Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 3

  • La débâcle des imposteurs climatiques que les médias refusent de voir

    Sainte Greta est éplorée. Il y a de quoi. En plein mois de juillet, la température de l’eau sur la Côte d’Azur équivalait à celle de la Manche. Même si des savants Cosinus expliquent que c’est à cause du réchauffement, ça a de quoi vous refroidir.

    Du coup, la mongolotte a troqué le réchauffisme contre l’amour des fedayin au goût sauvage. Une esquive à point nommé.

    Le FBI s’intéresse à l’usage des milliards de dollars attribués à des associations bidon pour sauver le monde. Même si elle n’a rien fait de mal, la proximité avec des assassins ternit sa réputation.

    La plupart des bénéficiaires des largesses ont été incapables de présenter une comptabilité justifiant leurs dépenses. Le FBI a perquisitionné plusieurs officines aux USA, et les inculpés ont préféré passer des deals avec la justice pour éviter des procès publics. Ça valait mieux pour eux. Car la CIA subodore qu’une partie des sommes détournées par des ONG l’ont été au profit des terroristes du Hamas.

    Michael E. Mann, Prix Nobel, condamné pour fraude

    Golden boy du climat, idole des téléphages friands de talk shows, l’homme est un géophysicien, expert en cristaux liquides et en matériaux supraconducteurs. Mais c’est aussi un caractériel souffrant d’un ego hypertrophié, toujours en quête de notoriété.

    Son graphique dit "en crosse de hockey" a servi au GIEC pour appuyer le discours sur le réchauffement et récolter des fonds. Mais ce graphique (900 ans de plat puis une montée en flèche sur les 80 dernières années) est une énorme fraude. Une tricherie sophistiquée reposant sur un algorithme truqué pour produire cette forme quelles que soient les données saisies.

    Démonstration faite par le docteur Tim Ball dans son ouvrage La corruption de la science du climat. N’appréciant pas d’être traité de fraudeur, Mann a poursuivi son accusateur en justice pour diffamation. Mais il a refusé de remettre aux experts l’algorithme du graphique et les points de données, révélant un manque total de transparence et d’intégrité scientifique. La cour a rejeté ses prétentions et l’a condamné à indemniser son adversaire.

    On doit aussi à Tim Ball une étude pluridisciplinaire écrite avec 7 co-auteurs concluant que "les températures de l’air printanier autour du bassin de la baie d’Hudson au cours des 70 dernières années ne montrent aucune tendance significative au réchauffement, et en conséquence, la disparition annoncée des ours polaires est infondée".

    Lire la suite

  • Nos dirigeants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun

    En France, tout le système politico-médiatique conspire à nous faire croire que nos gouvernants gouvernent et que nos présidents président, conformément au texte de la Constitution de 1958. Personne, comme dans le conte d’Andersen, n’ose dire que le roi est nu, c’est-à-dire que nos gouvernants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun au sein de la zone euro.

    Et, par conséquent, que les élections ne servent progressivement plus à rien dans l’Union européenne. C’est le grand secret que tous s’efforcent de nous cacher, mais de plus en plus difficilement.

    LA FICTION DU POUVOIR

    Les institutions nous font vivre dans un univers de fiction, comme si nous étions encore dans la France des années 1970.

    Comme on fait défiler nos soldats le 14 juillet pour faire croire que nous avons encore une armée à même de garantir notre indépendance, alors que nous nous soumettons à l’OTAN, qui veut nous engager dans des conflits qui ne sont pas les nôtres. Comme on n’a de cesse d’invoquer une République dont on a trahi toutes les valeurs fondatrices.

    Ceux qui sont "au pouvoir" nous font croire qu’ils prennent des décisions, alors que la réalité du pouvoir a fui les palais nationaux.

    Car aujourd’hui, les vrais décideurs résident à Bruxelles, à Francfort, à Berlin, à Washington, dans les prétoires, dans les salles de rédaction, dans les lobbys et dans les organes dirigeants des grandes entreprises mondialisées.

