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  • Ces chiffres sur la criminalité organisée en France

    que les ministres de l’Intérieur cachent

    Xavier Raufer, docteur en géopolitique et criminologue, a communiqué les rapports annuels sur la criminalité organisée en France: celui du SIRASCO (Service d’Information, de Renseignement et d’Analyse stratégique sur la criminalité) programmé à l’intention de la police nationale, et le second, celui du SRC (Service Central de renseignement Criminel) à l’intention de la gendarmerie nationale.

    Ces deux rapports, mis à la disposition du ministère de l’Intérieur, ont une diffusion extrêmement restreinte et l’on comprend pourquoi à leur lecture.

    Les deux derniers rapports (2016/2018) sont difficiles à se procurer, pour le moment, mais on peut affirmer que la situation s’est nettement aggravée en France. Cela a pu être constaté par les médias officiels qui ont pu consulter les rapports, datant de juillet 2019: " Il n’y aurait pas d’infléchissement notoire des activités criminelles, à part une légère diminution des vols à main armée".

    Mais en revanche, le proxénétisme, via Internet, était en forte hausse et concernait surtout les communautés arabo-africaines.

    Et ces rapports, qui régulièrement sont déposés sur le bureau du ministre de l’Intérieur, lui apportent la preuve d’une progression intensive de la criminalité.

    Il n’est donc pas étonnant que les ministres de l’Intérieur qui se succèdent préfèrent dissimuler de tels chiffres dramatiques.

    Les délinquants étrangers (ou d’origine étrangère) sont très nettement majoritaires.

    Les criminels issus des zones hors contrôle et massivement issus de l’immigration africaine, y compris maghrébine, en ce qui concerne le narco-banditisme, la délinquance, les vols, les agressions, etc. sont sur les premières marches du podium.

    Pour le trafic d’armes, ce sont les Turcs et certaines minorités ethniques non sédentarisées qui prolifèrent dans les quartiers sensibles.

    Pour le trafic de stupéfiants, ce sont les bandes criminelles organisées turques, maghrébines, albanaises et pakistanaises. La plus importante, celle qui par le meurtre s’est imposée à toutes, la " DZ-Mafia " algérienne.

    L’ensemble du pourtour méditerranéen devient la plaque tournante de la drogue sur les marchés européens. Ce sont souvent des trafiquants originaires des pays du Maghreb et cela produit souvent des règlements de comptes sanglants.

    Pour les trafics d’êtres humains (migrants et autres formes d’esclavage) ce sont des réseaux structurés de la criminalité internationale (Balkans, Afrique, Chine, Amérique du Sud et bandes des quartiers hors contrôle).

    Pour les fraudes de toutes sortes (allocations, santé, etc.), ce sont des malfaiteurs africains ou issus du Moyen-Orient et de l’Europe de l’Est.

    Enfin, pour la prostitution, ce sont les Roms, entre autres, qui prostituent même les femmes de leurs propres clans.

    Le milieu russo-géorgien est très structuré et impliqué dans les affaires d’extorsion de fonds, d’homicides et de blanchiment de capitaux.

    Une immigration permanente, encouragée par l’Union européenne et les nombreuses implantations de communautés et d’organismes protégés par des associations et des partis influents (et subventionnés) et une idéologie gauchiste ainsi qu’une justice laxiste et endoctrinée.

    C’est donc un fait officiellement constaté: la criminalité, en France, est majoritairement étrangère.

    Une solution, la seule efficace pour une diminution de la criminalité: expulsion des étrangers dès la première condamnation, et des délinquants et criminels emprisonnés dès leur libération!

    Manuel Gomez

  • Les climato sceptiques sont des grands malades,

    mais je ne fais pas de politique!

    Ainsi parlait un certain Guillaume Séchet, monsieur Météo sur BFM TVMacron. Outré que des climato-réalistes lui remontent les bretelles sur les Réseaux sociaux, où il ne peut pas faire son kéké comme sur son plateau, avec l’appui du gouvernement et de l’ARCOM.

    Il paraît que ce mec fait la pluie et le beau temps depuis seize ans sur la chaîne la plus pourrie du PAF et du bourre-pif. C’est la première fois que j’entends parler de lui. Célèbre mais pas trop. Juste ce qu’il faut pour être admiré par sa concierge et son chat.

