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Savoir - Page 190

  • Moi, une yéyé

     

    La source du yé-yé: Lire Edgar Morin pour mieux comprendre le phénomène Hallyday

    Il y aura donc un "hommage national". Déjà, sur les ondes, on fait le parallèle entre ce que furent les obsèques, grandioses, de Victor Hugo (1er juin 1885) et celles, à venir, de Johnny Hallyday. Le Palais de l’Elysée décidera. On évoque un parcours sur les Champs Elysées. Au lendemain du décès la presse est toujours à l’unisson, qui prolonge et entretient l’émotion.

    Reste et restera à comprendre les raisons et l’ampleur d’un tel phénomène suscité par la mort d’un chanteur. Comment, à l’étranger, observe-t-on une telle ferveur, unanime et nationale? Dans quel terreau cet inconscient collectif prend-il racine? Le Monde peut fort heureusement nous aider.

    Après avoir puisé dans ses archives en quête des premiers papiers parlant de Johnny Hallyday le quotidien né en 1944 poursuit son travail de mémoire en offrant à relire une série de deux tribunes remarquables: deux textes signés du sociologue Edgar Morin. Nous sommes alors en juillet 1963 et le sociologue baptise alors, dans ces colonnes, la jeune génération de génération " yé-yé ".  C’était au lendemain de la grand-messe organisée le 22 juin 1963 par Daniel Filipacci à la Nation pour fêter l’anniversaire du magazine Salut les copains". Dans deux tribunes, le sociologue donnait un sens à cette " nouvelle classe d’âge ", attirée par " un message d’extase sans religion, sans idéologie " véhiculé notamment par un ‘’très viril’’ Johnny " explique aujourd’hui Le Monde.

    Le premier texte est intitulé " Une nouvelle classe d’âge ".

    Edgar Morin y analyse notamment le cadre socio-économique dans lequel émerge et se développe alors un phénomène dont il pressent la nouveauté et l’importance. Extraits :

    " La vague de rock’n roll qui, avec les disques d’Elvis Presley, arriva en France ne suscita pas immédiatement un rock français. Il n’y eut qu’une tentative parodique, effectuée par Henri Salvador, du type Va te faire cuire un œuf, Mac. La vague sembla totalement refluer: mais en profondeur elle avait pénétré dans les faubourgs et les banlieues, régnant dans les juke-boxes des cafés fréquentés par les jeunes. Des petits ensembles sauvages de guitares électriques se formèrent. Ils émergèrent à la surface du golf Drouot, où la compétition sélectionna quelques formations. Celles-ci, comme Les Chats sauvages, Les Chaussettes noires, furent happées par les maisons de disques. Johnny Halliday (sic) monta au zénith. Il fut nommé " l’idole des jeunes ".

    " Car ce public rock, comme aux États-Unis quelques années plus tôt, était constitué par les garçons et filles de douze à vingt ans. L’industrie du disque, des appareils radio, comprit aux premiers succès que s’ouvrait à la consommation en France un public de sept millions de jeunes: les jeunes effectivement, poussés par le rock à la citoyenneté économique, s’équipèrent en tourne-disques, en radio, transistors, se fournirent régulièrement et massivement en 45 tours".

    " Le succès de Salut les copains ! est immense chez les décagénaires (comment traduire teenagers?). Les communications de masse s’emparent des idoles-copains. Elles triomphent à la T.V. (…)  Le music-hall exsangue renaît sous l’affluence des copains: les tournées se multiplient en province, sillonnées par les deux groupes leaders, le groupe Johnny-Sylvie et le groupe Richard-Françoise. Paris-Match consacre chez les " croulants " le triomphe des copains puisqu’il accorde aux amours supposées de Johnny et Sylvie la place d’honneur réservée aux Soraya et Margaret".