    Pas à Paris.

    La monnaie? De la compétence de la BCE.

    La politique commerciale? De la compétence de la Commission européenne. L’immigration? C’est l’affaire des juges.

    Les frontières? Ce ne sont plus que des passoires.

    La défense? C’est l’OTAN qui décide.

    L’économie et la finance? Elles sont dérégulées.

    Et tout à l’avenant.

    Pendant que nos parlementaires font mine de voter les lois, alors que pour l’essentiel ils transcrivent des directives de l’UE et qu’ils ne peuvent voter que ce que le Conseil constitutionnel et les juges, inamovibles et irresponsables politiquement, autorisent.

    Les prétendus "pouvoirs publics" n’ont plus de pouvoir.

    LE POUVOIR DE LA FICTION

    En réalité, ceux qui sont "au pouvoir" ne peuvent plus agir qu’à la marge: ils ne peuvent qu’aller dans le sens des orientations et de l’idéologie de l’UE. Ils peuvent accélérer (comme on le voit, par exemple, en matière "sociétale") ou freiner (beaucoup plus rarement), mais pas changer de direction. Sinon, ils seraient chassés du pouvoir et de ses avantages.

    C’est pourquoi également nos gouvernants sont devenus des perroquets communicants: de vrais moulins à paroles, tel Emmanuel Macron soliloquant pendant des heures lors du prétendu Grand Débat national de 2019, pour faire oublier qu’ils ne sont plus en mesure de faire quoi que ce soit de positif.

    C’est pourquoi aussi les présidences deviennent des "quinquennats pour rien": des quinquennats où il ne se produit rien de bon pour les Français.

    Mais ceux qui sont "dans l’opposition", hélas, trompent aussi: en faisant croire qu’une fois élus, ils feront entrer leurs belles promesses dans la réalité.

    Alors qu’à leur tour, ils subiront le même carcan idéologique et institutionnel de l’UE.

    Car, pour réaliser leurs programmes, il faudrait renverser la table, ce qu’ils ne semblent pas prêts à faire en réalité. Et s’ils promettaient de le faire, tout le Système se liguerait pour empêcher leur élection, comme on vient de le voir encore récemment en Roumanie.

    LA FIN PROGRAMMEE DE LA SOUVERAINETE POLITIQUE

    On a caché au peuple français que les transferts de souveraineté accomplis au profit de l’UE, imposés le plus souvent à la population par divers subterfuges comme le Traité de Lisbonne, ne nous rendaient pas "plus forts", comme le disait la propagande, mais qu’ils vidaient progressivement de son sens la politique dans les pays de la zone euro. C’est cela aussi, le Grand Secret.

    Et le projet de supprimer le droit de veto des États, porté par les européistes, détruirait complétement les fondements de toute souveraineté politique nationale, donc de toute démocratie.

    Tel est bien sûr "l’agenda" – comme ils disent – des artisans de cette "construction européenne" qui veut mettre fin au politique et donc à la souveraineté des peuples, pour imposer leur domination sans limite. Au nom de la vieille utopie de la rationalité et de l’administration des choses.

    UN GOUVERNEMENT DE SATRAPES

    Aujourd’hui, nos gouvernants ne sont plus que les satrapes d’un Système opaque, car il n’a même pas la qualité ni la présence d’une fédération ni d’un empire.

    On nous cache que nos gouvernants non seulement n’ont plus la volonté, mais surtout plus la capacité de faire ce que veut la population.

    Ni d’assurer sa prospérité et sa continuité. Ni de la protéger.

    Comme l’écrit significativement l’ancien commissaire divisionnaire Maurice Signolet dans son dernier essai: "La police ne peut plus rien pour vous".

    Mais ce constat s’applique de nos jours à presque tous les domaines de l’action publique.

