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Savoir - Page 119

  • LAREM = VOLEURS!

    A rajouter aux autres exactions déjà indiquées ici

    Guadeloupe: le président LREM de la Région et sa vice-présidente, placés en garde à vue pour détournement de fonds publics

    http://www.fdesouche.com

     

    Un cadre LREM mis en examen dans une affaire de trafic de drogue international

    http://www.fdesouche.com

  • France, orange mécanique

    Lyon: Ils refusent de payer un euro pour passer dans la rue et se font frapper à coups de barre de fer.

    L’auteur a 124 antécédents judiciaires

    Le suspect avait décidé d’instaurer un "droit de passage". Pour "s’amuser".

    Un euro, demandé à chaque passant qui empruntait la rue Joseph Chalier dans le quartier de Mermoz à Lyon. Mais "le jeu" a tourné à la violente agression, rapporte ce mercredi la Sûreté du Rhône.

    Un dégénéré comme il y en a tant!

    L’homme de 36 ans, arrêté lundi soir à 19h45, venait de frapper quatre hommes à coups de barre de fer. La situation a dégénéré quand l’un des promeneurs, ne parlant pas le français, n’a pas compris ce qu’on lui demandait.

    Le trentenaire s’est mis à "insister lourdement pour se faire payer", indique la police lyonnaise. Sauf que l’interlocuteur ne comprenait toujours pas ses propos. Il a demandé à trois de ses amis de lui traduire. En vain.

    "Face à leur incompréhension, le mis en cause les a frappés violemment à l’aide d’une barre de fer", raconte-t-on à la Sûreté du Rhône. Les policiers de la BST sont intervenus rapidement pour l’arrêter mais en garde à vue, le suspect s’est montré "très virulent", faisant "l’apologie de tirs à la kalachnikov".

    www.20minutes.fr

     

  • Ponctionnaire con comme un balai, encore un!

    Le restaurateur Arnaud Bloquel et la bourde à 14 000 euros de l’URSSAF

    Par le Cercle Lafay.

    La médiatique affaire Arnaud Bloquel, le restaurateur à qui l’URSSAF a infligé un redressement de 14 000 euros au titre des avantages en nature parce qu’il mangeait … dans son propre restaurant, témoigne d’un phénomène qui est plus fréquent qu’on le croit : l’absurdité avec laquelle l’URSSAF réalise ses contrôles, la ridiculisant, et rendant difficile – voire impossible – la réalisation du vœu exprimé par Emmanuel Macron, président de la République, qui aimerait que l’URSSAF soit " l’amie de l’entreprise ", phrase prononcé le 9 octobre 2018.

    Dans les faits, on peut comprendre que le chef d’un restaurant mange sur son lieu de travail, où il passe ses journées entières. On l’imagine mal prendre sa voiture pour aller dans un fast-food… Et on peut aussi penser qu’il ne se sert pas à chaque repas un menu gastronomique.

    Peu importe, pour les inspecteurs zélés de l’URSSAF : un chef d’entreprise a l’obligation de déclarer ses repas comme avantage en nature. Faute de quoi ils redressent. Et puisque le restaurant est gastronomique, la somme exigée atteint les étoiles :  l’avantage en nature est évalué à 107 euros par repas, le prix moyen d’un dans son établissement. Soit une note très salée de 14 000 euros.

    Un redressement délirant qui a même fait réagir le ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin, qui dénonce une " situation absurde issue d’une règle obsolète ! ". Pour le ministre, il faut changer tout cela. Et, tel le roi soignant les écrouelles, il va demander à l’URSSAF de reconsidérer le cas de ce chef cuisinier.

    Le problème est que, si choquante que soit cette histoire, le redressement n’est pas totalement infondé. En effet, pour les dirigeants de société, l’avantage en nature sur la nourriture ne peut être évalué qu’en fonction de sa valeur réelle et non forfaitaire. Par souci de simplicité, l’inspecteur s’était donc contenté de réintégrer dans le montant des cotisations le prix d’un repas moyen dans ce restaurant. Le chef a eu beau expliquer à l’inspecteur qu’il mangeait des pâtes ou se préparait des plats peu coûteux d’une valeur d’environ 6 euros, rien ne pouvait faire échec à ce redressement.

