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Education - Page 64

  • Refaiseurs d'histoire: Arrêtez de dire n'importe quoi!

    Je tombe des nues: ils veulent refaire l'histoire de France! mais, qui tu est, toi qui donne des leçons à la France!!!!! où était ton grand-père à cette époque?

    Les miens y étaient.

    Chaque famille française....

    j'ai dit: CHAQUE FAMILLE

    a subi des douleurs et des pertes ignobles durant cette guerre, laissant à tout jamais des plaies saignantes ouvertes!

     

    STOP LA REPENTANCE DES IDIOTS!

    STOP LE MAQUILLAGE ET LA MANIPULATION!!!

     

    C'est pas dans nos mœurs de nous prosterner par terre, le cul levé!

     

    La France n’a pas gagné la Première guerre mondiale grâce à l’Afrique et aux Africains

    Dans la grande entreprise de réécriture de l’histoire de France par les partisans du "grand remplacement", la Première Guerre mondiale, et plus particulièrement la bataille de Verdun, constitue un argument de poids. Son résumé est clair: les Africains ayant permis la victoire française, leurs descendants ont donc des droits sur nous.

    Voilà qui explique pourquoi ces ardents défenseurs du "vivre ensemble" que sont MM. Samuel Hazard, maire socialiste de Verdun, et Joseph Zimet, à la ville époux de Madame Rama Yade, et en charge de la Mission du centenaire de la Grande Guerre, ont voulu mettre le sacrifice de millions de Poilus au service de leur idéologie.

    Laissons donc parler les chiffres[1]:

    1) Effectifs français (métropolitains et coloniaux)

     Durant le premier conflit mondial, 7,8 millions de Français furent mobilisés, soit 20% de la population française totale.

    Parmi ces 7,8 millions de Français, figuraient 73.000 Français d’Algérie, soit environ 20% de la population "pied-noir".

    Les pertes françaises furent de 1.300 000 morts, soit 16,67% des effectifs.

    Les pertes des Français d’Algérie furent de 12.000 morts, soit 16,44% des effectifs.

    2) Effectifs africains

    L’Afrique fournit dans son ensemble 407.000 hommes, soit 5,22 % de l’effectif global de l’armée française.

    Sur ces 407.000 hommes, 218.000 étaient des "indigènes" originaires du Maroc, d’Algérie et de Tunisie, soit 2% de la population de ces trois pays.

    Sur ces 218.000 hommes, on comptait 178.000 Algériens, soit 2,28 % de tous les effectifs français.

    L’Afrique noire fournit quant à elle, 189.000 hommes, soit 1,6% de la population totale et 2,42% des effectifs français.

    Les pertes des unités nord africaines furent de 35.900 hommes, soit 16,47% des effectifs.

    Sur ces 35.900 morts, 23.000 étaient Algériens. Les pertes algériennes atteignirent donc 17.98 % des effectifs mobilisés ou engagés.

    Les chiffres des pertes au sein des unités composées d’Africains sud-sahariens sont imprécis. L’estimation haute est de 35.000 morts, soit 18,51% des effectifs; l’estimation basse est de 30 000 morts, soit 15.87%.

    Pour importants qu’ils soient, ces chiffres contredisent donc l’idée-reçue de "chair à canon" africaine. D’ailleurs, en 1917, aucune mutinerie ne se produisit dans les régiments coloniaux, qu’ils fussent composés d’Européens ou d’Africains.

    Des Africains ont donc courageusement et même héroïquement participé aux combats de la "Grande Guerre". Gloire à eux.

    Cependant, compte tenu des effectifs engagés, il est faux de prétendre qu’ils ont permis à la France de remporter la victoire. Un seul exemple: le 2° Corps colonial engagé à Verdun en 1916 était composé de 16 régiments. Les 2/3 d’entre eux étaient formés de Français mobilisés, dont 10 régiments de Zouaves composés très majoritairement de Français d’Algérie, et du RICM (Régiment d’infanterie coloniale du Maroc), unité alors très majoritairement européenne.

    Autre idée-reçue utilisée par l’idéologie dominante: ce serait grâce aux ressources de l’Afrique que la France fut capable de soutenir l’effort de guerre.

    Cette affirmation est également fausse car, durant tout le conflit, si la France importa six millions de tonnes de marchandises diverses de son Empire, elle en importa 170 millions du reste du monde.

