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Savoir - Page 26

  • Oup's...

    Élisabeth B; est liée à de nombreux  scandales, c’est la complice de Chéri-Bibi depuis le gouvernement Hollande.

    Commençons par un scandale un peu oublié, celui de la privatisation des autoroutes (en 2006 par Thierry le breton qui est à le C.E.E maintentant). Cette privatisation fut un vrai cadeau aux groupes Vin. et Eif., car vendus bien au-dessous du prix du marché…On se demande bien pourquoi ! Remarquez que ces sociétés du bâtiment sont expertes en financement occulte de partis politiques et autres campagnes électorales… Les usagers ont pu vite constater une augmentation scandaleuse des prix aux péages, à tel point que cela faisait grincer des dents, et  les politiques durent s’emparer du dossier. Ségo, ministre de son ex-compagnon, jamais en manque de décision à l’emporte-pièce, bloqua les prix des trajets et fit entrer ainsi en conflit l’État avec ces sociétés.

    Les journalistes qui enquêtèrent en 2014  découvrirent que les dividendes versés aux actionnaires atteignirent la somme de dix milliards en quelques années, que les bénéfices explosaient pour ces sociétés autoroutières,  une situation qu’ils qualifièrent de rente et de pillage!

    Dans la foulée de Ségolène, de  nombreux députés exigèrent une renationalisation.

    À qui Flamby allait-il confier l’affaire? Et bien, il fila le dossier  à son ministre de l’Économie, Chéri-Bibi, secondé par le larron Alexis K. son chef de cabinet, Flamby écarta son ex-compagne, qui fut représentée par son chef de cabinet Élisabeth B. Le trio maléfique naissait donc en cette occasion.

    Ces trois escrocs  confièrent la négociation à Br A., un haut fonctionnaire, ancien de Mck, bien sûr (vous savez, le cabinet d'“experts“ qui paie pas ses impôts en France)

    Ces négociations furent tenues secrètes et exclurent les députés, jusqu’au ministre des Transports Alain V.

    Chéri-Bibi et Ségolène (écartée pourtant des négociations au profit d’Élisabeth B. !) signèrent un protocole avec les sociétés privées autoroutières. Ségolène  et Chéri-Bibi ont signé le protocole d’accord entre l’État et les sociétés concessionnaires d’autoroutes, le 9 avril 2015.

    Quand la presse interrogea Chéri-Bibi sur la teneur de ce protocole , il refusa de le révéler car, selon lui , il y avait "une clause de confidentialité" …Hum, cela sent la truanderie! On le connaît le Chéri-Bibi, menteur comme un arracheur de dents !

    Et grâce à la ténacité d’un élu grenoblois, l’accord finit par être publié par décision de justice en 2019. Élisabeth B., qui était devenue entre-temps ministre des Transports, monta au créneau et qualifia ce protocole de  "très bon accord pour les Français!" Menteuse!

    Voilà ce que découvrirent les Français dans la presse, alors qu’ils réclamaient en 2014 la fin des concessions honteuses. Elles sont au contraire rallongées dans le temps, alors qu’ils  réclamaient une baisse des prix des péages, les sociétés pourront les augmenter à leur guise. Et enfin, les sociétés obtiennent une mesure inouïe, la neutralité fiscale !  En d’autres termes, l’État ne pourra plus augmenter les impôts de ces sociétés!  Le "Mozart de la finance" a ruiné les Finances publiques, et quant à "la haute fonctionnaire intègre" selon le Monde, Élisabeth B., elle a truandé les Français!

    Quant à l’Agence de financement des infrastructures de France (AFITF),  elle était autrefois un fleuron, financé par l’argent des péages, mais depuis que  son budget est amputé de ces revenus depuis la privatisation,  elle ne peut plus financer l’entretien des routes!

    "Imaginez ce qu’on pourrait faire aujourd’hui si l’Agence avait continué à être alimentée par l’argent des péages, regrette l’ancien ministre des Transports Gilles de R. Nous aurions un outil de financement pérenne qui résoudrait tous nos problèmes financiers pour les infrastructures françaises ".

