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Savoir - Page 162

  • Les Chances pour la France....

    Paris: des dizaines de mineurs marocains agressent et sèment la pagaille à Barbès, des femmes disent "ne plus pouvoir se promener librement dans le quartier"

    Pétitions d’habitants et réunion publique: les dizaines de mineurs marocains en errance dans les rues de la Goutte-d’Or depuis plus d’un an semblent hors de contrôle.

    Mais également sur l’insécurité, liée, disent-ils, à la présence depuis des mois, de groupes d’enfants des rues, une soixantaine de mineurs marocains âgés de 14 à 17 ans, toxicomanes pour la plupart, auxquels se sont jointes récemment de très jeunes filles. Les textes ont été remis mardi soir au maire (PS) du XVIIIe, Eric Lejoindre".Il y a trois semaines, deux personnes ont été physiquement agressées, rue Affre, en plein après-midi. Des plaintes ont été déposées. Ce décompte est loin d’être exhaustif, écrivent les habitants. Et nous notons une nette dégradation, marquée par l’apparition de problèmes bien plus graves: Violence cambriolages, prostitution et augmentation du trafic de drogue".

    Quitter la Goutte d’Or dans le 18e arrondissement de Paris, Mireille* n’y aurait jamais songé. Mais après deux agressions en un mois, sur elle et sur sa fille de quinze ans, elle y réfléchit: "la première fois c’était un dimanche soir, j’ai vu trois de ces jeunes sur le trottoir et j’ai senti une menace alors nous avons fait demi-tour, mais juste après l’un d’eux a sauté à la gorge de ma fille, peut-être pour lui prendre son collier; Elle s’est dégagée, s’est mise à pleurer, nous sommes parties en courant. Le lendemain nous avons déposé plainte, mais désormais je ne suis plus tranquille dans la rue, et elle non plus. Elle trouve très injuste de ne plus pouvoir se promener librement dans son quartier".

    Le Parisien / France Bleu

     

  • Où l'on voit bien que le mental des amerloques...

    … n'est pas le même que le notre! Ils doivent être bien surpris de voir combien les salariés et/ou employés en France sont chéris par notre droit du travail!!!

    Amiens: au lieu d'une augmentation, Whirlpool propose à ses salariés... un sèche-linge

    Par  Journaliste Figaro Guillaume Poingt 

    Selon Le Courrier Picard, cette proposition a été faite mercredi lors de la réunion de négociations annuelles obligatoires. Les salariés sont outrés et envisagent des actions. Délocalisée en Pologne, l'usine Whirlpool d'Amiens fermera le 31 mai prochain.

    Pour les salariés, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Alors que l'usine Whirlpool d'Amiens - qui fabrique des sèche-linge - fermera définitivement le 31 mai prochain suite à une délocalisation en Pologne, un bien étrange "cadeau" leur a été proposé en guise d'adieu: un sèche-linge!

    Selon nos confrères du Courrier Picard , cette proposition a été faite par la direction le mercredi 28 mars lors de la réunion de négociations annuelles obligatoires (NAO) au sein de l'usine Whirlpool d'Amiens. Alors que les syndicats demandaient une forte augmentation pour les derniers mois d'activité, la direction du site amiénois a proposé un sèche-linge afin d'augmenter le pouvoir d'achat des salariés.

    "On se fout des gens jusqu'au bout"

    Un représentant de la CGT

    Cette attitude a outré les salariés et les représentants syndicaux, dont certains ont été interrogés par Le Courrier Picard. "Ils ont pété des records au niveau des dividendes des actions cette année et on nous propose un sèche-linge", déplore ainsi Frédéric Chantrelle, délégué CFDT du site amiénois Whirlpool. Avant de poursuivre: "C'est du foutage de gueule, après des années de bénéfices record. C'est indécent". Le syndicaliste détaille: "Nous demandons 700 euros mensuels avant que l'usine ne ferme. L'an dernier, on avait obtenu 4%. Pour le collège des ouvriers, cela représente 80 euros pour un salaire de 2000 euros brut". Même son de cloche pour un représentant de la CGT: "On demandait 10% d'augmentation avec rétroactivité à partir de janvier, avant que le site ne ferme. On se fout des gens jusqu'au bout".