    Conclusion: durant la guerre de 1914-1918, l’Afrique fournit à la France 3,5% de toutes ses importations et 5,22 % de ses soldats. Ces chiffres sont respectables et il n’est naturellement pas question de les négliger. Mais prétendre qu’ils furent déterminants est un mensonge doublé d’une manipulation.

    Bernard Lugan

    13/05/2016

    [1] Les références de ces chiffres sont données dans mon livre Histoire de l’Afrique du Nord des origines à nos jours. Le Rocher, en librairie le 2 juin 2016.

    http://bernardlugan

  • Des rap-peurs (de n'être que des moules) à Verdun

    Incapables de défendre la France qui les a nourrit, éduqués, habillés, allocationnisés avec nos impôts, taxes et charge et la sueur de nos fronts d'ouvriers qui travaillent depuis l'âge de 14 ans.... et la chair à canon de nos pères et grands-pères.... ils iront vite se planquer dans leur pays d'origine si la France est, hélas à Dieu ne plaise, un jour attaquée!

    Ce n’est pas la Fête de la musique, Monsieur le Président, c’est la bataille de Verdun, un symbole national, une bataille dans laquelle toutes les familles de France ont perdu un proche. Un sol dans lequel reposent encore des ossements non identifiés. Ils vibreront avec les basses. Black M n’a pas fait mystère de l’esprit dans lequel il se rend à ce concert. Oh, certes pas trop de mauvais esprit. Pas comme lorsqu’il chantait, avec Sexion d’Assaut – oui, comme les SA – que la France était un pays de "kuffars", même s’il laisse planer le mystère sur les titres de Sexion d’Assaut qu’il pourrait reprendre. Juste une absence d’esprit. (NDLR: à la hauteur de sa connerie).

    Pourquoi a-t-il accepté de participer à cette commémoration?" C’est de la scène, et c’est quelque chose que j’aime énormément alors je réponds présent. Tout simplement. "Pas le moindre mot sur l’objet de la commémoration. C’est un show comme un autre. C’est même l’occasion de faire la promo de son nouvel album. Et "si le public est chaud, on donnera tout“.

    Il faut juste espérer que l’on n’évoque pas trop le calvaire des centaines de milliers de combattants, et les 700.000 vies brisées, pour ne pas trop nuire à l’ambiance. A ses détracteurs, Black M répond: "Je les invite à venir me voir, qu’ils aiment ou pas ma musique, on va s’amuser“.

    On ne le lui reprochera pas nécessairement – quoiqu’il ne serait pas moins respectueux à son égard de ne pas désespérer de lui – c’est bien ceux qui l’ont choisi et ont choisi d’organiser un concert festif et Black M comme tête d’affiche qui sont responsables.

    Vous êtes président, et vous n’êtes qu’un symptôme.

    Parce que vous, parce que notre époque, parce que nous sommes englués dans un festivisme absurde, grotesque, même la commémoration centenaire de la bataille de Verdun doit conduire à "s’amuser". Bien sûr, le ministre nous dit que ces commémorations sont orientées vers la jeunesse. (Spèce de con! faut aider les jeunes à danser sur la mort? parce que d'autres ne leur ont pas appris à pisser sur notre drapeau? NDLR).

    C’est vrai que c’est pesant, le centenaire d’une bataille au cours de laquelle on penserait trop à ceux qui y sont morts. Alors nos commémorations s’orientent toujours "vers la jeunesse".

    Mais elle n’est pas forcément ce que vous croyez, la jeunesse, elle n’est pas uniforme, Monsieur le Président. Elle est capable de dignité, elle est capable de grandeur, cette jeunesse et, dans la période actuelle, nous en avons un besoin vital. Ceci aussi est manifestement passé au-dessus de votre tête, de celle de vos conseillers et ministres. Vous insultez jusqu’à la jeunesse des quartiers en pensant qu’elle est incapable de comprendre que l’on ne danse pas sur des tombes. (Mais, ça vaudrait le coup d'aller pisser sur votre tombe… comme disait un grand humoriste français… NDLR).

    Et si d’aventure, elle ne le percevait pas spontanément, on aurait attendu de vous que vous le lui appreniez. (Ce qui relève de l'absolu impossibilité, voir plus bas sur la sinistre de l'Education Nationale).