    Or, où va  l’argent des péages? Dans les dividendes des fonds de pension américains, qui paient ainsi les retraites des Californiens! Un racket fiscal, organisé de l’étranger!

    C’est une défaite absolue de l’État, une reddition en rase campagne! Pire, notre État,  du fait de ces protocoles, a les mains entièrement liées: avant ce protocole les Français payaient une rente à ces sociétés privées, depuis sa signature,  cela devient une super rente sans que l’État puisse dénoncer cet accord honteux!

    Mais le pire, c’est que le trio maléfique Chéri-Bibi-B.-K n’avait pas le droit de signer un accord fiscal avec ces sociétés, cela ne relevait pas de leur mission prévue par les textes législatifs et réglementaires!

    Mais comment s’en étonner? Une deuxième affaire explique la complicité d’Élisabeth B. avec le truand Chéri-Bibi.

    Élisabeth B. avait omis, dans sa déclaration d’intérêt, de signaler qu’elle appartenait à un lobby, l’institut de la gestion déléguée, lobby qui milite notamment pour la délégation de projets publics au secteur privé. Quand les journalistes lui ont fait remarquer que son nom apparaissait dans cet institut, elle a nié, menti, menacé,  digne élève de son mentor, menteur, Chéri-Bibi, avant de se faire rattraper par la patrouille de la HATVP (Haute Autorité pour la transparence de la vie publique). Elle a dû manger son chapeau car elle a été sommée de corriger cet oubli, son mensonge XXL. Oui, c’est une ministre lobbyiste!

    Et le dernier scandale, et il n’est pas des moindres, C’EST ELLE QUI A FAIT VOTER LA SUSPENSION DES SALARIES NON VACCINES, et le tout évidemment sans salaire. Il faut savoir que cette mesure, dite d’‘isolation des récalcitrants, a été imaginée par la mafia OMS, Bill, Mck-Pf!

    C'est un article sur lindependant.fr

    C’est pour cette raison que, quand on l’interroge sur Mcki, elle est capable de dire avec son froid aplomb  de serpent, que tout était régulier et que l’emploi des cabinets conseils  répondait aux appels d’offres! C’est faux! C’est pour cette raison qu’il y a une enquête de la justice et c’est d’ailleurs signalé par les deux journalistes des infiltrés!

    Chéri-Bibi ne pouvait donc nommer qu’une femme corrompue, au service de ses grands groupes comme Mck, dont la mission sera de détruire un peu plus notre État de droit, enfin ce qu’il en reste.

    Source:

    Y-a-t-il une corde pour les pendre?

  • En mai, fais ce qu’il te plait: les racailles ont compris le message

    A l’attention de messieurs les ministres de la Justice – Garde des Sceaux et de l’Intérieur, quelques "faits divers" au cours de ces mois d’Avril et Mai 2022 dans notre "Douce France" où, selon eux, l’insécurité ne serait qu’un sentiment!

    Semaine 18: du 30 avril au 06 Mai.

    30/04 – Garges-les-Gonesse (95): Il "fréquentait" une jeune fille d’origine algérienne, Brandon, d’origine indo-ivoirienne, a été poignardé à mort par le frère pour l’unique raison qu’il était "Noir". Et ils nous traitent de "racistes"!

    Aurillac (Cantal)): En plein centre-ville, rues Duclaux et de la bride, des bandes de jeunes se sont affrontées. Les passants se sont réfugiés dans les magasins. Les habitants se plaignent de l’insécurité grandissante et affirment que leur ville "se ghettoïse".

    Toulouse (31): Des employés des bus "Tisséo" ont été agressés par des jeunes voyous en scooter et armés de couteaux et de machettes. Deux jeunes de 18 ans ont été interpellés.