    J’ai épluché son CV. Les médias menteurs le présentent comme un grand scientifique. Il a une maîtrise de géographie et un diplôme d’écologie. Il n’y a rien de déshonorant dans ce cursus. Mais on est loin d’un Ph.D ou d’un titre d’ingénieur. Après, il s’est intéressé à la météorologie, comme je m’intéresse à l’astronautique. Puisque cela en fait un spécialiste du climat, je peux me dire cosmonaute.

    Le gars est assez satisfait de lui et pas mal sectaire. Les deux vont ensemble. Il considère que les gens qui doutent du prétendu réchauffement climatique ont atteint un niveau de bêtise à peine croyable. Alors, compliment pour compliment, je lui retourne que la météo à la télé est réservée aux journaleux débutants, aux bimbos bien roulées, et aux vieux trop nuls pour faire autre chose.

    Rester scotché pendant seize ans dans cette niche n’est pas une preuve de compétence ni d’ambition. À cinquante six balais, son cas est plié. Son avenir derrière lui. Se faire passer pour une victime des fachos pourrait être un baroud d’honneur. Avec peut-être l’espoir de rebondir?

    On m’a insulté, le monde devient fou!

    Déstabilisé et courroucé, le pépère pousse un énorme coup de gueule contre la politisation des sujets écologiques et climatiques, qu’il qualifie de "scientifiques". La Tondelière, Greta, Aymeric Caron et Claire Nouvian sont en effet de grands savants. Des Nobel en perspective. Experts en climatologie, en virologie covidienne, en géopolitique orientale et en exégèse coranique.

    Le Séchet ignore-t-il que le GIEC est un organisme politique fondé en 1988 par Margaret Thatcher et Ronald Reagan. Pour mettre au pas les mineurs britanniques trop souvent grévistes au goût de Margaret, et faire accepter l’énergie nucléaire à une opinion publique réticente…

    Et pour Ronald, donner une impulsion afin de sortir du marasme économique par des innovations, incitant les financiers à investir dans des secteurs à défricher en quête de nouveaux profits, conformément aux principes de destruction créatrice de Schumpeter. Pour faire simple, on casse tout et on reconstruit sur les décombres. Ainsi naquit le capitalisme ripoliné en vert.

    Ce Séchet a-t-il oublié les forfaitures de ses maîtres? Quand Al Gore, après avoir abusé de ses pouvoirs de vice-président des USA pour vendre des " crédits-carbone", droits de polluer en novlangue, menaçait les climato-réalistes d’un nouveau procès de Nuremberg! Encourageant sur son réseau de télé privée un lobby réchauffiste regroupant quelques énergumènes du GIEC, à faire campagne pour la création d’un crime mondial de climato-scepticisme! Mais ce n’était pas de la politique.

    Il a été entendu par l’ARCOM une officine au service des Macronescu, dont aucun des membres ne possède de bagage scientifique, et qui a décidé, en violation de l’article 34 de la Constitution, de créer un nouveau délit de désinformation climatique afin de sanctionner les médias qui ne rabâchent pas la doxa. Au nom d’un consensus sur le climat qu’ils sont les seuls à voir. Puisque 35.000 scientifiques de haut niveau ont signé l’Oregon Petition dénonçant les sordides magouilles climatiques.

    Réaction classique des gens proches du pouvoir qui veulent remplacer par une répression aveugle leur absence d’arguments. Comme si la science se démontrait à coups d’anathèmes et d’excommunications lors de procès en sorcellerie menés par des inquisiteurs fanatiques.

    La pire crainte des climato frénétiques est de trouver en face d’eux des debaters d’un niveau suffisant pour réfuter leurs allégations. Comme feu Frederick Seitz, physicien de classe internationale et président de l’Académie des Sciences des USA qui disait:

    "Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat".

    Pauvre Séchet, tu ne fais pas le poids. Tu as raté une belle occasion de te taire. On t’ignorait. Maintenant, les vilains-méchants fachos t’ont dans le nez. Ça craint pour toi!

    Tout est parti d’une intervention de Séchet, le 15 juin, sur le réseau social X. Se croyait-il encore sur Twitter dont je fus exclu pour avoir refusé de reconnaître mes torts, condition exigée pour garder mon compte. Pourquoi aurais-je plaidé coupable et demandé pardon, alors que je citais à l’appui de mes propos, des universitaires et des chercheurs climato-réalistes cent fois plus compétents que les CenSSeurs. Des vrais savants auxquels la réalité a donné raison. Mais ce n’était pas politique.