    Renoncez, il n’est pas trop tard. Pour le principe et pour l’honneur, évidemment, mais l’on hésite à en parler encore. Leur honneur? ils ne savent même pas écrire ce mot... ni même savoir sa définition!

    Pour éviter le ridicule, au minimum.

    et sur contrepoints https://www.contrepoints.org/2016/05/12/252580-centenaire-de-verdun-a-quoi-servent-les-commemorations

    "L’ère vide du pouvoir“ ... accompagne celui de leur cervelle

    Cette commémoration est le miroir qui nous montre le vide du pouvoir et de la réflexion politique. Incapable de donner de la grandeur, la commémoration s’échoue dans le néant. Elle devient une kermesse pour amuser le peuple, sauf que le peuple ne viendra pas et ne regardera pas un spectacle qui ne l’intéresse pas.

    L’ensemble des Français aurait sûrement préféré une commémoration sobre, avec reconstitution historique et présentation d’objets de la bataille. Cette commémoration croit parler à l’ensemble de la population ; elle ne s’adressera en fait qu’à ceux qui l’ont commandé. Elle révèle la vacuité d’un pouvoir, la coupure des dirigeants et du peuple, l’inculture des organisateurs. Ce vide et ce néant sont bruissant de paroles: ils témoignent d’un pouvoir déculturé et coupé des réalités“.

    http://www.koztoujours.fr/que-fete-t-on-monsieur-le-president

    Cela vaut le coup de lire les commentaires...

    "La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas“. Paul Valéry.

     

    D'ailleurs, quand on a ce genre de sinistre….. on tremble pour la Nation des Lumières (NDLR).

    Lors de la séance de questions au gouvernement ayant eu lieu ce mercredi 11 mai, Najat Vallaud Belkacem, ministre de l’Education nationale a perdu son self-control et est allée jusqu’à accuser la droite "d’avoir dévalorisé l’école en préférant le curé à l’instituteur".

    Najat Vallaud Belkacem montre aujourd’hui son vrai visage, celle d’une ministre agressive et méprisante qui aboie pour faire oublier son bilan parmi les plus mauvais à la tête du ministère de l’Éducation nationale.

    En effet,

    - Les français n’oublieront pas la réforme du collège, qui a préféré l’égalitarisme au détriment des enseignements d’excellence (Latin, grec, classes bi-langues).

    - Les français n’oublieront pas son choix inacceptable de supprimer les bourses au mérite plutôt que d’encourager les élèves méritants à se surpasser.

    - Les français n’oublieront pas les calamiteux programmes scolaires qui ont consacré le nivellement pas le bas.

    - Les français n’oublieront pas sa volonté d’imposer une désastreuse réforme de l’orthographe consacrant l’écriture phonétique au détriment de l’écriture traditionnelle.

    - Les français n’oublieront pas sa tentative d’imposer l’enseignement de la théorie du genre à l’école avec notamment les “ABCD de l’égalité“.

    Il n’y a rien à sauver du bilan de Najat Vallaud Belkacem, qui si elle veut vraiment améliorer le sort des élèves n’a qu’une chose à faire: démissionner !!

     

  • Mais, enfin.... ce n'est pas possible!!!!!!!! ils sont pire que fous!

    Il faut faire quelque chose! que les parents et grands parents envahissent les écoles et protestent!!!!!

    Il en va de l'avenir de vos enfants!

    Faites suivre, faites passer: c'est plus ébouriffant, c'est à pleurer.....

     

    " Sa va dps samedi ? G1 truc a te dir jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Manuel scolaire 5ème, 4ème, 3ème, éditions Nathan.

    Voilà, la réforme du collège devient concrète.

    Cette semaine, les enseignants découvrent, effarés, les manuels scolaires conformes aux injonctions ministérielles, préparés dans l’improvisation totale pour la rentrée prochaine. C’est un cours de maths remplacé par un sondage dans la classe sur les discriminations. C’est la littérature et la langue françaises sacrifiée pour des "punchlines" et des SMS. C’est l’immense aventure des sciences qui s’achève dans une curiosité morbide pour la mort de Claude François dans sa baignoire.

    Immense tristesse, immense colère aussi. J’ai la rage au fond du cœur de voir ce délire devenir réalité, avec la collaboration honteuse d’éditeurs serviles et lâches, dans le silence des médias et dans la passivité générale – si l’on excepte la complicité coupable de l’enseignement privé.

