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Education - Page 23

  • Dans ma petite école: témoignage d’un enseignant en REP

    Par François Marha

    Notre contributeur, enseignant dans une école élémentaire de Réseau d’Éducation Prioritaire Renforcée (REP+), située dans un Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville (QPV), nous livre sur son quotidien professionnel, quelques chiffres, quelques faits et quelques considérations sur l’état de l’enseignement dans les quartiers pauvres.

    Quelques chiffres pour commencer

    Avec ses 400 élèves, ma petite école est en fait assez grande. On compte, au gré des départs et des arrivées en cours d’année, environ 25 élèves dans ma classe de CM2, comme c’est peu ou prou la règle pour les Réseaux d’Éducation Prioritaire Renforcée (REP+). Sur ces 25 élèves, deux vivent en foyer, 20 appartiennent à des familles monoparentales – réelles ou supposées, si l’on tient compte de l' "astuce" consistant à se déclarer "parent isolé" auprès de la Caisse d’Allocations Familiales.

    Dans la ville, le taux de pauvreté approche les 50% et le taux de chômage des 15-64 ans est d’environ 40% (INSEE, 2015). Les chiffres du quartier ne me sont pas connus: mais dans ma classe, trois parents d’élèves occupent à ce jour un emploi.

    Sept enfants accusent un an de retard, deux ne savent ni lire, ni écrire, 12 sont en très grande difficulté, trois sont suivis par le CMPEA [i], huit par le RASED [ii], un seul est excellent. À ce que nous appelons les " évaluations-diagnostiques " (tests de début d’année, généralement en français et en mathématiques, servant à évaluer le niveau des élèves et concevoir des programmations annuelles et des progressions par période ajustées), réduites au plus élémentaire (repérer le verbe d’une phrase, compléter un texte à trous par des pronoms personnels, mettre des noms communs au pluriel, poser une addition, identifier des figures géométriques, ranger des entiers inférieurs à 1000 dans l’ordre croissant, etc.), la moyenne tourne autour de 6/20.

    "Sur 25 élèves, sept enfants accusent un an de retard, deux ne savent ni lire, ni écrire, 12 sont en très grande difficulté, trois sont suivis par le CMPEA, huit par le RASED, un seul est excellent".

    Cette année, Open Office tient le prénom de 100% de mes élèves pour une faute d’orthographe, et m’a obligé, à la rentrée, à tous les "ajouter au dictionnaire" pour ne pas les voir systématiquement soulignés en rouge dans mes documents de travail. Anecdote: il y a trois ans, l’un de mes CM2 s’appelait Tintin. L’ordinaire des prénoms se décompose au reste en cinq grandes catégories:

    Les prénoms des enfants musulmans, traditionnels:

    Les grands classiques anglo-saxons (Dylan, Wendy, etc.), qui périclitent toutefois:

    Ces mêmes grands classiques, à l’orthographe rafraîchie (Brayane, Djonesone, etc.) ou stylisés par un suffixe (Kyliana, Jessican, etc.):

    Les dessus de listes de Maman.com (Timéo, Lila, etc.):

    Les pures inventions, extrêmement en vogue depuis que les stars elles-mêmes en sont folles (Djanatik, Kayis, etc.).

    Résiduels, subsistent ici ou là quelques Julien ou Émilie. Pour les Mathurin, Alphonse et autres Prune et Églantine (sans rien dire des Marie-Victoire ou des Charles-Henri), se rendre ailleurs – ou demander à ce phare de la pensée qu’est Éric Zemmour.

    100% des filles déclarent avoir déjà changé la couche d’un bébé. 0% des garçons. 24 élèves possèdent une tablette et/ou un smartphone. 17 ne savent absolument pas nager. Huit, dont sept filles, ne savent pas faire de vélo.

    L’Académie de Créteil, où je n’enseigne pas, a enregistré pour la session de 2018 du CRPE (Concours de Recrutement des Professeurs des Écoles) un seuil d’admissibilité (note du dernier reçu aux épreuves écrites, censées jauger les acquis dits " disciplinaires " et donnant accès aux épreuves orales, plus " professionnelles ") de 5,50/20 . Taux, certes, le plus faible de France.

    Quelques faits

    Un de nos élèves présente des troubles psychiatriques sévères. Nous l’accueillons deux matinées par semaine, selon une procédure dite "d’inclusion", et il passe le reste du temps scolaire en hôpital de jour. Il lui arrive de dévaster sa classe et d’agresser quiconque passe dans son champ de vision. J’ai dû esquiver une fois une chaise qu’il me jetait au visage.

    Récemment, notre directeur a appelé les pompiers pour le maîtriser, en pleine crise.

    Un autre est trisomique, sans AESH (Accompagnant des Élèves en Situation de Handicap), et peut, toute la journée, répéter en boucle "j’ai pété!" à haute voix dans sa classe.