    Le pauvre Séchet qui n’a pas la carrure pour la baston dénonce une avalanche d’insultes, en réponse à son annonce de la vague de chaleur saisonnière, tout à fait normale, qui a atteint la France. Blessé dans son ego, il a préféré supprimer son post. Pour nous punir en nous privant de sa prose.

    S’il était vraiment météorologue, au lieu de donner dans le catastrophisme, il aurait rassuré les gens. En relativisant. En rappelant qu’en l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures dépassant 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une " chaleur infernale " pendant 3 mois!

    Des canicules qui duraient, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que les humains et le bétail mouraient de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tua 500.000 Français.

    Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Avec des pics de mortalité et de chaleur pour lesquels il serra difficile d’incriminer les camions, les avions et les centrales à neutrons.

    Plus près de nous, la canicule de 1911 avait asséché les étangs, transformé les rivières en rigoles, brûlé les moissons et exterminé les troupeaux, faisant plus de 40.000 morts chez les humains.

    Versez votre larmichette, face à la violence et à la haine, Guillaume Séchet se dit contraint à l’autocensure et dénonce les attaques en ligne à propos de ces sujets qui sont de plus en plus à la mode. La faute à qui? Mais il ne fait pas de politique.

    Il ne lui vient pas à l’idée qu’un nombre croissant de gens en ont ras le bol de la dictature des maîtres penseurs, dont l’arrogance n’a d’égale que l’incompétence. Le réchauffisme est un des volets de leurs lubies dominatrices avec le covidisme, la russophobie, l’anti-sémitisme au nom de l’anti-racisme, l’européisme et l’immigrationnisme.

    Il se trouve qu’en bon petit soldat de la dictature qui s’expose à découvert, Séchet sert de bouc émissaire à des personnes qui canalisent sur lui non pas leur haine mais leur ressentiment d’être toujours pris pour des imbéciles par les cuistres donneurs de leçons du cirque politico-médiatique. Même s’il a été débordé par des trolls velus qu’il qualifie de " nids de guêpes ", auxquels il a eu l’imprudence de répondre, entrant dans leur jeu. Peut-être parce qu’à la télé, il a toujours le dernier mot?

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • La "Faurenerie" du jour…

    Présidentielle 2027: Olivier Faure ouvre la porte à une primaire à gauche pour désigner "un candidat commun"

    Valeurs actuelles

    Après le milliard d’euros des émeutes de juin 2023, les assureurs estiment le coût global des violences d’il y a quinze jours, en marge de la victoire du PSG, à des " dizaines voire des centaines de millions". Le bilan provisoire établi par le ministère de l’Intérieur s’élève, pour l’ensemble du territoire, à 2 morts, 192 blessés, 694 incendies volontaires (dont 264 véhicules)… Depuis des années, les trafics prospèrent et la violence s’accroît. Les règlements de comptes, les attaques à l’arme blanche, les agressions, les viols, dans la rue, voire chez soi, se succèdent. L’immigration, illégale ou légale, submerge le territoire et ses capacités d’accueil. La dette est pratiquement hors de contrôle, les défaillances d’entreprises sont à un niveau inédit (depuis plus de trente ans) et un nombre croissant de Français (en particulier hautement qualifiés) partent pour l’étranger…

    Mais pour Olivier Faure, récemment reconduit à la tête du PS et invité ce matin des "4 Vérités" sur France télévision, "la vraie menace, le vrai danger (…) est aujourd’hui l’extrême droite (…) qui est ultra-dominante"…

    Comme l’a écrit Claude Adrien Helvétius (1715-1771), "l’illusion est un effet nécessaire des passions dont la force se mesure presque toujours au degré d’aveuglement où elles nous plongent".

    Roland Hélie

    http://synthesenationale.hautetfort.com

  • l’assassin de Mélanie s’appelle Gallois ou Ghenouchi? À quand sa photo?

    Il paraît qu’il y aurait des lois qui interdisent de donner le nom des mineurs délinquants et de publier leur photo. Tout comme, selon d’autres, publier les photos des djihadistes de Daech en train d’assassiner des infidèles serait de l’incitation au terrorisme. Tout comme d’autres interdisent les statistiques ethniques. Toutes ces lois sont stupides et ne servent qu’à une chose: protéger les délinquants, pour qu’on ne connaisse pas leurs origines et leur religion, afin de continuer à mentir aux Français. Et il en est de même pour les victimes, puisque dans les médias, on appelle Mélanie, la victime de Quentin, avec seulement la première lettre de son nom, un G.