    Selon Le Courrier Picard, une colère froide monte actuellement dans l'usine et une action du personnel serait envisagée dans les prochains jours. "Si la direction ne revient pas vers nous, nous envisageons des actions. On réfléchit à une action en début de semaine prochaine, le temps que l'on s'organise et que l'on fasse le tour des salariés", prévient ainsi Frédéric Chantrelle. Pour les salariés, il s'agirait de se manifester une dernière fois pour faire de la mauvaise publicité au géant américain Whirlpool, dont on avait beaucoup parlé durant la campagne présidentielle lorsque Marine Le Pen et Emmanuel Macron s'étaient rendus sur le site d'Amiens.

    Former les remplaçants polonais

    Il faut croire que Whirlpool n'a pas vraiment retenu la leçon. Interrogé par Le Courrier Picard, le représentant de la CFDT Frédéric Chantrelle rappelle une situation comparable au début des années 2000, lorsque le groupe a abandonné la production de machines à laver dans l'usine d'Amiens. "C'était en 2002, au moment de l'arrêt de la production des machines à laver, la direction en avait offert une aux salariés", se remémore-t-il.

    Le groupe américain n'est pas le seul à s'être montré indélicat envers ses salariés licenciés. Au début du mois, le groupe Kingfisher (maison mère de Castorama et Brico Dépôt) - qui avait annoncé le 13 février la suppression de 446 emplois en France liée à la délocalisation de services administratifs en Pologne - avait ainsi incité les salariés licenciés à former leurs remplaçants polonais.... Face au tollé suscité, le groupe avait finalement plaidé une "maladresse de formulation". Derrière ces polémiques se pose la question cruciale des délocalisations d'activités implantées en France vers des pays à bas coûts, comme la Pologne, où le travail est "bon marché".

     

     

  • Chrétiens…. Insurgez-vous contre la bêtise!

    et le laxisme des juges de la gauchiasse!

    Verdun: relaxés après avoir exhorté des religieuses à se convertir à l’islam

    Certaines des six carmélites présentes ce jour-là, portant toutes lunettes, voile noir et robe marron, ont raconté avoir été effrayées par leur attitude, en soulignant le contexte terroriste actuel.

    Deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, s’étaient introduits dans un carmel en novembre pour demander aux sœurs catholiques de se convertir, sans quoi elles iraient en enfer.

    Le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) a relaxé mercredi deux hommes qui avaient exhorté les sœurs d’un carmel à se convertir à l’islam lors d’un office.

    "Aucun lien ne peut être fait entre vos agissements et un acte terroriste. Les termes et expressions employés, s’ils ont pu perturber les religieuses, ne sont pas spécifiques à un discours radical, provocateur ou voulant faire peur à autrui", a exposé la présidente du tribunal.

    La magistrate a relevé l’altération du discernement au moment des faits des prévenus, souffrant de troubles psychiatriques.

    Trop facile, non? encore une gauchiasse décérébrée!

    Le procureur avait requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre des deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, pour "les violences psychologiques" infligées aux carmélites.

    De leur côté, les avocats de la défense avaient plaidé la relaxe, soulignant que leurs clients n’avaient pas eu l’intention de porter préjudice aux religieuses.

    Des avocats, ça? il faut de tout pour faire un monde….

    "Une insistance répétitive"

    Le 10 novembre 2017, ils avaient sonné à la porte d’un carmel à Verdun pour "échanger sur la religion", ont-ils raconté. L’un deux avait expliqué à Sœur Marie-Josèphe que "la religion musulmane pouvait corriger ce que la religion chrétienne avait de faussé, selon lui", a-t-elle témoigné.

