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Société - Page 2

  • Panique à l'Elysée!

    Trump s’attaque à Soros… Macron tremble et hait encore davantage Donald!

    … et la secousse arrive jusqu’à Paris!

    Donald Trump a ouvertement réclamé l’inculpation de George Soros et de son fils Alexander sous le RICO Act (1) pour leur rôle dans le financement et l’orchestration des mouvements violents aux États-Unis. Il a carrément écrit sur Truth Social: " Nous ne laisserons plus ces fous déchirer l’Amérique, sans lui donner la moindre chance de “RESPIRATION” et d’être LIBRE. Soros et sa bande de psychopathes ont causé de graves dommages à notre pays! ".

    Les médias américains et européens républicains ou patriotes témoignent depuis des années que l’Open Society Foundations de George Soros distribue des subventions à des causes considérées comme progressistes, finance des manifestations, notamment celles qui ont lutté contre les troupes déployées par l’administration de Donald Trump à Washington. Le même Soros aurait financé la campagne de Kamela Harris (85 millions de dollars…). Trump répète depuis un an que, lors de son procès pénal à New York l’année dernière, le procureur Alvin Bragg avait été soutenu par Soros.

    Elon Musk a également déclaré qu’il était "grand temps de prendre des mesures directes contre Soros", il l’avait déjà accusé d’être responsable des manifestations devant les concessionnaires Tesla au plus fort de son mandat au Doge.

    Soros qui a financé les manifs contre Trump, Soros financier de la LDH, du CCIF, Soros grand financier et organisateur de l’invasion migratoire en Europe…

    Nigel Farage a carrément accusé les parlementaires européens d’être corrompus par Soros!

    Et là où ça devient explosif: Alexander Soros est un soutien affiché d’Emmanuel Macron. Ce n’est pas une rumeur, c’est documenté: le fils Soros a ses entrées à l’Élysée et se vante de ses relais en Europe.

    Thierry MARIANI l’avait déjà dénoncé en 2021. 

    Et Résistance républicaine évidemment…

    2021

    Enorme scandale, Macron reçoit le fils Soros à l’Elysée, pour recevoir sa prochaine feuille de route?

    Novembre 2023:

    Quel sale coup Macron nous prépare-t-il avec le fils Soros qu’il a reçu une fois de plus?

    Que dire du rôle actif des Soros dans l’énorme scandale Covid qui a rapporté des milliards à Pfizer and co et a permis de supprimer la liberté des peuples, comme une espèce de grande répétition générale? 

    Confinement général et vaccination obligatoire: c’est la feuille de route imposée à l’Autriche par Soros?

    Tiens, tiens… Confinement des non vaccinés juste après la visite du fils Soros en Autriche!!!!

    Encore plus révélateur: Nathalie Loiseau, eurodéputé macroniste, est membre active du réseau “Soros Europe”. Autrement dit, les petites mains françaises de Macron participent à la même toile mondialiste qui agit dans l’ombre à Washington, Bruxelles et Paris.

    Quand Trump dit: " Nous surveillons Soros et son groupe de psychopathes ", cela veut dire que les ramifications européennes ne seront pas épargnées.

    Macron le sait: si Soros tombe, tout son réseau d’influence s’effondre avec lui.

    C’est donc la panique à l’Élysée.

    Christine Tasin

     

    Le Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act est une loi fédérale des États-Unis qui prévoit des sanctions pénales étendues et une cause d’action civile pour les délits commis dans le cadre des activités d’une organisation criminelle. Cette loi fédérale américaine est généralement utilisée pour lutter contre le crime organisé. C’est donc une accusation très grave que lance Trump contre Soros.

     

  • Madame la Ministre: notre École est en péril

    Ces derniers mois une vaste enquête intitulée La Grande Enquête sur l’École. 13 379 répondants, citoyens engagés, parents concernés, enseignants ou simples observateurs, ont livré leur jugement.

    Et ce jugement est sans appel.

        80,3% considèrent que le niveau en lecture, écriture et mathématiques est insuffisant.

        91,7% réclament un retour massif aux savoirs fondamentaux.

