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Education - Page 65

  • C'est ça, c'est ça, la France.....

    Gennevilliers (92) : la jeune fille a été agressée car elle portait une robe (MàJ)

    Il est 19 heures, lundi, et Nadia* attend son tramway en face du quartier du Luth. Un petit groupe d’adolescents s’approche d’elle. Ils lui parlent de sa tenue — la jeune fille porte une jupe — mais le différent ne va pas plus loin et les jeunes poursuivent leur chemin. « Même si cela ne se traduit pas par des violences ce sont déjà des pressions », estime Patrice Leclerc.

    Tirée par les cheveux hors du tramway

    Arrivent alors, quelques minutes plus tard, trois filles peu ou prou du même âge qu’elle. A leur tour, elles lui parlent de sa jupe. Le ton est nettement moins cordial. Les quatre jeunes femmes montent dans le tramway qui arrive. Le trio continue à faire une fixation sur la jupe. La situation s’envenime. La meneuse fait descendre sa victime en la tirant par les cheveux à l’arrêt suivant, dans le quartier du Village, la traite de « p… » et commence à la frapper.

    Nadia essuie alors une avalanche de coups de poing et de pieds. La plus énervée de ses agresseuses, un véritable colosse, lui assène un dernier coup de genou qui la met KO. Elle s’effondre au sol. Dans les cris et la confusion, des passants interviennent et font fuir le groupe de jeunes filles violentes. Prévenus, les sapeurs-pompiers évacuent Nadia à l’hôpital. C’est là qu’elle reprendra conscience après quelques heures de coma. Les médecins lui délivreront une ITT de quatre jours. Nadia a déposé plainte.

    La plus violente des agresseuses s’est rendue

    Alors qu’elle dîne dans un fast-food un peu plus tard dans la soirée, celle qui a porté les coups, âgée de 19 ans, apprend que sa victime est mal en point. Avec une des deux autres filles, elle se rend alors au commissariat où elle est placée en garde à vue. Elle devait être jugée mercredi en comparution immédiate mais l’audience a été renvoyée au 17 mai prochain.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agression n’aurait pas un fond religieux. Le trio ne portait pas de signe distinctif et aucune n’a évoqué une quelconque religion. Il ne s’agit pas non plus d’un règlement de comptes : Nadia ne les connaissait pas et n’habite pas le même quartier.

    (…) Le Parisien par Fdesouche

  • Depuis des années, déjà: la soumission

    Le calvaire de Martin, 6 ans: dans sa classe, 27 élèves sur 29 sont musulmans

    Publié le 17 mai 2013 - par Caroline Alamachère

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    Sur les 29 élèves de cette classe de primaire de Bruxelles, 27 sont musulmans. Martin fait partie des deux élèves minoritaires.

    Colette, la maman de Martin est ouverte à la diversité, comme toute une génération à laquelle a été soumis ce message perpétuellement envoyé à nos cerveaux dociles: la diversité est une chance, ne pas l’admettre c’est mal. C’est pour cela que, comme de très nombreux autres ados des années 80, elle a porté la fameuse main jaune.

    L’article (1), dans lequel elle relate sa révoltante histoire témoigne des graves conséquences d’une présence musulmane trop forte en milieu scolaire, usant au passage d’une tournure qui en dit long: "non musulman". Il n’y a pas si longtemps on se définissait comme Français ou Belge, aujourd’hui on se définit comme musulman ou non musulman. Tu es quoi toi? Je suis non musulman…

    Elle raconte cette fois, anecdotique selon elle, où une mère d’élève de maternelle avait demandé la lecture de sourates aux enfants sans que cela ne provoque chez elle d’indignation particulière. Quand on est pour la diversité, on est prêt à toutes les compromissions, même les moins acceptables.

    Colette se remémore les bagarres multiples, conséquences directes de l’islam invasif, de sa violente intolérance physique et orale, comme ces "sale porc" prononcés contre son fils, et de son incapacité à cohabiter avec les autres croyances ou incroyances.

    Le prosélytisme aussi, si fort que l’islam pénétrait jusque dans sa maison, Martin s’offusquant de ce que certains propos ou attitudes de ses parents ne correspondaient pas aux préceptes coraniques, allant même jusqu’à les rappeler à l’ordre. Ce petit garçon de 6 ans menaçait en effet ses parents de l’enfer lorsqu’ils buvaient du vin, critiquait le décolleté de sa mère ou lui demandait de porter un foulard pour aller le chercher à l’école… "ta mère est une sale dragueuse parce qu’elle se maquille"; "ne mets plus de décolleté, maman, s’il te plaît, je vais avoir des ennuis". En permanence Colette devait réinstaller les repères de respect que son fils reperdait aussitôt qu’il entrait dans l’école au contact des "croyants".

    C’était des bastonnades perpétuelles par les 27 qui croyaient en Allah contre les 2 qui n’y croyaient pas, l’intimidation au point que Martin suppliait sa mère de ne pas mettre de jambon dans ses sandwichs parce que les tolérants et pacifiques musulmans allaient cracher dedans et le frapper.

