Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 54

  • Il faut soutenir CNews et Zemmour face à l’offensive des islamo-collabos

    Devant nous se mettent en place une réalité politique, une complicité objective entre la gauche en général, les insoumis en particulier, les Frères musulmans et les islamistes salafistes ou non!

    Devant nous, dans les rédactions des journaux de gauche, dans des sociétés de rédacteurs, des partis politiques comme le PS, le PC et autres indigénistes, nous voyons la volonté d’agresser la libre expression, la tolérance politique, le libre débat d’idées et le refus que des patriotes puissent, à travers Éric Zemmour, s’exprimer.

    Devant nous, des hommes de raison comme Michel Onfray, des philosophes comme Alain Finkielkraut peuvent s’exprimer librement dans les médias, dans les facultés,  des journalistes comme Élisabeth Lévy peuvent contester, émettre des avis ou des opinions contraires à la doxa des gauchistes, qui se sont alliés objectivement, et de facto, avec les Frères musulmans et autres salafistes! C’est l’union des nouveaux fascistes, celle des islamo-fascistes de la gauche, avec le nazislamisme de la pire espèce!

    Cette union n’est pas officielle bien sûr, mais elle est bien réelle sur le terrain! Ce sont des alliés objectifs dans un premier temps, et qui probablement se déchireront dans un second, quand les islamistes seront assez puissant pour se débarrasser de ces alliés trop libéraux socialement! Les islamistes haïssent les démocrates, les homosexuels, et plus encore les transgenres, et autres militants LGBT+ qu’ils considèrent comme des déviants face à Allah. Bien plus grave pour eux que l’égalité des sexes, les femmes libres, la liberté de penser, et la liberté de conscience.

    Alliance ponctuelle à la manière des bolcheviques et des anarchistes en 1917.

    Alliance entre les nazis et les communistes allemands aux premières heures du nazisme.

    Alliance du chasseur et du lapin sur le dos d’Éric Zemmour!

    On sait qui a gagné!

    Certes, je fais sans doute des raccourcis faciles, mais il serait temps que cette gauche, dont parlait Michel Onfray lors de son débat avec Éric Zemmour, réalise qu’elle est encore en train de perdre la bataille politique, et qu’elle finira sur l’échafaud comme tous les girondins du temps de Robespierre, ou au bout d’une corde, comme les opposants iraniens à l’arrivée de Khomeini au pouvoir!

    Avec l’islam, il n’y a pas d’alliance possible!

    Déjà, dans un certain nombre de villes, des listes d’islamistes se composent! Il est fort possible que des conseils municipaux musulmans voient le jour après mars 2020!

    Le religieux au pouvoir sera dans les communes, et les impôts serviront à financer les prochaines batailles électorales, celles des départementales, des régionales, des législatives, etc.

    La gauche complice se prêtera à ce jeu et ils finiront dans le caniveau dans les années qui suivront!

    Des députés islamiques seront dans les hémicycles!

    Devons-nous accepter cela? Les pouvoirs politiques vont-ils accepter cela? Les journalistes de gauche vont-ils accepter cet état de fait? Nous avons tous une responsabilité face à cette montée du fascisme islamique! La gauche la première, mais aussi les élus complaisants, et surtout les électeurs qui préfèrent à ce jour, aller à la pêche le jour des élections!

    Il faut soutenir Éric Zemmour qui est devenu le symbole de notre liberté! Qu’il le veuille ou non!

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com

     

  • Sur la dernière de couverture

    de mon magazine de télévision, cette pub.

    Oui, c'est de l'arnaque complète. Ces pierres n'ont aucun pouvoir.

    Ne donnent pas le bonheur.

    Bracelet très, très cher.

    Mon fournisseur me propose ce genre de bracelet pour 14,00 euros LE LOT DE 10

    Il n'y a pas le cœur en ferraille comme cette pub.

    Soi-dit en passant, le cœur qui pendouille, pour CE genre de bracelet censé “apporter le bonheur“, est justement ce qui va entraîner de graves ennuis!

    Une pointe dirigée vers le bas “prends“ les influences négatives de la terre.

    De plus, le bracelet doit se porter à un certain endroit du corps. Et ce n'est pas indiqué.

