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Insolite - Page 42

  • Avant: une petite ville bien française: Bobigny

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    Pour info, l'adresse de cette "église" construite en 1980 est 5 avenue Karl Marx.

    En 1980, je crois.

    Il manque la cinquième photo pour que le processus soit achevé :

    Premières photos : église bien française sise place de l’Église

    Seconde photo: une horreur sise avenue Karl Marx

    Dernière photo (A venir, d'ici une bonne dizaine d'années) : Mosquée sise avenue du prophète

    C'est censé être une église, cette chose immonde? Quelle insulte à la France! On dirait de l'art contemporain. De l'art dégénéré, comme dirait de Lesquen.

     

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    Faut vraiment être un dégénéré mental pour avoir l'idée de pondre une pourriture pareille. Une saleté de gauchiste, mondialiste ou franc mac? Non, mairie communiste. La laideur de cette merde est à l'image de la pourriture qui anime ceux qui l'ont pondue.

    A raser! Et qu'on ne se contente pas de raser cette "œuvre". Il faut également raser ceux qui l'ont créée!

    C'est justement parce que ça ne ressemble pas à une église que les communistes ont choisit cette architecture en remplacement de l'ancienne qui était dans un style catholique classique et reconnaissable, là y'a juste à retirer la croix et t'en fait une mosquée, ou un abattoir...

     

    Un suicide culturel et spirituel.

    Pris sur un site... quelques réflexions des internautes

     

  • Macron est totalement FOU: il se prend pour le Christ!

    Une discussion avec une amie (en bleue): j'aimerai savoir si ce qu'il raconte nous améliorera le déficit, baissera le nombre de chômeurs, apaisera les banlieues, etc.

    Nous n'avons pas besoin d'un pasteur.... et je voudrais que les journalistes qui ont fait "monter" au pinacle ce crétin, se mordent les doigts et les coui... de nous avoir induits sur ce chemin de béatification de ce Crétinus Magnus aux bourses plates mais au portemonnaie bien garni qu'ils ont ouverts sous les semelles de cet abruti plein de vent d'autan! Même s'il s'en défend, le fais qu'il parle de prédication christique nous montre ses pensées secrètes du vouloir obsessionnel qui le hante.

    Emmanuel Macron: "Je ne cherche pas à être un prédicateur christique."

    Le temps d'un trajet Saint-Pierre-des-Corps-Paris, le candidat d'En Marche!, Emmanuel Macron, s'est confié au JDD sur son charisme, le lien qu'il veut établir avec les électeurs et sa propre mystique... Extraits:

    Sur le rapport des Français à la politique et au sacré.

    "La politique, c’est mystique." [le con!...] "C’est tout mon combat. C’est une erreur de penser que le programme est le cœur d’une campagne. Les médias passent du commentaire d’un point de détail mineur du programme aux pires polémiques, et ainsi de suite."

    Sur son charisme.

    "Comment se construit le pouvoir charismatique? ( donc il présuppose qu'il a du charisme.... ca ne marche pas sur moi, je ne ressens rien en le voyant :-))) ), sur combien de gens exerce il son "charisme"?

    C’est un mélange de choses sensibles et de choses intellectuelles. J’ai toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance, mais en même temps elle doit s’ancrer dans de l’immanence complète, de la matérialité. Je ne crois pas à la transcendance éthérée. (ça sonne bien mais c est un poncif).

    Il faut tresser les deux, l’intelligence et la spiritualité. Sinon l’intelligence est toujours malheureuse. Sinon les gens n’éprouvent de sensations que vers les passions tristes, le ressentiment, la jalousie, etc. Il faut donner une intensité aux passions heureuses."  (J'espère que tout être humain est régi selon cela: la transcendance et la matérialité, les deux mêlés: ce qui est traduit dans le symbole de la croix, qui était un symbole antique, pas uniquement chrétien: la verticalité unie à l'horizontalité, idem dans symbole du tao... donc rien de nouveau, ni de " transcendant".

    .. (il est fortement souhaitable en général que les gens aient une spiritualité. mais je ne pense pas que cela donne forcement du CHARISME).

    Sur sa posture christique.

    "La dimension christique, je ne la renie pas ; je ne la revendique pas. Je ne cherche pas à être un prédicateur christique."