    Un garçon, il y a quelques années, a vu son grand frère se faire tuer par balles.

    Un autre a disparu dans la nature après que son père a été accusé d’avoir violé sa petite sœur.

    Le papa d’une petite fille a récemment frappé son cousin à mort pour quelques dizaines d’euros.

    Celui d’une de mes élèves est mort d’un accident du travail, sur un chantier,

    un autre, l’année dernière, s’est tué en escaladant le balcon de son voisin pour régler un contentieux.

    À la rentrée, une mère est arrivée totalement ivre déposer ses enfants, quand deux autres se sont battues devant tout le monde à la fête de Noël.

    Il y a plusieurs années, un collègue a été passé à tabac devant tous ses élèves.

    Une autre fois, deux personnes ont traversé la cour armées d’un fusil, avant d’abattre un homme à quelques rues de là.

    La voiture du directeur a été démolie à son arrivée, il y a 14 ans.

    Un enfant a tenté de se suicider pendant les heures de classe, valant à l’école les honneurs de la presse.

    Assez souvent, une vexation ou une contrariété donnent lieu à une "évasion": un enfant saute le portail, s’enfuit, passe sa journée dans la rue.

     

    La plupart des infrastructures (stades, etc.) restent en friche des semaines durant, car toutes les débroussailleuses de la commune ont été volées. La piscine est fermée un jour sur trois "en raison de problèmes techniques", l’école est sans électricité plusieurs fois par semaine, la sonnerie, Dieu sait pourquoi, ne fonctionne plus, et il est arrivé une dizaine de fois l’année dernière que les bus affrétés aux sorties soient en retard de deux ou trois heures, ou ne viennent simplement pas.

    La plupart du matériel de sport (sifflets, ballons, etc.) a été acheté par les enseignants, sur leurs deniers. La salle informatique a été entièrement dévalisée l’an dernier, l’école étant parfois visitée le week-end pour être retrouvée mise à sac le lundi.

    "L’Éducation Nationale aime s’enticher, avec cinquante épisodes de retard et sans parfaitement les comprendre, des techniques de marketing/communication/management à la mode à Rouen ou à Quimper dans les années 70′".

    La pédagogue Maria Montessori (1870 – 1952)

    En notre qualité d’enseignants en REP +, mes collègues et moi bénéficions de 18 demi-journées de formation par an, dites  "formations REP+".

    C’était, quand je suis arrivé dans ma circonscription, assez douloureux, car consistant souvent en des power-point criblés de fautes nous expliquant les bienfaits du vivre-ensemble, parsemés ici ou là d’équations chimiques afin d’assurer aux choses leur scientificité. On invoquait aussi vaguement Brissiaud, Meirieu, un lointain Bourdieu, Montessori davantage, depuis qu’il paraît que la jet-set s’en pique.

    Tout cela quand nous ne nous adonnions pas à des "jeux" et activités directement inspirés du management le plus désuet.

    Règle immuable: un peu comme nous percevons tardivement la lueur des étoiles, l’Éducation Nationale aime s’enticher, avec cinquante épisodes de retard et sans parfaitement les comprendre, des techniques de marketing/communication/management à la mode à Rouen ou à Quimper dans les années 70′.

    Et badigeonner le tout d’un genre particulier de "bienveillance", que même de la MDMA à haute dose ne saurait susciter.

    Exemple: jeu des "3 x 7": le formateur inscrit le mot "Europe" au tableau, nous avons 7 minutes pour écrire autour un mot qui nous vient, 7 minutes pour barrer un mot écrit par d’autres et 7 minutes pour en discuter "sans se juger" .

    Autre exemple: des instruments de musique "ethniques" (on passera sur le vocable…) sont posés à terre, chacun les contourne en produisant le son de son choix: l’abeille, le hibou, les pompiers. Il fut fort rare, en fin de compte, que l’on quittât les lieux avec quelconque outil concret, réel et utilisable un jour ou l’autre dans nos classes.

    Les choses, ou ce que j’en attends, ont certes un peu changé: ces formations nous permettent à présent surtout de sympathiser avec tous les enseignants du réseau, ce qui n’est pas sans être intéressant.

    Le cadre typique de notre institution, de l’IEN [iii] au DASEN [iv], est bien souvent un hybride de conscience politique lointaine (quelques touches de Benoît Hamon diluées dans quelques gouttes d’inter-sectionnalité floue et de bon ton) et d’aspiration priapique à être feu Steve Jobs – sans rechigner pour cela à l’idoine panoplie: Mac, Applewatch, nesspresso et combo baskets/jupe/costume décravaté.

    Ces messieurs-dames, comme nous, font de leur mieux avec les moyens dont ils disposent – et un plus ou moins grand talent.