    Le garçonnet demandait régulièrement à changer d’école, ne supportant plus ce déchainement de violence contre lui, les menaces de coups permanentes comme lors de ses refus de jurer sur le coran, les menaces aussi sur ses parents. Sa mère a dû prendre des mesures drastiques pour tenter de mettre fin à sa souffrance, aux brutalités, pour maintenir son fils en sécurité.

    Le personnel scolaire, averti de la situation, a laissé faire, soit par peur des représailles, soit par bienveillance envers les 27 "racaillons", soit encore parce qu’il était lui-même musulman et qu’entre frères et sœurs on reste solidaires quoiqu’il arrive.

    A l’école, l’idéologie islamique était partout, et tout le temps, présente, il y avait d’ailleurs un professeur de cours de "religion islamique" au sein même de l’établissement. Martin apprenait le vocabulaire du coran, et lors des voyages organisés de l’école, les élèves emportaient leurs tapis de prières, des surveillants de cantine prononçaient des mots arabe, comme ce "bismillah" que l’enfant réclamait ensuite à sa mère de répéter à la table familiale.

    Dans le même temps Martin n’a pas appris à écrire durant les deux années d’enfer où il est resté dans cette école. Pour être accepté dans son nouvel établissement, il a dû passer les deux mois d’été à travailler, pendant que les autres malfrats en herbe devaient bien s’amuser au bled, afin d’apprendre à écrire 500 mots, des mots que les enseignants ont été infoutus de lui apprendre. On ne peut pas apprendre à la fois le français et l’arabe à un gosse de 6 ans, l’arabe a donc été prioritaire…

    La situation est devenue tellement ingérable que Colette a dû amener son fils consulter un psychologue afin de vérifier qu’il n’avait pas atteint la maladie mentale de ses bourreaux de classe.

    Martin et les quelques survivants de ses anciens copains de maternelle qui se trouvaient dans d’autres classes ont quitté cette école maudite, laissant la place aux remplaçants, à ses nouveaux petits "Français" intolérants, violents, xénophobes, athéophobes, "murés dans leurs différences".

    La morale de cette histoire est invariablement la même: le laxisme, pour ne pas dire la volonté des politiques de tous bords de détruire nos cultures occidentales, qu’elles soient de Belgique, de France, de Suède, d’Allemagne ou d’ailleurs.

    Ce que ces politiques asservis et criminels refusent d’admettre, c’est que toutes les cultures ne se valent pas, que des individus aux croyances et aux valeurs opposées ne peuvent pas se mélanger. Ils peuvent feindre de vivre ensemble et de se tolérer mais ce n’est qu’un leurre. Le communautarisme et la ségrégation restent le fondement de certaines sociétés quand l’individualisme et la liberté d’agir et de penser sont un droit inaliénable des autres. La loi de Dieu contre la loi des hommes, cela ne se négocie pas, ni d’un côté ni de l’autre, et les politiques n’ont pas le droit de jouer avec ce feu là. Ils ont la responsabilité de l’oppression des uns sur les autres, et quand les oppressés sont des jeunes enfants ils en sont doublement responsables.

    Ces politiques corrompus ont des comptes à nous rendre et il va falloir qu’on se décide à leur demander de les régler, et le plus vite possible.

    Caroline Alamachère

    PS (ci-dessous quelques témoignages d’expériences du même ordre):

    "Ma fille allait dans une école du centre ville de Bruxelles. Elle y a vécu un truc similaire niveau jambon, les enfants ne voulaient pas jouer avec elle parce qu’elle en mangeait…
nous l’avons changé d’école"

    "ceci existait déjà il y a plus de 30 ans à l’U T (Charleroi) peut-être pas aussi fort, mais les musulmans avaient déjà gain de cause à l’époque bien que minoritaire.(le plus jeune de mes frères n’a plus pu manger de salami à la cantine de l’école soit disant que c’était de la provocation)"

    "ma fille a eu des problèmes de ce type (j’appelle ça du racisme inversé),mais en école supérieure, a Bxl aussi, elle était la seule Belges parmi 7 musulmanes. Arrivée en cours d’année, car elle cherchait sa voie, elle a été dégoutée de se rendre compte, qu’aucune de ses "camarades"de classe n’était prête a l’aider a se mettre en ordre! Mais en plus un professeur de français a même insulté les belges (dont elle fait partie) d’incapables, de fénéants…en regardant ma fille droit dans les yeux, alors que celle-ci était la seule a n’avoir fait que 2 fautes dans une dictée"

    "j’étais enseignante jadis. Je faisais mon travail correctement, sans vague. Une jeune fille iranienne, totalement voilée qui n’était pas mon élève, ne m’avait jamais parlé, m’a traitée de ‘pute européenne’. J’ai demandé 3 jours de renvoi mais le Préfet des Etudes m’a demandé de n’en donner qu’un parce que ça ferait tâche, ça se serait et il perdrait des inscriptions à la rentrée prochaine si on sévissait de trop ce genre de remarques!!!! J’ai dit ‘3 jours où je démissionne’. Il s’est confondu en excuses mais ne voulait pas perdre de subsides pour son école et préférait brader le respect de son corps professoral!. J’ai démissionné de ma carrière d’enseignante à cause de cet événement. "

    http://francejeunessecivitas.hautetfort.com/media/02/02/3667615934.pdf

     

    http://destexhe.blogs.com/blog2007/2013/05/ecole-publiquecoranique.html

     

     

  • A l'escolo, c(h)ul me le trambolo, à l'oustal, c(h)ul me fa mal!