    Pour revenir sur l’insupportable assassinat de Mélanie, on a constaté que les médias, cette fois, sur ordre des autorités, ont balancé le prénom de l’assassin en une demi-heure, pour leur laisser entendre que cela n’étaient pas toujours des Mohamed qui assassinent les Français. Darmanin nous avait fait le coup des Kevin et Mattéo, pour dissimuler la réalité des émeutes ethniques ayant suivi la mort de Nahel Merzouk.

    Jean Messiha a donc relayé une information qui aurait été explosive, nous apprenant que le vrai nom de l’assassin serait Ghenouchi, et qu’il serait tunisien. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, d’autres affirment qu’il s’appelle Gallois. Dans le doute, après plusieurs contacts, Jean a retiré son tweet. Mais le doute demeure. Des médias comme RTL, parlant de la famille de l’assassin Quentin, parlaient de " famille bien intégrée " dont les deux parents travaillent. Donc peut-être des " Ghenouchi".

    Sur la toile, d’autres rumeurs circulent, qui expliquent que Quentin n’aurait pas la couleur de peau d’un Gallois…

    D’autres encore ont même affirmé que ses trois premiers prénoms seraient musulmans, que le premier serait Ali, et que Quentin serait le quatrième.

    La seule solution est de mettre fin à ces lois sur les mineurs qui protègent les assassins, et de traiter ceux qui tuent comme des adultes et pour ce qu’ils sont: des criminels qu’il convient de traiter comme tels, quel que soit leur âge, et de publier leur photo et leur nom…

    Lucette Jeanpierre

  • L'EMPLUME  DICTATEUR

    Notre-Dame de Paris: malgré la polémique et l’opposition de la Commission du patrimoine… des vitraux de Viollet-le-Duc, épargnés par l’incendie, vont bien être remplacés par des “contemporains”, conformément à la volonté d’Emmanuel Macron

    La commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA), opposée au projet de vitraux contemporains pour la cathédrale Notre-Dame de Paris, a “pris acte” de la volonté de l’exécutif de poursuivre le projet mais ne l’a pas “validé”, a clarifié le ministère de la Culture auprès de l’AFP samedi. (…)

    BFMTV

  • La montée de la cryptographie post-quantique

    une course discrète pour sécuriser l’avenir du numérique

    L’ombre des ordinateurs quantiques plane sur la cybersécurité. Alors que ces machines d’un nouveau genre progressent à un rythme fulgurant, elles menacent de rendre obsolètes les systèmes de chiffrement actuels d’ici 2030. Face à cette échéance, chercheurs et experts en sécurité informatique s’activent pour concevoir une nouvelle génération d’algorithmes: la cryptographie post-quantique. L’enjeu est considérable, car l’ensemble des communications numériques sécurisées – des transactions bancaires aux échanges gouvernementaux – est en péril.

    Selon les spécialistes, le temps presse. L’arrivée du " Q-Day ", ce moment où les ordinateurs quantiques pourraient briser les protections cryptographiques actuelles, pourrait survenir plus tôt que prévu. Contrairement aux ordinateurs classiques qui manipulent des bits (0 ou 1), les ordinateurs quantiques exploitent des qubits, capables d’exister dans une superposition d’états. Cette caractéristique leur confère une puissance de calcul inédite, leur permettant d’explorer simultanément un grand nombre de solutions.

    Les algorithmes de chiffrement actuels, comme le RSA (Rivest-Shamir-Adleman) ou la cryptographie sur les courbes elliptiques (ECC), reposent sur des problèmes mathématiques tellement complexes qu’un ordinateur classique mettrait un temps prohibitif à les résoudre. Mais l’algorithme quantique de Shor permettrait, lui, de factoriser de grands nombres en quelques heures, rendant ces systèmes vulnérables.

    FACE AU PERIL QUANTIQUE, DES STRATEGIES DE DEFENSE INTERMEDIAIRES

    Une menace qui n’est plus purement théorique. Des chercheurs ont récemment démontré qu’un ordinateur quantique pourrait casser un chiffrement, relançant les inquiétudes dans le monde de la cybersécurité. Selon un rapport de Gartner publié en 2024, les systèmes asymétriques actuels pourraient être compromis dès 2029 et totalement obsolètes d’ici 2034.