    Nos satrapes ne sont là que pour assurer un certain ordre, pour empêcher toute révolte de la population et toute remise en cause de l’agenda mondialiste "européen".

    Pour "taper sur les Français" qui manifestent, comme Emmanuel Macron le fit lors du mouvement des Gilets jaunes ou lors des rassemblements contre la politique covidienne, contre la réforme des retraites ou contre la délinquance d’origine étrangère.

    Car le chaos ne gêne pas les satrapes s’il permet de sidérer encore plus la population, pour mieux la soumettre. C’est pourquoi cet ordre prend la forme d’une anarcho-tyrannie de plus en plus insupportable.

    UNE IDEE NEUVE: LE POUVOIR AU PEUPLE

    Mais bonne nouvelle: il devient de plus en plus difficile de préserver ce Grand Secret.

    Tout le monde voit désormais, en effet, les résultats de l’impuissance verbeuse de nos gouvernants: les usines qui ferment, la délinquance qui progresse, les services publics qui ne fonctionnent plus, l’immigration qui ne s’arrête pas, les dettes et les impôts qui augmentent, l’islamisation qui avance, les risques de guerre qui se multiplient…

    De plus en plus de Français voient que le roi est nu et qu’il ne dispose finalement que d’un pouvoir de nuisance. D’où l’image de plus en plus catastrophique de ces "dirigeants" qui ne dirigent rien.

    Et comme ce pouvoir n’est fort qu’avec les faibles, il est donc temps de montrer sa force.

    C’est pourquoi prendre le pouvoir pour redonner du pouvoir au pouvoir redevient progressivement une idée populaire et neuve en France.

    Michel Geoffroy

    https://www.polemia.com/

  • Il faut être idiot pour signer la pétition contre la loi Duplomb

    Ces dernières semaines, l’agriculture conventionnelle a subi une violente campagne de désinformation médiatique, dans la presse, à la télévision et sur les réseaux sociaux. Une manipulation de l’opinion publique scandaleuse, disons-le d’emblée, qu’il est nécessaire de dénoncer: car les faits scientifiques eux, ne mentent pas.

    La campagne, d’une rare virulence, vise l’irrigation des cultures et les retenues d’eau appelées "bassines", le glyphosate et la loi Duplomb adoptée récemment à l’Assemblée nationale.

    Celle-ci poserait un problème majeur de santé publique; en cause, la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, néonicotinoïde pourtant autorisé partout en Europe et dans le monde.

    Une pastèque, Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Ecologie Les Verts, parle de la loi "poison". Le 8 juillet, sur X, elle estimait que "tous les députés qui voteront pour la loi Duplomb voteront pour l’empoisonnement de vos enfants et la destruction de la biodiversité".

    SANS RIRE

    Une nouvelle étude au protocole bancal pour dénigrer le glyphosate

    Le 12 juin dernier, la presse relaye abondamment une nouvelle étude italienne qui démontrerait "qu’une exposition prolongée au glyphosate, dès la vie prénatale, entraîne une augmentation significative des cas de leucémies et de nombreux autres types de tumeurs".

    Le journal Charente Libre, qui ne rate pas une occasion de vilipender l’agriculture et la viticulture, estime que c’est un "scandale sanitaire en puissance" ignoré par les autorités sanitaires.

    Lire la suite

  • La gauche antisémite multiplie les images mensongères pour salir Israël

    Les images d’un enfant de Gaza, prétendument atteint de famine, diffusées par des médias occidentaux antisémites, comme Libération la semaine dernière, montrent en réalité un enfant de Gaza atteint d’une maladie génétique rare, qui a été exfiltré par Israël il y a plusieurs semaines avec sa famille et qui est actuellement soigné en Italie!

    Encore une fois, des médias de gauche ont répandu d’abjects mensonges, dans le but délibéré de provoquer le racisme anti-juif et de pousser la population occidentale à s’en prendre aux Juifs.

