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Education - Page 19

  • Aussi débiles que les Français, les juges allemands...

    (sans capitale au mot mot allemand, trop c.o.n.s pour leur faire révérence)

    Allemagne: 3 ans de prison pour avoir tué 2 ados en les jetant sur les rails alors qu’un train arrivait. La justice a estimé qu’il n’y avait pas intention de tuer

    Allemagne – Deux jeunes de 17 ans se sont affrontés avec trois autres adolescents à la station S-Bahn (RER) de Frankenstadion à Nuremberg.

    Deux adolescents, Luca Ballmann et Frederik Wilke, ont été jetés sur les rails et sont morts écrasés par un train. Mais les juges n’ont vu aucune intention de tuer.

    La chambre des mineurs du tribunal régional de Nuremberg-Fürth a estimé que les actes des deux accusés âgés de 17 ans se limitent à des lésions corporelles ayant entraîné la mort. L’un des mineurs devra passer trois ans et demi en prison, le second trois ans et trois mois.

    Les deux accusés ont poussé trois adolescents de 16 ans sur les rails lors d’une altercation physique sur le quai d’une station S-Bahn. Alors qu’un adolescent a réussi à se sauver en sautant au dernier moment, les deux autres garçons ont été tués par le train qui arrivait.

    Le tribunal pour enfants n’a pas donné suite à la demande de poursuite pour meurtre. Les expertises n’ont pas démontré que les agresseurs avaient remarqué que le train arrivait en gare. Par conséquent, il n’y avait pas intention de tuer.

     (…) Un élément de preuve a été présenté : l’enregistrement audio d’un témoin, sur lequel on peut entendre un signal d’avertissement clair de l’arrivée d’un train en gare. Les familles des victimes estiment qu’au moins un des deux accusés aurait dû remarquer le train. Toutefois, la Chambre n’a pas suivi cette évaluation.

     (…) Welt.de / (…) Suddeutsche Zeitung

     (…) Les deux jeunes coupables s’appellent Mehmet K. et Kirian D.

     (…) Infranken.de

     

  • Bonne année 2020. Vive la France!

     

    Texte à lire en entier en cliquant sur l'URL fin de page

    Chacun doit faire de son mieux, à sa place, avec ses qualités, et ses capacités! Je trace mon sillon en vous écrivant avec mes  modestes moyens. J’espère seulement que vous, de votre côté, durant cette année 2020, vous garderez la flamme et la transmettrez à vos proches!

    L’esprit français n’est pas fait pour la médiocrité! Il peut s’en contenter un peu, quelques temps, à petite dose, à travers ses maires, ses députés, mais il réalise très vite, en général, lorsque cette médiocrité devient véritablement étouffante!

    Nous vivons cette médiocrité depuis trop longtemps, et j’espère qu’enfin, lors des municipales, l’esprit français enverra un message clair, un message sans appel.  Un appel qui peut se résumer en quelques mots : soyez fier de votre pays, de son drapeau, de sa culture, de son histoire, de sa générosité, de l’envie de vivre comme bon lui semble, avec ses us et coutumes!

    Sinon, Messieurs les dirigeants, partez et laissez la place pacifiquement à des femmes et des hommes pour qui la France est, et reste une belle nation!

    Partez avant que les Français ne fassent ce que j’ai peur qu’ils fassent un jour, une révolution qui ne fera de cadeaux à personne!

    Bonne année 2020 à tous.

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com

  • Notre terre de France

    Manifeste d’un Français de souche

    Qu’est-ce qu’un Français de souche? Ce vocable devenu populaire a pour fonction de permettre le distinguo linguistique entre les Français de sang (ou Français autochtones) et les détenteurs de la nationalité française qui ne sont pas français par le sang. Un Français de souche est une personne qui, de par son ascendance, ne peut s’identifier qu’à la France ; il est à la France ce qu’un aborigène australien est à l’Australie. Un Français de souche est d’origine française comme Vladimir Poutine est d’origine russe, ou comme Xi Jinping est d’origine chinoise.