    Face à ces risques, la protection des données devient plus que jamais une priorité. Si la cryptographie post-quantique est en plein développement, certaines solutions intermédiaires, comme les réseaux privés virtuels (VPN), permettent déjà d’améliorer la confidentialité des communications.

    En masquant l’adresse IP et en chiffrant les échanges de données, un VPN complique toute tentative d’interception malveillante. Qu’il s’agisse de contourner la censure, de sécuriser une connexion sur un réseau Wi-Fi public ou de protéger ses échanges en ligne, son usage devient un réflexe essentiel pour de nombreux internautes.

    Si l’offre de VPN est vaste sur Windows et Android, elle reste plus limitée sur macOS, où certaines solutions ne proposent pas toujours les mêmes fonctionnalités ou protocoles de chiffrement. Cela rend d’autant plus important de choisir une option adaptée et de maîtriser son installation. Pour ceux qui utilisent un Mac, installer un VPN sur macOS à la fois efficace et fiable constitue ainsi une première étape vers une cybersécurité renforcée.

    UNE NOUVELLE GENERATION D’ALGORITHMES POUR CONTRER LA MENACE

    Selon une définition donnée par l’ANSSI, la cryptographie post-quantique repose sur des algorithmes capables de résister aux attaques quantiques tout en conservant une sécurité efficace contre les attaques classiques. Contrairement aux systèmes actuels, ces nouveaux schémas cryptographiques s’appuient sur des problèmes mathématiques réputés insolubles, même pour les ordinateurs quantiques. " La cryptographie post-quantique désigne le développement d’algorithmes capables de sécuriser les communications de machine à machine à l’ère quantique ", précise un article de DigiCert.

    LES PILIERS TECHNIQUES DE LA CRYPTOGRAPHIE POST-QUANTIQUE

    Pour concevoir des protocoles résistant aux futurs assauts quantiques, plusieurs voies sont étudiées:

        La cryptographie en treillis, exploitée par les algorithmes Crystals-Kyber et Crystals-Dilithium, qui repose sur des problèmes mathématiques complexes.

        La cryptographie basée sur le code, utilisant des techniques de correction d’erreurs pour protéger les messages.

        La cryptographie à base de hachage, qui repose sur la robustesse des fonctions de hachage, avec des solutions comme Sphincs+.

        La cryptographie symétrique, qui, grâce à des clés plus longues, pourrait résister aux attaques quantiques.

    UNE STANDARDISATION EN COURS, MAIS UN CALENDRIER SERRE

    L’été 2024 a marqué un jalon avec la validation par le NIST des premiers standards de cryptographie post-quantique. Trois nouveaux algorithmes ont été retenus: ML-KEM (ex-CRYSTALS-KYBER), pour le chiffrement et l’échange de clés et ML-DSA (ex CRYSTALS-Dilithium) pour la signature numérique. SLH-DSA (Sphincs+) constituant une solution alternative.

    "La question n’est plus de savoir si cela arrivera, mais quand. Pour les entreprises, la cryptographie post-quantique n’est plus une hypothèse lointaine, mais une nécessité stratégique immédiate", prévient un article du Journal du Net. Les cybercriminels, conscients de cet avenir inéluctable, adoptent une nouvelle stratégie, le "Harvest Now, Decrypt Later" ("récolter maintenant, déchiffrer plus tard "). Comme son nom l’indique, c’est une approche de surveillance qui consiste à collecter et conserver sur le long terme des données chiffrées, bien que celles-ci soient actuellement indéchiffrables. L’objectif étant d’anticiper de futures avancées technologiques en cryptanalyse (notamment l’arrivée des ordinateurs quantiques) qui permettraient un jour de les décrypter. Cette échéance hypothétique est désignée sous le terme Y2Q (ou Q-Day).

    La transition vers la cryptographie post-quantique dépasse la simple mise à jour technologique; elle implique une refonte stratégique. Loin d’être une menace abstraite, cette rupture impose de repenser dès aujourd’hui les standards de sécurité, sous peine de voir des décennies d’innovations balayées en un instant. La cryptographie post-quantique ne sera pas une solution définitive, mais elle représente une étape clé dans l’adaptation de la cybersécurité aux évolutions technologiques.

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