    "Il m’a dit deux fois que si je ne changeais pas, j’irais en enfer […] sans agressivité, mais avec une insistance répétitive", a-t-elle poursuivi. La religieuse aux cheveux blancs, qui a salué avec un grand sourire les prévenus à l’ouverture de l’audience, a affirmé ne pas avoir été impressionnée. " Ma foi chrétienne me dit qu’on ne va pas en enfer comme ça! ", s’est-elle exclamée.

    Les deux hommes avaient ensuite assisté aux vêpres dans la chapelle, déchaussés "par respect des lieux", ont-ils précisé. Ils avaient prié à voix haute, perturbant l’office.

    Certaines des six carmélites présentes ce jour-là, portant toutes lunettes, voile noir et robe marron, ont raconté avoir été effrayées par leur attitude, en soulignant le contexte terroriste actuel.

    Les carmélites sont des sœurs qui étaient -autrefois- cloitrées et tenues au silence… même si elles sont plus "ouvertes" au monde, les anciennes ne doivent pas trop sortir… par habitude.

    J'avais visité un carmel du temps où elles étaient totalement cloîtrées: enveloppées dans de longs voiles noirs de veuves.... cela m'avait terriblement impressionnée....

    Un médecin avait constaté chez elles des " impacts psychologiques perceptibles (ou) marqués" et avait délivré des incapacités allant de deux jours à huit jours.

    À la fin de l’office, "je me suis approché de Sœur Marie-Thérèse et je lui ai susurré à l’oreille: ’Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer’", a relaté le plus âgé.

    Un murmure, vraiment? de qui se moque-t-on?

    Après avoir écrit sur le livre d’or des exhortations à la conversion, ils étaient partis en remerciant les carmélites. Ils ont affirmé n’avoir compris leur avoir fait peur qu’au moment de leur interpellation. "On s’y est mal pris", a reconnu le plus jeune, converti à l’islam depuis huit mois.

    Ben voyons! abruti, va!

     

  • Idiote totale!

    Encore une qui ne sait pas que les plantes émettent des ondes et que quand on coupe une salade, elle hurle de douleur!!!

    Attentats de l’Aude: une militante végan se réjouit de la mort du boucher du supermarché

    Après la mort du boucher du supermarché, tué par le terroriste, elle a publié un message se réjouissant de sa mort, sur Facebook.

    ”Ben quoi, ça vous choque un assassin qui se fait tuer par un terroriste? Pas moi, j’ai zéro compassion pour lui; il y a quand même une justice”.

    La phrase, écrite par une utilisatrice Facebook se présentant comme militante végane, n’est pas restée longtemps en ligne.

     Rapidement signalée par les utilisateurs du réseau social, choqués qu’elle se félicite de la mort du boucher du Super U de Trèbes dans l’attaque.

    Une enquête pour ”apologie du terrorisme” a été ouverte par le parquet de Foix après la publication de ce message. Sa publication, repérée par les services de l’Etat a été rapidement retirée, selon Karine Bouisset, procureur de la République de Foix, interrogée par la Dépêche du Midi.

    La Confédération française de la boucherie-charcuterie a condamné ces propos, tout en appelant à la retenue. Le mur de cette utilisatrice est rempli de messages injurieux depuis la publication de ce message.

    m6info.yahoo

  • Ceci explique cela

    Montpellier: les étudiants d’extrême-gauche qui occupaient la fac délogés par un groupe d’individus cagoulés (le doyen humilié avec des tampax usagés)

    C’est un document: dans une vidéo tournée en fin de semaine dernière dans le hall de la faculté de droit, à Montpellier, on voit des jeunes femmes débarquer avec des tampons -tampax- maculés de sang -ou de ketchup?-, s’avancer en direction du doyen Philippe Pétel et l’humilier longuement.

    Le doyen a répondu à la provocation par quelques notes d’humour et, visiblement a tenté de calmer les excitées, dont on ignore s’il s’agissait d’étudiantes de la faculté de lettres Paul Valéry ou de militantes d’un collectif d’anars, ceux de l’ex-cinéma du Royal qui squattent des bâtiments publics et privés, à Montpellier, comme des témoins l’assurent…

    Selon des témoignages, ces jeunes femmes ont fait part de leur colère, d’abord à deux agents de sécurité sur place, puis au doyen, à cause de la condamnation des accès aux toilettes. Or, les toilettes de la faculté de droit sont systématiquement fermées en début de soirée.