    Cette diabolisation rappelle les accusations de crimes rituels juifs que lançaient les pogromistes médiévaux. Cette abjecte manipulation de Libération est similaire à celle dont L’Humanité s’est rendue coupable il y a un mois, en publiant sur sa couverture la photo d’un enfant de Gaza atteint de mucoviscidose, en prétendant que sa maigreur était due à une prétendue famine.

     

    https://israelnationalnews.com/news/412365

     

    Pendant ce temps-là, toujours dans l’objectif de salir Israël, la clique de gauche victimise deux députés LFI, Gabrielle Cathala et Emma Fourreau, arrêtées par Tsahal pour avoir voulu, en toute illégalité, approcher des eaux territoriales de l’État hébreu pour forcer le prétendu blocus de Gaza.

    D’après ce qu’on comprend, l’une va être expulsée, et l’autre refuse de l’être, se lançant dans une grève de la faim, comme Rima Hassan.

    Bref, la mascarade continue, le cinéma se poursuit, avec un seul objectif de la part des complices des nazislamistes: nazifier l’État d’Israël.

    Sal….s!

    Lucette JEANPIERRE

  • 2 notes: Ce sont les djihadistes du Hamas qui tirent....

    sur la population de Gaza et pas Tsahal

    Un des derniers torchons nihilistes queeristes encore en survie prétend que sa photo censée illustrer une “famine” à Gaza a été en effet prise là-bas contrairement à ce qui a été dit ici et là; mais cela n’enlève rien au fait que “le Hamas tire sur les civils venus chercher de l’aide” et non pas l’armée israélienne sinon en sommation, ce qui ne va pas sans accidents (17% des morts de soldats israéliens viennent de tirs amicaux souligne l’ambassadeur israélien en France); qu’à cela ne tienne, ce genre de torchons faisant encore office de journaux financés par l’Etat et des financiers aux ordres, toujours à la recherche de “danseuses” pour bien se faire mousser dans les Salons, vont se ruer sur le moindre corps d’enfant affamé exprès par les djihadistes à l’instar des comprachicos qui comme l’avait étudié Victor Hugo dans "L’homme qui rit" mutilaient des enfants pour les vendre comme nains-bouffons.

    Qui se ressemble s’assemble, le cynisme des djihadistes tirant sur leur population (déjà vu à Sétif en 1945) va de pair avec le cynisme des nihilistes faisant office de “journalistes” entre deux séances de chemsex ou de cérémonies paganistes autour de Gaïa réitérant ainsi sous un autre angle la culture völkisch afin de créer façon Lyssenko la nouvelle “race” ou “variété” de cyborgs tentant de constituer l’alter-djihadisme ou le recyclage des enfants perdus du soviétisme en phase terminale en France avec le pourrissement de son faux Etat Providence (fabriquant de plus en plus de misère sans que ses “millionnaires” fassent le poids devant les milliardaires chinois et américains…) en enfants rois gâtés fabriquant Gaza en cause similaire à celle du Vietnam des années 60 avant qu’en 70 les boat-people (250.000 morts en mer) et le carnage génocidaire de Pol Pot au Cambodge avec deux millions d’assassinés (en conflit actuellement avec la Thaïlande) soutenu bec et ongles par les torchons de l’époque certes repentis aujourd’hui mais continuant la même ritournelle avec Gaza: chassez le naturel…

    Mic-mac invraisemblable où l’on voit des nantis sevrés par la semence publique se faire encore le porte-voix d’assassins sans foi ni loi soutenus aujourd’hui par le locataire de l’Elysée qui a beau clamer que sa solution suppose le désarmement des djihadistes sauf que ces derniers pourraient le confirmer derechef tout de suite là maintenant tout en rendant les derniers otages, mais que nenni! Ils continuent à exiger des libérations d’assassins le départ de l’armée israélienne afin de pouvoir à nouveau grâce à l’argent public récolté reconstruire leurs tunnels non seulement à Gaza mais aussi sur le territoire contrôlé par une “Autorité palestinienne” payant les familles d’assassins en compensation jusqu’à récemment (mais cela se fera autrement).