    Quelques considérations politiques

    J’enseigne dans ce que l’on appelle une "école à points". Le jeune professeur qui, après une année de stage, y est affecté, doit attendre environ quatre ans pour capitaliser les points nécessaires à sa mutation. Sur 21 classes que compte mon école, donc, 16 professeurs débutent dans le métier – et n’aspirent souvent qu’à une chose: partir.

     

    À notre arrivée, il nous faut composer avec les rudiments vus en stages et à l’ESPE [v], et les quelques réalités plus haut mentionnées. La première urgence, attendu le climat général, est d’apprendre à tenir ses élèves. Comprendre: faire en sorte que la classe, en particulier au cycle 3 (CM1, CM2, puis 6e), ne se transforme pas en cage de MMA.

    La chose arrive chaque année à un malchanceux, et chaque année un collègue est arrêté pour dépression, tandis que dans sa classe se succèdent les remplaçants, qui eux-mêmes finissent par se mettre en arrêt. Nota: les remplaçants sont d’authentiques enseignants, reçus comme tout le monde au CRPE: je peux, demain, demander ce poste et eux, le mien: il est donc stupéfiant que chacun persiste encore à les tenir au mieux pour des vacataires ou des étudiants en stage, au pire pour des intermittents du spectacle.

    Pour éviter la catastrophe, plusieurs "trucs": être en très grande forme, physique et mentale (délicat quand arrivent, par exemple, les grossesses, les nouveau-nés qui pleurent la nuit…), nouer une certaine complicité avec chaque élève, individuellement, ne pas hésiter à taper du poing sur la table, cibler ses réprimandes et, ce qui sans doute est le plus important: préparer ses séances avec une extrême minutie.

    Plus les choses sont millimétrées, mieux elles se passent. Opère enfin, qu’on contrôle assez peu, un charme, ce plus ou moins grand respect qu’inspire le personnage que l’on présente chaque matin. Là, tout est une affaire hautement personnelle: arriveriez-vous, comme Monsieur Finkielkraut semble le prescrire, farci de IIIe république et de culture classique, il n’est pas dit qu’on ne vous le fasse pas payer. Le style décontracté, plus cher, faut-il croire, à Monsieur Bégaudeau, peut également vous faire perdre toute considération. C’est un peu sur-mesure.

    "Le souhait réel semble être d’instruire le gigantesque bataillon des enfants de France juste ce qu’il convient, dans ses strates les plus basses, pour qu’il sache se rendre où il faut pour acheter et consommer les choses que lui aura dictées son écran".

    Ce cadre posé, ce qui peut prendre des mois, il faut tenter d’avancer. Alors, lentement, on dégrise un peu des aspirations qui nous ont fait passer le CRPE et, lentement, chacun renonce à être Celestin Freinet. On compose. Jongle avec les injonctions contradictoires d’une institution qui rédige des programmes (en CM2, au mois de juin  théorique": résoudre des problèmes avec des nombres décimaux) et nous somme de nous adapter au rythme de chaque élève (au mois de juin "réel", parfois: compter de 10 en 10).

    On ne saurait d’ailleurs, à ce stade, que sourire des componctueuses querelles médiatiques sur ce que devrait être notre métier. Suffit-il de décréter, à droite, que "l’autorité doit être rendue aux maîtres"? Ou, à gauche, d’entonner les mantras bourdivins?

    Ces quelques notes pour arriver ici: naît l’amère impression – et qui va croissante – d’être, en quelque sorte, la CMU de l’instruction. Tout se passe comme si se dessinait en France un monde éducatif à trois stades: très en haut, un enseignement de pointe, privé, payant, cher.

    Au milieu, tout juste de quoi former quelques cadres moyens.

    En dessous: ce sous-sol dont je parle.

    Avec la cynique ambition, couverte d’un bavardage incessant, d’en finir pour de bon avec toute idée de peuple éclairé. À l’os, équarri des graisses menteuses, le souhait réel semble être d’instruire le gigantesque bataillon des enfants de France juste ce qu’il convient, dans ses strates les plus basses, pour qu’il sache se rendre où il faut pour acheter et consommer les choses que lui aura dictées son écran. Être instruit de ce peu qu’il suffit, pour allumer les réseaux et leur obéir.

    On saupoudrera le tout, dans les strates légèrement supérieurs des quelques savoir-faire nécessaires à ce que la machine tourne et l’on ne dispensera plus, des plus élémentaires dans les filières professionnelles aux plus complexes dans les écoles d’ingénieurs, que des savoirs techniques: des compétences.

    Notes:

    [i] Centre Médico Psychologique Enfants et Adolescents

     [ii] Réseau d’Aides Spécialisées aux Élèves en Difficulté: dispositif composé d’enseignants spécialisés et de psychologues scolaires intervenant dans les écoles.