    Bon, ca sonne bien, ce sont des " poncifs", ca en jette, mais cela n'apporte rien...bref, je ne sens pas ce genre de paroles (cela se vit, cela ne se dit pas... le dire est  prétentieux).

    sans verticalité : transcendance ou spiritualité, il n'y a pas d'être humain digne de ce nom; donc... il nous dit une évidence;

    Le vrai charisme pour moi, est celui de certaines personnes, qui apparaissent, ne disent rien, et l'on sait que l'on a en face de soi un être humain "complet", harmonieux... stable sur terre, mais relié "au ciel" ... pour parler comme les taoistes...

    L'homme effectue la liaison entre le ciel et la terre ( le symbole "homme " en chinois exprime très bien cette idée.

    http://www.lejdd.fr/Politique/Macron-La-politique-c-est-mystique-846614

     

  • Macron: vilain museau!

    Comment Macron m’a séduit puis trahi

    par Adrien de Tricornot,  journaliste au Monde, spécialiste des questions économiques et financières. En 2010, lors de la recapitalisation du Monde, Adrien de Tricornot est vice-président de la Société des rédacteurs du Monde. Il en deviendra le président de 2011 à 2012.

    2010, le journal Le Monde est au bord de la faillite et Emmanuel Macron propose son aide "bénévole" aux journalistes. Mais le banquier d’affaires roulait en fait pour un des groupes qui voulait racheter le journal…

    Je suis Adrien de Tricornot, je suis journaliste au Monde. En 2010, le groupe Le Monde avait de grosses difficultés financières et j’étais vice-président de la Société des Rédacteurs du Monde.

    Nous les journalistes, au travers de la Société des Rédacteurs du Monde, étions les principaux actionnaires du groupe*. Nous savions que nous allions devoir faire appel à de nouveaux investisseurs, et voir nos parts diminuer. Nous allions perdre le contrôle actionnarial du journal. Il fallait nous entourer de spécialistes : avocats, banquiers d’affaires.

    Macron, jeune banquier d’affaires, propose de nous aider

    C’est à ce moment là qu’Emmanuel Macron, jeune banquier chez Rothschild, fait savoir à une journaliste, qu’il est prêt à nous aider "pro bono".

    Emmanuel Macron se présente à nous comme un banquier d’affaires qui fait de l’argent, mais n’y trouve pas du sens, membre de la Fondation Jean Jaurès, voulant défendre la liberté de la presse, ancien assistant de Paul Ricoeur… Et donc prêt à nous aider bénévolement.

    "On allait voir Macron le soir chez Rothschild, quand tous ses collègues étaient sortis, pour se tenir au courant discrètement. "

    Et Emmanuel, puisque c’est comme ça qu’on l’appelait à l’époque, devient vite un conseiller important pour nous. On allait le voir le soir chez Rothschild, quand tous ses collègues étaient sortis ou dans des cafés pour se tenir au courant discrètement. On le trouvait formidable, super brillant…

    J’aperçois Macron avec Alain Minc…

    Le 2 septembre 2010 après-midi, on se retrouve une nouvelle fois dans le bureau d’Emmanuel Macron. On lui rend compte de l’état de nos négociations. On s’apprête à conclure avec l’offre Bergé-Niel-Pigasse, qui n’était pas la direction vers laquelle il nous avait conseillé d’aller. Mais l’entretien reste très cordial.

    Le 3 septembre au matin, nous avions une réunion avec les conseillers de Pierre Bergé [un des futurs repreneurs du Monde], 10 avenue George V. La coïncidence, c’est qu’à la même adresse, il y a les bureaux… d’Alain Minc. Or Minc, ancien président du Conseil de Surveillance du Monde, conseille à l’époque le groupe Prisa qui est un des autres candidats au rachat de notre journal.

    … Macron disparaît et part se cacher

    Après notre rendez-vous, nous discutons quelques minutes entre nous avec Gilles Van Kote, président de la Société des rédacteurs du Monde, notre avocat et sa collaboratrice, en bas de l’immeuble. Je vois la porte de l’immeuble s’ouvrir. Un petit groupe sort autour d’Alain Minc, pour aller déjeuner ; le dernier à sortir est Emmanuel Macron. Je croise son regard, il me semble qu’il me voit également ; il échange quelques mots avec Minc tout en restant sur le pas de la porte, puis Macron disparaît derrière la porte cochère et ne sort pas.