    Il est vrai que ce ne sont pas seulement les djihadistes qui bourrent le crâne de leurs enfants avec la haine d’Israël; cela se fait aussi bien en France et ailleurs en effaçant les millions de morts de la traite arabo-musulmane, de la colonisation djihadiste depuis sa fondation, du fait enfin que la majorité de l’immigration musulmane venant taper à la porte des pays judéo-chrétiens ne le font pas auprès des pays de même obédience, comme si Eurabia n’était pas une fiction complotiste mais une programmation s’étendant au monde entier avec la complicité de la nouvelle élite raciste au sens également métaphysique: créer une race globale de dominants ruminant leurs avantages acquis à l’ombre des atomes en pleurs planifiés pour 2030 afin de s’emparer des immenses richesses russes et de détruire ce bastion anti-queer, la guerre de Kiev (corrompu jusqu’à l’os) étant un prétexte pour l’enclencher…

    Mais de cela, et d’autres conflits sanglants (Boko Haram…) chut, circulez, il n’y a rien à voir…

    Lucien Samir Oulahbib

     

    LE HAMAS EST LE SEUL A NE PAS S’INQUIÉTER DE LA FAMINE ET DU "GENOCIDE" A GAZA

    Le dégoûtant imbécile-heureux à la tête du "machin" dit ONU, Antonio Guterres, a dénoncé vendredi dernier "l’explosion de morts et de destructions" à Gaza et "l’indifférence" et "l’inaction de nombreux membres de la communauté internationale".

    L’indifférence de qui?

    ???

    Qui est le plus indifférent aux souffrances des Gazaouis?

    Il n’y a que le Hamas qui l’est. Il est indifférent aux enfants qui meurent de faim, aux personnes qui succombent, aux destructions qui s’accumulent, aux dévastations qui jettent les gens dans la rue (façon de parler. Par la grâce du Hamas, il n’y a plus de rues à Gaza).

    Pourquoi tu ne veux pas le dire, minable Antonio Guterres? Tu as été hissé à un poste que tu ne mérites pas. Un poste qui ne devrait même pas exister. Le "Machin", dans sa totalité, non plus.

    Pourquoi tout le monde condamne Netanyahu et l’armée israélienne (le minable Macron en premier lieu), alors que personne ne parle de la responsabilité du Hamas?

    Tout le monde demande un cessez-le-feu à Israël, mais tout le monde sait qu’il suffit au Hamas de libérer les otages pour qu’il y ait un cessez-le-feu.

    Mais personne ne le dit.

    Messin’Issa

     

  • Macron aime s’encanailler, il a un faible pour les repris de justice

    S’accoquiner avec des gens douteux a toujours été un travers de nos politicards. Une dérive favorisée sinon encouragée par l’atonie des corps intermédiaires, la connivence des juges, l’apathie de l’opposition et le fatalisme des électeurs. Puisque, dans ce grand foutoir, tout le monde a quelque chose à se reprocher, autant en prendre son parti et faire avec.

    Je te tiens, tu me tiens, par la barbichette, la règle du jeu est simple.

    Depuis 2015, les gens avisés savent que les Macronescu ont été nominés " couple de l’année " par les crapules du Nouvel Ordre Mondial. Ce duo atypique avait un passé tellement trouble que c’était une aubaine pour des maîtres chanteurs. Disposant de la haute finance, de relais dans les égouts du pouvoir, de la justice et des médias, et d’hommes de main un peu partout, les banksters ont installé Fripounette aux commandes après des simulacres d’élections.

    Leur obligé sous surveillance constante ne risque pas de recouvrer une parcelle d’autonomie. Il suffirait à ses marionnettistes de confirmer des secrets inavouables sur ses paradis fiscaux, en comparaison desquels le sexe de Brichel ferait figure d’anecdote distrayante.