    01/05 – Grenoble (Isère): Un étudiant grenoblois, de nationalité et d’origine égyptienne, a été mis en examen et placé en détention provisoire pour avoir violé une étudiante lors d’une soirée

    Saint-Hilaire-du-Harcouët (50): En pleine rue, suite à une altercation avec 5 jeunes, à la fermeture du bar "Le Pearl", un homme de 29 ans a été poignardé à mort. Trois de ses agresseurs sont actuellement en garde à vue.

    Bordeaux (Gironde): Un gardien de la paix bordelais d’une cinquantaine d’années, qui se promenait avec son épouse et ses enfants, a été sauvagement agressé par un individu "quand il lui a montré sa carte de policier". L’individu a vu rouge et lui a cassé une bouteille sur la tête, avant de le rouer de coups lorsqu’il était à terre. Il a été appréhendé.

     

    **Selon le Ministère de la Justice, au 31 mars 2022, 25,54% des détenus dans nos prisons sont des étrangers, alors qu’ils ne représentent que 7,7% de la population française, soit 5,2 millions de personnes (Clandestins non comptabilisés!)

     

    02/05 – Dans le quotidien "Le Monde", 176 élus, de la gauche à la droite, "appellent l’Etat à assumer ses responsabilités régaliennes dans le département de l’Essonne": 25% de tous les "faits divers" recensés en France ont lieu dans ce département: agressions à l’arme blanche, rixes, affrontements entre bandes, morts tragiques, adolescents poignardés ou tabassés à mort, etc. "Trop c’est trop"!

    Lyon (69): Avec un couteau sous la gorge, trois individus étrangers, d’origine roumaine, enlèvent une femme en pleine ville, le forçant à monter dans une voiture, à Confluence, dans le quartier de la Presqu’île. Les policiers municipaux parviennent à les intercepter sur le cours Charlemagne.

    Toujours à Lyon, dans le quartier de la Duchère, un "barbecue" sauvage s’est terminé en fusillade à la Kalachnikov. Une dizaine de coups de feu ont été entendus et trois individus ont été blessés par balles, dont l’un entre la vie et la mort.

    Nantes (Loire Atlantique): Un individu âgé de 40 ans, dont on ignore l’identité et l’origine, a tenté de violer une jeune femme en pleine rue, place Foch: "il venait de sortir de garde à vue".

     

    03/05 – Le parquet de Grenoble a désigné "l’ultra-gauche" comme responsable de l’incendie criminel du pont de Brignoud, entre Grenoble et Chambery: une catastrophe pour les commerçants de Crolles (Isère), ville de 8000 habitants.

    Juan-les-Pins (06): Un migrant roumain, âgé de 46 ans et en situation irrégulière, a violé, en pleine rue Maréchal-Joffre, près de la gare, une jeune femme de 24 ans, après l’avoir frappée. Il a été appréhendé et placé en garde à vue.

    Bayonne (64): Surpris en pleine tentative de viol, un migrant, mineur non accompagné en situation irrégulière, a été roué de coups et reçu trois points de suture, avant d’être placé en garde à vue. Plusieurs objets volés ont été retrouvés sur lui.

     

    Encore à Nantes, refusant d’être contrôlé, alors qu’il conduisait sans permis, un chauffard, âgé de 21 ans, a pris la fuite entraînant un policier sur une cinquantaine de mètres. Le drame a été évité de justesse. Le conducteur s’est présenté au commissariat quelques heures plus tard.

    04/05 – Avignon (Vaucluse): En plein centre-ville, rue des Teinturiers et à proximité d’un point de drogues, Eric Masson, policier de 36 ans, a été abattu par un individu qui a fait feu à plusieurs reprises sur les forces de l’ordre. Trois suspects ont été appréhendés dont l’auteur de l’assassinat.

    Paris (75): Porte de Clignancourt, dans le 18e arrondissement, plusieurs policiers ont été violemment agressés par des migrants clandestins en situation irrégulière. Une policière a été blessée au visage et trois des agresseurs ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Marseille (13): Alors qu’il se promenait dans le parc de la Moline, dans le 12e arrondissement, un homme de 54 ans a osé demander à un individu " de baisser le son de sa musique ". Il a été poignardé dans le dos et blessé gravement, bien que son pronostic vital ne soit pas engagé. L’auteur de l’agression à pris la fuite.