    Sans considération pour sa dose de sang celte/romaine/franque, qu’il ne peut de toute façon pas connaître, le Français de souche va naturellement s’identifier à l’histoire du territoire de ce qui est aujourd’hui la France. La guerre des Gaules, la Révolution, les tranchées de la Première Guerre mondiale font naturellement partie de son identité, car le territoire de la France est celui de ses ancêtres, aussi loin que puisse remonter la mémoire des hommes.

    "Où voulez-vous en venir?" me direz-vous. La France a ses autochtones, et alors?

    Et bien on peut observer qu’à la différence de nombreux autres pays, la France se caractérise par un phénomène susceptible d’interpeller: un puissant courant de pensée cherche à persuader les Français autochtones qu’ils n’existent pas. Certains voudraient que les autochtones français ne possèdent pas ce lien, naturel, qui lie un individu à la terre de ses ancêtres. L’un des objectifs de la manœuvre étant bien évidemment de faire passer la pilule de l’immigration de masse sans que le peuple autochtone ne se révolte contre elle.

    Qui donc promeut cette ablation du sentiment d’appartenance ethnique chez les autochtones français? Donnons quelques exemples d’entités au sein desquelles cette volonté de promotion est observée.

    Les partis de pouvoir de la classe politique: "il n’y a pas de Français de souche" déclarait Éric Besson, alors ministre de Nicolas Sarkozy. (abruti)

    https://youtu.be/2g9JXi_KG-o

     

    La Justice: lorsque Houria Bouteldja est assigné en justice pour "chef d’injure publique envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée" suite au discours suivant:

    "et moi, j’ai envie de dire: c’est le reste de la société qu’il faut éduquer, […] c’est le reste de la société occidentale, enfin de ce qu’on appelle, nous, les Souchiens — parce qu’il faut bien leur donner un nom —, les Blancs, à qui il faut inculquer l’histoire de l’esclavage, de la colonisation…". (conn..sse)

    La Cour de cassation va d’une part parler des "Français" dits "de souche", et va aller jusqu’à déclarer que

    https://www.legifrance.gouv.fr

    "la catégorisation des "Souchiens , en la rapprochant d’une entité ethnique ou raciale dite "les Blancs", qu’il est d’usage de nommer en ethnologie les "Caucasiens" sans choquer quiconque, tend à confirmer la motivation ethnologique et non animalière reprochée à la prévenue; qu’enfin, il est constant que le néologisme "souchien" est d’usage courant dans la classe politique; que les pièces vidéo versées au dossier confirment que des politiciens de toutes tendances l’emploient sans que cela ne suscite l’émotion de ceux qui seraient censés se sentir concernés ou offensés par ce terme"; qu’en conséquence, la cour, constatant que rien à la procédure ne permet d’affirmer que le terme devait être entendu en deux mots "sous-chiens", ne faisant pas siens les motifs développés par le tribunal". (Traitres! vendus! menteurs! lâches!)

    Ainsi le terme "souchien" ne serait pas un terme péjoratif à rapprocher de "sous-chiens" et de plus il serait "d’usage courant dans la classe politique" (!).

    On fait tellement peu de cas des Souchiens que même lorsqu’ils sont victimes d’injures raciales, nos plus hautes juridictions trouvent des justifications pour dédouaner les auteurs.

    La presse de gauchiasse: "souchiens" n’est pas une injure anti-Blancs" titre par exemple le Huffington Post (crétins de gauchiasse)

    https://www.huffingtonpost.fr

    (Traitres! vendus!)

    "Le Français de souche n’existe pas" titre le point

    https://www.lepoint.fr

    (Traitres! vendus!)

    La société civile: le droit aux Français autochtones de se considérer comme tels va non seulement être nié par une partie de la société civile qui n’est elle-même pas autochtone, mais aussi par une partie des Français autochtones eux-mêmes; j’en ai moi-même fait l’expérience plus d’une fois…

    Toute ma vie il me fut répété que la colonisation était un symbole de mal, et que les Français n’avaient rien à faire en Algérie, au Sénégal ou au Vietnam, car les Algériens, Sénégalais avaient le droit d’avoir leur pays (étrangement, il est dans ce contexte sous-entendu Français, Algériens, Sénégalais, Vietnamiens de souche, et cela ne dérange personne). Soit, je suis d’accord avec cela. Mais je suis aussi logique: dans ce cas, les Français de souche ont le droit, eux aussi, d’avoir un pays. Ils ont le droit d’avoir un territoire où ils se sentent chez eux et peuvent développer librement leur culture.