    Dès lors, un jeu pervers de pressions en cascades s’est instauré. De même qu’il est tenu en laisse par ses maîtres, Macrounette serre les liens ligotant ses propres loufiats. Des seconds rôles qui n’auraient jamais pu accéder aux coulisses du pouvoir dans un pays normal. Mais qui, une fois installés, en récompense de leur incompétence et leur veulerie, se laisseront à leur tour manipuler comme des poupées de chiffons.

    Et quoi de mieux que des délinquants avérés ou des crapules suspectées de malversations pour être soumis à leur maître?

    La liste est longue. Un véritable "who’s who" de la macronie. Dans lequel on ne retiendra que les plus célèbres. Parce que, si on recensait les sous-ministres, leurs conseillers, les députains, les commissions tête-de-con et les comités Théodule, un bottin y suffirait à peine.

    François Bayrou, à peine nommé ministre de la Justice en 2017, est démissionné. Il est accusé d’avoir favorisé des détournement de fonds au profit des assistants parlementaires européens du MoDem. Il sera relaxé en 2024 (la justice a pris son temps) et récupérera Matignon en récompense de son silence et de ses trahisons.

    Marine, dont les salariés étaient dans le même cas, sera lourdement condamnée et interdite d’élections. Parce que c’est un délit de faire de la politique en bossant pour un élu de drouâte. Quiconque traite de complotistes ceux qui dénoncent ce système deux poids, deux mesures est soit un crétin, soit une ordure, soit un peu des deux.

    Richard Ferrand, tout juste nommé ministre de la Cohésion des territoires (comprendre limitation des dégâts dans les enclaves étrangères hostiles), est débarqué en juin 2017. Il est accusé de conflits d’intérêts au temps où il présidait une mutuelle, à laquelle il avait loué des locaux appartenant à sa compagne. Cela débouchera sur une mise en examen en 2019, alors qu’il est président de l’Assemblée anti-nationale.

     

    Sa relaxe pour prescription des faits sera prononcée en 2022. C’est fou comme les dossiers peuvent traîner avec les huiles… Mais ses électeurs, moins indulgents que la justice, le débarquent cette même année 2022. Pour le consoler de ses tribulations, Macronescu lui offre la présidence du Conseil anti-constitutionnel en mars 2025.

    Gérald Moussa Darmanin, au printemps 2017 à peine nommé au Budget après avoir trahi la bande des LR, doit répondre d’accusations de viols. Avant de bénéficier d’un non-lieu qui sera validé par la Cour de Cassation en 2024. La justice, si prompte à traquer les délits d’opinion, ne se presse pas. Entre temps, le prévenu est devenu le ministre des juges après avoir été celui des flics.

    Sylvie Goulard, qui se souvient de cette figurante dans le carnaval du pouvoir? Ministre des Armées, elle quitte le gouvernement en juin 2017, dans la foulée de Bayrou, toujours dans l’affaire des assistants d’eurodéputés du MoDem. Un non-lieu sera prononcé en 2023. Rien de plus normal. Elle n’est pas une pestiférée d’extrême drouâte.

    Alain Griset, qui se souvient de cette doublure au théâtre des ombres chinoises? Ministre des PME, il est condamné en 2021 pour avoir minoré son patrimoine, et est démissionné dans la foulée. Peut-être les réserves qu’il a émises lors du grand débat national bidon de Fripounette ne sont-elles pas étrangères à sa disgrâce?

    Muriel Pénicaud, l’inoubliable ministre du travail de 2017 à 2020, a été mise en examen pour "complicité de favoritisme" en 2023 par une justice un peu lente, dans l’affaire Business France. On lui reproche l’organisation d’une soirée paillettes à Las Vegas en 2016 à la demande de Macronescu, alors ministre de l’Économie. Quelle boulette a-t-elle bien pu commettre pour que son patron ingrat la laisse tomber?