    Ce redressement a donc des fondements juridiques sérieux. De là à ce que les inspecteurs URSSAF taxent un médecin offrant un doliprane à sa femme ou un électricien changeant une ampoule chez lui… Des tweets mi amusés, mi choqués l’envisagent.

    Cette affaire surmédiatisée est la partie visible de l’iceberg : neuf contrôles sur 10 se soldent par un redressement. Le think tank Le Cercle Lafay, qui œuvre pour l’amélioration des relations entre l’URSSAF et les entreprises, recense des dizaines de cas ahurissants, dont les victimes n’ont pas eu la chance d’être repérées par le ministre des Comptes publics : l’épouse d’un restaurateur qui le remplace au pied levé parce qu’il est parti aux urgences (cas flagrant, aux yeux des URSSAF, de travail dissimulé), tout comme des laissés-pour-compte à qui Emmaüs verse un petit pécule, que l’URSSAF s’empresse de grever de charges sociales …

    Malgré une communication lénifiante (" les URSSAF sont au service des entreprises " …), les URSSAF œuvrent dans un cadre juridique arriéré se traduisant par une extraordinaire insécurité juridique pour les entreprises. L’affaire Bloquel n’en constitue qu’un exemple.

    Une autre surprise vient de ce que les instances des URSSAF sont composées aussi de représentants du monde patronal, très souvent atones face à de telles aberrations.

    Le ministre a raison de vouloir changer ces règles absurdes.

    Il ne cesse d’ailleurs de le dire, chaque fois que l’actualité met en relief les comportements abusifs des URSSAF.

    Un cadre juridique sain devrait permettre un réel dialogue avant, pendant et après le contrôle afin d’éviter ce genre d’aberration qui ne peut que ternir l’image des organismes de recouvrement et désespérer un peu plus les entrepreneurs.

    Ainsi, le cotisant devrait pouvoir avoir recours à un supérieur hiérarchique de l’inspecteur en cas de difficultés lors de la vérification.

    J'ai moi aussi connu cela: je travaillais pour un magazine à qui je faisais les mots croisés. En tant que travailleur indépendant déclarée, je payais mes cotisations à l'URSSAF et donc, je faisais une facture mensuelle au magazine.

    Figurez-vous qu'un jour, le rédac-chef m'a demandé les numéros de toutes mes factures parce que l'URSSAF voulait leur compter des cotisations comme à un employé. J'ai même fourni mon numéro de cotisante URSSAF.

    Rien à faire, le magazine à été condamné par l'URSSAF à payer les cotisations sur mes factures -comme si j'étais journaliste- et l'a obligé à me faire un bulletin de salaire!

    Honte à ces crétins!

     

     

  • Ils ont peur car ils savent la guerre civile inévitable

    Ils tremblent dans leurs frocs, ils ne savent plus comment se protéger, ils savent que le mot " guerre civile " est dans toutes les bouches.

    Ils ont vu que plus on musèle le peuple et plus celui-ci l’ouvre grand. De plus en plus de sites contestataires ou révolutionnaires s’ouvrent, tous les jours, malgré les menaces, les tentatives de fermeture forcée, les procès iniques,  les emprisonnements, les penseurs et journalistes congédiés par leurs chaînes et journaux, et l’invention du principe de fake news n’ayant qu’un objectif: faire taire.

    Ils ont peur parce que le peuple n’a pas tardé à comprendre que le Grand débat qui devait régler tous les problèmes n’a été qu’un pet dans l’eau et qu’une arnaque de plus visant à endormir les mécontents non actifs. Ils sont terrorisés puisque  plus personne ne croit aux promesses d’un homme arrogant, méprisant, insultant, aux ordres de l’oligarchie internationale qu’il fréquentait assidûment depuis des années, et parvenu au pouvoir par manipulation.

