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Education - Page 24

  • La propagande

    On sait, en effet, que la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge.

    Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. Cet intéressant résultat, l’abasourdissement médiatique l’obtient très naturellement par le moyen de ses mensonges incohérents, péremptoires et changeants, de ses révélations fracassantes et sans suite, de sa confusion bruyante de tous les instants.

    Cependant, si chacun, là où il se trouve, avec ses moyens et en temps utile, s’appliquait à faire valoir les droits de la vérité en dénonçant ce qu’il sait être une falsification, sans doute l’air du temps serait-il un peu plus respirable.”

    [Encyclopédie des Nuisances, George Orwell devant ses calomniateurs, Quelques observations.]

  • La beauté est au fond d'icelle

    Enseignement: Brigitte reprend du service!

    Comme chacun sait (on nous en gave depuis des mois), la première dame a fait de folles dépenses, mais n’est point trop fière. Elle veut rembourser intégralement la nouvelle vaisselle et reprend du service.

    Quand elle est tombée sur la petite annonce de la ville de Clichy-sous-Bois, Brigitte a eu l’impression de revenir trente ans en arrière. Elle a su tout de suite que le job était fait pour elle. A 66 ans, la retraitée n’attendait que ça: retourner à l’école, retrouver ses passions d’antan, ses contacts intensifs avec les ados, les entretiens privés dépassant les heures de cours, sans jamais compter.

    Certains prétendaient qu’elle était prête à vendre ses cheveux, qui sont abondants et sublimes, d’autres qu’elle servirait de mannequin pour une marque de bas-résille, mais les fabricants n’ont pas trouvé de tailles appropriées, et la caser au rayon enfants était humiliant. Les plus méchants voulaient engager la dame du président pour jouer la belle-mère dans une nouvelle série télé "Blanche-neige et les 7 boules de cristal", mais elle a refusé. Les milieux médicaux lui avaient soumis une proposition de clichés pour lancer une action contre l’anorexie, elle qui aime tant les ados (surtout les garçons) et a tenté, toute sa vie durant, de leur montrer le droit chemin.

    La rémunération ne lui convenait pas. Une autre initiative a également échoué: l’Elysée avait lancé une boutique souvenir remplie de goodies. Parmi les produits, des préservatifs dont l’emballage était siglé à l’image de la première dame. On se demande pourquoi, mais: “L’Elysée n’a pas souhaité reconduire le contrat de préservatifs personnalisés pour l’instant. Nous n’en connaissons malheureusement nullement la raison”, a confié le directeur de la société fournisseur officiel des préservatifs personnalisés. (NDLR: la clause de confidentialité signée par ce fournisseur avec l’Elysée nous interdit de dévoiler son nom). Encore une tentative loupée!

    C’est donc en lisière du bois de Bondy, dans un bâtiment rénové des Ateliers Médicis, que l’enseignante peu banale a fait sa rentrée ce matin par la grande porte (qui devra être assez large pour laisser passer ses 5 gardes du corps) ce matin à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Brigitte Macron accueillera les 50 élèves de l’Institut des vocations pour l’emploi (Live), le projet qu’elle porte depuis plusieurs mois avec LVMH. Précisons que la première dame est ex-enseignante des lycées jésuites La Providence à Amiens – où le couple a fait connaissance dans des circonstances originales que je n’évoquerai pas ici, les journaux en ayant été inondés pendant des mois.

    "On s’adresse aux invisibles. Il est important de leur tendre la main" a déclaré l’épouse du président! Affolée, l’école a donc décidé de la laisser enseigner des 25-30 ans, au grand soulagement des parents.

    Pour LVMH, il faut "vaincre des barrières". De quelles barrières s’agit-il? Je n’ai pas trouvé de réponse. En relation avec le célèbre nom, je n’ai trouvé que les barrières "renversées" par des vauriens vêtus de jaune, et non "vaincues".

    Les hyper-décrocheurs seront rémunérés à hauteur d’environ 1000 euros par mois. (Mais il ne restera presque rien, à peine de quoi rembourser les sous-tasses?). Ces cours sont financés par le groupe de luxe LVMH qui lui prête également des vêtements (vous voyez qu’elle serre les cordons de la bourse!). Pour la rentrée, ce seront des tenues discrètes, des teintes décentes, des jupes moins courtes, quant aux talons, ils ne devront pas dépasser 4 cm. On parle d’un tablier de couleur bleu marine estampillé LV.

    Brigitte Macron leur fera alors classe "un cours toutes les deux semaines ou un cours mensuel", précise la presse, évoquant un "rythme non encore défini". Ce rythme sera bien entendu adapté à l’âge respectable de la nouvelle enseignante. Et lui permettra de prévoir encore quelques "escapades" dans la neige avec son fils (Mon dieu, cela m’a échappé: son mari!).

    Les étudiants se pressent au cours munis de leurs carnets. Mâme Macron-Trogneux a promis de corriger et de signer elle-même les copies de son Mont-Blanc (Collection Héritage 4 couleurs). On raconterait qu’une copie corrigée serait déjà proposée aux enchères pour plus de 1.500 € (le prix d’un coquetier).