    Une seule pierre est efficace: la pierre de lave. Je l'ai toujours sur -et chez moi. Je ne parle que de ce que j'ai expérimenté comme vraiment valable… Le reste, c'est du nul abêtissant et une arnaque du porte-monnaie.

     

    Visitez mon site internet: www.on2nocives

     

    qui vous explique tout sur les ondes électromagnétiques

    du scientifique concret, loin des arnaques!

  • Direction: Pôle emploi!

     

    Les élus du personnel de Canal+ réclament à l’unanimité le départ d’Éric Zemmour de CNews

    Ils ne veulent pas d’Eric Zemmour sur CNews. Les élus du personnel ont voté à l’unanimité une motion pour demander " à la direction de cesser sa collaboration avec Eric Zemmour et [de] le retirer de l’antenne pour des raisons évidentes sur le plan économique, sur la sécurité des personnels, sur l’image du groupe et sur l’éthique", révèle le site Les Jours ce lundi.

    Le message a été adressé jeudi à la direction du groupe lors d’un comité social et économique (CSE) extraordinaire. Selon les informations de nos confrères, la DRH Valérie Languille et le directeur des antennes du groupe, Gérald-Brice Viret, se seraient bornés à leur répondre que "Canal reste le groupe de toutes les opinions".

    (…) 20minutes

     

    Vive Zemmour!

  • 2 milliards d'euros pour les “enfants“ isolés plus

    plus, faire venir leur famille (combien?)

    et, pendant ce temps-là…

    Chelles (77) : Monique, 81 ans, vit dans sa voiture avec son chien, des habitants se mobilisent pour l’aider

    En Seine-et-Marne, des habitants se sont mobilisés pour venir en aide à une femme de 81 ans. Depuis des mois, elle vit jour et nuit dans sa voiture sur un parking, à Chelles.

    “J’ai aperçu sa voiture un soir, lorsque je promenais mon chien. C’était il y a deux mois. La voiture était toute pleine de buée, cela a attiré mon attention“. C’est avec émotion que Béatrice Munoz, une habitante de Chelles, en Seine-et-Marne, évoque le soir où elle a découvert Monique (prénom modifié) sur le parking de la gendarmerie de la ville.

    (mais, les gendarmes, ils regardent ailleurs?)

    Ce soir-là, elle se rend compte que cette dame de 81 ans vit dans sa voiture, jour et nuit, avec pour seule compagnie: son chien.

    “Elle n’a pas voulu me raconter son histoire mais j’ai bien senti qu’elle ne supportait plus cette situation. Je n’ai pas cherché à comprendre, j’ai juste voulu l’aider“, continue-t-elle.

    Cela fait plus d’un mois que Béatrice lui apporte à manger, tous les soirs après sa journée de travail. “Parfois elle accepte le repas, parfois elle refuse“. Rapidement, un élan de solidarité s’est formé autour de cette dame.

    “Nous sommes trois personnes à aller la voir tous les jours mais tout le monde s’est montré solidaire envers elle. Certains voisins lui préparent un potage ou même de la nourriture pour son chien“.

    (…) Actu.fr

    J'ai mal à MA FRANCE!

  • Ha! la belle vie d'avant la pollution!

     

    C’est la richesse créée par l’industrialisation qui nous a permis d’améliorer l’environnement.

    Par Marian L. Tupy.

    Un article de HumanProgress.org

    Récemment, j’évoquais l’idée romantique développée par l’anthropologue anglais Jason Hickel selon laquelle les gens du passé " vivaient bien " avec des revenus monétaires faibles ou nuls. Je rappelais qu’avant la révolution industrielle, les vêtements étaient extrêmement chers et inconfortables. Les filatures de coton ont tout changé. Comme le faisait remarquer un historien français en 1846, " la production mécanique […] a mis à la portée des pauvres un monde d’objets utiles, voire luxueux et esthétiques, auxquels ils n’auraient jamais pu prétendre auparavant ".

