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Savoir - Page 122

  • Ne marchez pas dans leur combine!

    Le "jour du dépassement", une théorie mensongère

    La théorie du " Jour du dépassement " n’a aucun sens. Elle est à reléguer au rang des pseudo-

    Par Michel Gay.

     (Tiré d’un article de Michael Shellenberger paru sur Forbes le 29 juillet 2019.)

    Depuis ce 29 juillet et jusqu’à la fin de l’année, l’humanité consommera plus de ressources que notre planète ne peut en produire de manière durable, selon le Global Footprint Network (GFN), qui détermine de telles dates depuis 1986.

    "L’humanité utilise la nature 1,75 fois plus vite que les écosystèmes de notre planète ne peuvent se régénérer " a déclaré le GFN. " Cela revient à utiliser 1,75 Terre ".

    "Les pays riches utilisent les ressources plus rapidement que les pays pauvres", explique le GFN. Les États-Unis, l’Australie, le Danemark et le Canada utilisent leurs ressources avant la fin du mois de mars, tandis que Cuba, le Nicaragua, l’Irak et l’Équateur ne le font pas avant décembre.

    Le "jour du dépassement" (Earth Overshoot Day) est fondé sur la notion " d’empreinte écologique " utilisée par le Fonds mondial pour la nature, le Programme des Nations Unies pour l’environnement et le développement humain, et l’Union internationale pour la conservation de la nature.

    Mais l’empreinte écologique est-elle un concept scientifique?

    Non.

    En 2013, Michael Shellenberger avait déjà démystifié "le jour du dépassement" et le calcul de l’empreinte écologique en s’appuyant sur un article de la revue scientifique à comité de lecture, PLOS Biology, intitulé " La taille de la chaussure est-elle adaptée ? L’empreinte est-elle imaginaire ou réelle?".

    Il avait révélé que cinq des six mesures qui composent l’empreinte écologique, y compris l’alimentation et l’activité forestière, étaient en équilibre ou excédentaires. Les seules émissions déséquilibrées étaient les émissions de carbone de l’humanité.

    Mais résoudre ce problème ne nécessite pas que les pays riches deviennent pauvres, ou que les pays pauvres restent pauvres, mais simplement de se tourner vers des sources d’énergies qui ne produisent pas ou peu d’émissions de carbone. Ce processus est connu sous le nom de "décarbonisation".

    La France et la Suède sont les deux seuls pays au monde où les ressources énergétiques sont nettement décarbonées. Et ils ne l’ont pas fait en s’appauvrissant, mais en s’enrichissant grâce à l’utilisation de l’énergie nucléaire.

    Aujourd’hui, la France produit une électricité émettant un dixième des émissions de carbone de l’Allemagne avec une électricité moitié moins chère, grâce au nucléaire.

    Comment les créateurs de l’empreinte écologique ont-ils masqué ce qu’ils avaient fait ?

    En supposant tout simplement que le seul moyen de résoudre le changement climatique était d’accroître la surface des forêts pour absorber toutes les émissions industrielles de carbone.

    En d’autres termes, l’empreinte écologique convertit les émissions de dioxyde de carbone (CO2) en surface d’utilisation des sols, ignorant ainsi tous les autres moyens d’absorber ou de ne pas émettre de CO2.

    Pire encore

    Des forêts différentes absorbent le CO2 à des vitesses différentes dans le temps. Mais l’empreinte écologique définie par le GFN choisit arbitrairement un nombre unique pour représenter le taux d’absorption de carbone dans le temps pour toutes les forêts du monde.

    La méthode pour calculer cette empreinte écologique est mieux connue sous le nom de "garbage in, garbage out" (entrer des données fausses dans un ordinateur conduit à des résultats faux).

    Le résultat de l’impact de l’empreinte écologique devrait donc conduire les pays développés riches comme les États-Unis, l’Europe et l’Australie à essayer de vivre comme les Cubains et les Nicaraguayens. Ou bien à reconvertir toutes les vieilles forêts du monde en forêts avec des arbres à croissance rapide.

     

    Le document de Michael Shellenberger publié en 2013 a été largement couvert par les médias, notamment par Scientific American, New Science, et même Le Monde, mais cela n’a pas empêché la Commission européenne et d’autres organismes gouvernementaux de reconnaître le "Jour du dépassement de la Terre" pour des raisons politiques et médiatiques.