    Brigitte Macron souhaite faire "découvrir la littérature classique et le patrimoine culturel" à ses futurs élèves qui eux, j’en suis persuadée, sont plus gourmands de chimie et de bricolage. (Besoin d’une explication? Je suis certaine que vous vous en passerez).

    Une initiative également destiné à réchauffer les relations entre Brigitte Macron et les conseillers du président, "avec qui ça n’a jamais été une love story", affirme un proche maitrisant parfaitement l’anglais. Une manière, aussi, d’affirmer sa place au côté de son juvénile époux après le tumulte de ces derniers mois et de renouer avec les Français.

    En février dernier, la première dame du président (qui lui n’est pas son premier mari. Je vous explique?) avait déjà fait part de son envie de se "réconcilier" avec les Gilets jaunes. A ce jour, je ne sais toujours pas si elle y est arrivée.

    Mardi 16 avril, le président de la Fédération française du Bâtiment avait annoncé qu’un restaurateur avait "retrouvé dans les décombres le coq du haut de la flèche de Notre-Dame", après l’incendie. La mariée de Monsieur Macron avait alors déclaré: “C’est un message qu’elle nous envoie. Je le sais”. Elle sait tellement de choses, ses ex-absents des cours en profiteront.

    Elle rayonne: "Ce ne seront pas du tout des cours comme j’ai pu en donner à mes élèves (OUF!) mais davantage à l’anglo-saxonne, interactifs (Pas assez interactifs à Amiens?). Pas Grand I, petit a. Ça je sais faire", a-t-elle souri.

    Le Journal du Dimanche a ensuite révélé que la first lady n’enseignera que ponctuellement la littérature classique, et non le théâtre. Explication: en raison de son âge, la nouvelle enseignante s’oblige à une petite sieste et n’est donc pas à même de donner cours plus de quatre heures consécutives. Elle espère que son Institut des vocations "fera des petits", une attention qu’appréciera certainement son jeune époux, empêché de lui en faire lui-même.

    Anne Schubert

    https://ripostelaique.com/enseignement-brigitte-reprend-du-service.html

     

    Bah! à 69 ans, je suis moins ridée qu'elle... et sans toutes ses interventions chirurgicales diverses pour cette avariée!

    www.moins2rides.com

     

  • La viande de brousse?

    Kenya : une députée propose une loi contre les pets dans les avions, pour la sécurité aéronautique

    Une députée kenyane a demandé qu’une loi soit adoptée pour aider les équipages à faire face aux passagers qui lâchent des pêts à bord des avions.

    Lilian Achieng Gogo, députée de la circonscription de Rangwe, dans l’ouest du Kenya, a déclaré au Parlement que les passagers qui pètent devenaient de plus en plus une menace pour la sécurité en raison du malaise causé aux autres voyageurs.

    La députée contribuait à l’élaboration d’une motion visant à modifier une loi sur les infractions commises à bord d’un aéronef. Parmi les réformes qu’elle proposait, il y en avait une qui permettrait aux équipages de conduite de fournir des médicaments contre les pets aux passagers.

    BBC

     

  • Le désastre de l'école en France

    Allez lire l'article, il est bien plus long et très édifiant!

     

    France: une enseignante témoigne sans langue de bois du désastre de l’éducation des enfants musulmans

     

    Dreuz, 15 février 2017

    Une enseignante répond à un commentateur sur le blog d’Ivan Rioufol qui prétend que les petits immigrés ou fils d’immigrés sont discriminés à l’école.

    Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.

    J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6e à la 3e) plus de 4 000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

    Vous prétendez que les populations des banlieues sont "mises au garage dès le collège et le lycée "?

    Que "le socle d’une société épanouie est l’éducation" et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays?

    Quelle vaste blague! Non: quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité!

    Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits Français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)

    Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3e, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles?

    Le français est pour eux une "langue étrangère", la langue des "mécréants" comme ils aiment à me le répéter.

    Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant "génération sacrifiée":

    Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).

    Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros – un dans chaque classe -, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’État car payées en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc. Je continue?

    Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.

    Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est "le bled". Leur seul désir: imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus: ils le revendiquent comme une fierté.

    Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration.

    Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot "laïcité" en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.

    La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.

    Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.

     

    J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre: propos haineux à l’égard des Français, des juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’État islamique et de la charia.

    Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les "sous-chiens" et les "faces de craie" comme ils nous appellent.

    Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.

    Et vous réfléchirez peut-être à deux fois avant d’écrire de telles inepties.

    © lu en commentaire d’un article d’Yvan Rioufol et publié par Gaïa pour www.Dreuz.info

    Julien Martel

     

    https://ripostelaique.com/soutien-a-cedric-villani-qui-a-ose-lier-echec-scolaire-et-immigration.html

  • Ben, voilà!

    La France doit défendre son héritage chrétien contre le cancer musulman

    Les musulmans sont en droit de défendre les racines musulmanes de leurs pays en dépit des évidences historiques et anthropologiques et les dégâts dévastateurs de l’islam tandis que les Européens ne peuvent pas en faire autant.  Des origines qu’ils doivent cacher pour ne pas heurter les susceptibilités de cette population importée réputée pour son incurie intellectuelle, son fanatisme, son ignorance, son obscurantisme, sa culture monolithique et son amnésie historique.

