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Opinions - Page 107

  • Dans les choux, le présitante!

    On regarde Macron avec indulgence, mais au Conseil Européen il s’est ramassé totalement

    Vincent Hervouët: "Macron a un peu d’air parce qu’il a créé la surprise aux élections et a obtenu une majorité dans la foulée, donc on regarde sa jeunesse avec une forme d’intérêt et d’indulgence. Pour autant, est-ce qu’au dernier conseil européen, la France a réussi à faire avancer ses pions? Est-ce que par exemple sur le dumping chinois, nos alliés nous ont suivi pour essayer d’hérisser quelques barrières? Pas du tout. On s’est ramassé totalement!"

    – LCI, 7 juillet 2017, 10h33

    "On peut ainsi voir que, de la coupe aux lèvres, il y a de la séduction sur papier glacé, de la panoplie – hier en sous-marinier, aujourd’hui en maître du monde – à la réalité de l’action, au-delà de la posture, il y a un gouffre! On est dans un état de grâce, c’est vrai. Il redonne de l’espoir aux gens qui ont une idée fédéraliste de l’Europe vers de plus grands transferts de souveraineté vers l’Allemagne sans doute.

    Mais, pour autant, son action s’inscrit peu dans les faits. L’exemple le plus symptomatique: Emmanuel Macron va voir Donald Trump – qui reviendra la semaine prochaine une 2ème fois le 14 juillet – Il va le voir et a annoncé qu’il espérait "ramener à la raison" sur la question du réchauffement climatique le président américain. On se demande lequel des 2 est le plus fou quand il dit ça. Parce que, Donald Trump est très surprenant, il est difficile de prévoir ce qu’il va dire et ce qu’il va faire, mais imaginer que 2 jours à Hambourg suffisent à le convaincre de se renier sur ce qu’il a dit après Taormine, le dernier sommet où il avait dénoncé l’accord de Paris, c’est faire preuve de beaucoup d’optimisme."

     

     

  • Des idiots dangereux

    Par Paul Robinson – Le 17 mai 2017 -– Source Irussianality

    À un moment donné, pendant la campagne présidentielle américaine de l’année dernière, le parti Démocrate a décidé qu’il jouerait la carte russe et accuserait Donald Trump d’être au mieux un idiot utile du Kremlin, au pire un agent russe. Les Démocrates ont ensuite transformé cette carte pour en faire quasiment la pièce maîtresse de leur campagne, répétant sans arrêt ces accusations. Je n’arrive pas à comprendre comment ils pouvaient penser que cette stratégie était la bonne, car elle ne fait que renforcer leur manque de lien avec les électeurs ordinaires américains, mais je suppose qu’après l’avoir répété si souvent ils ont fini par y croire.

    Nous savons maintenant qu’après la défaite de Hillary Clinton, ses conseillers se sont réunis pour discuter de la façon de réagir à cette catastrophe électorale et qu’ils ont décidé que la meilleure option était de dire que c’était de la faute des Russes. Encore une fois, je n’arrive pas comprendre pourquoi, sauf peut-être que a) c’est devenu une question de foi, et b) cela leur a permis d’éviter d’avoir à examiner leurs propres faiblesses.

    Depuis lors, le parti Démocrate mène une guerre sans fin contre le président Trump, en l’accusant, lui et ses proches, de relations prétendument douteuses avec la Russie. Des membres des services de sécurité et de renseignement sont complices et font fuiter à la presse toutes les informations pouvant aller dans ce sens afin de faire dérailler toute tentative de rapprochement entre les États-Unis et la Fédération de Russie. L’" État profond " (si vous croyez en une telle chose) y travaille dur.

    Vous pourriez dire que " tous les coups sont permis, en amour comme à la guerre ", et qu’il est tout à fait normal d’utiliser n’importe quelle arme pour attaquer vos adversaires politiques. Mais dans ce cas je pense que ces attaques sont non seulement, et ce depuis longtemps, complètement hors de toute réalité, et qu’elles font également preuve d’une irresponsabilité flagrante.