    La France n’est la France que parce que sa population autochtone est ce qu’elle est. Faites venir en masse des populations d’autres pays, et la France deviendra un autre pays. Exemple que personne ne pourra nier: il n’y avait pas d’attentats islamistes en France avant l’arrivée massive de population musulmane; ce type d’attentat fait désormais partie de notre quotidien.

    "Ethnomasochisme" est le mot qui vient à l’esprit pour désigner le rapport de certains autochtones français à leurs origines, et le mot "ethnocide" est celui qui tend à désigner leur situation.

    Quelle solution pour ceux qui veulent survivre, sauvegarder leur identité et la léguer à leur descendance? J’ai personnellement proposé une réforme du code de la nationalité dans l’article suivant:

    https://ripostelaique.com

    Joseph Bremond

    Appendice

    Quelques réponses à remarques souvent entendues:

    "La France n’est elle-même ethniquement homogène entre Basques, Bretons, Picards, etc."

    Oui, moi, je me dis Toulousaine et Occitane et alors???? qui je dérange?

    Les Basques, Bretons, Picards sont des autochtones du territoire qui est aujourd’hui celui de la France. Tous ceux dont les terres ancestrales se trouvent dans ce pays sont aujourd’hui dans le même bateau.

    "Une personne dont l’un des deux parents est un Français de souche et pas l’autre est-elle française de souche?".

    Cette personne est à moitié française de souche, comme l’on peut être à moitié aborigène. Étant liée à la France de manière millénaire par sa moitié française, elle appartient pour moi au peuple français. Comme moi, franco espagnole de 3e génération! Non mais, un jour quelqu'un m'a dit, parce que je défendais notre pays: "et bien, vous êtes patriote, vous, alors!" d'un air méprisant car elle était franco-autrichienne... si elle se sent pas bien ici, qu'est-ce qu'elle fait pour partir là-bas et exiger de ne plus être née en France!!!???

    "Mon grand-père italien était parfaitement intégré et avait tout d’un Français de souche“.

    Un des mythes associés à celui de l’inexistence des autochtones français est celui selon lequel il serait possible de fabriquer des Français. Ce mythe a nourri l’éducation donnée aux autochtones des anciennes colonies (à qui l’on enseignait que leurs ancêtres étaient les Gaulois) et le résultat fut un échec retentissant qui se solda par les demandes d’indépendance (parfois ponctuées de guerres aussi stupides qu’inutiles) des pays concernées, qui rejetèrent ainsi leur l’idée de devenir français.

    L’erreur cruciale faite par nos dirigeants, erreur qui peut-être condamna la France, a été de continuer à croire en ce mythe et à reproduire la politique coloniale sur le sol national: la situation actuelle, dont par exemple les attentats islamistes, en marque là aussi l’échec.

    Le lien psychologique qui lie une personne à la terre de ses ancêtres ne se fabrique pas, c’est ainsi. On pourra arguer que les populations d’autres pays européens peuvent se fondre plus facilement dans la population française. Mon expérience m’indique que l’immigration européenne n’est pas plus souhaitable qu’une autre. " Mon grand-père était italien et parfaitement intégré, d’ailleurs j’ai un pote sénégalais… " ai-je déjà entendu. Alors, là, quel c.o.n!

    "Les habitants de l’Outre-mer sont-ils des Français de souche?".