     [iii] Inspecteur de l’Éducation Nationale: Supérieur direct des professeurs des écoles.

     [iv] Directeur Académique des Services de l’Éducation Nationale: cadre supérieur de niveau départemental.

     [v] École Supérieure du Professorat et de l’Éducation, renommé e en Institut National Supérieur du Professorat et de l’Éducation (INSPE) en 2019.

     

  • Comprendre pourquoi la France que nous connaissons va disparaître (1)

    Notre pays, la France, qui était une grande nation, un grand pays qui a rayonné pendant des siècles sur le monde dans tous les domaines de la vie, de la culture, de la civilisation, de l’économie, du commerce, de la pensée et des arts, et comme modèle de société avec ses lois et ses traditions séculaires, est en train de s’effondrer et va disparaître complètement si personne ne réagit et ne s’oppose efficacement à cette disparition…

    https://insolentiae.com/la-france-cette-dictature

    On m’a reproché, dans mes derniers articles, de m’en prendre avec un acharnement excessif à Macron, à son gouvernement et à sa politique (calamiteuse).

    https://www.huffingtonpost.fr/entry/emmanuel-macron-ne-gouverne-pas-les-francais-il-les-soumet_fr_5d52c5e7e4b05fa9df050b32?utm_hp_ref=fr-homepage

    C’est mon patriotisme et mon amour de mon pays qui me conduisent à écrire ces articles.

    Mais aujourd’hui, je voudrais creuser un peu plus et chercher d’autres causes à notre malheur présent et à la grande menace qui pèse sur la France et sur son peuple.

    Tout d’abord, rien n’est écrit.

    Il en va des hommes et des peuples comme des nations dont histoire n’est pas figée dans le temps et qui connaissent tour à tour l’ascension, la chute, la ruine et la reconstruction.

    En partant simplement de la fin de la Seconde Guerre mondiale et en résumant strictement, la France a connu la reconstruction et l’essor économique, les "Trente Glorieuses" de 1946 à 1975 :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Trente_Glorieuses

    Puis "l’enfant-roi" (qui a été un des éléments déclencheurs gauchistes de la chute). Cette période a ruiné les efforts d’éducation des enfants et adolescents en leur donnant une place absurde à laquelle ils n’avaient absolument pas droit. Ce qui les a en fait privés, pour beaucoup, d’une bonne éducation et leur a été une nuisance plus, qu’autre chose.

    La fin de la guerre d’Algérie, le retour des Pieds-noirs et le début de l’invasion arabo-musulmane, le rapprochement familial (la plus grande stupidité que peut commettre un État), les deux chocs pétroliers qui ont mis à genou nos dirigeants serviles et lâches aux pieds des pays pétroliers du Moyen-Orient, alors qu’ils auraient dû leur dire " NIET ! " dès le départ, ce qui aurait tout changé, puis les événements de 68 provoqués par la gauche, le début du chômage et le début de l’effondrement de notre économie et, enfin, le passage à la tête de l’État d’une suite d’incapables et de baudruches gonflées, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et enfin Macron qui a été mis en place par les mondialistes pour détruire la France.

    Mais TOUS ont contribué à amorcer cette destruction.

    https://ripostelaique.com/notre-pays-est-en-train-de-disparaitre-dans-lindifference-generale.html

    Que s’est-il passé?

    Tout d’abord, il faut bien préciser que la gauche est la plus grande responsable de la chute de la France.

    L’enseignement public (l’Éducation nationale), est totalement miné par les socialistes.

    L’administration et la magistrature sont également minées par les socialistes, au point d’en avoir fait de redoutables machines de régression du pays.

    Les socialistes sont le cancer qui ronge et détruit peu à peu le pays.

    Le socialisme, c’est la paresse, le copinage, les embrouilles, les syndicats, la régression et la paralysie de la société.

    Se prétendre soi-même "le camp du Bien, des gentils et des bien-pensants" en dit long sur leur vacuité intellectuelle…

    Le socialisme, ce sont des dizaines de millions de morts dans le monde entier, pendant un siècle, sous des régimes politiques monstrueux.

    Se déclarer socialiste, aujourd’hui, revient à approuver et valider toutes ces dictatures sanglantes et souhaiter en imposer de nouvelles.

    Le socialiste, comme le communiste, n’est pas intelligent ni cultivé et laisse le soin à son parti et à sa cellule de décider pour lui ce qu’il doit penser, dire et faire.

    https://ripostelaique.com/loppression-regne-de-betise-socialiste.html

    Mon petit cousin Michel Droit avait écrit en son temps (1985) un livre cinglant et très intéressant sur les socialistes, qui est toujours disponible d’occasion pour ceux qui sont intéressés. On peut lire les premières pages sur le site :

    https://www.amazon.fr/Lettre-ouverte-ceux-quassez-socialisme/dp/2226025294

    Lorsque la gauche a décidé un jour que, désormais, il était interdit qu’un enfant redouble en primaire ou plus tard, elle ne l’a pas fait par grandeur d’âme, mais dans un plan très précis ayant pour but de faire des enfants français des idiots incultes. Et ça a très bien marché, le résultat est là aujourd’hui.