    Toujours à Marseille, une soixantaine d’habitants ont quitté leur logement, une résidence privée dans la barre G de la cité Kalliste, située dans le 15e arrondissement, terrorisés par des squatteurs, migrants clandestins nigérians en situation irrégulière. Sur fond de prostitution, de trafic de drogues et d’affrontements entre bandes à coups de machette dans les parties communes, leur quotidien est devenu un enfer.

    Rennes (35): "Parce qu’il l’avait mal regardé", le dénommé Anli Deza, 20 ans, a agressé un homme dans le métro, à la sortie d’un spectacle, puis lui a volé sa sacoche sous la menace d’un couteau. Il a été condamné à un an de prison ferme.

     

    05/05 – Abeilhan (34): Un individu âgé de 26 ans a assassiné d’une quarantaine de coups de couteau, après lui avoir attaché les mains et conduit dans les vignes, un homme de 34 ans " pour une dette concernant un trafic de stupéfiants. Il a été mis en examen, ainsi qu’un complice.

    Coignières (Yvelines): C’est l’effroi, l’horreur absolue "On s’aimera jusqu’à la mort, inchallah" avait écrit Liza, 31 ans, sur son profil Facebook: Elle était amoureuse d’un migrant algérien de 27 ans "qui l’a tabassée jusqu’à que mort s’ensuive". Ce drame s’est produit dans la résidence sociale Adef "où des faits de harcèlement envers les femmes avaient été signalés au procureur de la République. L’assassin a été interpellé.

    Nancy (Meurthe-et-Moselle): Il y a huit jours il avait violé une jeune femme de 22 ans en pleine rue. Arrêté, il s’agit d’un individu qui avait été condamné, en 2010, à vingt ans de prison " pour avoir tué une grand-mère de 79 ans, de 82 coups de couteau, alors qu’elle était alitée et qu’il cambriolait sa résidence à Bourgbourg, près de Dunkerque ".

     

    06/05 – Cahors (Lot): Expulsé de Suède et sa demande d’asile rejetée en France, un pédophile Afghan, âgé de 22 ans, hébergé dans le parc social, agresse un petit garçon de 9 ans "lui imposant une masturbation et possédant 71 fichiers pédopornographiques mettant en scène des enfants". Il est condamné à 30 mois de prison ferme. Sera-t-il expulsé?

    Strasbourg (67): Une douzaine de mineurs agressent un homme de 26 ans dans un tram de la ligne A en plein centre-ville et peu après minuit. Il est gazé, tabassé et dépouillé de sa carte bancaire, son portable et 200 euros. Ils ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme): En octobre 2016, alors qu’il avait 17 ans, Philippe Sow, né en Guinée, migrant et fils d’un ministre guinéen, avait violé une étudiante dans un buisson, à quelques mètres de l’entrée de son immeuble: "Il voulait lui faire mal, et même la tuer". Aujourd’hui, à 26 ans, Il vient (enfin) d’être condamné à dix ans de réclusion criminelle.

    Marseille (13): Parti avec un ami de Cergy, dans le Val d’Oise, à Marseille, dans les quartiers nord, pour dealer et se faire de l’argent, Jacques, 18 ans aujourd’hui, avait poignardé à mort justement   “ce même ami ", âgé de 24 ans, le 17 novembre à Marseille. Il est actuellement jugé" par la cour d’Assises du Val d’Oise.

     

    Castres (81): Un migrant clandestin de 29 ans, sous le coup d’une OQTF notifiée en 2020, terrorise les riverains de la rue Georges Layrac et blesse 5 policiers "Allah Akhbar, je vais tuer les mécréants et vous saigner comme des porcs", hurlait-il. Il avait " une mission ": s’en prendre à des policiers!