    L’empreinte écologique et le jour du dépassement de la Terre ont été créés au moment même où les pays d’Europe occidentale et les Nations Unies ont adopté une approche néo-malthusienne des problèmes environnementaux.

    Que dit l’ONU?

    Ironiquement, l’ONU préconise l’utilisation de combustibles à base de bois plutôt que le nucléaire.

    Dans un rapport de 1987 intitulé "Notre avenir à tous" (Our Common Future) les Nations Unies ont dénoncé le nucléaire et insisté pour que les pays pauvres utilisent le bois de chauffage. " Les pays pauvres en bois doivent organiser leurs secteurs agricoles de manière à produire de grandes quantités de bois et d’autres combustibles végétaux ".

    L’auteur principal de ce rapport était Gro Brundtland, ancien Premier ministre de Norvège, un pays devenu riche dix ans plus tôt grâce à ses abondantes réserves de… pétrole et de gaz.

    Des personnalités comme Brundtland ont défendu l’idée que les pays pauvres n’avaient pas besoin de consommer beaucoup d’énergie, ce qui s’est révélé être totalement faux. La consommation d’énergie est étroitement liée au PIB (produit intérieur brut) par habitant, aussi bien aujourd’hui qu’auparavant lorsque les pays riches étaient eux-mêmes pauvres.

    Aucun pays riche ne dépend principalement du bois pour produire de l’énergie, tout comme aucun pays pauvre ne dépend principalement du nucléaire.

    " L’empreinte écologique" a autant de mérite scientifique que l’astrologie, la phrénologie et les théories de la Terre plate, et il est temps de la traiter comme une théorie pseudoscientifique et mensongère.

     

  • Emmanuelle Ducros révèle le malaise du journalisme en France

    La journaliste Emmanuelle Ducros fait l’objet d’attaques personnelles sur les réseaux sociaux. Alors qu’elle n’a fait que son métier : fouiner, remuer, secouer.

    Qu’il est facile de chasser une proie lorsqu’on est en meute!

    Les attaques répétées contre notre consœur Emmanuelle Ducros — sur Twitter essentiellement — montrent à quel point le journalisme, en France, se réduit à la course permanente contre les faits. L’attaque ad hominem est devenue la règle, dans ce milieu confiné où barbotent les pratiques d’antan, parmi lesquelles dominent l’entre-soi et la course aux subventions.

    Emmanuelle Ducros : la cible

    Sur le fond, rien de neuf. Les journaux se complaisent dans l’apologie du charlatanisme : en matière d’OGM, d’homéopathie, de climat, de glyphosate, l’information délivrée au lectorat d’une presse en crise se veut alarmiste et détachée des recommandations de la science.

    Tout cela est financé par l’argent des Français. Et lorsqu’une, ou deux, ou trois voix osent s’élever contre le consensus médiatique, la bronca gronde, obligeant le lecteur-contribuable à se montrer encore plus dépité.

    Vous n’avez pas honte ?

    La confiance dans les journalistes a encore baissé, relevait h16 dans un de nos récents éditos. La France figure parmi les pays où la liberté de la presse n’est guère plus que tolérée. Mais, pire ! cette liberté s’érode, comme nous l’avons expliqué le mois passé dans notre dossier consacré à la liberté d’expression.

     

    Sans subventions, sans aides extérieures et sans excès de parisianisme, Contrepoints explique depuis plusieurs années que le glyphosate est sans danger majeur pour l’être humain, que les OGM ont contribué au bien-être de l’humanité, que la science peut être peuplée de charlatans avides de pouvoir et d’argent, mais qu’elle ne doit pas être — circonvolution de l’esprit — dévoyée à l’idéologie anti-capitaliste, anti-riches, anti-développement.

    Les " ménages" journalistiques? Ils ont toujours existé. La soumission aux lobbies? Dans un monde parfait, elle ne devrait pas subsister. Mais la chasse aux sorcières pratiquée aujourd’hui par une presse aux abois et en déclin (financée par Facebook) est un marqueur de disruption. Emmanuelle Ducros s’inscrit dans la lignée des journalistes qui ont le courage de s’opposer au discours convenu dans 95% des rédactions de France. Elle a juste le tort de s’appuyer sur des faits contrevenant à ce consensus.

    Sans respect de la liberté d’expression, la presse française est condamnée. Sans respect de la personne censée incarner cette liberté d’expression, la presse française contribue à creuser davantage l’écart qui la sépare de son lectorat.