    Prenez, par exemple, les dernières allégations disant que Trump divulgue des secrets aux Russes. Horrifiés par ce supposé abus de pouvoir, des officiers du renseignement anonymes ont divulgué ces secrets, avec l’aide du Washington Post, non seulement aux Russes, mais au MONDE ENTIER.  Personnellement, cela ne me dérange par tant que cela; ma propre courte carrière dans le monde du renseignement m’a persuadé que c’est un monde beaucoup moins important que ne le pensent les gens. Néanmoins, il est extraordinairement hypocrite que les critiques de Trump se plaignent de violations du secret d’État tout en enfreignant ce secret à une échelle beaucoup plus grande. Les ennemis de Trump l’accusent d’être irresponsable, mais qui est vraiment irresponsable dans ce cas?

    Ensuite – et je vais oser rendre le fond de ma pensée très clair – je suis fermement d’avis que c’est positif si les États ont de bonnes relations les uns avec les autres. Et il est particulièrement important que les États puissants le fassent. Qu’est ce qui est le mieux? Un monde dans lequel les grandes puissances sont en conflit les unes avec les autres ou un monde dans lequel elles s’accordent entre elles? Évidemment, le deuxième choix. Ainsi, l’amélioration des relations américano-russes est une bonne idée. Lorsque Trump a déclaré cela pendant la campagne électorale, il avait tout à fait raison. Cependant, ses ennemis font le maximum pour obtenir le résultat inverse. Dans le but de saper leur président, ils font tout leur possible pour saboter les relations américano-russes. En d’autres termes, ils mettent en danger les intérêts de leur propre pays, et plus largement la sécurité du monde entier, car ils pensent que c’est un bon moyen pour obtenir un avantage politique national. Encore une fois, je pose la question : qui est irresponsable ici?

    Enfin, en cherchant à détruire Trump de cette façon, ses adversaires menacent l’ordre interne de leur propre pays. Une autre explication pour l’obsession de la Russie serait que les " Jamais Trump " ne recherchent pas tant un avantage électoral qu’une forme de " coup d’état rampant " ou de révolution de palais. L’espoir n’est pas tant de nuire aux perspectives électorales de Trump pour 2020 que de le forcer à démissionner ou le faire destituer. Dans le fond, ils essaient d’invalider le processus électoral.

    Ce qui rend cette histoire dangereuse, c’est que de nombreux partisans de Trump sont déjà convaincus que les élites qui gouvernent les États-Unis ne se soucient pas de leurs intérêts et ont manipulé le système pour les écraser. Maintenant qu’ils ont finalement élu leur dirigeant, ils ne vont pas trop aimer le voir destituer d’une telle manière. Si cette tactique devait réussir, cela mécontenterait une grande partie de la population encore plus fortement qu’elle ne l’est déjà, et pourrait même, dans les pires scénarios, avoir des conséquences violentes (les milices d’extrême-droite sont déjà responsables de beaucoup plus de violence aux États-Unis que tout autre type de groupe politique). Les Démocrates et leurs alliés dans les services de sécurité et de renseignement jouent avec le feu. Encore une fois, qui est irresponsable ici?

    Parlant à Sotchi aujourd’hui, Vladimir Poutine a bien résumé l’affaire :

     " Ils déstabilisent la situation politique aux États-Unis en utilisant des slogans anti-russes. Soit ils ne comprennent pas les dommages qu’ils font à leur propre pays, auquel cas ils sont complètement idiots, ou ils les comprennent tout à fait, et ils sont alors tout simplement dangereux et sans scrupules. "

    Quant à moi, je pense qu’ils sont les deux.

    Paul Robinson

    Traduit par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.fr/des-idiots-dangereux

  • Vu du Québec: la France va souffrir…

    Le parti En Marche de Macron, ce banquier mondialiste s’appuyant sur le multiculturalisme à toutes les sauces n’est ni plus ni moins qu’un ramassis de faux socialistes de droite amalgamés avec des UMP (Républicains de maintenant). Ils sont tous opportunistes, carriéristes et mondialistes. Macron, c’est Sarkozy et Hollande réunis en une seule personne. La souveraineté de la France, face à l‘Union européenne, va encore subir des limitations dans ses pouvoirs législatifs, économiques et sociaux.