    Guyane – Trois individus ont pénétré dans l’église, ouverts le feu et tué le pasteur âgé de 44 ans, blessant sept autres membres de sa famille, qui ont été évacués vers le Centre Hospitalier de l’Ouest Guyanais. L’église a ensuite été incendiée.

     

    Espagne – Des ONG, complices des passeurs illégaux, notamment la CGT de Ceuta, ont dénoncé les arrestations et les expulsions immédiates de migrants clandestins marocains en situation irrégulière dans plusieurs villes du pays " aussi bien par voie aérienne que maritime " vers des zones plus éloignées des frontières.

     

    Belgique – Bouillon: Choisi au hasard, en pleine rue, un passant a été poignardé de 4 coups de couteau par un réfugié afghan du centre Fedasil qui, bien entendu, aurait des troubles psychologiques. Il a été placé en détention.

     

    Toujours en Belgique, mais à Liège, la jeune Ahlam Younan, 28 ans et d’origine syrienne, a été retrouvée ligotée et exécutée d’une balle dans la tête par son propre frère, Gerges, domicilié en Suède mais arrêté en Syrie, où il s’était réfugié. Il reprochait à sa sœur son style de vie européen et ses fréquentations.

     

    3351 migrants "mineurs clandestins non accompagnés" sont arrivés en Belgique en 2021. 69% d’entre eux ont été "déclarés majeurs", après que des tests d’âge aient été effectués

     

    Manuel Gomez

     

    Depuis le temps, vous devriez savoir qu'il faut les excuser: ils n'ont pas les codes!

  • C'est eux qui le disent!!!

    Les 270 maladies rares recensées en Algérie sont largement dues à la consanguinité

    Abordant la question ce mardi, le président de l’Association des maladies rares et de l’autisme, Mouloud Moutchou, a révélé que plus de 270 maladies rares ont été recensées en Algérie, tout en expliquant que la consanguinité demeure la raison de bon nombre d’entre elles.

    Intervenant sur les ondes de la radio nationale ce mardi, M. Moutchou a expliqué que les wilayas qui comptaient le plus de cas étaient celles de Tizi Ouzou, Bejaia, Ghardaia et Jijel, où les mariages consanguins sont légion. Ainsi, 35% des cas recensés dans ces wilayas sont directement dus aux mariages consanguins, a-t-il ajouté.

    Toujours selon la même source, les mariages consanguins sont un facteur de transmission d’îlots de pathogénicité, suite au transfert d’îlots génomiques entre les générations successives.

    L’intervenant n’a pas manqué de déplorer le fait que ces maladies demeurent méconnues en Algérie, tout en estimant que les pouvoirs publics devraient accorder plus d’attention à cette catégorie, d’autant plus que les moyens de diagnostic précoce et les centres de prise en charge psychologiques sont inexistants dans la majorité des régions du pays.

    Pour sensibiliser l’opinion publique, M. Moutchou a tenu à citer certaines de ces maladies recensées en Algérie, parmi lesquelles les troubles de l’immunodéficience primaire monogénique rare, les maladies métaboliques héréditaires (MMH), la sclérodermie systémique, le syndrome de Gougerot Sjögren, les maladies héréditaires du sang, la maladie de Wilson, le syndrome de Rubinstein-Taybi, mais également l’Intoxication rare aux opioïdes.

    Algérie Focus

    Et je ne parle même pas de la sclérose en plaques dont un facteur déterminant est un manque de vitamine D.... voir les vêtements de leurs femmes!

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  • La vérité!

    Pont Neuf: les 2 morts sont de la "diversité", le policier est Réunionnais

    L’interview d’un responsable syndical Alliance-Police nationale réalisée jeudi soir dernier sur BFMTV révèle, d’une part que les deux hommes – tués par un policier – qui, à bord de leur véhicule, ont foncé sur la patrouille dans une intention clairement meurtrière, faisaient partie de la "diversité", et d’autre part que le policier qui a fait feu sur le véhicule pour empêcher le carnage est Réunionnais.