    Ils ont peur parce que la colère gronde et que les passages à l’acte ne sont plus des utopies mais bien une réalité. Parce que le mouvement des Gilets jaunes n’a pas cessé  depuis plus d’un an malgré toutes les tentatives pour le gommer des discours officiels et des médias ; parce que de plus en plus de députés aux ordres ou  de personnages publics, voire des juges, ont été agressés directement à leurs portes et que le mouvement semble bien prendre de l’ampleur, pointant du doigt journalistes mentant à qui mieux mieux pour faire avaler au peuple des couleuvres, percepteurs sans pitié pour ceux qui n’ont plus rien, magistrats qui n’ont pas hésité à envoyer en prison des milliers de gens coupables du seul délit de réclamer une amélioration de leur niveau de vie, politiciens dont on découvre peu à peu qu’ils sont vérolés et puisent largement dans les caisses, préfets car il faut bien dire que l’attitude psycho-rigide du préfet Lallemant et ses ordres de tirs dans la foule n’ont pas rendu ce corps bien sympathique, et policiers victimes d’un nombre très préoccupant de guet-apens, dans ces territoires perdus pour les Gaulois mais que ceux-ci ont bien l’intention de récupérer.

    Ils ont peur parce qu’ils savent que le peuple de France ne peut plus supporter le principe "un poids deux mesures" selon que l’on soit gaulois ou "autre". Parce qu’il est insupportable que les viols et égorgements continuent en masse sans autre forme de procès que de prétendre que les agresseurs sont des malades mentaux (tous, sur des milliers de crimes) ou ne connaissent pas nos coutumes, comme si chez eux ce genre de crimes n’était pas sauvagement puni.

    Ils ont peur parce que police et armée se scindent en plusieurs camps à l’intérieur de chacune, et que ces deux corps se sont affrontés il y a peu avec tous les excès que des crétins jamais condamnés ont pu se permettre contre les pompiers qui sont des militaires.

    Ils ont si peur que lors de son voyage dans les îles la semaine dernière, le Président a commencé par faire faire  un nettoyage drastique, dans la plus grande des sauvageries, faisant tabasser et emprisonner des centaines de manifestants opposants afin qu’on puisse le voir, tout sourire, serrer les mains de gens qui avaient été payés pour l’acclamer, comme cela s’est pratiqué dans de nombreuses autres dictatures.

    Ils ont peur parce que les policiers ont, pour une partie importante d’entre eux, perdu toute crédibilité. Créée dans le but de défendre le peuple, la police (j’allais à tort écrire " notre " police) a été transformée dès le gouvernement de De Gaulle en une sorte de milice dont le rôle principal est de protéger les VIP, personnes très importantes, je rêve. Or ceux qui sont importants, ce sont les citoyens de ce pays, non des gens que leur fortune ou leur fonction a érigés au rang de VIP. Ce sont les citoyens qui paient tandis que les autres prélèvent. Ce sont les citoyens qui travaillent malgré les difficultés qu’on leur inflige en favorisant les grands groupes internationaux. Mais ce sont aussi les citoyens qui font les guerres, qu’elles soient extérieures ou internes, comme cette guerre civile qui s’approche et que le gouvernement aux abois, malgré la dictature qu’il a instaurée, ne pourra empêcher d’éclater.

    Louise Guersan

    Historienne, amoureuse de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, donc de la liberté individuelle autant que du bien public. Fille et petite fille de grands résistants au nazisme et descendante de gens ayant fait la révolution de 1848, donc ennemie héréditaire des tyrannies.

    https://ripostelaique.com

     

  • Poème

    Alfred de Musset: "Si tu peux, fais que ton âme arrive,

    A force de rester studieuse et pensive,

    Jusqu’à ce haut degré de stoïque fierté

    Où, naissant dans les bois, j’ai tout d’abord monté.

    Gémir, pleurer, prier est également lâche.

    Fais énergiquement ta longue et lourde tâche

    Dans la voie où le Sort a voulu t’appeler,

    Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler".

  • Bah, j'avais compris cela... en 1973

    quand j'ai eu l'âge de voter... j'avais 23 ans... la majorité était à 21 ans à l'époque