        92,9% estiment que les sanctions à l’égard des élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

        72,1% jugent que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

        76,5% dénoncent l’insuffisance de la prévention et du traitement du harcèlement scolaire.

        75,7% considèrent que l’école oriente idéologiquement les élèves.

        86,6% souhaitent une orientation possible en voie professionnelle dès la 4e.

        76,5% rejettent la réforme du lycée, notamment la suppression des filières.

        72,7% sont favorables aux classes de niveau au collège.

        Et 91% ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, qu’ils jugent dévalorisé.

     

    Madame la Ministre, ces résultats traduisent un désaveu populaire massif, mais aussi un appel au courage. Ce que demandent les Français, ce n’est pas un énième "ajustement" bureaucratique, mais un changement de cap total:

    ■ Le retour de l’autorité dans les classes,

    ■ La restauration de la transmission du savoir,

    ■ L’affirmation d’un cadre national exigeant,

    ■ Et la réhabilitation de notre héritage culturel et de la méritocratie républicaine.

    C'est le même constat sur l’école depuis trente ans.

    AUJOURD’HUI, 75.000 PARENTS, CONFIRMENT LEURS INQUIETUDES.

    Les résultats de l’enquête PISA 2022 l’ont démontré:

    nos élèves régressent, en mathématiques comme en compréhension écrite. La France se retrouve désormais en queue de peloton des pays de l’OCDE, alors même qu’elle consacre chaque année un budget plus important que l’écrasante majorité d’entre eux à son système éducatif.

    Les analyses nationales ne sont pas plus rassurantes. La Cour des comptes, dans son rapport de 2025, dénonce l’inefficacité de notre système et un niveau scolaire "inacceptable".

    Il est des constats que l’on ne peut plus éluder, des chiffres que l’on ne peut plus dissimuler, et des réalités que des millions de familles vivent dans la douleur.

    L’École française, autrefois fierté nationale, s’est effondrée sous nos yeux.

    Vous êtes en poste depuis désormais huit mois, et rien ne change. Vous êtes aujourd’hui responsable d’un ministère dont dépend l’avenir de notre pays.

    Il vous appartient de trancher: persister dans l’aveuglement ou choisir la refondation.

    Madame la Ministre, les Français vous appellent solennellement à entendre leurs voix, à prendre acte de l’état de délabrement de notre École, et à engager sans délai les réformes que la nation attend.

    L’heure n’est plus aux demi-mesures.

    L’avenir de la France passe par la reconquête de son École.

    ARTICLE ECRIT APRES LECTURE DE:

     

    ANNEXE – RÉSULTATS DE" LA GRANDE ENQUÊTE SUR L’ÉCOLE"

    Enquête menée par Reconquête! et le réseau des Parents Vigilants

    13 379 répondants – 2025

    Dans le cadre de ses travaux sur l’avenir de l’école, le mouvement Reconquête a lancé une consultation nationale inédite entre septembre 2024 et mai 2025. L’objectif était clair: redonner la parole aux Français sur l’état de l’Éducation nationale et recueillir leurs attentes concrètes. Les résultats de cette enquête révèlent une inquiétude massive et une volonté partagée de changement radical.

    ⊲ DES SAVOIRS FONDAMENTAUX EN RECUL

    ■ 80,3% des personnes interrogées jugent que le niveau enseigné en mathématiques, lecture et écriture est insuffisant.

    ■ 91,7% souhaitent que davantage de temps soit consacré aux savoirs fondamentaux à l’école primaire.

    ⊲ UN CLIMAT SCOLAIRE PREOCCUPANT

    ■ 72,1% estiment que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

    ■ 76,5% considèrent que la prévention et le traitement du harcèlement scolaire sont insuffisants.

    ■ 92,9% jugent que les sanctions contre les élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

    ⊲ UNE ECOLE ACCUSEE DE DERIVES IDEOLOGIQUES

    ■ 75,7% estiment que l’école oriente idéologiquement les élèves, au détriment de la neutralité et de l’objectivité.