    ***

    Dimanche 24 avril dernier vers 23h45, cinq policiers du "Groupe d’appui de la sécurisation de la Cité", une unité mobile d’intervention et de protection créé après la tuerie survenue à la préfecture de police de Paris en octobre 2019, sont intrigués par une Polo qui fait une marche arrière sur le quai des Orfèvres, à côté du Pont-Neuf. Le véhicule s’arrête sur un passage clouté. Un piéton se présente alors à sa hauteur, discute avec les deux hommes et monte à l’arrière.

    Les policiers, qui sont à pied, décident de procéder à un contrôle. Deux d’entre eux – l’un est équipé d’un fusil d’assaut HK G36 – se placent à quelques mètres à l’avant du véhicule ; deux autres se placent à l’arrière. Une fois ce dispositif habituel mis en place, le chef de la patrouille, une jeune femme, se dirige vers la portière du conducteur.

    Au moment où elle ouvre la portière, l’homme appuie à fond sur l’accélérateur afin de prendre la fuite, traînant la jeune policière sur plusieurs mètres. Les deux policiers stationnés devant le véhicule n’ont eu quant à eux la vie sauve que parce que celui qui était en possession du HK G36 – un jeune policier de 24 ans, 18 mois de police, donc encore stagiaire, jugé exemplaire par sa hiérarchie – a immédiatement fait feu sur le conducteur.

    ***

    Dès le lendemain, le Parquet de Paris le mettait en examen pour " violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner "et" violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique".

     

    Mercredi 27 avril, des magistrats, allant au-delà de la réquisition du Parquet, décidaient de ne pas retenir la légitime défense et tranchaient pour une mise en examen du jeune policier sur la base de l’" homicide volontaire", une qualification passible de 30 ans de réclusion criminelle.

    Pour Me Liénard, avocat du policier, "un policier qui fait usage de son arme administrative pour arrêter un délinquant, ne veut pas le tuer : il veut arrêter une action dangereuse. L’intention homicide n’est pas dans l’état d’esprit du policier quand il ouvre le feu".

    De manière surprenante, l’avocat ne plaide pas lui non plus la légitime défense, ajoutant : " la qualification retenue dans cette affaire devrait être "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Une qualification criminelle quand même passible de quinze ans de réclusion…

    ***

    Au micro de BFMTV, ce jeudi, Yann Maras, responsable départemental adjoint du syndicat Alliance – Police nationale, laisse éclater sa colère et son incompréhension :

    "Ce policier est exemplaire : on doit être fiers d’avoir des policiers comme ça dans nos rangs. Et là, le message qui est envoyé par la justice, c’est que ce serait un meurtrier ! Ce collègue-là, je l’ai rencontré à la sortie du bureau des magistrats (…) Pour nous tous, ça ne fait pas de doute : la légitime défense, elle est là : quand vous avez un véhicule qui fonce sur vous à quelques mètres de vous, le texte de la légitime défense vous autorise à ouvrir le feu (…) Une voiture qui redémarre à vive allure, sept ou huit mètres, c’est quelques secondes, et l’action de feu, c’est [aussi] quelques secondes "

    Le journaleux, putassier à souhait: "Ils [les policiers] n’auraient pas pu se jeter sur le côté ? Parce qu’il y a deux morts, quand même! Tués au volant de la voiture!"

    Yann Maras: "Il y a un drame derrière tout ça. Maintenant, les morts, il aurait pu être de l’autre côté si mon collègue n’avait pas fait feu. Aujourd’hui, il a sauvé sa vie et celle de ses collègues [NdA: rappelons que la jeune policière aurait pu être traînée sur plusieurs centaines de mètres, comme l’a été cette jeune femme en juillet 2020 dans le 5ème arrondissement de Paris]. Ils auraient été clairement écrasés par le véhicule (…) "

    Le journaliste: "Pourquoi le magistrat n’a pas retenu l’hypothèse que vous nous expliquez [mais] celle de l’homicide volontaire?"