    Et pourtant, sans les historiens et archéologies européens, jamais l’humanité n’aurait découvert l’histoire glorieuse de l’Irak, la Syrie, la Perse, l’Égypte, les Égyptiens et l’Afrique du Nord.

    L’Europe berceau de deux des plus illustres civilisations, la grecque et la romaine,  n’ose pas se référer à ses racines chrétiennes. La France elle-même a été enfantée par la chrétienté.

    Comme s’il s’agissait d’un passé noir que l’on ne veut pas étaler, peur de l’assumer, on le nie et on le cache du regard de l’histoire, à moins que l’on ne veuille pas froisser la sensibilité des " nouveaux " Européens importés des pays majoritairement musulmans. Un choix qui est en train de basculer l’Europe chrétienne et gréco-romaine dans les fonds abyssaux de l’histoire.

    Dès qu’une voix s’élève pour défendre l’identité chrétienne de l’Europe, elle provoque un tollé général et une vague d’indignation comme si c’était un sacrilège que de rappeler une réalité historique incontestable.

    On doit taire cet héritage chrétien et le passer en pertes et profits. Un voile est mis sur l’histoire de l’Europe à l’image du voile des femmes musulmanes.

    Un sujet tabou que Chirac s’était empressé d’enterrer à l’époque où l’on avait voulu l’inscrire dans la Charte européenne. Il aurait certainement changé d’avis si l’on avait proclamé aussi les racines musulmanes de l’Europe.

    Elle ne doit rien à l’islam. Et ce n’est pas la présence de l’islam en Andalousie et pas sur tout le territoire espagnol qui aurait servi de catalyseur à sa renaissance non plus. L’Europe est sortie de son Moyen Âge contrairement à l’islam qui n’est jamais sorti du sien depuis 1 441ans, à la différence de l’Église qui s’est recentrée sur son rôle d’Église. L’islam n’y est pas encore et jamais il ne se résoudra à séparer le temporel de l’intemporel, c’est signer son propre arrêt de mort.

    Il n’est pas chez lui en Europe. Mais on ne fait rien pour le cantonner à son seul domaine cultuel. On lui laisse les coudées franches pour imposer sa propre vision de l’histoire et son mode de vie au nom de la prééminence de son système de valeurs sur tous les autres.

    L’Europe n’a pas à lui dérouler le tapis rouge et à chercher à le ménager. C’est un conquérant et doit être traité sans ménagement ni réserve.

    Il faut une Europe décomplexée, forte et unie autour des valeurs communes sinon c’est le glas pour elle.

    Ce n’est pas de la haine que de ne pas céder aux desseins hégémoniques de l’islam et ce n’est pas de la haine non plus que de revendiquer haut et fort l’identité chrétienne de l’Occident.

    L’Occident c’est l’Occident et l’Orient musulman c’est l’ Orient musulman, qui ne n’aurait jamais connu la lumière sans les chrétiens d’Orient.

    Salem Benammar

    https://ripostelaique.com/la-france-doit-defendre-son-heritage-chretien-pour-contrer-le-cancer-musulman.html

  • Quartiers défavorisés : le plan d’attaque du gouvernement

    Par Auteur valeursactuelles.com

    Les ministres de la Cohésion des territoires, Julien Denormandie, et de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, ont dévoilé la liste de 80 quartiers appelés à être des "cités éducatives".

    Endiguer l’échec scolaire dans les quartiers défavorisés est-t-il possible? Le gouvernement semble y croire, et a dévoilé, jeudi 5 septembre, à Clichy-sous-Bois la liste des 80 quartiers défavorisés labellisés "cités éducatives", comme le relève le journal Le Monde. Issu du rapport Borloo, le dispositif vise notamment à améliorer la réussite à l’école. Un des moyens de cette réussite: l’intensification de la prise en charge extrascolaire.

    100 millions d’euros sur trois ans

    Sur les 80 "cités éducatives" présentées, une vingtaine de communes de la région d’Île-de-France ont été retenues par le dispositif. On y compte La Courneuve en Seine-Saint-Denis, Villiers-le-Bel dans le Val-d'Oise ou encore Trappes dans les Yvelines.

    L’enveloppe est conséquente: 100 millions d’euros sur trois ans pour financer des actions scolaires et périscolaires.  Avec ces cités éducatives, le gouvernement souhaite  intensifier les prises en charge éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu’à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire", en créant un  écosystème favorable". Une idée qui n’est pas originale. Jean-Louis Borloo l’avait en réalité empruntée à une initiative expérimentée à Grigny (Essonne) en 2017. Le projet alors était de limiter le décrochage scolaire et de mieux suivre le parcours des, étudiants en ayant recours à des professionnels -dans le cadre de stages par exemple- ou à des travailleurs sociaux intervenant dans les cours.

    Et le communautarisme? et la drogue? et les femmes emballées? les trafics?

    C'est un emplâtre sur une jambe de bois!