    ⊲ UN SYSTEME D’ORIENTATION CRITIQUE

    ■ 86,6% des répondants souhaitent que l’orientation vers les filières professionnelles soit possible dès la classe de 4e.

    ■ 76,5% ne sont pas satisfaits de la réforme du lycée (disparition des filières, système de spécialités).

    ■ 72,7% se déclarent favorables aux classes de niveau au collège.

    ⊲ LE BACCALAUREAT, SYMBOLE D’UN DECLASSEMENT

    ■ 91% des répondants ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, jugé dévalorisé et déconnecté des exigences réelles.

    CONCLUSION

    Cette enquête révèle un diagnostic sans appel:

    Les Français sont lucides sur l’effondrement de l’école et réclament un retour à l’exigence, à l’autorité et à la transmission.

  • Le pédagogisme, grand responsable de l’effondrement de l’école

    image générée par moi avec une I.A.

    La pédagogie désigne l’art de l’éducation, les méthodes et pratiques d’enseignement pour transmettre un savoir, des connaissances, un savoir-faire, des capacités, un savoir-être, des attitudes. Et en effet, la pédagogie est un art.

    Le terme pédagogisme désigne un ensemble de méthodes d’enseignement scolaire qui s’appuient sur les conceptions du constructivisme.

    Le but est de faciliter la construction par l’élève lui-même de ses savoirs et d’améliorer ainsi ses propres stratégies d’apprentissage.

    Le rôle de l’enseignant ne serait plus de transmettre des savoirs déjà constitués, mais surtout de mettre en oeuvre une pédagogie permettant à l’élève de mieux s’approprier les savoirs en les reliant à des expériences vécues et à d’autres savoirs.

    Le terme pédagogisme est utilisé aussi pour critiquer l’approche traditionnelle. Ses tenants agissent uniquement au motif de l’épanouissement de l’enfant, font oeuvre d’éducation. Ils renoncent aux méthodes classiques qui consistaient à lui enseigner directement des savoirs.

    D’un point de vue de l’historique, ces préceptes pédagogiques qui imprègnent le système éducatif prennent leurs racines au XIXe siècle.

    Les pédagogues dits " progressistes " sont inspirés par Jean-Jacques Rousseau et par les travaux de psychologues et de comportementalistes américains.

    Ils partent du principe que la transmission des connaissances par le professeur n’est que la reproduction de schémas archaïques qui enferment l’élève.

    L’élève doit être "créateur de son savoir", et le pédagogue un "accompagnateur".

    Le rôle de l’école n’est plus de transmettre des savoirs, mais des "savoir-faire" et des "savoir-être". Cette idéologie triomphe aux Etats-Unis dès les années 1930.

    En 1960, dans La Crise de la culture, Hannah Arendt en dénonce les effets pervers sur le système éducatif américain.

    Peu importe, il s’impose en France en se colorant d’une teinte politique, et en plusieurs étapes. Dans les années 1960, les thèses de Pierre Bourdieu décrivent l’école comme lieu de transmission de la culture dominante et comme lieu de reproduction des inégalités.

    Ces thèses achèvent de convaincre la majorité des enseignants et nombre de politiques d’adapter l’école d’une part, aux "nouveaux publics" drainés par la massification du système, version de gauche, d’autre part, aux évolutions du monde en mouvement, version de droite.

    Mai 1968 remet complétement en cause l’idée d’autorité. On commence à saper la possibilité même de transmission.

    En 1975, la Loi Haby sur le collège unique a des effets délétères pour les enseignements disciplinaires.

    Les années 1970 et 1980 voient se multiplier les postes en sciences de l’éducation dans les universités.

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  • Qui sont ces hordes sauvages qui pourrissent la vie des Français

    et profitent de sa politique sociale?

    Ils agressent les pompiers, leur volent leurs véhicules, mais qui sont-ils?

    Ils foutent le bordel dans les concerts d’été, mais qui sont-ils?

    Ils veulent imposer leur façon d’être et de vivre, mais qui sont-ils?

    Ils ne se plient pas aux lois de leur pays d’accueil car elles sont trop imparfaites pour eux et une insulte à la leur, d’essence supérieure, mais qui sont-ils?