    Là je dis à mes collègues: "vous n’allez pas me croire, mais avec Minc, il y avait Macron". Mes amis me disent que je suis peut-être un peu fatigué, mais que ça n’est pas possible.

    La partie de cache-cache commence

     Je décide d’aller voir si Macron est toujours derrière la porte. Je ne vois personne dans l’entrée, personne derrière la porte, personne dans la cour.

     

    Je reviens sans l’avoir trouvé. Mais avant que nous séparions, je décide de faire une autre tentative, et je demande aux autres de m’attendre.

    Je monte à l’étage et je sonne au bureau de Minc, mais tout le monde est parti manger. Et je me dis, tiens, si j’allais monter voir aux autres étages.

    J’avais une sorte de pressentiment. J’avais vu que Macron se cachait, or quelqu’un qui se cache doit continuer à se cacher. Je monte les marches. Mon téléphone sonne en appel masqué. Je n’ai pas su qui c’était, j’ai raccroché.

    Je retrouve Emmanuel au dernier étage

    Et puis j’arrive au dernier étage de l’immeuble. Je vois que la porte de l’ascenseur est bloquée – et effectivement quand j’avais essayé de prendre l’ascenseur, il n’était pas dispo. Et tout au bout de l’étage, sur le palier, il y avait Emmanuel Macron qui s’était bien " replié " au moment où il m’avait vu !

    "J’ai retrouvé Macron caché au dernier étage de l’immeuble. Il avait bien pris la fuite au moment où je l’ai vu avec Minc"

    Il avait bloqué la porte de l’ascenseur, et je ne sais pas si c’est lui qui m’avait appelé en masqué pour savoir si c’était moi qui montait les marches. On s’appelait beaucoup à l’époque, mais pas en appel caché ! Ceci dit, c’est peut-être juste un hasard.

    Surtout, étrangement, quand j’arrive sur le palier du dernier étage, Macron regarde ses pieds et a son portable à l’oreille et fait comme s’il ne me voyait pas. Et précisément au moment où j’arrive sur le seuil du dernier étage, j’entends " Oui allô c’est Emmanuel… " : Il se met à démarrer une conversation au téléphone. Pile au moment où j’arrive. Je ne sais pas s’il y avait vraiment quelqu’un à l’autre bout du téléphone…

    Et moi je vois ce type juste devant moi, qui fait comme si je n’étais pas là. Je suis totalement sidéré. Je pourrais être en colère de la trahison, car on voit bien qu’il a essayé de nous cacher quelque chose, mais je suis assez content de l’avoir trouvé !

    Je me rapproche à quelques centimètres de lui, mais toujours rien… il continue à " parler " au téléphone. Je lui tends la main et lui dis : " Bonjour Emmanuel. Tu ne nous dis plus bonjour ? Mes autres collègues t’attendent en bas ". J’ai senti à ce moment l’angoisse en lui. Il avait du mal à respirer. Son cœur battait à 200 à l’heure.

    Je lui demande ce qu’il fait là. Il me répond :

    " – J’attends des clients"

    " – Tu attends des clients, comme ça, sur le pas de la porte ? Pourquoi tu ne rentres pas?

    " – Bah, parce qu’en fait on nous prête des locaux ici, mais j’ai pas encore la clé… "

    " – En tout cas mes collègues t’attendent en bas, ça serait bien que tu descendes leur dire bonjour"

    " – Non je ne peux pas, j’attends des clients… "

    Finalement, je lui force la main pour qu’il descende dire bonjour à mes collègues. Macron retrouve petit à petit son aplomb, pendant qu’on redescend au rez-de-chaussée.

    Je repasse la porte d’entrée de l’immeuble, cette fois avec Macron. Là, mes amis, goguenards, s’attendaient à me voir revenir bredouille. Ils passent de l’état goguenard à celui de la sidération. Parce qu’effectivement Macron était bien là !