    Avant, bien sûr, on faisait redoubler les enfants, juste pour les embêter et pour embêter leurs parents…

    Eh bien, non. On faisait redoubler un enfant parce qu’il avait pris trop de retard en maternelle, en CP, en CE1, CE2, CM1 ou en CM2, jusqu’à l’âge de 14 ans, et même au collège ou au lycée. Et on pouvait même repasser le Bac trois fois.

    Un enfant ne devait pas forcément redoubler parce qu’il était un mauvais élève, mais aussi, parfois, parce qu’il avait été très malade pendant plusieurs mois et ne pouvait plus rattraper son retard, ou encore parce que sa famille avait eu des problèmes, avait dû déménager ou quoi que ce soit de légitime expliquant le retard de l’enfant.

    Si l’enfant ne redoublait pas, il était très vite à la traîne dans la classe supérieure, il décrochait et il végétait dans son coin, sans aucune chance de pouvoir rattraper son retard.

    On le faisait donc redoubler pour l’aider à rattraper son retard et l’amener au niveau requis pour passer dans la classe supérieure.

    À ce moment-là, il pouvait envisager de poursuivre normalement sa scolarité. Mais il pouvait aussi être amené à redoubler une autre classe, toujours dans son intérêt.

    "Le redoublement, une mesure d’interdiction fortement inspirée par un égalitarisme niveleur gauchiste, celui-là même qui refuse toute sélection des élèves, toute évaluation chiffrée, toute différenciation des curricula. Avec, en plus, cette forme de pensée magique: pour mettre fin à l’échec scolaire, il suffirait de le décréter. C’est effectivement absurde! Comme il serait absurde de considérer, à l’inverse, le redoublement comme l’unique solution adaptée aux difficultés rencontrées par les élèves.

    Le redoublement est juste un dispositif parmi d’autres. Il doit rester un recours possible pour les équipes éducatives, car il peut permettre dans certains cas à des élèves de reprendre pied, alors qu’ils sont en train de boire la tasse dans leur parcours scolaire. "

    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/06/08/31001-20170608ARTFIG00232-education-l-interdiction-du-redoublement-participait-d-un-egalitarisme-niveleur.php

    Aujourd’hui, comme les enfants ne redoublent plus, que les parents travaillent et ne s’occupent plus d’eux et qu’ils sont laissés à eux-mêmes à la maison ou dans la rue, les jeux vidéo, les séries TV ou le smartphone ne les aident pas vraiment à faire une bonne scolarité.

    Et comme l’Éducation nationale est en permanence bidouillée et la proie de pseudo- "réformes" stupides et stériles par des ministres imbéciles qui se succèdent à grande vitesse et veulent laisser leur empreinte dans l’histoire (empreinte de la honte), ça n’aide pas les choses à aller mieux, non plus…

    Un autre facteur (pas celui qui apporte le courrier !) contribue à ce gâchis, c’est la période de l’enfant-roi, autre stupidité des gauchistes, qui a fait de ces enfants-rois des gosses pourris-gâtés qui n’ont rien fichu et n’ont reçu aucune instruction ni aucune éducation parentale.

    Ils ont donc transmis à leurs propres enfants leur absence d’éducation et d’instruction.

    Et ce retard-là est toujours présent.

    Depuis ces années-là, le peuple français s’est terriblement appauvri intellectuellement en termes d’éducation et de culture générale.

    Également, un autre problème aggravant, dans les cités, les quartiers et les banlieues, a été la " mixité sociale, inter-ethnique et interreligieuse“.

    Un véritable fléau.

    En effet, les populations immigrées arabo-musulmanes, même de longue date (après la guerre d’Algérie), ne se sont pas totalement intégrées. Les primo-arrivants l’ont fait et ont tout fait pour donner une bonne instruction et une bonne éducation à leurs enfants.

    Beaucoup s’en sont d’ailleurs très bien sortis et ont pu accéder à de belles carrières.

    Mais les arrivants suivants, sur les années 70, 80, 90 et 2000, ne se sont pas ou peu intégrés et sont venus avec leur islam guerrier et conquérant qui leur interdit de s’intégrer à un pays occidental et en particulier chrétien ou juif et à tout faire, au contraire, pour détruire ces pays.