    Nathalie Élimas, que personne n’a oublié, fut secrétaire d’État chargée de l’Éducation prioritaire (comprendre civiliser les allogènes) de 2020 à 2022. Elle a été condamnée en juin dernier à dix mois de prison avec sursis pour harcèlement moral envers des membres de son cabinet… La cause est entendue, cette limace est une peau de vache. Mais quand on voit la gueule de son collègue Éric Lombard, l’ami des gros capitalistes, on se dit que ça ne doit pas être trop sympa de bosser avec lui.

    Damien Abad, nommé ministre des Solidarités en mai 2022, sera accusé de viols dont certains avec soumission chimique. Ce personnage sulfureux est écarté du gouvernement en juillet. Le Parquet refusera d’abord l’ouverture d’une enquête, avant de céder à la pression médiatique. Abad sera mis en examen en 2024 après qu’on ait révélé ses relations avec des ripoux lors de l’affaire des barbouzes de la DGSE.

    Caroline Cayeux, l’incomparable ministre des collectivités territoriales, est éjectée du gouvernement fin 2022. Elle est dans le collimateur de la justice pour avoir sous-estimé son patrimoine, et sous le coup d’une accusation de fraude fiscale. Une enquête préliminaire a été ouverte. On attend la suite… En rappelant la présomption d’innocence à laquelle elle a droit, mais qui ne bénéficie jamais aux patriotes ni aux souverainistes.

    Eric Dupond-Moretti, un gros morceau dans tous les sens du terme, était accusé d’avoir abusé de ses fonctions ministérielles pour régler des comptes personnels avec des magistrats. En novembre 2023, la Cour de justice de la ripoublique, composée des copains, des coquins et des requins, décide de la relaxe de celui qui était resté garde des Sots pendant toute la durée de la procédure.

    Olivier Dussopt, ministre du Travail, est impliqué fin 2023 dans une affaire de favoritisme et de corruption dans l’attribution de marchés publics. Chassé du gouvernement, il est relaxé par la même juge qui a évincé Marine de la course à la présidence. Il sera finalement condamné en appel pour les petits cadeaux qu’il a reçus… Il a rebondi en 2024 comme secrétaire général du parti Renaissance ex-LREM.

    Marlène Schiappa, autre poids lourd, grande copine de Brichel, auteur de romans porno et ministre à ses moments perdus, fut membre du gouvernement à différents postes de 2017 à 2023. Depuis, elle est dans le collimateur du Parquet national financier pour sa gestion discutable du " fonds Marianne " une officine de basse police chargée d’arroser des associations délatrices au prétexte de combattre la haine.

     

    Abandonnée par son caudillo, elle s’est vengée en révélant que le justiciable Jean-Michel T… ne risquait pas de se présenter au tribunal, vu qu’il était déjà mort. Peut-être cela a-t-il aidé à éclairer les juges?

    Rachida Dati est une opportuniste. Mais ni plus ni moins que les autres ministres. Intouchable parce que protégée au sommet de l’État depuis Sarko, jusqu’à ce qu’elle exprime ses vues sur la mairie de Paris.

    Renvoyée en correctionnelle ce mois-ci pour corruption et trafic d’influence, au côté de Carlos Ghosn, elle est soupçonnée d’avoir perçu 900.000 euros d’honoraires abusifs entre 2020 et 2022 pour des prestations d’avocat auprès d’une filiale de Renault-Nissan. En outre, elle est citée dans deux autres affaires, ses bijoux non-déclarés, et le dossier GDF-Suez. Ce dernier étant pour la bonne cause. Puisque même si c’était intéressé, elle a travaillé contre les énergies dites renouvelables.

    Il se murmure dans les hautes sphères que si Macronescu parvient à rester en place après 2027, il Kiev en encadrant les organismes d’État pourtant bien serviles, chargés de la lutte contre la corruption, pour les rattacher à l’Élysée où ces enquêteurs ne dépendront plus que de son bon vouloir.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com/