    Ils assiègent les commissariats de police et jettent des cocktails Molotov sur les policiers, mais qui sont-ils?

    Ils font des rodéos dans les cités, mais qui sont-ils?

    Ils ont le coup de couteau facile, mais qui sont-ils?

    Ils gâchent les vacances des estivants, mais qui sont-ils?

    Ils sont responsables de la majorité des fusillades, mais qui sont-ils?

    Ils ont transformé leurs quartiers en zones de non-droit, mais qui sont-ils?

    Ils commettent des vols à l’arraché et à la roulotte, mais qui sont-ils?

    Ils détroussent les touristes, mais qui sont-ils?

    Ils brûlent le drapeau tricolore, mais qui sont ils?

    Ils mettent le drapeau de leur pays sur les façades des mairies, mais qui sont-ils?

    Ils sont in-expulsables parce que leur pays d’origine refuse de délivrer les laissez-passer consulaires, mais qui sont-ils?

    Ils se comportent en envahisseurs en marge des matches de leur équipe nationale, mais qui sont-ils?

    Ils sont le fonds de commerce de l’extrême gauche, mais qui sont-ils?

    Ils sont responsables de la majorité des attentats, mais qui sont-ils?

    Ils sont soignés, choyés, bordés, ménagés, encensés, flattés comme s’ils étaient des messies, une chance pour leurs idiots utiles mais certainement pas pour la France, mais qui sont-ils?

    Ils s’en prennent aux Juifs  et aux chrétiens sans qu’on n’ose les nommer, mais qui sont-ils?

    Ils profanent les lieux de culte des chrétiens et les cimetières de ces derniers, mais qui sont-ils?

    Ils brûlent les voitures les nuits de la Saint-Sylvestre et du 14 juillet, mais qui sont-ils?

    Ils crachent sur la mémoire des 80 millions de soldats morts sur le champ de bataille de la Seconde Guerre Mondiale et disent qu’ils ont un prix très lourd avec leurs 100.000 morts musulmans pour la libération de la France et qu’ils ont arraché l’Occident au joug du nazisme, mais qui sont-ils?

    À les écouter, sans eux la France n’aurait pas connu les Trente Glorieuses.

    La reconnaissance du ventre n’est pas musulmane. Ils n’ont de reconnaissance que pour leur dieu de malheur.

     

    Salem Benammar

  • Comment trouver son médecin traitant?

    Selon une récente étude, près d’un médecin sur deux n’accepte plus de nouveaux patients en ville. Une décision que les généralistes justifient par le fait qu’ils ont déjà un grand nombre de patients et qu’ils ne pourraient pas les suivre correctement s’ils en acceptaient davantage.

    Les professionnels qui préparent leur départ en retraite limitent également leur patientèle. Une situation qui rend difficile le fait de trouver un médecin traitant quand on n’a pas de médecin de famille, ou suite à un déménagement.

    La surcharge de travail dont ils sont victimes incite des nombreux professionnels de santé à ne plus accepter de nouveaux patients. Un choix qui compromet l’accès à un médecin traitant et à un bon suivi de santé pour les malades.

    UN MEDECIN GENERALISTE A-T-IL LE DROIT DE NE PLUS PRENDRE DE NOUVEAUX PATIENTS?

    Face au refus d’un médecin généraliste de prendre un nouveau patient, même en cas de maladie, on peut se poser la question de la légalité de ce choix. En France, la loi autorise un médecin à refuser d’accepter de nouveaux patients et à refuser d’être le médecin traitant d’un malade.

    Le seul cas où un praticien est obligé de délivrer des soins est celui de l’urgence. Dans un cadre de médecine de ville classique, il est donc tout à fait légitime pour un docteur de ne plus prendre de nouveaux patients.

    CONSEILS POUR TROUVER UN MEDECIN QUI PREND DE NOUVEAUX PATIENTS

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, il existe plusieurs solutions. La première consiste à faire une recherche sur le site de la caisse d’assurance maladie "ameli". Ce site recense tous les médecins généralistes par secteur.