    " De quoi s’agit-il? " demande Edgar Morin. Il répond : de la promotion de nouveaux artistes de la chanson: de  l’irruption puis de la diffusion du rock et du twist français: d’un épisode important dans le développement du marché du transistor et du 45 tours: d’un épisode important dans l’extension du marché de consommation à un secteur jusqu’alors hors de circuit, celui des décagénaires". Ce phénomène, qui s’inscrit dans un développement économique, ne peut être dilué dans ce développement même, poursuit-il. La promotion économique des décagénaires s’inscrit elle-même dans la formation d’une nouvelle classe d’âge, que l’on peut appeler à son gré (les mots ne se recouvrent pas, mais la réalité est trop fluide pour pouvoir être saisie dans un concept précis) : le teen-âge, ou l’adolescence. J’opte pour ce dernier terme".

    "À la précocité sociologique et psychologique s’associe une précocité amoureuse et sexuelle (accentuée par l’intensification des " stimuli " érotiques apportés par la culture de masse et l’affaiblissement continu des interdits) Ainsi le teen-age n’est pas la gaminerie constituée en classe d’âge, c’est la gaminerie se muant en adolescence précoce. Et cette adolescence est en mesure de consommer non seulement du rythme pur, mais de l’amour, valeur marchande numéro 1 et valeur suprême de l’individualisme moderne, comme elle est en mesure de consommer l’acte amoureux".

    Le titre du deuxième texte fera date: " Le yé-yé "

    " (…) Il y a une frénésie à vide, que déclenche le chant rythmé, le " yé-yé " du twist. Mais regardons de plus près. En fait, à travers le rythme, cette musique scandée, syncopée, ces cris de yé-yé, il y a une participation à quelque chose d’élémentaire, de biologique. Cela n’est-il pas l’expression, un peu plus forte seulement chez les adolescents, du retour de toute une civilisation vers un rapport plus primitif, plus essentiel avec la vie, afin de compenser l’accroissement continu du secteur abstrait et artificiel?

    "D’autre part les séances twisteuses, les rassemblements twistés sont des cérémonies de communion où le twist apparaît comme le médium de l’inter-communication: le rite qui permet aux jeunes d’exalter et adorer leur propre jeunesse. Une des significations du yé-yé est " nous sommes jeunes".

    " Par ailleurs, si l’on considère le texte des chansons, on y retrouvera les thèmes essentiels de la culture de masse. Ainsi le "yé-yé " s’accouple avec l’amour: "Avec toi je suis bien, Oh yé-yé" chante Petula Clark et Dany Logan: " Oh ! oui chéries on vous aime malgré tout, Oh ! yé-yé Oh ! Oh ! yé-yé " (Vous les filles).

    "Le yé-yé immerge dans les contenus de la culture de masse pour adultes, certes, mais nous ne devons pas dissoudre son caractère propre. Celui-ci nous introduit dans un jeu pur, dans une structure de vie qui se justifie essentiellement dans le sentiment du jeu et dans le plaisir du spectacle. Cette structure peut être dite nihiliste dans le sens où la valeur suprême est dans le jeu lui-même. (…)"

    Au final Edgar Morin suggère un ouvrage aux lecteurs du Monde : celui de  Georges Lapassade: " L’entrée dans la vie" (Coll. Arguments: Éditions de Minuit, 1963).

    https://jeanyvesnau.com/2017/12/07/a-la-source-du-ye-ye-lire-edgar-morin-pour-comprendre-le-phenomene-hallyday/

     

     

  • "L'école est testée par des groupes fondamentalistes"

    Au "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction des téléphones portables en primaire et au collège à la rentrée 2018.

    "La République doit être sûre d'elle-même, sereine, mais regarder les choses en face." Lors du "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", dimanche, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a reconnu qu'il y avait "un certain nombre" de problèmes autour de la laïcité dans les établissements scolaires. S'il n'existe "pas de statistiques aujourd'hui" sur la pression de l'islam dans ces établissements, il a affirmé qu'il y en aurait "dans le futur". "Je sais toute une série de choses factuelles suffisamment développées, a-t-il toutefois précisé, pour que je prenne des mesures."