    Tous ceux qui coopèrent à cette immense dévastation, à ce mensonge, à ce délire, j’espère qu’ils ont un peu honte, au fond d’eux mêmes. Et j’espère, envers et contre tout, que cette réforme n’ira pas jusqu’au bout. Parce que ce n’est pas possible… Ils n’ont pas le droit. Nous n’avons pas le droit.

    L’école n’a qu’une seule mission : élever les élèves qui lui sont confiés. Chacun d’entre eux porte en lui quelque chose d’exceptionnel, et chacun d’entre eux a droit au meilleur de ce que nous avons reçu. De quel droit allons-nous priver les générations qui viennent de la beauté, de la grandeur, de l’intelligence ? De quel droit condamnons-nous ces enfants à ne plus rien comprendre de leur propre histoire, de leur langue, de leur culture ? Quand la conjugaison est remplacée par l’approximative " impression " des temps, quand toute la maîtrise de la langue consiste à faire de bonnes vannes et à casser avec sa copine, qu’espérons-nous faire grandir chez nos élèves ?

    Le manuel "Le livre scolaire", ici reproduit, comporte une phrase de Abd Al Malik qui résume à elle seule toute cette réforme du collège: "A force de vouloir se faire rue, on est devenu caniveau“.

    Voilà à quoi ressemble une civilisation qui meurt.

    Je voudrais crier partout ma tristesse pour ces enfants qu’on sacrifie… Qui ne trouveront à l’école que ipads, des SMS et des anecdotes people – tout ce qu’ils connaissent déjà en fait, bien mieux que nous, d’ailleurs, et ils nous trouveront bien ridicules de vouloir leur apprendre le "swag“"

    Je voudrais crier ma tristesse pour ces gamins condamnés à la pauvreté culturelle par l’école, le lieu même qui aurait dû être pour eux le chemin de l’évasion vers ce qu’il y a d’universel, d’intemporel – les grands textes, les grandes œuvres, les grandes découvertes, tout ce qui fait grandir le cœur, tout ce qui élargit le regard… Pour ces talents qu’en chacun d’eux nous condamnons à la médiocrité.

    Quand j’avais sept ou huit ans, mon grand-père m’a offert l’Anthologie de la poésie française, de Georges Pompidou, et il m’a dit: "Si tu veux être heureux dans la vie, il faut apprendre deux vers par jour“. Je l’ai fait. Il avait raison. J’ai découvert un savoir, une saveur de la vie que je ne soupçonnais pas, que le quotidien ne donne pas. Je n’ai pas tout compris bien sûr – pas tout entier, pas tout de suite… Mais c’était beau. C’était grand. Et finalement, c’est tout simplement que ce qu’il y a de beau, de grand, se dépose dans un cœur d’enfant pour l’enrichir, par le cœur. Mais qui maintenant aura encore la chance d’apprendre un peu de poésie – par cœur?

    Maintenant que le sujet des manuels de littérature, c’est: "jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Voilà à quoi ressemble une génération qui renonce à transmettre.

    J’ai tant de tristesse au cœur…

    Pourquoi ne nous réveillons-nous pas?

    http://www.fxbellamy.fr/blog/2016/04/30/jcroi-kon-devre-fer-1-brek/

     

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  • Ce qu’un jeune pense de Nuit Debout

    Comment la jeunesse doit-elle se positionner parmi ces revendications ? Un lycéen nous livre son analyse du mouvement Nuit Debout.

    Par Lyvann Vaté.

    Etudiant en classe de première, Lyvann Vaté, né en 2000 à Auxerre, vit sur la Côte basque. Il publie régulièrement sur son blog (https://lyvannvate.wordpress.com ) où il traite de littérature ou de sujets de société et a collaboré à la revue littéraire La Règle du jeu.

     

    https://www.contrepoints.org/2016/05/01/250121-nuit-debout-lorniere-jeunesse

     

    Il a tout juste 16 ans!

     

    Ouf!!! Il y a encore des jeunes gens qui ont les pieds sur terre, en France!

  • Robin et les chaises fantômes de l'Elysée

    Robin est un écolier mahorais ce qui signifie qu'il est, comme chacun le sait, de Mayotte. Il va à la petite école du village de Koungou, un petit village qui a peu de moyen alors dans la classe de Robin, il n'y a que des chaises pourries et des tables branlantes. Robin est malheureux à cause de cela: pour 31 élèves il n'y a que 20 places assises. Alors, comme il n'est pas aussi con qu'il en a l'air, il se décide à écrire à l'homme qui a fait de la jeunesse sa priorité: Président! Et lui demande l'envoi de 18 tables et 36 chaises.