    Les territoires d’outre-mer ne sont pas français par la géographie, et pour la plupart d’entre eux ne le sont pas non plus ni par l’ethnicité de leur population majoritaire, ni par la culture de cette population. Une analyse des résultats du référendum pour l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie de 2018

    http://www.nouvelle-caledonie.gouv.fr/

    montre qu’une majorité écrasante (presque 100 %) des Kanaks qui ont voté ont choisi l’indépendance. Ils ne se considèrent pas comme français (et c’est tout à leur dignité) car ils ne le sont tout simplement pas. Ben oui!

    https://ripostelaique.com/reflexions-sur-les-francais-de-souche.html

     

  • Athée, je défends la crèche pour tous

    De récents actes de vandalisme contre des crèches et des crèches vivantes suscitent l’indignation des catholiques et autres chrétiens, mais aussi d’athées et agnostiques.

    C’est l’occasion de rappeler que le vandalisme et la destruction ne montrent que l’incapacité de leurs auteurs: on ne détruit, en guise de moyen d’agir, que lorsque l’on est incapable de construire.

    Mais pourquoi un athée voudrait-il protéger la manifestation d’une religion?

    Force est de constater que Noël est fêté aussi par des non-chrétiens, parce que cette fête est celle de valeurs communes à tous, amour, famille, fraternité, et aussi parce qu’elle est la survivance de festivités antérieures au christianisme.

    Avant la christianisation de l’Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l’empereur romain Aurélien en 274, c’était aussi la naissance de la divinité solaire Mithra, (le culte de Mithra est apparu probablement pendant le IIe siècle av. J.-C. en Perse. Durant les siècles suivants il s’est propagé dans tout l’Empire romain et a atteint son apogée durant le IIIe siècle. Ce culte était particulièrement implanté chez les soldats romains), et on fêtait le solstice d’hiver parce qu’il annonce le début de l’allongement des jours, le retour de la lumière, chez les Celtes et les Scandinaves des siècles avant que Jésus ne devienne la Lumière du monde.

    Le meilleur de la civilisation occidentale, respect de la vie humaine, fraternité, égalité des droits, démocratie, liberté de pensée… vient des principes moraux juifs et chrétiens :

    Il n’est pas nécessaire d’être croyant pour aimer et vouloir protéger l’héritage moral, spirituel, historique, artistique, architectural, musical, et traditionnel du christianisme.

    De même que Valéry Giscard d’Estaing a dit que la gauche n’a pas le monopole du cœur, l’Église n’a pas non plus le monopole de l’amour.

    Loin de vouloir offenser les chrétiens, et encore moins de demander de transformer le christianisme en auberge espagnole, l’adhésion d’athées à ce que représente la crèche est justement la reconnaissance de l’apport inestimable du christianisme à notre civilisation.

    Ce serait un comble si des athées devaient défendre le christianisme sans les chrétiens et même contre.

    L’abandon de la religion catholique ne signifie pas celui de la philosophie et de la morale chrétiennes.

    La naissance de Jésus ne s’est peut-être pas déroulée exactement comme dans la tradition chrétienne, mais les légendes ont toujours un fond de vérité. La crèche raconte la merveilleuse histoire de la naissance d’un petit enfant venu apporter l’amour, l’espoir, la bonté, la fraternité.

    Le tableau « Le nouveau-né » peint par Georges de la Tour vers 1648 illustre parfaitement ce que le christianisme a apporté à l’humanité indépendamment de la foi, respectable comme l’athéisme, et toute liberté de pensée.

    La magie du clair-obscur y révèle l’essentiel. Il y a très peu de lumière et elle éclaire le petit Jésus qui vient de naître. Ce bébé divin, sacré, dort la bouche ouverte, dans les bras de sa mère, et son nez et sa tempe brillent : comme tous les bébés, il transpire, ce n’est pas un être parfait non soumis aux faiblesses et imperfections humaines, il est à la fois dieu et homme.

    Le nouveau-né est l’être humain le plus fragile, le plus vulnérable, et parce qu’avec Jésus, Dieu s’est fait homme, il y a dans tout humain l’étincelle divine, ou la spécificité de la vie humaine qui la sacralise et oblige à la respecter, et à respecter et préserver sa dignité.

    Les humains vivent en groupes, sans griffes et sans crocs, c’est leur complémentarité qui leur a permis de survivre, les plus forts ne pouvant se passer de l’habileté et de l’ingéniosité des autres. C’est bien ce que représente la crèche provençale en plaçant Jésus dans un village modeste et en illustrant tous les métiers et habitants, y compris le "ravi".