    Aujourd’hui, j’aimerais évoquer la question de la pollution. Il est bien connu que l’industrialisation a contribué à polluer l’environnement, mais cela ne signifie pas que l’air et l’eau étaient purs avant l’arrivée des fabriques et des usines ! Par rapport à aujourd’hui, nos ancêtres ont dû endurer d’atroces conditions environnementales.

    Commençons par la qualité de l’air. La biographe anglaise Claire Tomalin constate qu’au XVIIe siècle à Londres1 :

    Tous les foyers brûlaient du charbon […] La fumée de leurs cheminées obscurcissait l’air et recouvrait chaque surface d’une suie crasseuse. Certains jours, on pouvait observer un nuage de fumée d’un kilomètre de haut et de trente kilomètres de large au-dessus de la ville […] Les crachats des Londoniens étaient noirs.

    Dans le même ordre d’idées, l’historien italien Carlo Cipolla cite2 le journal de l’écrivain britannique John Evelyn, qui écrivait en 1661 :

    À Londres, nous voyons des gens marcher et converser, poursuivis et hantés par cette infernale fumée. Les habitants ne respirent rien d’autre qu’un brouillard impur et épais, accompagnée d’une brume fuligineuse et crasseuse… altérant les poumons et compromettant le fonctionnement des organismes.

    Les rues étaient tout aussi sales. John Harrington a inventé les toilettes en 1596, mais les WC sont restés un luxe rare deux cents ans plus tard. Les pots de chambre continuaient d’être vidés dans les rues, les transformant en égouts. Pire, même les grandes villes ont continué à pratiquer l’élevage jusqu’au XVIIIe siècle. Comme le note l’historien français Fernand Braudel dans Les structures du quotidien3, " les porcs étaient élevés en liberté dans la rue. Et les rues étaient si sales et boueuses qu’il fallait les traverser sur des échasses".

    Des trous de pauvres

    L’historien anglais Lawrence Stone a fait les observations suivantes dans The Family, Sex and Marriage in England 1500-18004 :

     Dans les villes du XVIIIe siècle, les égouts, désormais régulièrement remplis d’eau stagnante, étaient couramment utilisés comme latrines; les bouchers tuaient des animaux dans leurs échoppes et jetaient les restes des carcasses dans les rues; les cadavres d’animaux pourrissaient et s’infectaient là où ils étaient laissés; des fosses de latrines étaient creusées près des puits et contaminaient l’approvisionnement en eau. Les corps des riches en décomposition dans les caveaux funéraires, situés sous l’église, incommodaient fréquemment le pasteur et sa congrégation.

    Lawrence Stone rapporte qu’un " problème spécifique " à Londres était les poor holes (littéralement, les trous de pauvres) : " de larges fosses profondes et ouvertes dans lesquelles étaient alignés les corps des pauvres, les uns à côté des autres. Ce n’est que lorsque la fosse était remplie de corps qu’elle était finalement couverte de terre". Comme l’a souligné un écrivain de cette époque, cité par Stone : " Quelle odeur nauséabonde se dégage de ces trous!"

    De plus, "de grandes quantités d’excréments humains étaient jetés dans les rues la nuit […] Ils étaient également déversés sur les routes environnantes et leurs bas-côtés: les visiteurs qui sortaient ou se rendaient à la ville étaient obligés de se boucher le nez pour se protéger des mauvaises odeurs".

     

    Selon Stone,

    Ces conditions sanitaires primitives ont entraîné des épidémies récurrentes d’infections bactériennes de l’estomac, la plus redoutable de toutes étant la dysenterie, qui emportaient de nombreuses victimes des deux sexes et de tout âge en quelques heures ou quelques jours. Des troubles de l’estomac, de différents types, étaient chroniques, en raison d’une malnutrition chez les riches et d’une sous-alimentation ou d’une consommation d’aliments avariés chez les pauvres.

    Puis il y a eu "la prévalence de parasitose intestinale ", " une longue maladie, pénible et incapacitante qui a causé nombre de problèmes de santé et une vaste misère humaine. […] Dans les nombreuses régions marécageuses mal drainées, les fièvres paludéennes répétées étaient courantes et incapacitantes… (et) peut-être encore plus effroyable était la lente, inexorable et dévastatrice puissance de la tuberculose".