    Première de ces mesures, la création d'"unités laïcité" dans toutes les académies. Composées de professionnels chargés de faire de la "prévention", mais aussi d'intervenir ponctuellement dans un établissement, elles doivent être mises en place au cours du premier trimestre 2018. Parallèlement, le ministre va nommer "dans les prochains jours" un "conseil des sages de la laïcité". Pour Jean-Michel Blanquer, "il y a la loi de 1905" séparant les Églises et l'État: "C'est une excellente référence, il y a une jurisprudence, on doit évidemment la respecter, mais il y aura (aussi) ce conseil" des sages, "qui donnera la règle du jeu". Objectif? "Rompre avec la solitude" des enseignants confrontés à ce genre de problèmes, "qui parfois capitulent". "Un professeur qui se trouve dans cette situation doit pouvoir compter sur son établissement, martèle Jean-Michel Blanquer, et l'établissement doit compter sur le rectorat.""L'école, insiste-t-il, est la première pierre de l'édifice laïcité."

    Un "exemple problématique, c'est quand on ne fait pas respecter la loi de 2004" sur le voile à l'école, indique le ministre. Pour les accompagnatrices de sorties scolaires, il ne veut pas de voile non plus. "Mon approche personnelle, précise-t-il, c'est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d'être ce qu'on appelle un collaborateur bénévole du service public (…) qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs." "Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacré", enchaîne-t-il, notant "des évolutions" jurisprudentielles à clarifier. En 2013, le Conseil d'État avait estimé que les parents accompagnant des sorties scolaires ne pouvaient être soumis à la neutralité religieuse imposée aux enseignants.

    "Le méchant, c'est l'ignorant"

    "Il est exact que nous sommes testés par des groupes fondamentalistes, reconnaît-il également. Il y a des gens qui essayent de voir si le système résiste." À la question: "Est-ce que vous avez des remontées sur des professeurs radicalisés ou en voie de radicalisation?", le ministre de l'Éducation répond: "Ce type de phénomène peut exister. C'est encore extrêmement marginal. Mais nous allons être très attentifs à ce phénomène." Jean-Michel Blanquer a ensuite été interrogé sur l'enseignement du fait religieux, souhaité par le président de la République. "Les enfants doivent apprendre le fait religieux, ne serait-ce que pour comprendre les religions des autres, assure-t-il, citant une phrase de Platon: "Le méchant, c'est l'ignorant."

    Autre mesure qui figurait dans le programme de campagne d'Emmanuel Macron: Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction à la rentrée 2018 du téléphone portable pour les élèves des écoles et collèges. "Nous sommes en train de travailler sur cette question pour les modalités", précise-t-il. En septembre, il avait évoqué pour ce faire "des casiers qui ferment". Le port de l'uniforme a été rapidement évoqué: "On doit permettre aux établissements qui le veulent de l'instaurer", répond-il.

    Enfin, peut-on imaginer un jour une école au nom de Johnny Hallyday, ou que le chanteur soit étudié dans les programmes scolaires? "II a rendu plus populaire en France Tennessee Williams…, acquiesce le ministre, présent samedi à l'église de la Madeleine. Si demain quelqu'un décide d'étudier Johnny Hallyday, ce sera d'abord surtout en musique! En tout cas, la musique, qu'elle soit classique ou contemporaine, fait partie des choses qui améliorent notre vie."

    La preuve? Lisez l'archive 8 bis de mon blog du site

    www.josyanejoyce.com

  • Les chrétiens se rebiffent... mais d'autres débiles....

     

    Budapest: des Hongrois érigent une croix devant un magasin Lidl pour protester contre la "censure de l’identité chrétienne"

    Une énorme croix érigée juste devant le magasin Lidl, pour protester contre certains choix marketing qui censurent l’identité chrétienne de l’Europe.

    C’est l’idée d’activistes hongrois qui ont décidé de punir la chaîne de supermarchés allemande d’avoir supprimé les croix de certaines églises utilisées sur les emballages de leurs produits.