    Cette scène était antérieure de quelques heures avant l’intrusion musclée d’un commando d’inconnus encagoulés et armés -taser et bâtons- dans un ampli de la faculté de droit. Le lendemain de cette attaque, le doyen Philippe Pétel démissionnait.

     

  • Violences à la fac de Montpellier

    Qui sont les vrais coupables ?

    FIGAROVOX/TRIBUNE - François-Xavier Lucas fait le point sur les violences survenues à la faculté de droit de Montpellier. Il distribue les mauvais points : aux occupants qui ont utilisé des méthodes de soviets, aux violents étudiants qui les ont délogés, mais surtout aux responsables qui n'ont pas su faire respecter l'autorité de l'État.

    Il y a du rififi à la fac de droit de Montpellier… où les grévistes occupant nuitamment un amphi en ont été délogés manu militari par quelques séides cagoulés revendiquant bruyamment la liberté de suivre les cours. Une telle violence, inacceptable, particulièrement au sein du sanctuaire que devrait être l'université, rend difficile toute analyse à chaud alors que la part prise par chacun n'est pas encore clairement établie et que l'on reste abasourdi par la brutalité des images qui circulent. Si l'on parvient à dépasser le stade de l'émotion (légitime mais qui n'aide guère à la réflexion) suscitée par lesdites images, on peut s'interroger sur la responsabilité des parties prenantes, au-delà de celle - évidente - des barbouzes, mais aussi ramener cette affaire à de justes proportions.

    Étonnamment, ce fait divers suscite un intérêt inversement proportionnel à son importance. Car de quoi s'agit-il sinon d'empoignades entre grévistes et non-grévistes se disputant un amphi? À l'heure où l'on s'apprête à célébrer mai 68 et les glorieux étudiants ayant échangé force horions, on ne peut que s'étonner que les héritiers des grands anciens viennent réclamer vengeance devant les caméras pour s'être fait déloger d'un amphi qu'ils occupaient illégalement. À la grande époque de la chanson de geste soixante-huitarde, ces évacuations musclées étaient monnaie courante pour les diverses factions se disputant l'espace universitaire, les uns et les autres reprenant un amphi comme d'autres reprenaient jadis une tranchée.

    La décence ne trouvait guère son compte dans ces manifestations violentes mais la réprobation restait limitée, les étudiants pouvant compter sur l'indulgence d'un public acquis aux carabins et à tous leurs excès y compris les moins défendables. Visiblement cette bienveillance n'a plus cours, si l'on en croit l'unanime réprobation que suscite l'empoignade ayant eu pour cadre la faculté de droit de Montpellier. Les journaux consacrent à l'événement des articles indignés, n'ayant pas de mot assez durs pour dénoncer les violences et en rendre comptable le doyen. Quant aux étudiants navrés d'avoir perdu la bagarre, ils ne rêvent que de plaintes et de piloris et en appellent à la police et au juge pour satisfaire leur furie vengeresse. Autre temps, autres mœurs…

    Évidemment, la manifestation d'étudiants, inquiets d'une réforme de l'université dont il est aujourd'hui difficile d'apprécier la portée, est aussi légitime qu'est odieuse la violence exercée à leur endroit. Sur un sujet d'une telle importance pour leur avenir et pour celui de la nation tout entière, leur liberté d'expression doit être totale et nul ne peut la leur contester. Cela dit, c'est à cet égard que l'affaire montpelliéraine n'apparaît pas traitée de façon satisfaisante car n'y est nullement en cause la liberté de manifester mais la légitimité des moyens de se faire entendre. Si l'on veut introduire un peu de contradiction dans le traitement biaisé de ce fait divers, il est essentiel de le signaler et de rappeler ce qu'est une occupation d'amphi, telle celle qui a servi de décor à ce drame méridional.

