étant donné le déroulé dans le temps, même très court.

    Il s'est présenté comme étant victime de cette explosion. C'est lui qui m'a indiqué cela et sa frauduleuse demande.

    Je n'ai pas su s'il avait perçu des indemnités. Mais, ce souvenir me donne un goût amer dans la bouche en y repensant.

     

     

  • Déradicalisation: où sont passés les 900.000 euros que Cazeneuve a donnés à Bouzar?

    Missionnée par Bernard Cazeneuve, l’auto-proclamée "spécialiste" de la déradicalisation Dounia Bouzar, officiellement anthropologue et essayiste, a bénéficié de larges subventions, à hauteur de 900.000 euros, qu’elle affirme avoir mis à profit pour suivre un peu plus de 1000 " jeunes " avec des résultats invérifiables.

    Dounia Bozar a depuis affirmé " vivre dans la peur " et a obtenu une protection policière (toujours de la part de Bernard Cazeneuve), qui a vite exaspéré les officiers de sécurité concernés, qui ont fait savoir que l’intéressée les employait comme des hommes à tout faire, ayant à leur égard une attitude particulièrement méprisante.

    Par ailleurs, les mêmes officiers faisaient savoir qu’un certain " malaise " (fort compréhensible) était né du fait du rapprochement de Dounia Bouzar avec le nommé Farid Benyettou, qui n’est autre que l’ancien maître à penser des frères Kouachi et l’une des figures de la filière des Buttes Chaumont, un groupuscule djihadiste démantelé en 2005.

    Dounia Bouzar n’a pas hésité à salarier le nommé Farid Benyettou (avec quel argent ?) depuis octobre 2016, et a collaboré avec l’intéressé à l’écriture d’un ouvrage intitulé " Mon djihad, itinéraire d’un repenti " dont la promotion est assurée sur nombre de plateaux de télévision.

    Cette entreprise de réhabilitation a suscité un vif émoi dans l’opinion, en particulier au sein des associations de victimes du terrorisme islamiste, dont l’AfVT, qui s’est fendue d’un communiqué dénonçant les faits.

    En période de commémoration des attentats de Charlie Hebdo, la présence médiatique de l’un des responsables (même indirect) de cet acte de terrorisme qui a ébranlé la France a en effet de quoi susciter l’indignation.

    Alerté en temps et en heure par les services de police, par la voie hiérarchique, Bernard Cazeneuve devenu entre temps Premier ministre brille par son silence, alors qu’il est directement impliqué et par conséquent responsable de l’attribution des sommes colossales octroyées à ces individus à des fins supposées de déradicalisation, alors que rien ne permet d’établir qu’elles sont avérées.

    C’est d’ailleurs sur la base de cette incertitude, pour employer un euphémisme, que certains parlementaires, dont la sénatrice Nathalie Goulet (Centre), ont demandé une enquête parlementaire sur l’efficacité de la méthode Dounia Bouzar à travers son association loi 1901 : le Centre de Prévention contre les Dérives Sectaires liées à l’Islam (CPDSI).

    Prétendant avoir " repris son indépendance " depuis 2016 (c’est fort pratique), le CPDSI présidé par Lydia Bouzar (la propre fille de Dounia Bouzar), devra donc probablement se justifier de l’emploi des subventions versées, et Bernard Cazeneuve de sa décision d’avoir officiellement mandaté cette structure comme " équipe mobile d’intervention " au sein des préfectures.

    A l’évidence, il s’agit là d’un nouveau scandale qui devrait connaitre de nombreux rebondissements et dont il convient d’affirmer qu’il mériterait pour le moins, au delà d’une enquête parlementaire, une enquête pénale.

    Sébastien JALLAMION rispostelaïque

     

    et aussi:

    Lyon : une subvention de 2 millions d’euros pour l’Institut de la Civilisation Musulmane.

    Demander à une musulmane de déradicaliser un musulman c’est donner au chat la garde du pot de crème

    Pourquoi déradicaliser les apprentis-terroristes islamiques et perdre son temps à dépenser tant d’argent? alors qu’il faut simplement les dénationaliser et les foutre dehors, pour ne pas dire autre chose!

    Mais on sait qui a fait les Lois du droit du sol, de la double nationalité et a fait de la déchéance de nationalité le Grand Tabou de France … ont-ils été un jour Français ceux qui veulent prendre les armes contre les Français et ceux qui sont dans l’Antifrance

    En gestuelle, une personne qui porte un bandeau autour de son visage, est une personne qui veut attirer l’attention sur son visage en le cadrant. Logique. En conséquence, cela identifie une personne narcissique.