    À l’origine, c’était l’emballage d’un yaourt grec qui avait fait polémique, la croix orthodoxe avait été effacée de l’illustration. Tout cela, avait expliqué Lidl, afin de ne pas choquer la sensibilité des clients non-chrétiens.

     

    et pendant ce temps, d'autres très gros crétins….

    Saint-Sulpice-le-Guérétois (23): la croix du portail du cimetière va être enlevée à la demande du Conseil Municipal

    La municipalité de Saint-Sulpice-le-Guérétois (Creuse) souhaite se conformer à la loi de 1905 et retirer la croix du portail du cimetière communal.

    Sous l’église de Saint-Sulpice-le-Guérétois (Creuse), la porte du four de l’ancienne boulangerie tient lieu de décoration. Un peu plus haut, devant ladite église, on peut apercevoir une pierre reposoir surmontée d’une croix, tout comme sur une pierre au pied de l’église on peut voir se dessiner une autre croix…

    Plus loin dans la rue, le cimetière se dresse, et à l’intérieur, de nombreuses sépultures sont, elles aussi, surmontées de cette croix symbolique…

    Cette démarche ne se veut pas polémique, ce n’est pas contre le catholicisme, mais le cimetière est un espace public partagé où tout le monde a accès

    Le portail de la partie haute du cimetière, certainement installé entre les années 1930 et 1960 d’après le maire Claude Guerrier, dispose lui aussi d’une croix, que la municipalité souhaite enlever. Les devis sont envoyés, la croix sera retirée et un nouveau ventail sera mis en remplacement, sans croix.

    "Cette démarche ne se veut pas polémique, ce n’est pas contre le catholicisme, prévient Claude Guerrier, mais le cimetière est un espace public partagé où tout le monde a accès, quelles que soient ses croyances, convictions ou absence de croyances".

    (…)

    Le Populaire

    C'est contre nos racines chrétiennes? Question: depuis combien de temps cette croix était là?

    Elle fait donc partie du patrimoine de la commune.

    Moi, à la place des habitants, je râlerais très, très fort!!!

     

     

  • Discrimination anti-vieux!

    Je dirai même plus! RACISME ANTI-VIEUX!

     Source

     

    Pour payer ses impôts par ordinateur, il faut  au minimum:

    un ordi, une connexion qui marche, les connaissances du fonctionnement du PC et d'internet et du site des impôts.

    Beaucoup de patience car ce n'est pas toujours très simple

    Des connaissances en comptabilité etc...

    Éventuellement un réparateur de PC pas cher!

    De l'électricité

    Deux mains et pas d'arthrose ou rhumatisme!

    voir clair (avoir des lunettes et être bien corrigée, par ex ),

    Un système nerveux en bon état (pas de parkinson, de séquelles d'AVC etc.)

    Un cerveau “jeune“ et l'envie de se servir d'un PC  (certaines personnes brillantes mais artistiques n'ont pas le gout de cela)

    Il n'y a pas que Geneviève 89 ans qui ne pourra pas payer par informatique….

  • Rides? moi, jamais!

     

     

    Des rides? fin du cauchemar… Cliquez sur l'image

     

     

  • Pôôôôvres ponctionnaires! ils vont être HUMILIES!

    Au Conseil régional d'Île-de-France, il faudra désormais travailler 35 heures par semaine

    Les 1900 agents qui travaillent au siège de la région Île-de-France devront travailler 1607 heures par an contre 1568 actuellement. Une augmentation du temps de travail qui met fin à un système dérogatoire.

    Au siège de la région Île-de-France, c'est un vote qui fait grincer des dents. Et pourtant, il ne fait que rétablir une durée légale du travail. Le Conseil régional a adopté, vendredi 24 novembre, en séance plénière, un texte qui augmente le temps de travail de ses agents au 1er janvier 2018. Pour l'instant, les fonctionnaires - du siège - travaillent 1568 heures par an, mais ils passeront à 1607 heures (soit 35 heures par semaine) l'année prochaine. Soit une augmentation de 39 heures de travail au total.