    Vous pensez, une " culture " qui puise tout son savoir dans un livre magique unique absurde et incompréhensible, alors que le reste du monde trouve la connaissance dans des centaines de millions de livres…

    https://www.dreuz.info/2019/07/05/frere-rachid-exhume-les-piliers-caches-de-lislam/?fbclid=IwAR2P7jR2PIHlA-D09utlAR0fnFXfLzTOUB2_smq43tgyuboAQ_TNRlQAVR0

    Des parents incultes et sans éducation ne peuvent pas transmettre à leurs enfants une bonne instruction et une bonne éducation qu’ils ne possèdent pas.

    Et l’influence et la proximité de ces communautés marginales et violentes est extrêmement dommageable pour nos enfants qui en retirent surtout le langage abscons et les comportements de voyous. https://www.youtube.com/watch?v=30h5-vnMGI4&feature=youtu.be

    Le manque d’éducation de ces années perdues se retrouve aujourd’hui dans ceux qui sont aux commandes de nos entreprises, de notre industrie et du gouvernement de la France et d’autres pays d’Europe.

    L’éducation c’est savoir vivre, se comporter, communiquer et s’exprimer en société, faire les meilleurs choix, étudier, travailler, avoir le goût de l’effort et de la réussite, des valeurs morales comme le respect, la politesse, l’honnêteté, l’honneur, la dignité, l’engagement, la parole donnée, l’empathie, la générosité, le partage.

    Mais aussi des valeurs civiques diverses, patriotisme, amour de l’armée, service de la nation.

    On en est même arrivé à l’absurdité que le patriotisme soit devenu un délit. On a même vu, au cours de journées des Gilets jaunes, des flics verbaliser (65 euros) des personnes pour le seul fait de porter un drapeau français. La gauche est à l’origine de ce dévoiement des valeurs nationales, car la gauche est l’ennemie de la patrie. Et Macron est au service de la gauche et de l’islam, contre le peuple français…

    https://ripostelaique.com/la-gestapo-de-macron-a-verbalise-des-gj-pour-drapeau-francais.html

    Aujourd’hui, à chaque élection, le patriotisme, qui est pourtant la plus grande des qualités citoyennes, devient un délit.

    C’est une manière de salir le parti du Rassemblement National et d’en éloigner ceux qui auraient des velléités de patriotisme…

    Enfin, il ne faut pas heurter la sensibilité à fleur de peau de ces gentils migrants musulmans, arabes ou africains, chéris du pouvoir et vos futurs voleurs, violeurs et égorgeurs…

    https://reveil-francais.fr/2016/02/le-patriotisme-est-il-devenu-un-delit

    Mais il est vrai aussi que ce qui emmerde le pouvoir c’est que le seul parti politique qui s’affirme et se montre patriote soit le Rassemblement National honni des autres formations politiques.

    Du coup, le pouvoir oscille stupidement entre glorification et diabolisation du patriotisme…

    https://www.nhu.bzh/non-patriotisme-drapeaux-classes

    Lire la suite prochainement dans:

    "Comprendre pourquoi la France que nous connaissons va disparaître (2)".

    Laurent Droit

    https://ripostelaique.com/comprendre-pourquoi-la-france-que-nous-connaissons-va-disparaitre-1.html

     actualité,société,politique,occitanie

     

     

  • La fameuse religion de paix et d'amour!

    Nigeria: Plus de 300 garçons torturés et violés dans une école coranique

    La police de Kaduna, dans le nord du Nigeria, a découvert et secouru plus de 300 garçons de "nationalités différentes", dont des mineurs, victimes de torture et de viols dans un centre d’enseignement islamique, a déclaré vendredi à l’AFP un porte-parole de la police.

    Un raid mené jeudi soir dans une maison du quartier Rigasa a conduit à la découverte des élèves et étudiants vivant dans " des conditions inhumaines et dégradantes sous couvert de leur apprendre le Coran et de les redresser ", a expliqué le porte-parole de la police de l’Etat de Kaduna, Yakubu Sabo.

    Le propriétaire de l’établissement et ses six assistants ont été arrêtés, a-t-il précisé.

    "Nous avons trouvé une centaine d’étudiants, dont des enfants de neuf ans à peine, enchaînés dans une petite pièce, dans le but de les corriger et de les responsabiliser", a déclaré M. Sabo, précisant que beaucoup d’entre eux portaient des cicatrices sur le dos.

    " Les victimes ont été maltraitées. Certaines d’entre elles ont déclaré avoir été violées par leurs professeurs", a déclaré Sabo.

    La police a également trouvé une "chambre de torture", où des élèves étaient suspendus à des chaînes et battus lorsque les enseignants estimaient qu’ils avaient commis une faute.

     

    […]

     

    Atlantico.fr / 20min.ch

  • Hélas!

    "Depuis 2000, le QI commence à descendre! La génération à venir est la première qui aura un QI moyen inférieur à celui de la précédente! " Michel Desmurget

    Michel Desmurget est docteur en neurosciences et auteur du livre  La Fabrique du crétin digital".