    A l'escolo, cul me le trambolo, à l'oustal, cul me fa mal!

    (on prononce mé lé

    et tchoul pour cul) occitan mais bon, je dois faire de fautes....

    En allant à l'école, j'ai tellement peur que mes fesses tremblent, à la maison, les fesses me font mal (car le maître m'a donné des coups de baguettes)

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    Il n’est pas inutile de se pencher sur les programmes de l’Education nationale, y compris du primaires et du collège. Ce qu’on y trouve est surprenant: sur des pages et des pages, une jacasserie verbeuse, inconsistante, moralisante, prétentieuse, sans queue ni tête. L’école pour apprendre à lire, à écrire et à calculer?

    Quelle ringardise! Quelle plaisanterie! Beaucoup parler pour ne rien dire, fuir le monde des réalités, le regard des élèves, noyer l’essentiel dans un jargon aux connotations idéologiques dignes d’un régime totalitaire. Le principe est celui du nivellement par le bas.

    L’Education nationale ne semble pas avoir pour objectif de fixer un objectif à atteindre, un horizon identique de savoir, de connaissance, mais au contraire, de s’aligner sur le plus petit commun dénominateur, renoncer à toute idée d’exigence collective, d’effort, d’élévation par l’acquisition du savoir. L’égalitarisme se substitue au principe d’égalité des chances. Morceau d’anthologie: Les enfants qui arrivent au cycle 2 sont très différents entre eux. Ils ont grandi et ont appris dans des contextes familiaux et scolaires divers qui influencent fortement les apprentissages et leur rythme. La classe s’organise donc autour de reprises constantes des connaissances en cours d’acquisition et si les élèves apprennent ensemble, c’est de façon progressive et chacun à son rythme. Il s’agit de prendre en compte les besoins éducatifs particuliers de certains élèves (élèves allophones nouvellement arrivés, en situation de handicap, éprouvant des difficultés importantes à entrer dans l’écrit, entrant nouvellement à l’école, etc.) qui nécessitent des aménagements pédagogiques appropriés. Voici formulés le culte de la médiocrité et du renoncement, l’abandon du principe de la réussite par le travail, l’intelligence, la méritocratie républicaine, comme on disait jadis…

    Nulle part ce programme ne parle de l’acquisition des savoirs fondamentaux. On sent bien l’idée, consciente ou inconsciente, qui se profile derrière cette mélasse pseudo-intellectuelle, cet écoulement nihiliste de mots pompeux : abêtir une génération, la priver des outils intellectuels de résistance de manière à la livrer pieds et poings liés à toutes les manipulations commerciales et idéologiques.

    Maxime TANDONNET

    https://maximetandonnet.wordpress.com/2016/03/21/le-destruction-de-lintelligence/

     

  • Un jeune Anglais de 4 ans soupçonné de radicalisation

    Comme le raconte la BBC, l'artiste en herbe avait dessiné son père en train de découper un concombre que le personnel de sa crèche a pris pour une bombe.

    Les employés des crèches britanniques prennent visiblement très au sérieux les dessins d'enfants. Un jeune garçon de 4 ans a bien failli être signalé pour radicalisation par le personnel du lieu où il est gardé après avoir représenté son père en train de couper un concombre.

    Une cucurbitacée que l'équipe qui encadre les bambins a interprétée comme étant un engin explosif. Une maladresse de langage du garçon a fini de convaincre les employés de la crèche lorsque l'enfant a dit avoir dessiné “a cucker bum“», un mot très proche de “cucumber“ mais aussi de “cooker bomb“, un préparateur de bombe en français.

    Une surveillance accrue des risques de radicalisation

    La mère du garçonnet a été convoquée, une entrevue durant laquelle on l'a prévenue que son enfant risquait de lui être retiré et qu'elle devait prouver son innocence pour éviter d'en perdre la garde a-t-elle expliqué au micro de BBC. La jeune femme a qualifié l'affaire d''incroyablement énervante".  Un fait divers ubuesque qui n'est pourtant pas isolé.

    En décembre dernier, un enfant de 10 ans qui avait écrit qu'il vivait dans une “terrorist house“, une maison de terroriste au lieu d'une “terraced house“, une maison de ville, avait lui aussi fait les frais de cet excès de zèle. Les autorités s'étaient alors déplacées au domicile de ses parents afin de s'assurer qu'il ne s'agissait pas d'un cas de radicalisation. Une surveillance accrue des petits Britanniques qui est encadrée par une loi votée par le Parlement britannique datant de 2015. Le texte encourage le personnel des écoles à signaler à la police tout comportement suspect des élèves en matière de radicalisation religieuse.

    http://www.lepoint.fr/europe/un-jeune-anglais-de-4-ans-soupconne-de-radicalisation-12-03-2016-2024917_2626.php