    Macron discute quelques instants avec notre petit groupe. Parmi mes collègues, notre avocat d’affaires, qui est assez rompu aux négociations d’affaires, sait que dans ce domaine tout est permis, mais était sidéré. Et Gilles Van Kote [à l’époque président de la société des rédacteurs du Monde, puis directeur du journal de 2014 à 2015], qui était aussi présent ce jour-là, m’avait dit un jour :

    " On a été trahis par tellement de gens que si même Emmanuel nous trahit, c’est à désespérer de l’humanité. "

    Quelques minutes plus tard après être parti, Gilles Van Kote m’envoie ce texto :

    " Tant pis pour l’humanité. "

    Je pense que Macron a été se cacher parce qu’il a été surpris. Le fait qu’il soit surpris avec Alain Minc est une sorte d’aveux qu’il a des relations qui ne sont pas connues de nous avec lui. Or Macron est notre conseiller. Il a le droit de rencontrer Minc, soit pour des dossiers qui ne nous concernent pas et où il ne parle pas de nous. Mais s’il parle de notre dossier, il doit nous en rendre compte.

    Cela signifie que, pendant la négociation, Macron avait déjà eu des relations avec Minc, sans nous le dire. Or Minc était le soutien d’une offre qui nous paraissait particulièrement dangereuse, celle de Prisa!

    Plus tard, d’autres éléments ont conforté ces très forts soupçons. Dans le livre de Marc Endeweld, L’Ambigu Monsieur Macron(link is external), j’ai appris qu’un courrier que nous avions nous-mêmes [la Société des rédacteurs du Monde] adressé à Xavier Niel, Pierre Bergé et Mathieu Pigasse pour demander un délai de 15 jours supplémentaires de négociations avec les différents repreneurs potentiels, avait en fait été rédigé à l’origine par Alain Minc Conseil, la société de Minc. Or, c’est Emmanuel Macron qui nous avait transmis la trame de ce courrier !

    Et d’ailleurs, quand Macron propose de repousser le délai de remise des offres de 15 jours supplémentaires, cela permettait à Prisa de rester encore dans le jeu ! Et ensuite, Macron nous a même poussés à ne pas rentrer en négociations exclusives avec Niel-Bergé-Pigasse lors d’une réunion d’information avec les journalistes du Monde où nous l’avions invité, et où sa position a été très mal reçue, compte-tenu du risque qu’il nous conseillait curieusement de courir dans notre situation délicate, puisque nous risquions alors d’être placés sous mandataire de justice par le Tribunal de commerce…

    Encore une autre preuve du double jeu de Macron…

    En fait Macron roulait pour lui-même

    Je pense qu’en cours de route, Macron, en se présentant comme conseil de l’actionnaire majoritaire, a obtenu une certaine visibilité dans Paris, la possibilité de discuter avec des gens… Et puis, il a vu arriver dans la négociation des gens avec qui il était rival, comme le banquier d’affaires Mathieu Pigasse de la banque Lazard.

    Et au final, j’ai l’impression que Macron roulait pour lui-même.

    C’est d’autant plus choquant qu’il prétendait rouler pour une cause d’intérêt général. Nous étions pour notre part, élus, bénévoles, et on n’a rien retiré de cette opération qui visait à sauvegarder un groupe de médias indépendants !

    Je n’ai plus eu de contacts avec Emmanuel Macron depuis ce jour, sauf à un prix du livre d’économie, quelques années plus tard.

    Je crois être la seule personne à avoir joué à cache-cache avec un candidat à l’élection présidentielle… et à l’avoir trouvé !

    * Au sein du " Pôle d’indépendance ", qui était l’actionnaire majoritaire, il y avait la Société des Rédacteurs du Monde, mais également les lecteurs et les autres salariés.

     Propos recueillis par Johan Weisz

    Vidéos sur le site

    http://www.streetpress.com/sujet/1486723160-macron-le-monde

  • Hamon, le fumier, fumiste!... et lycée de Versailles...

    Hamon, prof de fac avec une licence d’histoire et un bouquin plagié

    Petite licence, mais grosse expérience PS! Au nom de laquelle on peut le recruter comme "professeur associé"!..... à leur connerie, oui!

    Quand vous bossiez dur pour décrocher des concours, lui manifestait contre les diplômes trop difficiles à obtenir: 1986, loi Devaquet, SOS Racisme dans la rue, la gauche démago au service de Tonton. Il adhère à l’UNEF. Mais il faut bien justifier qu’on est un peu étudiant: donc, Benoît réussit à décrocher une licence d’histoire. Et voilà, sur le CV, la liste des diplômes s’arrête là.