    Ce chiffre n'a pas été choisi au hasard: il correspond aux nombres d'heures légales à effectuer par an pour les fonctionnaires territoriaux soit...35 heures par semaine. Par ce vote, la région Île-de-France met fin à un système dérogatoire mais légal qui date de 2001, et s'aligne sur une préconisation du rapport rendu en mai 2016 par Philippe Laurent, maire (UDI) de Sceaux et président du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale à Annick Girardin, alors ministre de la Fonction publique.

    Rogner sur les congés

    "La région se devait de passer aux 35 heures, souligne au Figaro la vice-présidente (LR) Marie-Caroline Ciuntu, en charge de l'administration et des lycées en Ile-de-France. Nous sommes dans un contexte où il est normal de faire attention à nos frais de fonctionnement, et que les agents participent à l'effort."

    Concrètement, pour les 1900 fonctionnaires concernés, cela représente 5 jours de congé en moins sur un total de 53 par an. En parallèle, il est aussi prévu de réduire le nombre de jours accordés pour les autorisations d'absences exceptionnelles. "Cela représente au total une trentaine de journées supprimées", rapporte la CGT, contactée par Le Figaro.

    Escrocs de l'intelligence humaine!

    De son côté, Marie-Caroline Ciuntu nuance: "Les syndicats oublient de préciser que parallèlement (NDLR: aux jours de congé supprimés) nous avons ouvert plus largement ces autorisations. Ainsi, par exemple, autrefois pour le mariage d'un agent, il lui était accordé 8 jours, c'est désormais 5. Mais dans le même temps, on a par exemple reconnu l'existence des familles recomposées."

    Le vote de vendredi dernier désole la CGT qui pourfend la remise en cause "d'un accord tout à fait légal". "C'est afficher une volonté d'en découdre avec les agents", poursuit le syndicat. Et la CGT de rappeler qu'au siège "une cinquantaine de postes sont supprimés chaque année, en plus de départs à la retraite non remplacés."

    Toutefois, tous les fonctionnaires territoriaux d'Île-de-France ne sont pas concernés par la mesure.  BIEN DOMMAGE! Le Conseil régional a pris en compte la pénibilité du travail des 8500 agents techniques des lycées. "Cette pénibilité tient aux horaires, aux charges physiques, à l'exposition parfois à des produits dangereux, ou encore à l'explosion des effectifs dans les lycées qui n'a pas été anticipée lors de la précédente mandature", appuie la vice-présidente Ciuntu. Satisfait de cette prise en compte, à la CGT, on confie toute de même: "Madame Pécresse a reconnu la pénibilité pour ces agents (NDLR: les agents techniques des lycées), car en réalité il y avait des menaces de grèves dans les cantines."

    La fin d'un système dérogatoire

    Cette augmentation, n'est en réalité qu'un rattrapage du taux légal. En effet, depuis la mise en place de l'Aménagement et de la réduction du temps de travail dans la fonction publique (ARTT) en 2000, la durée du travail dans la fonction publique a été portée à 1607 heures par an (ce qui équivaut à 35 heures par semaine). Un chiffre que beaucoup d'administrations territoriales ont contourné grâce à une loi du 3 janvier 2001 qui a permis de conserver des systèmes anciens de fonctionnement.

    Le siège de la région Île-de-France doit quitter Paris début 2018 pour Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Les agents seront-ils davantage contrôlés dans le bâtiment flambant neuf? Y aura-t-il, par exemple, un système de badgeuse? "Le système de badges n'est pas envisagé, coupe Marie-Caroline Ciuntu. Nous souhaitons promouvoir la confiance et la responsabilisation des agents".

    La confiance???? avec des ponctionnaires?

    saintdikalisés jusqu'aux oreilles????? avec les poils du tchoul qui leur sert de canne?