    Tel un galet qui ricoche sur l'eau, le contenu de la lettre, de bureaux de postes en twitter, rebondit sur la toile pour atterrir finalement dans l'oreille du grand homme. L'affaire est jugée suffisamment importante pour que Président donne consigne à sa chef de cabinet de traiter ce dossier devenu prioritaire. Et quelques jours après, le quotidien France Mayotte est content de relater l'affaire: les chaises et les tables ont été envoyées... Elles arrivent! J'imagine la joie de Robin! D'autant plus que le service de communication de l'Elysée prévient la terre entière et confirme par un tweet adressé au frère de Robin:

    Aucun doute, Président est un grand homme et pense à tous les Français, d'où qu'ils soient. Sauf que, car vous en doutez bien il y a un sauf que, si les chaises et les tables sont bien arrivées à l'école du petit Robin, ce n'est pas l'Elysée qui les a envoyé, ni personne de métropole. Les chaises et les tables, sur la photo, sont bien celles qui ont été livrées à l'école mais ce cadeau du ciel n'a rien de présidentiel.

    C'est tout simplement la commune de Koungou qui les a acheté! Ce qui permet au journal France Mayotte, dans son édition de ce vendredi 22 avril, de transmettre le communiqué de la municipalité de Koungu:

    " Vous croyez sincèrement que François Hollande sait où se trouve Koungou et que c'est lui qui a financé le mobilier ? C'est la mairie qui a passé un marché, attribué à une entreprise locale qui a fait en sorte que des chaises soient arrivées. La mairie a financé sur fonds propres et cela n'a rien à voir avec l'Elysée. " Et pour donner plus de crédit à sa dénonciation, le maire joint les copies des appels d'offre, de l'avis d'attribution et la preuve qu'elles ont été financées sur les fonds propres de la commune.

    Résultats des courses: la mairie de Koungu est furieuse que l'Elysée ait voulu, par un tweet habilement rédigé, s'attribuer ce bienfait, Président et ses services, en plus d'avoir menti, passent pour des andouilles et le petit Robin voit s'envoler une de ses illusions: Président n'est pas le père Noël!

    Et France Mayotte après avoir écrit " Scandaleux mensonge [de l'Elysee] "de conclure par: "Il serait toutefois préférable que le président accorde des dotations globales aux communes mahoraises, cela éviterait sans doute aux enfants de sombrer dans la mendicité." ...

    Quand je vous dis que cette équipe qui nous dirige n'est composée que de branquignols, vous me croyez maintenant?

     

    photo, femme, fille, mec, société

     

     

     

     

  • Attention: danger immédiat!

    HISTOIRE DU PETIT EMMANUEL

    Le petit Emmanuel déménage à la campagne et achète un âne à  un vieux fermier pour 100 euros.

    > > > -Le fermier doit livrer l'âne le lendemain, mais justement le lendemain : 

    > > > -Désolé fiston, mais j'ai une mauvaise nouvelle : l'âne est mort.

    > > > -Bien alors, rendez-moi mon argent.  

    > > > -Je ne peux pas faire ça. J'ai déjà tout dépensé... 

    > > > -OK alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.

    > > > -Qu'est-ce que tu vas faire avec un âne mort?

    > > > -Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola..

    > > > -Tu ne peux pas faire tirer un âne mort comme lot !

    > > > -Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu'il est  mort.

    > > >

    > > > -Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment refuser.

    > > > -Il amène donc l'âne au petit Emmanuel 

    > > > - Un mois plus tard, il revient voir le petit Emmanuel:

    > > > - Qu'est devenu mon âne mort ?

    > > > - Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros: ça m'a fait... une recette de 1.000 euros !! 

    > > > - Et personne ne s'est plaint ? 

    > > > - Seulement le gars qui a gagné. Mais je lui ai rendu ses 2 euros et il n’a pas fait d'histoire! 

    > > > - Emmanuel a vieilli et est devenu ministre des finances de la France.

    > > > - Et pour gagner plus, il s'est toujours entouré d'ânes et continue à entuber tout le monde....!