    Une maîtrise? Un DEA? Un doctorat? Pensez donc, de longues années de recherche, ça ne laisse pas de temps pour faire carrière aux MJS. Mais alors, un concours d’enseignement? Un CAPES? Une agrégation? Attendez, c’est risqué, un concours! Benoît Hamon a zappé ce qui était, avant, la voie royale chez les élus de gauche : l’enseignement. Avec lui, fini la République des professeurs.

    Pas d’autre expérience professionnelle que la vie du Parti socialiste : UNEF, MJS, courants, éléphants, etc., jusqu’à en être aujourd’hui le candidat.

    On peste souvent, avec raison, contre les candidats du système, formatés par l’ENA ou Sciences Po. Mais je croyais qu’à gauche, on avait encore, malgré tout, le respect de cette méritocratie-là. Hamon? Le pur produit, non du système, mais du sous-système PS…

    Mais attention, n’allons pas instiller le doute sur la formation limitée de notre apparatchiks. "Les Décodeurs" du Monde nous expliquent sans rire:

    "Les engagements syndicaux et politiques précoces de Benoît Hamon ne lui ont effectivement pas laissé le temps de faire de longues études, puisqu’il s’est contenté d’une licence d’histoire à l’université de Bretagne-Occidentale à Brest avant d’entrer en politique comme assistant parlementaire du député PS Pierre Brana. "

    Pauvre Benoît, tellement précoce qu’il n’a pas eu le temps de faire des études…

    Sauf que, assistant parlementaire, il le devient en 1991: il a 24 ans. Pas le temps de décrocher mieux qu’un bac+3, six ans après le bac?

    Mais si " Les Décodeurs " défendent notre ex-jeune socialiste, c’est que certains ont osé dénoncer son poste de professeur associé, en 2009, et pendant trois ans, dans une université. C’est sûr que vous qui ramez pour décrocher un poste à l’université, malgré votre thèse, votre agrégation, vos articles (et du sérieux, du lourd! Pas du plagiat ou du facile!), votre expérience d’enseignement, vous trouvez ça un peu fort de café, le Hamon qu’on balance professeur à l’université, avec sa petite licence d’histoire.

    Mais vous vous fourvoyez! Petite licence, mais grosse expérience PS! Au nom de laquelle on peut le recruter comme " professeur associé "! C’est légal!

    Benoît Hamon était en panne dans sa carrière, et il se trouvait que la fac avait justement besoin d’un professeur associé à ce moment-là! Un commentateur de l’article a lâché le fin mot de l’histoire: piston!

    Alors, Benoît, pour enrichir ton programme, après le revenu universel, le piston universel?

    Au fait, "Les Décodeurs", tous ces extraits de son livre si justement titré Tourner la page (publié quand il est recruté sur ce poste de professeur), qu’il a recopiés sans mettre les guillemets, c’est une affaire? C’est du plagiat? Ou simplement un déficit de formation… initiale?

    BdVoltaire

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    j'ai écrit cela le 18:12:2016, dans mon autre blog: insoliteetdéjanté

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2016/12/18/le-zoo-humain-8-hamon-5888340.html

    J'explique dans le numéro 1 consacré à Macron la pertinence de cette voyance un peu spéciale. Lorsque j'associe des explications psychologiques, ce sont celles qui me passent à l'esprit au moment où j'écris la note: je suis en concentration mentale. Comme pendant une consultation normale.

    Bouyouyou!! que c'est compliqué sur le monsieur… j'ai vu de l'aigle, de la tortue, de l'ours ratatiné en ses pénates, j'ai vu aussi se superposer la tête de Macron quand il est âne….

    J'espère que vous avez lu mes 7 précédentes “voyances“ des humains du zoo. Cet homme-là, il a tous les défauts de ces animaux….

    Le plus apparent, c'est quand il fait sa tortue: une tortue “rouscailleuse“ comme on dit par chez nous à Toulouse. Une qui râle tout le temps, la tête dans les souvenirs du passé. Une tortue qui croit en rien ni en personne… Qui est sur son chemin, tête baissée comme le cycliste qui croit qu'en baissant la tête, il ressemblera à un champion cycliste de ceux qu'on voit sur le Tour.