    La plate-forme Doctolib peut aussi aider à trouver les médecins qui prennent de nouveaux patients. Au moment de lancer une recherche, il suffit de sélectionner ce critère dans les filtres.

    COMMENT FAIRE QUAND ON N’A PAS DE MEDECIN TRAITANT?

    Avoir un médecin traitant permet de bénéficier d’un remboursement des consultations à 70% par l’assurance-maladie. C’est aussi l’assurance d’être mieux soigné pour le patient qui a un interlocuteur de confiance qui connaît bien son dossier de santé. Le médecin traitant est d’autant plus utile en cas d’urgence, ou face à des maladies comme la Covid-19 qui nécessite un suivi soigneux.

    Les patients qui ne parviennent pas à trouver de médecin traitant malgré leurs recherches peuvent saisir le conciliateur de l’assurance-maladie. Ce professionnel a pour rôle d’aider les malades à trouver un médecin traitant généraliste, afin qu’aucun assuré ne reste sans solution pour prendre soin de sa santé.

     

    Le conciliateur ne peut pas forcer un médecin à devenir le médecin traitant d’un patient, mais il peut tenter une médiation pour inciter ceux qui ont refusé de revenir sur leur décision.

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, la meilleure solution est d’utiliser un site comme Doctolib pour rechercher les généralistes disponibles près de chez soi. En cas de problème, le conciliateur de l’assurance-maladie peut également aider les assurés à trouver un généraliste référent.

  • Bayrou va saigner les Français sans toucher à l’immigration

    3,4% du PIB, cela représente 100 milliards de perte de richesses par an. Faites le compte sur les 20 dernières années, durant lesquelles l’immigration a explosé… Notre faillite, c’est en grande partie l’arrivée en masse de déshérités sans diplômes. Tout est soigneusement occulté par un lavage de cerveau ininterrompu.

    Par conséquent, en parfait petit soldat mondialiste, Bayrou évacue lâchement le fardeau écrasant de l’immigration sous-qualifiée. Or, prétendre redresser nos finances sans traiter le mal à la racine, c’est enfoncer le pays toujours plus.

    Pour bien comprendre le mal français qui nous ronge depuis quarante ans et qui a entraîné notre gigantesque déclassement économique, il suffit de voir d’où provient l’essentiel de notre immigration extra-européenne: elle vient des pays les moins alphabétisés du monde. Nous avons une bonne part de nos immigrés qui ne savent ni lire ni écrire à leur arrivée, souvent issus de nos anciennes colonies africaines.

    "20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50% d’analphabètes dans leur population: l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan".

    Et avec une immigration du travail qui ne pèse que 10% des flux annuels, on voit mal comment celle-ci pourrait nous enrichir. Le pouvoir ment et cache cette sinistre réalité, mais quand la France sera en passe de rejoindre le Zimbabwe, il faudra bien se rendre à l’évidence: un continent africain de 1,5 milliard d’habitants qui produit chaque année moins de richesses que la France ne peut en aucun cas être la source de notre redressement économique.

    Bayrou a peur de toucher à l’immigration de masse, largement sous qualifiée puisque majoritairement non diplômée. Par conséquent, il trompe les Français avec un plan d’économie totalement illusoire qui ne résout rien.

    C’est un illusionniste comme Macron qui prétend mettre son expérience au service de la France, alors qu’il la laisse s’enfoncer comme tous ses prédécesseurs mondialistes.

    Voici les chiffres implacables et incontestables qui montrent que la réalité est à 180° du discours      bien-pensant. Non seulement l’immigration nous ruine, mais la France est lanterne rouge des pays européens quant à l’impact de l’immigration sur les comptes publics.

     

    https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-leconomie-francaise/#:~:text=L’immigration%20p%C3%A8se%20sur%20la,encore%20plus%20%C3%A9lev%C3%A9e%20pour%20les

     

    Selon l’Observatoire de l’immigration:

    "Le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4% et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 points de PIB".

    Cela représente une perte de PIB de 102 milliards par an et une moindre recette fiscale de 45 milliards. À l’heure où Bayrou recherche 40 milliards d’économies, on sait où les trouver.

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