    Comment nier la filiation de notre devise Liberté-Égalité-Fraternité avec la nouveauté du christianisme : amour, pardon, universalité, libre arbitre? Comment oublier que c’est par Jésus (« il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. ») que nous bénéficions de la séparation de la religion et de l’État, grâce à laquelle l’Occident a progressé dans tous les domaines?

    Que Jésus soit divin ou pas, la crèche représente avant tout un couple et un bébé, l’amour et la filiation, le devoir de fraternité et de protéger et éduquer les enfants ; les chrétiens auraient bien tort de rejeter son appropriation par des non-chrétiens puisque le Noël chrétien s’est greffé sur d’autres traditions et décore ses églises de branches de sapin, l’arbre qui conserve sa verdure en hiver. Rejeter la crèche c’est faire preuve d’un anti-christianisme primaire et aveugle, refuser la crèche laïque, culturelle et festive, c’est refuser de reconnaître ce qui unit les hommes de bonne volonté.

    Tout le monde peut entrer à Rome mais pas à la Mecque ; contrairement au christianisme, l’islam ne reconnaît pas la même dignité aux deux sexes, ni les mêmes droits aux musulmans et aux non-musulmans, en témoignent l’inégalité des droits des hommes et des femmes dans la charia et le statut humiliant des dhimmis, sous-citoyens tenus de payer la taxe "jizya" aux musulmans en échange de "protection" (contre quoi à part les musulmans?). C’est que la notion d’humanité n’est pas la même dans les deux idéologies. Le non-musulman ou l’apostat doit être humilié, converti ou massacré. Seul le musulman est « humain » : donc si l’on peut le devenir en se convertissant à l’islam et perdre son humanité en le quittant, qu’en est-il de cette notion d’humanité?

    La fraternité, la tolérance, ne peuvent se passer de la réciprocité: "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse", ou "traite les autres comme tu voudrais être traité". Pourquoi peut-on construire des mosquées en Europe alors que l’on ne peut pas bâtir des églises en terre d’islam? Refuse-t-on aux musulmans les mêmes droits qu’aux autres citoyens en France?

    L’islam ne s’est imposé presque toujours que par la force : une idéologie n’est bonne et ne se répand comme telle que par ses résultats…

    La crèche représente l’amour, la famille, la sacralité de l’humain, sa dignité, la fraternité et l’égalité entre tous les hommes et femmes, le respect de la vie, l’avènement du règne de la Lumière, celle de Dieu ou celle de l’esprit, l’espoir d’un monde meilleur, terrestre ou non : ces valeurs ne sont pas réservées aux croyants.

    Saccager une crèche n’est que la démonstration de la sauvagerie, de la barbarie, de l’intolérance, du refus des racines et de l’Histoire, c’est tout bonnement un acte fasciste contre la liberté de penser et de croire ou pas… Perpétré à Toulouse contre des enfants par des antifascistes auto-proclamés !

    Il n’est pas acceptable de refuser la préservation des traditions qui nous rappellent nos origines et notre devoir moral.

    JOYEUX NOËL !

    Alix Forrest

    https://ripostelaique.com

     

  • Colonialisme: Macron alimente la haine des Africains contre les Français

    En Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron vient encore de cracher sur la France en criminalisant la colonisation, trahissant une fois de plus la mémoire de nos ancêtres, qui ont fait rayonner notre pays et accompli la plus belle œuvre civilisatrice de tous les temps.

    Ce qu’il vient de dire aux Africains est une ignominie. Macron n’aime pas la France et ne cesse de le répéter d’année en année.

    Il travestit l’Histoire et distille la haine dans le cœur de nos immigrés, comme si la société française, au bord de l’embrasement, avait besoin que le Président de « tous les Français », fasse encore l’éternel procès de l’homme blanc et  lui seul.

    Macron, qui vient de prouver à nouveau qu’il ignore l’Histoire de France, tient un discours irresponsable, un discours qui interdit toute chance d’intégration des minorités.