    La situation n’était pas meilleure sur le continent européen. Au milieu du XVIIe siècle, la reine Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, notait que " Paris est un endroit horrible et malodorant. Les rues sont si méphitiques qu’on ne peut s’y attarder à cause de l’odeur putride des viandes et des poissons en décomposition et à cause d’une foule de gens qui urinent dans les rues".

    Au XIXe siècle, la pollution demeurait un problème. Spécialiste de la période victorienne, l’historienne Judith Flanders rapporte5 l’observation de Waldo Emerson selon laquelle " plus personne ne portait de blanc (en Angleterre) parce qu’il était impossible de le garder propre ". Selon Flanders, les brosses à cheveux paraissaient "noires après usage" et les nappes étaient posées juste avant de manger, "sinon les cendres du feu venaient s’y déposer et elles étaient salies en quelques heures".

    La puanteur atroce de la Tamise

    En 1858, l’odeur pestilentielle de la Tamise était si forte que " les rideaux donnant sur la rivière étaient trempés dans du chlorure de chaux pour en éliminer l’odeur ". L’effort s’était révélé infructueux : le Premier ministre Benjamin Disraeli a fui un jour une salle de réunion "avec une pile de papiers dans une main et un mouchoir de poche sur le nez", parce que la puanteur était trop atroce. Il qualifiait la rivière de "bassin stygien, qui empeste des horreurs indescriptibles et insoutenables".

    Gardez à l’esprit que même après le début de la révolution industrielle, une grande partie de la pollution n’était toujours pas industrielle. Henry Mayhew, chercheur en sciences sociales et journaliste anglais, a découvert6 que la Tamise contenait "des éléments provenant de brasseries, d’usines à gaz, de fabriques chimiques et minérales; des cadavres de chiens, de chats et de chaton; des matières grasses et des déchets d’abattoir; des saletés de toutes sortes issues des trottoir; des déchets végétaux; du fumier d’étables; des ordures de charcuterie; des excréments humains; de la cendre; des casseroles et des marmites […], des pots, des bocaux, des cruches et des pots de fleurs cassés; des morceaux de bois et des ordures de toutes sortes".

    Il ne fait aucun doute que l’industrialisation a causé de grands dommages à l’environnement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Mais elle a également créé des richesses qui ont permis aux sociétés avancées de construire de meilleures installations d’assainissement et ont favorisé l’émergence d’une population éclairée, dotée d’une préoccupation sans précédent pour l’environnement et disposée à payer davantage de taxes locales pour sa gestion.

    Londres, devenue moderne, est propre

    En 2015, la BBC a rapporté que "plus de 2000 phoques ont été repérés dans la Tamise au cours de la dernière décennie […] ainsi que des centaines de marsouins et de dauphins et même quelques baleines errantes. […] Il y a maintenant 125 espèces de poissons dans la Tamise, contre quasiment aucune dans les années 1950".

    De même, les concentrations moyennes de particules en suspension à Londres sont passées de 390 microgrammes par mètre cube en 1800 à un pic de 623 en 1891, avant de tomber à 16 en 2016. Aujourd’hui, l’air de la capitale du Royaume-Uni la place parmi les grandes villes du monde les plus propres.

    Les données actuelles montrent clairement que, avant l’industrialisation, la vie de nombreux Occidentaux était extrêmement désagréable, du moins au regard des normes actuelles. Prétendre qu’ils "vivaient bien" est tiré par les cheveux.

    Traduction : Raphaël Marfaux pour Contrepoints.

    Claire Tomalin, Samuel Pepys : The Unequalled Self, Londres, Viking, 2002.

    Carlo Cipolla, Before the industrial revolution: European society and economy, 1000-1700, Routledge, London, New York, 1993.

    Fernand Braudel, Civilisation matérielle, économie et capitalisme, XVe et XVIIIe siècles 1. Les Structures du quotidien, Paris, Armand Colin, 1979

    Lawrence Stone, The Family, Sex and Marriage in England, 1500-1800, Penguin, 1977.

    Judith Flanders, The Victorian House: Domestic Life from Childbirth to Deathbed, HarperCollins, 2003.

    Henry Mayhew, London Labour and the London Poor, Royaume-Uni, 185