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Education - Page 66

  • La valeur n'attend pas le nombre des années...

    Le robot jardinier français qui a séduit Google

    C'est l'invention d'un jeune Français de 14 ans, Eliott Sarrey, qui vient d'atteindre le stade des demi-finales de la Google Science Fair, un concours mondial où le géant californien détecte les futurs grands talents scientifiques. Et le robot jardinier pourrait viser plus haut.

    En février, quand il décide de s'inscrire au concours mondial des "géotrouvetou" version Google, Eliott Sarrey n'est qu'un élève français de 4ème, comme des milliers d'autres. Si ce n'est que ce jeune garçon adore les sciences, au point d'avoir imaginé un robot jardinier, et d'avoir envie de le présenter au "Google Science Fair". Résultat, son robot a été sélectionné pour faire partie des 90 demi-finalistes, et fin juillet, il pourrait rejoindre le club fermé des 20 projets finalistes sélectionnés par Google.

    L'idée du robot-jardinier est géniale : les personnes peuvent le piloter à distance, par smartphone comme un simple jeu sur mobile, et lui demander d'effectuer des tâches dans leur jardin. " Et si on pouvait réellement obtenir des légumes avec son smartphone" ? se demandait Eliott Sarrey à propos de son robot, qu'il a baptisé "Bot2Karot", cela ne s'invente pas... A partir de cette idée simple, Eliott a conçu un prototype en 3 mois, jusqu'à l'épreuve du 7 juillet, où le jury a sélectionné le robot, et en attendant le 4 août et l'annonce des 20 finalistes qui iront "pitcher" leur projet devant les équipes de Google, en plein coeur de la Silicon Valley. Voila encore un petit Frenchie que les Américains pourraient bientôt nous voler!

     

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  • Boire un petit coup, c'est agréable!

    L’alcootest intelligent et connecté

    Dans les pays ayant institué une alcoolémie "zéro" au volant, un grand progrès dans la prévention vient d’être franchi par un groupe d’étudiants de l’Institut de Technologie de Cintalapa dans le Chiapas au Mexique. Il fallait y penser et ils l’ont fait: des détecteurs d’alcool sur le volant des voitures qui, en cas de réponse positive, neutralisent le démarreur de la voiture ! Plus besoin d’alcootest. Puisqu’on transpire de l’alcool et que la technologie de détection existait, il suffisait de réunir plusieurs petites astuces pour arriver à ce gadget inattendu et d’une redoutable efficacité: si on a bu un verre de bière, c’est bon, la voiture ne peut pas démarrer.

    Naturellement ce genre de progrès technologique ne peut s’appliquer que dans les pays où la tolérance zéro est appliquée sévèrement, comme par exemple en Suède ou au Japon. Les statistiques mexicaines indiquent que 77000 accidents dus à l’excès d’alcool au volant sont répertoriés chaque année, soit 4 accidents chaque heure. Autant dire que le gouvernement a immédiatement encouragé ce projet.

    Des détecteurs se trouvent sur le volant, le levier de vitesse et le dossier du siège du conducteur. L’installation électronique analysant les signaux des détecteurs comporte une géolocalisation et une application pour téléphones mobiles qui peut envoyer un signal à la famille ou à des amis en indiquant la position du véhicule ainsi immobilisé. Quelqu’un peut alors "venir au secours" du conducteur…

    Une start-up vient d’être créée avec l’appui du gouvernement de l’État du Chiapas pour le développement commercial de cet ingénieux système qui a aussi l’avantage d’être simple et peu coûteux, n’importe qui peut l’installer lui-même.

    En quelque sorte un système d’alarme dédié à la détection d’alcool à utiliser sans modération.

     

  • Ancien tarot de Marseille: la légende

     

    Bientôt, leçons gratuites!

     

     

     

     

     

  • JOURNEE DE LA FEMME

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    Fait par moi

     

     

     

    Ni entraves, ni voiles, ni burqua!

     

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    La liberté guidant le peuple (de France... Marianne)

    Tableau de David

     

  • Les jeunes de chez moi!

    À Toulouse, étudiants et professeurs inventent le "campus du futur"

    Le nouveau campus de l’université Toulouse 3 devrait voir le jour en 2019. Sa conception se fait selon le principe du coworking, associant enseignants, chercheurs et élèves autour d’un projet innovant et écologique.

    L’Université Toulouse 3 Paul-Sabatier (UPS) lance son opération "neOCampus", qui prévoit d’ériger onze nouveaux bâtiments entre 2017 et 2019. Le campus s’étendra sur 56.000 m², soit près de 8 terrains de football. De nombreuses structures seront rénovées, ce qui entraînera en parallèle la destruction de bâtiments vétustes.

    Basé sur le "coworking", le projet réunit enseignants, chercheurs et élèves pour penser ce "campus du futur", écologique, numérique et mieux adapté aux handicapés. Les chercheurs collaborent à cette innovation au sein de huit laboratoires et au travers des thèses. Quant aux élèves de licence et master, ils conçoivent et réalisent des bancs, tables et autres meubles à travers leurs projets de stage.

    Même les élèves de l’IUP d’arts appliqués de Toulouse 2 - Jean-Jaurès ont été mis à contribution: ils travaillent actuellement sur le design, les fonctionnalités et l’agencement des salles de cours. De leur côté, les doctorants réfléchissent au pan écologique du projet. Plusieurs idées ont été lancées: l’amélioration de l’éclairage grâce à un réseau électrique basse tension, ou encore des réseaux de capteurs permettant de suivre la consommation énergétique des bâtiments.

    Une innovation écologique

     "L’université a toujours été très présente sur le développement durable, au niveau de la recherche comme pour la formation, où nous avons été les premiers à enseigner l’énergétique dans l’habitat", explique Bertrand Monthubert, président de Toulouse 3. L’établissement a logiquement à cœur de mettre en pratique ses enseignements: les bâtiments seront construits dans des matériaux isolants et à faible empreinte carbone. Quant à la consommation d’électricité, elle sera réduite par une distribution de chaleur optimisée. L’objectif est de réduire la consommation énergétique de 10% par an sur dix ans. Pour Bertrand Monthubert, "l’université doit être le premier lieu où l’on met en place les bâtiments du futur, ils sont des outils de recherche à part entière".

    Un campus intelligent…

    Le nouveau campus sera également intelligent: des capteurs identifieront les personnes entrant dans les salles de cours, le chauffage et l’éclairage s’adapteront à l’affluence et des services seront proposés aux usagers présentant, par exemple, un handicap. L’université devra alors mettre en place un système juridique afin de ne pas porter atteinte à la vie privée des étudiants, puisque le "campus intelligent" enregistrera de nombreuses informations.

    Le confort des étudiants est aussi une priorité. Des dispositifs seront ainsi installés dans l’université pour observer leur mode de vie et adapter le nouveau campus en conséquence: information en temps réel des places d’étude disponibles dans les bibliothèques, itinéraires adaptés aux handicaps, etc.

    … et numérique

    L’innovation se fera aussi sur le plan numérique. Une application mobile est en cours de développement et sera disponible pour les étudiants dès juin 2015. Elle comprendra notamment une carte interactive du campus, puisque celui-ci s’étendra sur plusieurs kilomètres! Une déclinaison est déjà envisagée pour les personnes handicapées: le logiciel leur indiquera, en fonction de leur position, un cheminement optimal et accessible vers leur point de destination. Une fonctionnalité devrait aussi permettre aux étudiants de calculer le temps d’attente au resto U, bien pratique pour les étudiants affamés!

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