    Yann Maras: " C’est une très bonne question. Il va falloir poser la question à la magistrature. Parce que nous, on ne la comprend pas, cette décision-là!"

    Le journaliste: "Peut-être que la magistrature a des éléments que vous n’avez pas. Pourquoi ne pas faire confiance à la justice? Quand l’enquête sera achevée, ça peut se terminer par un non-lieu… "

    Yann Maras: "Mais dans ce cas-là, pourquoi prendre cette qualification et aller au-delà des réquisitions du Parquet, la qualification [pour homicide involontaire] était largement… [NdA: le représentant syndical est interrompu par le journaliste]"

    Le journaliste: "Ça ne veut pas dire condamnation, cette qualification [NdA:" homicide volontaire"]

    Yann Maras: Non bien sûr, elle peut varier à la hausse comme à la baisse. Mais pourquoi avoir pris la qualification la plus haute? "

    ***

    Et le délégué d’Alliance-Police nationale de préciser:

    "Nous, aujourd’hui, on espère juste une chose dans tout ça, c’est qu’on n’essaie pas d’acheter une certaine paix sociale avec une décision comme celle-ci "

    Le journaliste: " C’est pour calmer les choses que… ? "

    Yann Maras: " e ne l’espère pas, je vous le dis encore une fois. Mon collègue, tout l’équipage et même sa hiérarchie qui sont intervenus ce soir-là, tout le monde pense qu’il a juste " fait le job" comme on dit "

    ***

    Le journaliste: "Dans votre tract, vous dites que votre collègue est victime du système judiciaire"

    Yann Maras: " Bien sûr ! Regardez: aujourd’hui, on est en train de discuter sur un plateau-télé… [NdA: Yann Maras est de nouveau interrompu par le journaliste]"

    Le journaliste, toujours putassier à souhait: "Parce que les victimes, ce sont les deux morts qui étaient au volant! "

    Yann Maras: "Aujourd’hui, j’ai un collègue qui est poursuivi…. [NdA: Yann Maras est encore une fois interrompu par le journaliste] "

    Le journaliste : "Il est en liberté, il est toujours policier… "

    Yann Maras: " Il est toujours policier sous contrôle judiciaire très très contraignant : il n’a pas le droit de résider à Paris, il n’a pas le droit de porter une arme, il n’a pas le droit d’être en contact avec le public. C’est un jeune fonctionnaire, qui vient de l’Île de la Réunion, qui est tout seul, qui n’a pas le droit de prendre contact avec son service, il n’a même pas le droit de rentrer dans Paris! Il est seul face à tout ça. Je pense que ce dont on ne se rend pas bien compte, c’est que le choc psychologique que, lui, a eu. Il n’a pas décidé de faire feu pour tuer. Il a fait feu pour stopper le véhicule. Aujourd’hui, les fonctionnaires qui l’accompagnent, toute sa hiérarchie, tout le monde lui a dit : " Tu as fait ton travail, mon garçon ! Tu as fait ton travail : tu as sauvé la vie de tes collègues, et la tienne ! "

    ***

    Il y a un mois, ce jeune policier s’est illustré par un acte héroïque : il n’a pas hésité à se jeter dans les eaux glaciales de la Seine pour aller sauver une femme qui tentait de se suicider. Alors qu’elle était au milieu du fleuve, il est allé la chercher et l’a ramenée au bord, il lui a donc sauvé la vie. C’est cet homme qui est aujourd’hui traîné dans la boue par un quarteron de magistrats kollabos. La France est décidément bien malade de sa magistrature de gauche.