     

        #GrandOral : " Depuis 2000, le QI commence à descendre! La génération à venir est la première qui aura un QI moyen inférieur à celui de la précédente! " Michel Desmurget #LaFabriqueDuCrétinDigital #GGRMC pic.twitter.com/eSavS0AADL

     

        — Les Grandes Gueules (@GG_RMC) 26 septembre 2019

  • Enfants barbares

    ... et macrouille qui les fait massivement revenir en France!!!!!

     

    Syrie : Depuis leur camp de prisonniers, les enfants de l’Etat islamique scandent qu’ils vont "écraser la tête des non-croyants"

    Quelques centaines de soldats américains gardent le camp d’Al-Hol, où les lois strictes de l’Etat islamique sont appliquées. Ce camp de réfugiés tentaculaire dans le nord-est de la Syrie est défini comme étant un terrain fertile pour l’Etat islamique et une bombe à retardement.

    Les gardes prétendent que l’Etat islamique dirige l’intérieur du camp et qu’ils ne font que garder la clôture. Dix mille étrangers y vivent. Ce sont les épouses et les enfants d’hommes accusés d’être  des combattants de l’Etat islamique. Les hommes sont pour la plupart morts ou en prison.

    CBS News s’est rendu à l’intérieur du camp. Sa journaliste a rencontré des femmes qui refusaient de dire d’où elles venaient, mais dont l’accent était britannique. Elles ont légitimé les attaques terroristes de l’Etat islamique en Europe et aux États-Unis.

    (Vidéo également visible ici)

    "C’est l’idéologie de l’Etat islamique, œil pour œil, dent pour dent.", a déclaré une femme.

    Lorsqu’il y a de la violence ici – et il y a apparemment eu plusieurs meurtres – il est presque impossible de trouver les coupables, car toutes les femmes sont recouvertes .

    Dans une vidéo de propagande de l’Etat islamique, des femmes envoient un message depuis le camp. L’une d’elles déclare « Nous sommes des bombes à retardement, attendez et vous verrez. » Dans une autre vidéo, de jeunes garçons scandent qu’ils vont écraser la tête des non-croyants.

    Là-bas, il n’y a pas de véritables écoles, mais un garde a déclaré que le camp tout entier est en fait une académie de l’Etat islamique.

    […]

    Cbsnews.com

     

    Rappels :

    Neuf enfants de jihadistes, dont des petits-neveux et petites-nièces des frères Clain, viennent d’atterrir en France

    Des familles françaises de djihadistes retenus en Syrie portent plainte contre Le Drian

    Syrie : Un drapeau de l’Etat Islamique hissé dans un camp de prisonniers pour femmes et enfants jihadistes

    L’Allemagne admet avoir « totalement » perdu la trace de 160 djihadistes revenus de Syrie

    L’ONU exige que les pays occidentaux rapatrient les femmes et les enfants des djihadistes

    Pour la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, « les États ont le devoir de respecter les droits des islamistes, de leurs femmes et de leurs enfants »

     

  • La ville où il fait bon vivre en France

    me suis arrêtée sur l’aire d’Ambrussum : voilà ce que j’ai vu…

    Au tout début septembre, en fin d’après-midi, je me suis arrêtée, lors d’un déplacement, sur l’aire d’autoroute d’Ambrussum, près de Montpellier.

    C’est une aire qui est située près de la voie romaine Domitia, conduisant de Rome à Cadix, à côté du site gallo-romain d’Ambrussum, fréquenté nous dit-on sur Google qui n’a pas dû le faire exprès "depuis plus de 2 500 ans par nos ancêtres gallo-romains". Si nos immigrationnistes lisent cela, ils vont en faire une attaque. Il n’y a pas de plus belle preuve du Grand Remplacement!

     

    https://www.sitesdexception.fr/sites/site-archeologique-et-musee-dambrussum/

     

    (Voie Domitia à Ambrussum)

    Ambrussum est tout près de Lunel, ville tristement célèbre pour ses mosquées, ses imams ne parlant pas français, ses djihadistes morts en Syrie… 15 jeunes sont partis faire le djihad, huit en sont morts. Cinq hommes ont été condamnés.

     

    https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2016/01/27/les-enfants-perdus-de-lunel_4854729_1653578.html

     

    Un des islamistes de Lunel a déclaré: "Lunel, c’est la ville de France la mieux représentée au sein de l’[organisation] État islamique (EI)!".

    Que penser de l’aire d’Ambrussum?… Est-elle aussi représentative que Lunel?… En tous cas, elle est bien glauque.