    Hamon, il voudrait bien, mais il peu point. Quoi? me direz-vous. Tout et rien. Il veut tout mais chaque fois qu'il avance une envie, une idée, une explication, il se rétracte aussitôt comme un ours qui fait semblant d'être opiniâtre, fort et solide, Bon pour la France.

    Mais, il se planque dans sa caverne pour hiberner jusqu'à la saison prochaine. Il espère que les plats repasseront encore une fois ou deux. Il sait pourtant qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même…. mais, il est pas assez aigle pour forcer la “main“ médiacratique. Faut se pincer pour lui trouver une vraie idée qu'elle est bonne pour l'avenir de la France.

    Alors, il dit, il dit, il dit…. et puis il clique...... sur rien. Rien au bout de la souris. Rien dans ses propositions, rien dans ses poches. Cui-là, il croit qu'il avance d'un pas, mais en fait, il recule de quatre. Il est juste tenace…

    Son truc à lui? qu'on vienne le chercher.... oup's... si c'est pas lui qui va vers les journaleux-baveux, on va pas le chercher... alors, ça l'angoisse: être oublié dans un coin...

    Très souvent, il se plante, c'est comme l'âne en Macron, mais, y'a personne pour lui dire qu'il se fourvoie. Il prend trop de chemins de traverse qui ne mènent à rien. Heureusement que dans le zoo humain des politicards, il y a quelques zèbres pour nous faire marrer… sinon, la politique en France, ces temps-ci, c'est pas la grosse joie!

    Quand un Français pète de travers, il a un procès aux fesses à cause des tas de ligues de Vertu Outragées qui foisonnent en dictature socialaupe, qu'on se croirait revenus au temps des Romantiques qui avaient interdiction de se gratter les buebos, “ça ne se fait pas, on ne doit pas mélanger les torchons et les serviettes“.

    Macron et lui sont frères jumeaux en caractère et en action de plantages récurrents. C'est une tortue tenace mais ça suffit pas pour en faire un président; y'a pas les idées modernes, y'a pas un Grand Chemin à indiquer à tous les Français pour les réunir face à leur Grand Destin…. tout est vieux, usé, mité… et y'a même pas la suite dans les idées.

     

  • Des murs, partout, partout et c'est qui le méchant? Trump!

    Ah ces Américains! Qu'est-ce qu'ils me font rire, parfois. Pas tous, certains. Hier je regardais les manifestations qui avaient lieu dans plusieurs aéroports américains afin de protester contre le décret signé par Trump visant à interdire l'entrée sur le territoire US aux ressortissants de 7 pays musulmans. Ces manifestants étaient quasiment tous estampillés démocrates ou, c'est selon, "progressistes". Des tordus du ciboulot à l'indignation bien sélective! Tenez les ressortissants israéliens sont interdits dans 16 pays au monde et là, curieusement, cela ne choque personne.

    Les Américains, Obama et vedettes du show-biz en tête, et tous ceux qui, de par le monde y compris en France, s'élèvent contre l'autre décret de Trump visant à "construire" un mur à la frontière mexicaine me font rire; pas possible autrement, ils ont le ridicule chevillé au corps! Pourquoi?

    D'abord parce que ce mur existe déjà (près de  1 500 km, 1 800 miradors et 18 000 hommes pour le surveiller), pas sur la totalité de la frontière mais presque. Lorsqu'il a fallu le construire, en 2006, devinez un peu qui a approuvé le "Secure Fence Act " de Georges W. Bush, je vous le donne en mille: Pas moins de 26 sénateurs démocrates dont... tadam... un certain Barack Obama et la sénatrice de l'Etat de New-York Hilary Clinton. Deux ans plus tard, le premier devint POTUS et la seconde secrétaire d'Etat. Et pendant 8 ans, l'administration américaine continuera de bâtir ce mur et financera son entretien. Trump ne fait rien d'autre, avec son décret, que de rénover, d'entretenir et de prolonger ce mur. Rigolo, non? D'autant plus que le Mexique en construit un au sud du pays et que là, personne ne dit rien.