    En Algérie, à l’Onu et aujourd’hui à Abidjan, il a toujours craché sur notre pays. Pourquoi les immigrés aimeraient une France de salauds, puisque c’est son Président lui-même qui la dénigre?

    Ceux qui se prétendent rassembleurs, reprochant au RN et aux populistes de tenir un discours qui divise, sont les mêmes qui alimentent  chez les immigrés la haine de la France et du peuple français de souche. Et on s’étonne que l’intégration échoue, que les jeunes musulmans rejettent les lois de la République et crachent sur l’Histoire de France ! Macron désintègre la nation.

    Est-ce une volonté délibérée de détruire les nations européennes, en vue de bâtir le grand village mondial supranational dont rêvent les mondialistes ? Le fait est que Macron tient un discours criminel. Il fait tout pour conduire la France au chaos racial et fait le jeu des islamistes qui veulent imposer leur loi.

    http://www.fdesouche.com

    Assez de repentance et de mea-culpa. Assez de ce procès mensonger de l’homme blanc, coupable de tous les maux jusqu’à la fin des temps.

    La vérité est que la France a fait faire un bond en avant de 1 000 ans à tout un continent, resté jusque-là hermétique au progrès. Car ce que nous avons trouvé en arrivant en Afrique, c’était la barbarie.

    Esclavage, guerres tribales, famines, épidémies, cannibalisme et sacrifices humains dans certaines contrées. Tous ces fléaux, nous les avons éradiqués.

    https://www.persee.fr/doc

    Fallait-il laisser l’Afrique à ses démons pendant que le train du progrès accélérait ? Fallait-il abandonner tout un continent pendant que la civilisation occidentale avançait à pas de géant?

    Où en serait l’Afrique, si les Occidentaux avaient laissé ce continent à son triste sort? Ceux qui nous reprochent  la colonisation ne répondent jamais à cette question majeure.

    Non, la colonisation ne fut pas une suite de massacres et de génocides. La France n’a jamais exterminé les peuples colonisés, comme le furent les Indiens d’Amérique, les Aborigènes d’Australie ou les Maoris de Nouvelle-Zélande. Si nul ne conteste les violences qui accompagnent toutes les guerres et les conquêtes, c’est l’œuvre civilisatrice admirable qui domine et qui mérite d’être soulignée.

    L’épopée coloniale fut une grande page d’Histoire dont la France n’a pas à rougir. Et quand la dictature du politiquement correct aura vécu, avec tous ses mensonges et sa haine de la France, alors viendra le temps de la vérité que rétabliront les vrais historiens en toute impartialité.

    Certes, la France s’est adonnée à la pratique de l’esclavage, mais elle s’est honorée, et elle seule, en reconnaissant en 2001 que la traite atlantique fut un crime contre l’humanité.

    Et rappelons que ceux qui font le procès des seuls Européens oublient que la traite inter-africaine (Nde la R. c'est-à-dire que les villages s'attaquaient entre eux et esclavagisaient les perdants!) et la traite arabo-islamique ont fait chacune autant de victimes que la traite atlantique.

    Mais les ayatollahs du politiquement correct se gardent bien d’évoquer l’esclavage du XXIe siècle, qui perdure en Afrique et dans les pays du Golfe. Comme chacun sait, c’est l’homme blanc qui a le monopole du mal.

    Non la France n’a pas à rougir de son œuvre civilisatrice. Elle est admirable.

    Explorateurs, militaires, administrateurs, colons, enseignants, missionnaires et bâtisseurs ont fait émerger du néant des villes, des ports, des routes, des écoles, des hôpitaux, des usines, développant l’enseignement, la médecine et l’agriculture, dans des pays figés depuis des millénaires. Nul ne peut nier l’immense tâche accomplie au cours de l’expansion coloniale, encouragée par Jules Ferry et Jean Jaurès.

    Quant au pillage des colonies, c’est une légende tenace, un mensonge des mondialistes, qui ne résiste pas à la réalité des chiffres. La France n’a jamais colonisé un pays riche comme l’Afrique du Sud ou le Congo ex-belge, aux richesses minières colossales. Toutes les études sérieuses le prouvent. La colonisation a profité avant tout aux peuples colonisés.

