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Education - Page 64

  • Regardez cette photo. Elle vous fait rire? non, tremblez plutôt!

    En ouvrant la porte des toilettes, le 16 juin dernier, Stacey Feely est tombée sur sa fille de 3 ans en train de mener un étrange bal: la petite était debout sur la lunette des toilettes, une main posée contre le mur pour ne pas tomber. Dans un premier temps, la mère de famille domiciliée dans le Michigan a trouvé cette scène plutôt rigolote et l'a immortalisée. Mais quand la blondinette a expliqué à sa maman les raisons d'un tel manège, son sourire a rapidement disparu. "Au moment où elle m'a dit ce qu'elle était en train de faire, j'ai craqué", explique l'Américaine à BuzzFeed.

    En fait, la petite fille était en train de répéter un exercice que l'on venait de lui enseigner à la garderie: comment réagir lorsqu'un tireur fait irruption dans l'école et comment se comporter si l'on est coincé dans les toilettes. Stacey raconte qu'elle a été horrifiée de constater que son enfant de 3 ans apprenait déjà ce genre de choses. "À ce moment-là, ma fille de 3 ans a perdu toute son innocence", déplore-t-elle. Bouleversée par cette prise de conscience, la mère de famille s'est connectée sur Facebook et a publié un texte poignant à l'intention des défenseurs des armes à feu aux États-Unis.

    De nombreuses réactions

    "Politiciens, regardez. Ceci est votre enfant, vos enfants, vos petits-enfants, vos arrière-petits-enfants et les futures générations à venir (...) Ils ont à peine 3 ans et se cacheront dans les WC en se tenant debout sur les toilettes. Qu'est-ce qui sera le plus dur pour eux? Essayer de rester silencieux pendant un long moment ou essayer de garder l'équilibre?", écrit Stacey. L'Américaine estime que sa photo devrait motiver les gens à lutter pour que la loi change et que leurs enfants ne grandissent pas en apprenant à avoir peur à l'école. "Personne ne pense que le contrôle des armes sera à 100% un contrôle des crimes. Mais peut-être que cela aidera dans 1%, 2%, 50% des cas? Qui le saura si on n'essaie pas?", se demande Stacey.

    La publication de la mère de famille a provoqué des réactions aussi nombreuses que contrastées. Beaucoup d'internautes ont été choqués d'apprendre que de si jeunes enfants apprenaient déjà comment se comporter en cas de fusillade, tandis que d'autres ont reproché à Stacey d'être à côté de la plaque:" C'est dommage que vous accusiez les armes au lieu des gens qui les utilisent. Dans la plupart des cas, les armes utilisées pour ces crimes horribles ont été obtenues de manière légale", a notamment écrit une certaine Jennifer. Stacey avoue qu'elle ne pensait pas que sa publication provoquerait un tel engouement. "Nous avons tous une voix, il faut l'utiliser. Si une photo peut aider à réveiller les gens (...) alors je continuerai à m'exprimer et à la partager", explique-t-elle.

     

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  • Le ciel, parfois, est le roi des cons!

    Mais, qu'est-ce que j'ai rit!

     

    https://www.youtube.com/watch?v=bLanvkRcRbw


    https://www.youtube.com/watch?v=5aobxdFT35Y

     

     

     

     

     

  • Animalité

    Assises de Nîmes : la maman soutient son mari accusé de viol sur son bébé

    Le verdict est attendu dans la journée.

    La petite victime était âgée de 11 mois en juillet 2013. La maman de l'enfant aurait dû être partie civile dans cette affaire sensible.

    Anna (le prénom a été modifié) n'était encore qu'un bébé âgé de 11 mois  Quelques heures avant son hospitalisation, elle jouait, riait. En fin de soirée, à Nîmes, ses parents inquiets ont emmené la petite fille aux urgences de l'hôpital Carémeau de Nîmes. Samir, son papa, a découvert des traces de sang dans les selles du bébé lorsqu'il a voulu changer ses couches. Affolé, il a alerté son épouse partie faire des courses.

    Lésions suspectes et gravissimes au niveau de l'anus

    À l'hôpital de Nîmes, le verdict des médecins est alarmant. Ils constatent des lésions suspectes et gravissimes au niveau de l'anus, des fissures évocatrices d'un abus sexuel. L'enfant est évacuée sur l'hôpital Lapeyronie pour y être opérée. Le parquet de Nîmes confie l'enquête aux policiers de la Sûreté départementale de Nîmes.