    Manifestations violentes et iniques, les occupations d'amphi et autres blocages de fac devraient valoir à leurs auteurs réprobation et condamnation mais elles sont traitées avec la plus grande bienveillance - et lâcheté - par des autorités - doyens, présidents d'université, préfets - qui n'ont qu'un seul souci, celui d'éviter l'incident. Surtout, pas de vague… On se couche devant la violence de ces réquisitions en faisant en sorte de regarder ailleurs.

    Le scénario est à chaque fois le même. Une brochette de squatteurs, étrangers pour la plupart à la fac qu'ils investissent, chasse un professeur au milieu de son cours, s'approprie la chaire et monopolise le micro pendant des heures avant d'installer ses pénates au milieu des pupitres pour y passer la nuit.

    Contrairement à ce que répètent à longueur d'antenne ou d'article des journalistes enamourés, ces actions n'ont rien de pacifique. À les croire, l'heure serait à la discussion, aux stimulants débats, si ce n'est à la franche camaraderie de barricades, mousse et pampre, comme dirait l'autre. Rien n'est plus étranger à la réalité de ces voies de fait dont on ne dénoncera jamais assez la brutalité. Toute personne qui souhaiterait exprimer une opinion dissidente est empêchée de le faire quand ce n'est pas, physiquement, menacée par les gros bras interlopes qui sévissent dans l'amphi, que les étudiants doivent abandonner, privés du droit d'étudier au motif qu'un soviet brutal a réquisitionné leur salle de cours.

     Que penser dès lors de l'action vigoureuse qui, à la fac de droit de Montpellier, a permis, pour la première fois depuis bien longtemps, de chasser les occupants sans titre qui prétendaient empêcher les cours de se tenir? La navrante violence qui a été utilisée à cette fin doit être condamnée mais cette déploration est vide de sens si elle ne s'accompagne pas d'une recherche de responsabilité des différents acteurs. Il faut le marteler, cette responsabilité est d'abord celle des factieux ayant réquisitionné un amphi, qui n'ont à s'en prendre qu'à eux-mêmes de la bagarre entre grévistes et non-grévistes qu'ils ont provoquée.

    Les ahuris qui s'étonnent de s'être fait molester devraient méditer sur la rude condition du piquet de grève et comprendre que, quand on prétend tenir Fort Chabrol, il faut être prêt à en assumer les conséquences. Responsabilité ensuite des nervis imbéciles qui, par leur usage immodéré de la force, ont évidemment desservi la juste cause qu'ils prétendaient défendre (rendre l'amphi aux étudiants désireux d'étudier) en faisant à leurs adversaires le cadeau d'une posture victimaire dont ils se délectent aujourd'hui.

    Mais responsabilité aussi, et on est tenté de dire surtout, de ceux qui, incarnant l'autorité de l'état, négligent de l'exercer. Que le doyen de la faculté de droit de Montpellier ait été abandonné à son sort et qu'il ait dû gérer seul ces militants qui prétendaient passer la nuit dans sa fac, au risque que s'y produise la mise à sac qu'il est hélas courant de constater dans de telles occasions, là réside le vrai objet de scandale et c'est sur ce point que l'enquête administrative qu'on nous annonce devra porter. À partir du moment où on laisse de prétendus grévistes (rappelons que faire grève consiste à cesser soi-même le travail, pas à empêcher les autres de travailler) imposer leur loi sans garantir la légalité et sans que l'État n'exerce la violence alors légitime dont il s'est réservé le monopole, on incite les mécontents à se faire justice eux-mêmes et on laisse s'installer des réflexes d'autodéfense particulièrement dangereux.

    S'il apparaît que le Président de l'université de Montpellier et le Préfet de l'Hérault appartiennent à cette catégorie de piteux commis que la trouille tétanise, et s'il est établi qu'ils n'ont pas permis que la police intervienne pour faire évacuer l'amphi illégalement réquisitionné, c'est à eux qu'il faudra demander des comptes.

    Lire l'article sur le Figaro: http://po.st/IZkPVE