    Comme je l’ai souvent écrit, en 1960, l’Afrique avait un niveau de vie supérieur à toute l’Asie, hors Japon. Mais 60 ans plus tard, ce continent cumule tous les handicaps et rassemble la quasi-totalité des pays les plus pauvres de la planète, alors que l’Asie est devenue 30 fois plus riche!

    C’est d’ailleurs cet échec de l’Afrique indépendante qui entretient ce sentiment de haine envers la France. Un énorme complexe d’infériorité chez des populations incapables de monter dans le train du progrès, 60 ans après la fin de la colonisation. L’Afrique fait porter la responsabilité de ses échecs à l’ancien colonisateur. Et cela dure depuis deux générations!

    Un complexe qu’on ne retrouve pas chez les Vietnamiens, qui ont pourtant connu la colonisation et 30 années de guerre jusqu’en 1975. Mais intelligents et travailleurs, ils regardent le futur au lieu de pleurnicher sur leur passé. Il est vrai que le confucianisme fait des merveilles…

    Guerres, tribalisme, corruption généralisée et absence totale de sens de l’État chez les dirigeants africains ont  eu raison de l’héritage colonial, un trésor inestimable entièrement dilapidé. Selon l’ONG Oxfam, les guerres africaines ont englouti  la totalité des aides au développement.

    Pendant quelques décennies, la France a rayonné sur un territoire de 13 millions de kilomètres carrés, faisant rêver des millions de jeunes Français en mal d’aventures exotiques. De Dakar à Nouméa, de Hanoï à Djibouti, de Cayenne à Tananarive, l’empire, qui connut son apogée en 1930, s’étendait sur toutes les mers et les continents.

    De cette époque, il ne reste que quelques possessions outre mer, vestiges de cette grande épopée, qui fut, pour des millions d’hommes et de femmes, le plus grand fait de l’Histoire.

    Et ce ne sont ni Macron, ni les pleureuses tiers-mondistes, qui, par leurs mea-culpa et leurs mensonges permanents, changeront quoi que ce soit à cette incontestable vérité.

    Jacques Guillemain

    https://ripostelaique.com

  • Noël, Noël, la fête magnifique!

    Quelle est la signification du mot Noël?

    Il existe plusieurs hypothèses sur l’origine du mot Noël, mais notre guide conférencière, Marie-Thérèse Garcin, a une préférence pour l’une d’entre elles. Le mot Noël, apparu au 12 e siècle, vient du latin "natalis" qui signifie relatif à la naissance. Noël est donc la fête qui commémore la naissance de Jésus né, selon le Nouveau Testament, à Bethléem.

    Depuis, Noël a dépassé sa signification religieuse. C’est devenu une fête civile, sociétale, correspondant à un moment de partage. Elle est fêtée par de nombreuses familles, même celles qui n’ont aucune tradition chrétienne.

    Pourquoi a-t-on choisi de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre?

    Depuis la nuit des temps, les hommes ont célébré les solstices (hiver et été), c’était pour eux l’occasion de réjouissances. Pour le solstice d’hiver, on offrait du miel, des gâteaux, de l’or. Les maisons étaient décorées de gui, de houx.

    Ces fêtes païennes, antérieures à la tradition chrétienne, permettaient de faire face à la nuit la plus courte de l’année, annonciatrice des jours qui allaient rallonger, avant que la végétation reparte pour un nouveau cycle.

    C’est au IVe siècle que l’Eglise chrétienne a décidé de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre, date du solstice d’hiver dans le calendrier julien. Son objectif était de détrôner la fête païenne. Aujourd’hui, après l’introduction du calendrier grégorien, au XVIe siècle, la date a été décalée au 21 décembre.

    Quelle signification a la bûche à Noël?

    Une autre tradition liée au solstice d’hiver est celle de la bûche de Noël. Là aussi, cela remonte à la nuit des temps. Pour faire face à la nuit la plus longue de l’année, rien de tel qu’une bûche pour entretenir le feu et mettre de la lumière dans la maison.