    "Je ne peux pas dire ce que je n'ai pas fait", déclare le père de famille, mis en examen pour viol sur mineur devant la cour d'assises du Gard. Kharfiya, la maman de l'enfant, aurait dû être partie civile dans cette affaire sensible. La veille du procès, la mère de famille s'est séparée de son avocat. Maladroitement, elle défend son mari qui conteste les faits reprochés et a été entendue jeudi soir comme témoin. "Quand j'ai emmené ma petite fille aux urgences, elle n'était pas comme ça, assure Kharfiya. C'est peut-être à cause de la Bétadine ?…"

    Il avoue puis se rétracte

    Oui, Samir, son mari, a avoué, lors de sa garde à vue, avant de se rétracter rapidement. C'était lors d'une confrontation avec son épouse. "On était les yeux dans les yeux. J'ai vu qu'il me disait: "Tu crois vraiment que j'ai fait ça à ma fille?" Je sais qu'il n'en est pas capable. Il est prêt à tout prendre sur le dos“.

    "Cela peut-être un coup de pied de mon fils (un enfant d'un an et demi, NDLR)", déclare Samir, défendu par Mes Khadija Aoudia et Rémy Nougier. Ou des lésions dues à des problèmes de constipation ou d'une maladie comme la mucoviscidose, se défendent les parents, qui doutent des experts, des médecins, des psychologues.

    "Mon frère est innocent, a déclaré un peu plus tôt, et en larmes, Issam, le frère de Samir. C'est impossible qu'il fasse une chose pareille. Il nous est arrivé beaucoup de drames dans la famille. On ne mérite pas tout ce qui nous arrive, madame, ajoute Issam en s'adressant à Geneviève Perrin, la présidente de la cour d'assises. On est des gens bien. C'est impossible. C'est un cauchemar. J'en suis sûr et certain."

    Lésions de cause externe

    Les constatations sont pourtant incontestables. Les experts médecins, qui excluent l'hypothèse médicale, ont relevé des lésions de cause externe et une tentative de pénétration anale. Ils n'ont pu déterminer s'il s'agissait d'un sexe ou d'un objet. "La douleur a-t-elle été violente", demande Me Laurence Bourgeon, l'avocate de l'enfant, ou encore l'avocate générale Bénédicte Bertrand. "Extrêmement violente", confirme le médecin expert venue témoigner à la barre.

    L'enquête menée par les policiers n'a pas relevé la présence de sperme. Mais du sang sur la table à langer, dans le lavabo ou sur une lampe torche. "Qu'est ce qui s'est passé ?", reprend Me Laurence Bourgeon s'adressant à la mère de famille. "La couche s'est peut-être déplacée", avance la maman. "Qu'est-ce qui a pu provoquer cela, insiste Me Khadija Aoudia, l'avocat de Samir. Lui, dit que ce n'est pas lui. C'est vous?"

    "Ah, non !", répond la maman. Les débats se poursuivent ce vendredi. Le verdict est attendu dans la journée.

    Drame dans la famille de Samir

    Le 1er  janvier 2010, une grande partie de la famille de Samir a été décimée dans un incendie qui a détruit deux appartements, à Valdegour. Le père de l’accusé, la grand-mère et trois enfants sont décédés. La mère de famille et deux autres enfants ont été grièvement blessés et placés dans le coma. Samir était absent cette nuit-là et a eu à gérer ce drame familial.

    http://www.midilibre.fr/2016/06/10/la-maman-soutient-son-mari-accuse-de-viol,1346824.php

  • RAPPEL

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  • Le poème, étudié en 1960...

    Un chat, nommé Rodilardus (2),
            Faisait de rats telle déconfiture
                Que l'on n'en voyait presque plus,
    Tant il en avait mis dedans la sépulture.
    Le peu qu'il en restait, n'osant quitter son trou
    Ne trouvait à manger que le quart de son soû (3),
    Et Rodilard passait, chez la gent misérable,
                Non pour un chat, mais pour un diable.
                Or, un jour qu'au haut et au loin
                Le galand alla chercher femme,
    Pendant tout le sabbat (4) qu'il fit avec sa dame,
    Le demeurant des rats tint chapitre en un coin
                Sur la nécessité (5) présente.
    Dès l'abord, leur doyen, personne fort prudente,
    Opina qu'il fallait, et plus tôt que plus tard,
    Attacher un grelot au cou de Rodilard ;
                Qu'ainsi, quand il irait en guerre,
    De sa marche avertis, ils s'enfuiraient sous terre ;
                Qu'il n'y savait que ce moyen.
    Chacun fut de l'avis de Monsieur le Doyen :
    Chose (6) ne leur parut à tous plus salutaire.
    La difficulté fut d'attacher le grelot.
    L'un dit : « Je n'y vas (7) point, je ne suis pas si sot, »
    L'autre : « Je ne saurais. » Si bien que sans rien faire
                On se quitta. J'ai maints chapitres vus,
                Qui pour néant se sont ainsi tenus ;
    Chapitres, non de rats, mais chapitres de moines,
                Voire chapitres de chanoines.
     

     

               Ne faut-il que (8) délibérer,
                La cour en conseillers foisonne;
               Est-il besoin (9) d'exécuter,
                L'on ne rencontre plus personne.

     

  • Ben oui, l'intégration chez nous, pas plus compliquée que ça!