    ***

    Henri Dubost

  • Ados transgenre: des "dommages irréversibles"

    EXTRAITS EXCLUSIFS – Dans Dommages irréversibles, un saisissant essai jamais idéologique mais purement factuel, la journaliste au Wall Street Journal, Abigail Shrier, montre comment des adolescentes américaines décident de changer de sexe sous l’influence d’internet. Un phénomène qui pourrait bientôt toucher la France où le livre paraît la semaine prochaine. (…)

    En 2016, Lisa Littman, gynécologue-obstétricienne devenue chercheuse en santé publique et mère de deux enfants, parcourait les réseaux sociaux lorsqu’elle a remarqué une singularité statistique: plusieurs adolescents, pour la plupart des filles, de sa petite ville du Rhode Island se déclaraient transgenres – tous au sein du même groupe d’amis […]. Le Dr Littman ne connaissait pratiquement rien à la dysphorie de genre. […] Mais elle en savait suffisamment pour constater que les chiffres étaient beaucoup plus élevés que la prévalence attendue. […] La hausse, effectivement, s’est révélée sans précédent. Aux États-Unis et dans le monde occidental, on constatait un pic soudain d’adolescentes déclarant une dysphorie de genre – la pathologie associée à la désignation sociale "transgenre".

    Entre 2016 et 2017 aux États-Unis, le nombre d’interventions en chirurgie transgenre pour les jeunes femmes a quadruplé, cette population représentant soudain – comme on l’a vu – 70% de toutes les interventions en chirurgie transgenre. […] La prévalence a augmenté de plus de 1000%. 2% des lycéens s’identifient aujourd’hui comme "transgenres", selon une enquête menée en 2017 auprès des adolescents par les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies. En 2016, les personnes assignées femme à la naissance représentaient 46% de toutes les chirurgies de réattribution sexuelle aux États-Unis. Un an plus tard, ce pourcentage était de 70%.(…)

    Tous les vlogueurs trans ne partagent pas la modération de Chase. Le gourou Instagram MtF (Male to Female, NDLR) Kaylee Korol, femme frêle aux cheveux bleus comme ses yeux et qui ressemble à une adolescente ordinaire, offre ce "conseil trans": "Vous n’avez pas besoin d’être sûrs à cent pour cent d’être trans pour essayer les hormones, vraiment, assure Kaylee à ses followers. Vous pouvez essayer les hormones pendant trois mois. Après cette période, il commence à y avoir des effets permanents, mais avant, vous pouvez simplement tester et voir comment vous vous sentez.

    C’est génial, c’est aussi simple que ça. Les hormones ne doivent pas vous effrayer."Inutile, donc, d’avoir la certitude d’être trans pour prendre des hormones. En fait, Kaylee ajoute que le traitement hormonal est "probablement le meilleur moyen de savoir si vous êtes trans ou non". Il est prouvé que la testostérone a des effets secondaires néfastes, mais vous en entendrez rarement parler. Les gourous de YouTube et d’Instagram sont là "pour le fun", et les risques accrus de divers cancers et d’hystérectomie prophylactique ne sont pas vraiment fun.(…)

    Presque toutes les détransitionneuses à qui j’ai parlé sont percluses de regrets. Si elles ont pris de la testostérone quelques mois seulement, elles ont une voix étonnamment masculine qui restera grave.

    Si elles ont été́ sous T pendant plus longtemps, elles souffrent de la gène d’avoir une géographie intime inhabituelle: un clitoris élargi qui ressemble à un petit pénis. Elles détestent leur barbe naissante et leur pilosité corporelle. Elles vivent avec une poitrine lacérée et des tétons masculins (oblongs et plus petits) ou des rabats de peau qui ne ressemblent pas à des tétons. Chez celles qui ont conservé leurs ovaires, une fois privé de testostérone, le tissu mammaire se gonfle au retour des règles d’un liquide qui, souvent, n’est pas correctement drainé. […] Les désisteuses et détransitionneuses à qui j’ai parlé m’ont toutes dit qu’elles étaient sûres à 100% d’être trans à vie – jusqu’à ce que, soudainement, elles ne le soient plus. Presque toutes reprochent à leur entourage adulte, en particulier les professionnels de la santé, d’avoir encouragé et facilité leur transition.

     

    Le Figaro