    C’est l’Allemagne, la finance et les multinationales qui sortent gagnantes de ces élections. Le couple franco-allemand va mener à l’éclatement de l’UE. Déjà, en Allemagne, migrants et illégaux travaillent pour 85 centimes d’euros l’heure et des Roumains le font pour un euro dans des vignobles et chez les maraichers.

    Macron s’apprête à abolir le Code du travail. L’agriculture familiale va rendre son dernier souffle et les entreprises françaises, PME comme multinationales vont fermer ou passer sous contrôle étranger. Un exemple: en France, des Départements finançaient, pour un faible pourcentage des coûts, le transport en commun afin de permettre à des employés de PME vivant dans de petites communes limitrophes de l’entreprise de venir travailler et de retourner à la maison le soir. Ces gens n’ont pas les moyens, avec leurs salaires et le coût de la vie d’acheter une auto. Eh bien, l’UE a fait couper ces subsides au transport, sous prétexte que cela ne correspondait pas aux normes européennes, vu le trop faible bassin de population desservi par le service de transport.

    Les établissements d’éducation et de santé ne peuvent plus favoriser les produits agricoles français, même quand ces produits sont à prix équivalents ou moins chers. L’UE va instituer son ministère du budget qui aura préséance sur les finances des pays membres. La France n’a pas fini de souffrir. Elle l’aura voulu en élisant Macron et en s’abstenant de voter à 57% aux législatives.

    Cécile Comeau

    L’ancêtre de mon père est arrivé de France en Acadie en 1632. Celui de ma mère est arrivé en 1671 en Nouvelle-France (Québec). La famille de mon père a quitté l’Acadie conquise par les Anglais pour la Nouvelle-France (Québec). Elle refusait de vivre sous un régime anglais. La pauvre, l’histoire l’a rattrapée en 1759. Nous résistons depuis au Québec...

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/06/19/vu-du-quebec-la-france-va-souffrir/

     

    BRAVO à tous les abrutis qui ont voté pour le présitante!

     

  • .... et pendant ce temps où la France vote pour des incapables et des ignares....

    Imminence d’un effondrement financier – 5 Hauts Spécialistes l’annoncent!

    Mark Yusko: "Je vous le dis, nous allons avoir un crash et il sera ÉNORME!"

    Bien que l’indice Dow Jones continue de battre de nouveaux sommets historiques, regardez qui vient de tirer la sonnette d’alarme ci-dessous.

    Lors de sa dernière Conférence sur l’investissement stratégique, John Mauldin a interviewé Mark Yusko, président et fondateur de la firme Morgan Creek Capital Management pendant près d’une heure. J’ai trouvé qu’il était important de transmettre l’énorme mise en garde lancée par Mark vers la fin de l’interview. Voici l’alerte lancée par Mark Yusko.

    Il semble que l’histoire se répète. Voilà ce que Mark Yuko a fini par dire à la fin de l’interview: "Je vous le dis. Nous aurons un crash et il sera énorme. J’ignore quand est-ce que cela va se produire. Peut-être que ce sera en septembre ou en octobre, mais peu importe car cela finira par arriver. Et si l’Amérique se met a reproduire ce qu’elle avait fait durant les années 1930, à savoir augmenter les droits de douane afin d’essayer de protéger ses emplois, si elle expulse les étrangers, alors elle transformera une récession en dépression. Nous aurons un choc déflationniste. Lorsque vous augmentez les droits de douane, croyez-vous que les autres pays resteront là à ne rien faire? Bien sûr que Non. Les exportations américaines avaient chuté de 35% dans les années 30 car en réaction, les droits de douanes étaient devenus bien plus élevés dans d’autres pays. Ces derniers avaient tout simplement riposté face à la hausse des droits de douanes mise en place par les Etats-Unis. L’Amérique agit comme si elle décidait pour le reste du monde.