    Comme personne ne dit rien des murs qui ont poussé ou poussent un peu partout dans le monde. Y en a partout et sous toutes les formes, en Israël, en Hongrie, en Serbie, en Roumanie, à Chypre, entre le Maroc et l'Espagne à Melilla et Ceuta, entre la Bulgarie et la Turquie, celui entre le Koweit et l'Irak érigé en 1991 et sans cesse consolidé depuis 2004, entre l'Arabie Saoudite et l'Irak depuis 2014 et bientôt au sud vers le Yémen, entre la Corée du Sud et celle du Nord, entre le Botswana et le Zimbabwe, entre l'Inde et le Pakistan, à Djibouti, etc... la liste n'est pas exhaustive, y en a partout. Tenez, même en France, on en a construit un du côté de Calais.

    Alors c'est vrai, tous n'ont pas été érigés pour les mêmes raisons ni aux mêmes époques. Tantôt, c'était entre pays belligérants, parfois pour se protéger, souvent entre deux pays irréconciliables se partageant des bouts de territoires, pour limiter autant que faire se peut l'immigration clandestine, etc... autant de raisons, bonnes ou mauvaises, de construire des murs. Ils ont tous cependant un point commun: Empêcher "les gens" de circuler à leur guise, empêcher "les gens" d'entrer chez autrui sans autorisation. Nous avons bien des portes à nos maisons et des clôtures à nos jardins, non?

    Si après ce beau billet matinal, comme moi, vous n'êtes pas pliés de rire en contemplant ces limités du bulbe manifester contre les décrets Trump, c'est à désespérer!

    Et puis, un Président qui tient ses engagements de campagne, c'est tellement rare que ça vaut le coup de le signaler!

    http://corto74.blogspot.fr/2017/01/des-murs-partout-partout-et-cest-qui-le.html

    Potus = président

    Flotus = présidente

  • Les rats pulluent à Paris.... bien sûr, il fallait s'en douter! et d'ailleurs, on aura pire encor'!

    Depuis quelques semaines, ils gambadent allègrement dans les rues, au milieu des déchets abandonnés, à la vue de tous : les rats, qui prolifèrent dans certains quartiers du nord de la capitale, notamment à la Goutte-d’Or (XVIIIe) et aux abords de la gare de l’Est (Xe), inquiètent et agacent tout autant. Contactées par les riverains excédés, les deux mairies d’arrondissement concernés ont affirmé que le nécessaire allait être prochainement fait avec les services de dératisation, comme cela a été déjà été le cas squares Alban-Satragne (Xe) et de Jessaint (XVIIIe).

    Mais dans les quartiers concernés, les habitants se sentent un peu abandonnés. Ou, du moins, loin d’être logés à la même enseigne que d’autres Parisiens. " La Ville a décidé de mettre en place un plan d’action de grande ampleur pour faire face à la présence de gaspards trop nombreux ", souligne l’association Action Barbès, très active dans les IXe, Xe et XVIIIe arrondissements. " Mais ce plan, déplore-t-elle, se concentre sur quelques quartiers du centre de la capitale… Pourtant, nous ne sommes pas épargnés : le problème est particulièrement notable sur les friches à l’angle des rues Léon et Myrha, et au carrefour Affre-Myrha, qui doit accueillir des logements sociaux. "

    A la Goutte-d’Or, on pointe du doigt des commerces de bouche du secteur, qui n’hésitent pas à confondre friche et décharge. " La mairie est intervenue plusieurs fois auprès d’un restaurateur pour qu’il cesse ces pratiques, poursuit Action Barbès. En vain“.

    "Les détritus déposés quotidiennement attirent les rats par dizaines, s’alarme une riveraine de la rue Polonceau toute proche. On les voit régulièrement déambuler au milieu des ordures, s’y nourrir… Et comme un déchet en appelle un autre, certains viennent ajouter les leurs“.  "On sait tous qu’il y a des rats en nombre dans Paris, tempère un passant, mais en jetant les déchets n’importe où, il est évident qu’on les attire. Il faudrait vraiment sévir avec les responsables de ces incivilités, et nettoyer plus souvent nos rues". Même scénario aux abords de la gare de l’Est, où les rongeurs sont visibles sur les trottoirs, se mêlant aux groupes de pigeons avec lesquels ils se disputent la pitance, sous l’objectif des internautes qui diffusent photos et vidéos sur les réseaux sociaux… En attendant qu’une solution soit trouvée à la prolifération des rongeurs.

     leparisien.fr