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Société - Page 6

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • Eric Denécé, François Faivre, Olivier Marleix et les autres gêneurs du pouvoir

    Le suicide de Marleix, qui y croit? Personne. Il se trouve que le député en était à finaliser un livre dans lequel il évoquait l’affaire Alstom et le financement de la campagne présidentielle de 2017. Avant lui, s’étaient suicidés un médecin et une journaliste, qui allaient peut-être faire des révélations sur Brigitte. Il y eut aussi un général, des agents de la DGSE, à ce point que ça commence à faire beaucoup.

    Mais c’est le hasard évidemment. Un peu comme en Russie, quand un opposant à Poutine se suicide en tombant d’un balcon, une fois par an. Sauf qu’en France, c’est tous les quatre matins. Il faut croire que, dans le pays garant des libertés individuelles, de la liberté d’expression et de la démocratie, qui se permet de donner des leçons à la Terre entière, les malheureux hasards qui frappent les opposants sont bien plus fréquents que dans les pays désignés comme des dictatures. Les mauvaises langues diront qu’il n’y a pas de hasard et que ce sont des éliminations réalisées avec doigté.

    Avec doigté, pensez donc, même pas besoin, vu que les exécutants, les enquêteurs et les communicants sont les mêmes, ou de la même bande et que la presse subventionnée aux ordres ne répète que ce qu’on lui demande de répéter. Le pire est que tout le monde qui sait ce que le quidam ne sait pas a bien compris qu’il risquait sa peau, donc il se la ferme. Si ça continue comme ça, en 2027, il n’y aura pas d’élection, parce que tous les candidats se seront, par hasard bien sûr, suicidés.

     

    Blog du RPF

    ET ENCORE

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  • Réforme de l'audio-visuel français

    La situation financière du service public.

    En 2024 le budget fut de 4,024 milliards d’€ contre 3,8 milliards un an avant. C’est sans contestation possible un puits sans fond pour des résultats médiocres si on regarde les audiences qui n’évoluent nullement dans le bon sens. Depuis la suppression de la redevance audio-visuelle en 2022, c’est la TVA qui finance donc tous les Français. Rien n’a donc changé pour les Français. C’est un puits sans fond où se perdent des milliards d’€ chaque année. D’ailleurs c’est officiel, le déficit voté sera de 41,2 millions d’€ pour le budget 2024. C’est pas grave, comme dirait l’autre "c’est Nicolas qui paye".

    S’agissant de la répartition des fonds, on note que France TV reçoit 2,57 milliards d’€, Radio France 622 millions d’€, et l’INA 108 millions d’€. Montants dilapidés dans des émissions et des salaires indécents. Certaines émissions d’Élise Lucet sont facturées 400.000€. Élise Lucet touchant 25.000€/mois de salaire. Quant aux sociétés de production privées, elles siphonnent ces budgets et s’en mettent plein les poches. Jusqu’à la PDG Delphine Ernotte 27.000€/mois + 78.000€ de bonus annuel en fonction des résultats. Un rapport sénatorial de 2023 a dénoncé " des dépenses non maîtrisées et des salaires élevés".

    Pour la cour des Comptes 191 cadres touchent plus de 120.000€ bruts par an et 547 salariés touchent plus de 96.000€ bruts par an. Et pourtant, malgré ces salaires mirobolants, les audiences sont faméliques, sanctionnant un manque de qualité que le public voit bien.

    À cela s’ajoute un manque flagrant de neutralité dans les programmes. En mai 2024, l’institut Thomas More a publié un rapport accablant, analysant plus de 200 émissions sur une période donnée, de France TV et Radio France, ils relèvent un déséquilibre criant (que l’ARCOM n’a pas jugé utile de relever)… 25% des invités étaient de gauche, 21% de la macronie et seulement 4% de la droite, alors que tous les sondages le disent: la droite est majoritaire en France.

    Quant au contenu des émissions, 68% des débats privilégient des positions progressistes contre 12% pour des opinions conservatrices. On voit bien que sur le service public, il n’y a pas de pluralisme mais de la propagande.

    Et la PDG n’est nullement choquée par cette situation, elle qui affirmait le 5 juillet 2023 devant une commission parlementaire, sous serment, "on ne représente pas la France telle qu’elle est mais telle que nous voudrions qu’elle soit". On ne peut pas être plus clair.

    Quant aux journalistes vedettes, ils font de même, tel Patrick Cohen qui, après avoir déclenché une monumentale polémique en réécrivant l’histoire du meurtre de Thomas à Crépol, recommence en mentant à propos du meurtre d’Élias par deux racailles, qui auraient dû être en prison, en déclarant " Elias a refusé de donner son téléphone " alors que c’est totalement faux. Sans parler de l’émission honteuse de C5 qui a assassiné une seconde fois la pauvre Lola. Enfin, on n’oubliera pas de souligner l’ignoble émission pseudo-scientifique " Sommes-nous tous racistes? " réalisée dernièrement sur la France2 pour démontrer qu’en France, le racisme est partout.

    France TV et Radio France sont d’infâmes outils de propagande et n’ont plus rien à voir avec une information honnête et objective. C’est indiscutable.

    En vérité, que cette pseudo-réforme ait une suite ou pas n’a guère d’importance. Si elle était passée, ce n’aurait été qu’une réforme à l’eau très tiède. Ce qu’il faut, c’est un vrai coup de pied dans la fourmilière. Il faut privatiser entièrement tout ce secteur afin qu’un juste équilibre économique devienne la règle et que ceux qui la transgressent soient virés sans autre forme de procès au lieu de les laisser se gaver sur le dos du pays.