    Les marchés américains n’ont jamais été aussi calmes. En général, on observe ce genre de phénomène avant un crash. Peut-être que ça ne se produire pas cette fois mais… "

    http://www.businessbourse.com/2017/06/16/mark-yusko-dis-allons-crash-sera-enorme/

  • Le présitante, le nouveau dictateur après flamby

    Oradour-sur-Macron

    Il faisait chaud et beau, les calvities précoces ou tardives rissolaient sèchement, en cette fin de matinée.

    Le 10 juin 44, si j’en crois la rumeur, il avait d’abord fait lourd, puis le ciel s’était dégagé. Il faut de la chaleur et beaucoup de soleil pour donner à une division SS l’idée de tout passer par le feu — les vivants et les morts.

    Belle idée d’avoir gardé les ruines en l’état. Lisbonne de même n’a jamais voulu rebâtir le couvent des Carmes, mis à bas par le tremblement de terre du 1er novembre 1755 — celui même dont Candide tire la preuve que tout n’est peut-être pas pour le mieux dans le meilleur des mondes.

    En ce 10 juin 2017, les cameramen escaladaient les tas de pierres pour obtenir le plan le plus significatif sur le président de la République qui remontait les rues du village dévasté, escorté par une noria d’élèves venus de toute la France (1).

    Comme personne ne peut me soupçonner de macronisme aigu, et que d’aucuns me reprochent de ne pas avoir hurlé avec les lèche-culs entre les deux tours de la présidentielle, j’ai d’autant plus de liberté pour dire que le discours que prononça samedi dernier le président de la république était un bon discours. Qu’il ait été écrit, dit-on, par Sylvain Fort (2) importe guère, et l’ex-nègre que je suis sait reconnaître de la belle ouvrage.

    Il y est question d’Histoire, forcément, mais surtout de transmission.

    "Voyez ces ruines qui sont derrière vous, déjà la pluie et le soleil après tant de décennies ont effacé les traces noires de l’incendie dévastateur. L’herbe du Limousin a repoussé dans ce sanctuaire, l’impact des balles tirées ce jour-là sur les hommes, les femmes, les enfants s’est poli sur ces murs et se confond avec l’érosion de la pierre.

    "Il en va de même la mémoire, elle aussi forcément s’érode.

    "Ce qui se transmet risque de s’affadir, sans cesse nous devons raviver la flamme et lui redonner sens. C’est pourquoi j’ai voulu que vous soyez présents ici, présents au côté des enfants d’Oradour et de Limoges, vous, centaines d’enfants des écoles de France, pour que la mémoire soit transmise dans sa substance par la vision des ruines, des tombes, des noms.

    Je sais que cette journée restera pour vous un moment singulier, parce que vous aurez vu ces lieux de vos yeux, parce que vous aurez serré la main du dernier rescapé. C’est ainsi que se perpétue le fil de l’histoire. J’ai voulu que vous deveniez vous aussi des témoins".

    Ce que j’ai entendu là — peut-être la présence de Jean-Michel Blanquer est-elle pour quelque chose dans l’enchaînement de mes idées —, c’est une condamnation de l’enseignement de l’Histoire tel qu’il est censé être pratiqué au nom des programmes de Najat Vallaud-Belkacem (en grand danger d’être définitivement enterrée dans les poubelles de l’histoire par les habitants de Villeurbanne, dimanche prochain — sans doute vendra-t-elle le pied-à-terre qu’elle avait cru bon d’y acheter pour prouver son attachement à un terroir auquel elle n’appartenait pas). Et une réhabilitation d’une Histoire chronologique, de ce "récit" (et non, pas "roman" !) historique que les programmes de Darcos avaient voulu mettre en place, et que condamnent si fort les pédagos d’Aggiornamento et autres officines du désastre. Réhabilitation d’une Histoire de la transmission des savoirs, faisant de nous, selon le mot de Bernard de Chartres, "des nains sur des épaules de géants" — nani gigantum humeris insidentes, comme on dit vulgairement.