    Dès l’arrivée sur l’aire, de grosses voitures ou camionnettes croulant sous des monceaux de bagages enveloppés sous des bâches nous ont alertés : qui peut donc à ce point enfouir sa voiture, au mépris de la législation et du moteur, sous des couches et des couches d’objets non identifiés?…

    On se serait cru, sur l’aire d’Ambrussum, dans un autre pays que la France. Où étaient passés les Gaulois, à part moi-même?…

    Des hordes exclusivement masculines de Maghrébins suivies de hordes masculines d’Africains faisaient des chassés-croisés impressionnants, balayant l’espace à gauche et puis à droite comme autant de vagues houleuses. À quel nouveau jeu jouaient-ils? Où étaient leurs voilées? Cachées à l’intérieur des boutiques, ou restées à la maison?

    D’autres, guettant on ne sait quoi, tenaient les murs à l’intérieur, les arbres à l’extérieur. Ils pouvaient aussi bien guetter les véhicules stationnés pour se servir en carburant. En mars dernier, deux hommes ont été interpellés sur l’aire d’Ambrussum en train de siphonner du carburant.

    En cette période de reprise de toutes les activités, à se demander si ces gens-là avaient un emploi quelque part, à part peut-être le deal et la chasse aux allocs… Les lycées n’avaient-ils pas repris leurs activités? Tous ces " djeunes " auraient dû être occupés avec leurs exercices de maths, ou une activité salariée.

    Il est vrai que Lunel est aussi une sorte de capitale de la drogue : en février on y a brûlé trois tonnes de drogue représentant 22 millions d’euros.

     

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/lunel/lunel-33-tonnes-drogue-partent-fumee-1627009.html

     

    Tout cela est bien sûr lié et fait beaucoup pour une petite ville de 25 000 habitants.

    Je suis allée aux toilettes, lieux qui décrivent infailliblement les aires… Celles-ci étaient bondées d’ethnies ayant été à tous les coups victimes du colonialisme honni. Ne voulant pas en rajouter, j’ai cherché d’autres lieux moins fréquentés. À l’entrée de l’un d’eux se tenait une femme sortie tout droit de " Tintin en Roumanie ". Fichu, larges jupes. J’ai cru un instant qu’elle allait me proposer une lecture des lignes de la main, mais non.

    À l’intérieur, sa fille qui s’arrosait copieusement les cheveux a arrosé aussi alentour, sans un mot d’excuses. L’éducation se perd vraiment…

    En voulant traverser derrière des voitures garées, l’une d’elle a démarré subitement, plus j’avançais pour l’éviter plus elle semblait me viser. Au volant, un individu très " bronzé ", hybride – pardon, on dit transgenre maintenant – à tête d’homme mais longs cheveux coiffés et longs pendant d’oreilles, qui m’a dévisagée sournoisement en biais tout en faisant semblant de ne pas me voir et en continuant à reculer consciencieusement sur moi.

    Je lui ai bien sûr fait une remarque qu’il ou elle n’a pas semblé comprendre.

    Au retour vers la voiture, il fallait savamment zigzaguer entre des humanoïdes que je n’aurais pas voulu rencontrer le soir seule au coin d’un bois. À quels trafics se livraient-ils?

    Ayant échappé de justesse à l’écrasement, et certainement à toutes sortes d’autres embûches, j’ai trouvé que cela suffisait et nous sommes repartis.

    Et encore, je n’avais pas, par ma seule présence, interrompu une prière musulmane, ni entendu en forme de représailles un énorme Allahu akbar, comme une autre fois sur une autre aire…

    Le soir, le journal nous apprenait que, deux jours avant, dans les toilettes de l’aire d’Ambrussum, on avait trouvé un bébé nouveau-né.

     

    https://www.midilibre.fr/2019/09/01/a9-un-nouveau-ne-retrouve-abandonne-dans-les-toilettes-de-laire-dambrussum,8387939.php

     

    Nul doute que de nombreux "nouveaux-venus" avaient assisté la maman dans ces lieux si poétiques. Grâce à leur charisme et leur science, ils l’avaient remise sur pieds instantanément et après cet événement radieux, elle avait été capable de partir à pied.

    Quelle santé!… Alors que nos grands-mères devaient passer 21 jours alitées après une naissance!… Mais on l’avait rattrapée.

    La maman avait jeté son bébé dans la cuvette, se méprenant sans doute sur son usage. Elle était sans papiers et ne parlait pas un mot de français: elle était bien à l’image des "clients" de l’aire…

    On peut se demander si on a vraiment gagné en civilisation avec de telles peuplades primitives qui nous hantent, nous poursuivent et nous cernent de toutes parts, y compris sur les aires d’autoroutes. En tout cas elles nous remplacent, c’est certain.

    La voie Domitia a servi autrefois à nous apporter la culture romaine. Aujourd’hui elle sert à faire venir ceux qui veulent détruire notre civilisation.

    Sophie Durand

    https://ripostelaique.com/je-me-suis-arretee-sur-laire-dambrussum-voila-ce-que-jai-vu.html