    Dans la tradition chrétienne, on faisait brûler dans l’âtre une très grosse bûche lors de la veillée de Noël. Elle provenait d’un arbre fruitier, censé garantir une bonne récolte pour l’année suivante.

    Dans certaines régions, comme en Bourgogne, la bûche était arrosée de vin afin d’assurer une bonne vendange à venir. Dans d’autres, on utilisait du sel pour se protéger des sorcières. Cette bûche devait se consumer très lentement et la tradition voulait que l’on conserve les tisons pour préserver les maisons de la foudre.

    Aujourd’hui, cette bûche a pris la forme d’un dessert indissociable des fêtes de Noël.

    Pourquoi le sapin est-il associé à la tradition de Noël?

    Le sapin de Noël puise son origine dans la tradition celte. En effet, pour les Celtes le 24 décembre était le jour de la renaissance du soleil. Pour eux, chaque mois (lunaire) était associé à un arbre et décembre l’était à l’épicéa, un arbre qui reste vert même en hiver.

    Cette tradition païenne qui s’était perdue a resurgi dans l’est de la France, notamment en Alsace, au 16e siècle et a été assimilée à la fête chrétienne. Mais c’est surtout la reine Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, qui a lancé le rite du sapin à Noël en en installant un à Versailles en 1738.

    Le Père Noël a-t-il toujours été associé à la fête de Noël?

    Le Père Noël doit beaucoup à saint Nicolas célébré dans l’est de la France et dans les pays du nord de l’Europe depuis le 12e siècle.

    Depuis, dans la nuit du 5 au 6 décembre, saint Nicolas, vêtu de son habit d’évêque, voyage à dos d’âne pour passer dans les maisons distribuer des friandises et des cadeaux aux enfants sages.

    C’est un pasteur américain, un certain Moore, qui a donné naissance au Père Noël, dans un conte qu’il a écrit pour ses enfants en 1821. Il le décrit comme un homme dodu, sympathique et jovial habillé de vert qui se déplace dans un traîneau tiré par huit rennes. C’est le caricaturiste Thomas Nast, un autre Américain, qui revêt le Père Noël d’un habit rouge garni de fourrure blanche et le domicilie au pôle Nord.

    En Bourgogne, l’ancêtre du Père Noël était, il n’y a pas si longtemps, encore, le Père Janvier. Il était représenté sous la forme d’un vieillard, habillé d’une robe de bure marron, qui venait distribuer les cadeaux qu’il portait dans sa hotte dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Lui aussi passait par la cheminée. Cette tradition a perduré jusque dans les années 1930.

    Gastronomie et fêtes de Noël ont-elles toujours été liées?

    Manger des mets raffinés tel que le foie gras, les crustacés, les huîtres… est une tradition récente. Par contre, manger de la volaille, de la dinde ou une oie remonte à plus longtemps. En effet, les volailles (particulièrement les oies) étaient des symboles solaires garantissant protection à ceux qui en mangeaient. Les volailles de Bresse se retrouvent sur de nombreuses tables à Noël.

    Pourquoi utilise t-on le vert, le rouge, le blanc et le doré pour les décorations de Noël?

    Aujourd’hui, les décorations de Noël, comme le reste, ont tendance à suivre les courants de la mode. Malgré cela, le vert, le rouge, le blanc et le doré restent les couleurs traditionnelles qui ont une valeur symbolique :

    – le rouge car c’est la fête, la chaleur.

    – le vert car il rappelle le sapin et le houx: la légende veut que lorsque la Sainte Famille fut contrainte de quitter l’Egypte, elle se dissimula derrière des branches de houx. En guise de reconnaissance, Marie l’aurait béni en annonçant que le houx serait éternellement symbole d’immortalité.

    – le blanc symbolise la neige, la pureté, la naissance de Jésus.

    – le doré représente la couleur de l’étoile, symbole de lumière et d’espérance. […]

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/sapin-buche-pere-noel-quelles-sont-origines-toutes-ces-traditions-noel-1760363.html