    (J’ai d’autant plus de plaisir à renvoyer le lecteur à cet article qui a déjà deux ans que le Point.fr a cru bon de me remercier — pour cause d’enthousiasme insuffisant à la vague aujourd’hui en marche. Je suis d’ailleurs un tout petit pion dans le rééquilibrage des médias: Paris Première, France 2 ou Europe 1 font le ménage en grand pour complaire à un président dont on ne sait s’il a demandé le grand nettoyage, ou si les rédactions anticipent ses desiderata supposés. La démocratie est un combat, la courtisanerie est une reddition…)

    J’ai passé l’année à faire cours sur la Mémoire — c’était l’un des deux sujets mis au concours des IEP de province. L’année à rappeler à mes étudiants de Bac + 1 — une classe qui n’est pas composée d’héritiers, loin de là — qu’ils sont les derniers maillons, à ce jour, d’une très longue chaîne, et que comme l’a fort bien résumé Laurent Wirth, s’il y a un droit à la mémoire — pour les martyrs d’Oradour comme pour tous ces sacrifiés de tant de guerres, de tant de journées qui ont fait la France (eh non, ce n’est pas une vision réactionnaire! C’est la construction de la nation au sens le plus noble du terme — "Ô soldats de l’an II !"), il y a surtout un devoir d’Histoire.

    Et ce ne sont pas des hommes de droite qui l’expliquent, mais Pierre Vidal-Naquet ou Pierre Nora, qui valent bien les petits coqs du pédagogisme et leurs éructations hystériques. De vrais historiens qui protestent contre l’abus des lois mémorielles, qui permirent à des associations quelque peu partisanes de traîner en justice Olivier Pétré-Grenouilleau, parce qu’il tenait sur l’esclavage un discours vrai mais peu conforme à la loi Taubira. Liberté pour l’Histoire! ont demandé un bon nombre d’historiens — de gauche principalement, car la science n’a pas de couleur politique. Le "politiquement correct" n’a rien à voir avec l’enseignement de cette discipline à hauts risques.

    Ni lois mémorielles, ni "roman" national. Il ne s’agit pas non plus de faire de l’Histoire comme dans le Tour de France de deux enfants, où l’on exaltait l’Histoire et ses mythes pour préparer la revanche. Mais il faut retisser un récit, suivi, chronologique, qui permette aux générations présentes et à venir de penser leur futur en regardant prudemment en arrière. Un coup d’œil dans le rétro n’a jamais empêché d’aller droit — bien au contraire. Savoir d’où nous venons incite à mieux définir où nous allons. La vraie pédagogie, c’est celle-là, et il n’y en a pas d’autre.

    Célébrer Oradour, avec ou sans trémolos malruciens de circonstance, c’est tisser du lien avec le passé, avec les hommes et les femmes du passé; c’est savoir d’où nous sommes issus — et il n’est pas tout à fait indifférent que ce soit de ce passé et non d’un autre. Savoir que la France n’est pas seulement un enchaînement de plaines et de montagnes, mais un paysage sculpté par des générations, légué aux générations à venir comme une œuvre collective qu’il convient de reconnaître, posséder, célébrer.

    Il faut nécessairement réécrire les programmes d’Histoire de la dernière réforme — ou simplement en revenir à ceux de 2008, qui n’étaient pas mauvais, quitte à les amender çà et là. Et s’en tenir là une bonne fois pour toutes. Retrouver le fil de la continuité française, de la geste héroïque française, afin de redonner confiance en la nation — sous peine que les jeunes déboussolés aillent se chercher des exemples héroïques dans quelque Orient compliqué.

    Jean-Paul Brighelli

    (1) Je signale à ce propos au rédacteur qui a publié sur le site de l’Elysée le discours de l’événement que Riom s’écrit avec un "m", et non un "n"…

    (2) Nous avons un point de contact: j’ai jadis servi de nègre à Pierre Brunel, qui fut son patron de thèse

    http://blog.causeur.fr/bonnetdane/oradour-sur-macron-001699.html