    Voilà pourquoi il nous faut soutenir Emmanuelle Ducros contre les chiens de garde du consensus médiatique.

    Ludovic Delory

    Journaliste, essayiste. Rédacteur en chef de Contrepoints.

  • Ben voyons!

    Comme d'habitude, les débiles pensent qu'ils sont entourés de débiles comme eux....

     

    Poitiers: un homme condamné pour en avoir poignardé un autre, "le coup de couteau serait parti tout seul"

    […]

    Lors de ce procès en comparution immédiate, le prévenu a tenté de convaincre le tribunal qu’il s’agissait d’un geste accidentel: "Je n’avais pas l’intention de me servir du couteau" dit d’emblée le prévenu. "Mais alors pourquoi être allé en chercher un?" lui demande le président. Et pas un petit. L’arme en question mesure -manche compris- près de quarante centimètres. "C’était pour l’impressionner", répond-t-il.

     […]

    Selon le prévenu, le coup de couteau serait parti tout seul en quelque sorte.

    "C’est rentré tout seul"

    Si je te fais pareil, tu verras que ça rentre tout seul, trouduc

    […]

    L’homme de 33 ans a donc été condamné à 4 ans de prison dont deux années ferme avec notamment obligation de soins. France Bleu

    4 ans de prison dont deux années ferme: Ben voyons, à ce stade, on est assuré que bientôt, on devra se promener en côte de maille pour éviter un sale coup.

    Depuis 1989-90, je disais à mon entourage et à mes cliente-s que nous aurions besoin de côte de maille, d'un gilet kevlar (c'était nouveau à l'époque) et d'un tank pour aller au supermarché quand je serais à la retraite. Une fois de plus, hélas, j'avais raison!

     

  • Macronesse veux plus ressembler à un vieux pruneau...

    Quand je mets pas de photo pour illustrer, c'est que j'ai peur de vomir en relisant mon article!

     

    La femme à macrouille aurait passé trois heures au bloc, avant de partir en vacances avec son mari.

    Ce n’est pas une cliente comme les autres qui serait arrivée à l’hôpital américain de Paris, mardi 16 juillet dernier. Comme le révèle Closer, Brigitte Macron aurait subi une importante opération de chirurgie esthétique avant la coupure estivale.

    L’opération avant Brégançon

    L’épouse du président de la République se serait d’abord entretenue pendant une heure avec un éminent et médiatique chirurgien esthétique, comme l’explique la revue people, avant de revenir le lendemain, le 17 juillet.

    Escortée par deux voitures et quatre gardes du corps (aux frais de la République, bien sûr!) , la dame aurait alors pris le chemin du bloc opératoire, où elle aurait passé trois heures. Si l’opération se serait déroulée sans encombre, nul n’en connaît encore la teneur.

    Brigitte Macron se serait ensuite rendue à la résidence présidentielle de la Lanterne, à Versailles, où elle a pu se reposer, avant de rejoindre son mari, une semaine plus tard, au Fort de Brégançon, où une piscine a récemment été construite.

    Closer précise que le couple devrait privilégier les activités calmes aux habituelles virées en jet-ski et autres balades en vélo.

    Cette opération ne devrait pas manquer de faire réagir les Français, prompts à commenter la différence d’âge du couple présidentiel. “Les vingt ans d’écart, ce qui a pu être dit, c’est tellement rien“, s’était défendue Brigitte Macron à ce sujet dans les colonnes du magazine ELLE, à quelques mois de l’arrivée de son époux au pouvoir. “Bien sûr, on petit-déjeune, moi avec mes rides, lui avec sa fraîcheur, mais c’est comme ça“, avait-elle ajouté.

    Elle a la peau tellement tirée et piquouzée que quand elle hausse les sourcils, sa poitrine remonte!

     

     

  • Menteurs!

    Royaume-Uni: le prince Harry révèle qu’afin de sauver la planète, lui et Meghan Markle n’auront que deux enfants

    Surtout, elle est trop vieille pour faire des gosses… combien elle en a déjà?

    Quand on fait des bébés lorsque l'on est trop âgée, on prend des risques…

    tout le monde sait cela!

     

  • La preuve

    que j'avais annoncé la sécheresse et la canicule pour 2019

     

    http://www.cuisine-toulousaine.com/archive/2018/12/27/secheresse-et-canicule-en-2019-6116135.html