    Des lunettes sur la tête? Idem.

     

  • La mémoire collective, l’identité sociale et individuelle, le sacré, la communauté: c'est l'humanité comme elle est, n'en déplaise aux assassins radicalisés.

    Pourquoi les vieilles pierres nous fascinent-elles à ce point?

    Stéphane Stapinsky

    A l’ère du tourisme mondialisé, de nombreuses enquêtes nous apprennent que les destinations les plus prisées, année après année, sont encore et toujours les vieux pays, comme la France et l’Italie, dont les visiteurs apprécient particulièrement le patrimoine architectural et artistique. Apportant avec eux leur quincaillerie électronique dernier cri, les voyageurs d’aujourd’hui aspirent néanmoins à faire un retour vers le passé lorsqu’ils cherchent à se dépayser. Même les personnes qui ignorent l’histoire, ou qui n’en n’ont cure, paraissent sensibles à ce charme. Elles sentent intuitivement qu’il y a là une profondeur bien réelle. La mode et le conformisme ne sont donc pas la seule explication de l’attrait des gens pour des villes comme Paris, Athènes ou Rome.

    D’autres études ont par ailleurs montré que, s’ils en avaient la possibilité, bien des gens préféreraient vivre dans d’authentiques bâtiments anciens, qui laissent voir la patine du temps, plutôt que dans des édifices modernes, ou dans du simili-vieux.

    Et, dans un tout autre ordre d’idée, faut-il rappeler le sentiment d’horreur et de révolte, qu’inspirent, de manière universelle, les destructions de sites antiques par l’État islamique, des sites que la plupart d’entre nous n’ont jamais visités, et sur lesquels nous connaissons bien peu de choses. N’empêche. C’est comme si, en accomplissant ces actes barbares, on profanait quelque chose de sacré, la couche la plus enfouie de notre humanité.

    Pourquoi donc les vieilles pierres nous fascinent-elles à ce point? C’est d’autant plus surprenant que nous vivons à une époque qui a le culte de la technologie et de la nouveauté perpétuelle. Pourquoi, donc, cette fascination?

    C’est la question à laquelle cherche à répondre une livraison récente, de belle facture et au contenu original, du Forum Journal, publication périodique du National Trust for Historic Preservation, organisme américain établi à Washington et voué à la conservation du patrimoine historique bâti.

    J’ai recensé, il y a quelques mois, un ouvrage collectif sur l’importance du " lieu " pour l’identité sociale et collective. Le présent numéro de la revue (" Why Do Old Places Matter? " -- printemps 2015, vol. 29, no 3), qu’on peut télécharger gratuitement en ligne, aborde un aspect particulier de la problématique générale du lieu, à savoir les lieux chargés d’histoire.

    L’origine de ce numéro de revue est une réflexion initiée sur le blogue du National Trust for Historic Preservation par Tom Mayes, conseiller de l’organisme et lauréat, en 2013, du Prix de Rome dans le domaine de la conservation, décerné par l’Académie américaine de Rome. Celui-ci s’explique : " Je suis allé à Rome pendant six mois afin de réfléchir plus à fond sur des questions qui m’habitent depuis plus d’une décennie : Pourquoi les lieux chargés d’histoire sont-ils importants? Quelle différence y a-t-il, pour les gens, entre le fait de sauver, de recycler ou de simplement continuer à utiliser de la même façon les bâtiments historiques (ou de ne pas faire toutes ces choses)? Est-ce que la présence de lieux historiques améliore la vie des gens? Si oui, de quelle manière?" (1)

    On peut lire en ligne les textes des plus stimulants que Mayes a écrits sur les lieux historiques et les rapports qu’ils entretiennent avec des thèmes comme la mémoire collective, l’identité sociale et individuelle, le sacré, la communauté, l’économie, le développement durable, l’économie, la créativité, etc.

    Un autre thème abordé de manière intéressante par Mayes est celui de la beauté, que l’Agora a retenu comme élément fédérateur des réflexions de ses collaborateurs pour 2016-2017. La beauté d’un bâtiment ancien, d’un quartier ou d’une ville historique, est souvent la raison principale qui motive les efforts faits en vue de leur conservation. Certes, la notion de beauté demeure sujette à discussion, et l’histoire de la philosophie le démontre bien.

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