    De plus, politiquement, il est plus que temps qu’on mette un terme à ce " service public de l’information " qui n’est qu’un système de propagande digne de l’URSS de Staline. Que les journalistes redeviennent des professionnels qui informent sans travestir les faits ni les opinions. Sans propagande, mais avec objectivité.

    Bernard GERMAIN

  • Éoliennes: pourquoi leurs infra-sons sont cachés

    Dans le cas des mesures des infra-sons, l’industrie éolienne utilise une propagande (Bernays 1928) similaire à celle que les cigarettiers ont pu se permettre durant 70 ans. Pour mettre fin aux mensonges des cigarettiers, il a fallu qu’un de leurs biologistes rende public un de leurs très anciens rapports qui mesurait avec précision l’augmentation des cancers du poumon chez les fumeurs. Il aura fallu attendre 70 ans une réaction utile! Le tabac rapporte beaucoup d’argent…

    À proximité des éoliennes, la puissance des infra-sons est largement nocive. Et quand on sait que, contrairement aux sons qui sont absorbés par le milieu, les infra-sons ne sont absorbés ou atténués par RIEN d’autre que la distance, car la  distance croissante ajoute au volume de matière mis en vibration, on peut imaginer les dégâts sur l’organisme humain. Ces dégâts sont possibles sur plusieurs kilomètres!

    Précisons que les infra-sons des éoliennes – sons de moins de dix cycles par seconde et donc inaudibles – rendraient sourds sur-le-champ tous les passants qui les entendraient, qui subiraient leur puissance si c’étaient des sons émis dans les fréquences audibles.

    L’exploit le plus brillant des fabricants d’éoliennes est d’avoir réussi à éviter sur toute la planète qu’un pays fixe des normes contrôlées en matière d’infra-sons des éoliennes… malins comme les cigarettiers!

    En 1985, la Belgique a même décidé de fixer des normes pour toutes les vibrations et elle l’a fait… Sauf pour les infra-sons.

    Les infrasons des éoliennes sont totalement différents de ceux dans lesquels les citadins sont habituellement plongés: ils sont toujours les mêmes et, donc, si un de vos organes internes entre en vibration et frotte d’autres organes, cette vibration est permanente, ce qui est très rarement le cas dans le milieu urbain de comparaison.

    Le Dr. Steven Crazier (1) constate que 20% des gens se plaignent. Si un mal atteint 20% de la population, n’est-il pas temps d’enquêter? Et en attendant, un moratoire sur la multiplication des éoliennes s’impose.

    Même le respect des normes en matière de sons audibles des éoliennes (45dbA) n’est jamais contrôlé dans la réalité. Et certaines formes de mortalité liées aux éoliennes et mesurées en 2017 par Eric Zou (2) grâce à son analyse de registres de population aux USA, sont parfaitement ignorées des responsables.

    Il y a des centaines de milliers d’éoliennes et de fumeurs. Le nombre ne rend pas la cigarette sans danger, pas plus que les éoliennes et leurs infra-sons. L’autorisation officielle d’enquêter m’a été refusée par la ministre de la Santé, Maggie De Block, vers 2014.

    Claude Brasseur       

     

    (1) International Conferences on Wind Tuirbine Noise (11e Edition of the) Copenhagen, Denmark – 10 to 13 June 2025)

     (2) Eric Yongchen Zou: " The Impact of Wind Farms on suicide ". Wind Turbine Syndrome

     

  • L’État va vous empapaouter, pour faire travailler les étrangers

    L’État va augmenter une taxe de 5,5 à 20% de TVA sur l’électricité pour faire travailler nos migrants.

    Des surcoûts résultant des mécanismes de soutien aux énergies renouvelables et à la cogénération, de la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées (ZNI), de certains dispositifs sociaux bénéficiant aux ménages en situation de précarité et du soutien à l’effacement.

    https://www.presse-citron.net/un-coup-de-massue-fiscal-en-vue-la-tva-sur-lelectricite-senvole-de-263-en-aout/

    L’installation des parcs éoliens et photovoltaïques nécessite une main-d’œuvre de gros œuvre non qualifiée ou très peu qualifiée pour travailler dans des conditions difficiles. Les 60% d’immigrants travaillant font une main-d’œuvre idéale pour des chantiers colossaux rapportant beaucoup d’argent (sauf à l’État qui subventionne). Quant aux 40% de migrants qui ne travaillent pas, eux bénéficieront des dispositifs sociaux bénéficiant aux ménages en situation de précarité.

    50% des parcs éoliens et photovoltaïques sont aux mains d’étrangers, particulièrement les Nord-Américains et les Allemands qui bénéficient de nos subventions et des bénéfices, quel que soit le montant des taxes, qui nous sont de toute façon toujours répercutées.  Depuis 2003, ce soutien public s’est monté à 43 milliards d’euros, dont 11,5 milliards pour l’éolien terrestre et 24,6 milliards pour le solaire (2020)… ce n’était que le début.

    Le montant total des subventions publiques aux énergies renouvelables devrait atteindre entre 116,1 et 130,3 milliards d’euros d’ici 2028… Sans subventions, il n’y a pas d’énergies renouvelables.   

    https://www.transitionsenergies.com/subventions-energies-renouvelables/

    Un important changement se profile dans quelques semaines sur la facture énergétique des Français. Ainsi, la TVA qui est appliquée au gaz et à l’électricité passera de 5,5% à 20% dès le 1er août. Mais le gouvernement a promis que cela serait indolore grâce à la baisse d’une autre taxe. Faisons le point. L’accise sera en effet réduite au même moment alors qu’elle est actuellement à 33,70 euros par MWh, elle passera à 29,98 euros par MWh en août, pour l’électricité. Le même mécanisme s’applique au gaz.

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