Incroyable, non?
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Incroyable, non?
Collèges "ghettos" à Paris: le choix cornélien des "parents blancs, de gauche"
Le propos est fort, presque provocateur, et on le doit à… Gilles Pécout, recteur de l’académie, un homme extrêmement urbain, spécialiste de l’histoire italienne, faisant preuve en toute occasion d’une tempérance de sénateur romain. Oui, Paris est une ville d’apartheid, c’est dur à admettre, mais c’est une réalité. Faut-il éviter le public ? Contraindre le privé ? Ou trouver d’autres voies?
Dans tous les quartiers de la capitale un tant soit peu mélangés, le melting-pot culturel et social dont sont si fiers les Parisiens se transforme – dans la sphère scolaire – en une mosaïque complexe d’écoles blanches, noires, ou plus ou moins métissées.
Dans les écoles à dominante noire, qui se trouvent être les plus socialement et scolairement défavorisées, les parents blancs, de gauche, se retrouvent confrontés à un choix cornélien : respecter leurs principes en scolarisant leur rejeton dans l’établissement du quartier, ou suivre la grande majorité de leurs pairs qui font désormais le choix du privé.
[…] En ségrégant son public, Paris opère par ailleurs un tri scolaire sans pitié: d’un côté une multitude de collèges excellents – majoritairement privés – dépassant les 95% de réussite au brevet, de l’autre une bonne trentaine – tous publics – fluctuant entre 50 et 75%, bien en-deçà des moyennes nationales, dont l’état dégradé étonne même les enseignants et principaux venus de Seine-Saint-Denis ou des quartiers nord de Marseille. […]
Dans ces affaires de mixité, on s’intéresse beaucoup aux parents, essentiellement pour les culpabiliser. Non sans raisons. Comme le souligne le recteur Pécout, le "Parisien n’est guère raisonnable". A l’ouest, il est traditionnellement attaché au privé par conviction religieuse, ou, plus souvent, par attachement atavique à l’entre-soi bourgeois. Au centre et à l’est, il dégaine volontiers ses principes généreux, mais les remballe aussi vite, lorsque sa progéniture se rapproche du cap anxiogène de l’entrée au collège. […]
Nouvel Obs
Bien évidemment, l'extrait d'acte de notoriété que vous avez téléchargé dans des buts d'escroqueries diverses et avariées ne sert strictement à rien. Il y a belle lurette que ce certificat a changé de présentation!
Il devait être présenté avec un certificat supplémentaire d'enregistrement et paiement des droits: et oui, il faut payer pour obtenir un certificat de notoriété -pour ce genre-là s'entend.
J'ai dû le refaire en 1993 et donc, la présentation est totalement différente. Mais, celui-ci, vous ne l'aurez pas!
qu'elle nous en fournisse une preuve!
La veuve Smet n'a pas le droit de se revendiquer Hallyday, ni même ses enfant David et Laura!
Les enfants sont des “Smet“ qui est le véritable nom de naissance de leur père.
J'affirme haut et fort qu'un pseudonyme ne peut pas être utilisé par les enfants: c'est la loi.
Lire ci-après la loi. Je possède moi-même un pseudonyme que j'ai fais enregistrer par le Tribunal de Grande Instance de Toulouse, le 29 janvier 1981, devant un greffier de l'époque et devant deux témoins de moralité.
Dans quelles conditions peut-on utiliser un pseudonyme?
Vérifié le 15 décembre 2016 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre), Ministère chargé de l'intérieur
Les conditions d'utilisation d'un pseudonyme ne font l'objet d'aucune réglementation particulière. Il s'agit d'un nom d'emprunt, librement choisi par une personne pour dissimuler au public son identité réelle dans l'exercice d'une activité particulière. Le pseudonyme est notamment utilisé dans le domaine littéraire ou artistique : nom de plume pour les écrivains, nom de scène ou nom d'artiste pour les activités liées au spectacle... Le pseudo est utilisable pour signer une œuvre par exemple
Le pseudonyme ne se substitue pas au nom de naissance. Il ne peut pas être mentionné sur les actes d'état civil (acte de naissance et de mariage) : seul le nom de famille doit y figurer.
Le pseudonyme n'est pas transmissible aux enfants, ni aux héritiers.
NDELA REDACTRICE: S'ils souhaitent utiliser le pseudonyme d'un parent, les descendants doivent à leur tour en revendiquer l'usage (en passant devant notaire ou devant le TGI). Question: Leaticia Boudou, veuve Smet a-t-elle obtenu de son époux le droit d'utiliser son pseudonyme?
Les enfants aussi?
Qu'ils apportent, TOUS, la preuve!
Comme il s'agit d'un acte officiel, devant officier assermenté, sur cet acte figurera la date exacte de transmission du pseudonyme.
Si vous aimez les enfants, vite, informez-les… afin qu'ils puissent prouver officiellement qu'ils ont bien le droit de porter ce pseudonyme…
Avant que la veuve Boudou ne se précipite. Entre parenthèses, j'estime que la loi française prévaut dans cet héritage. J'estime que la veuve Smet doit impérativement céder une partie de l'héritage de Notre Chanteur National. Parmi les 500 millions d'américains, il y en a combien qui connaissent Johnny? je vous fais le pari qu'AUCUN Français de plus de 10 ans n'a jamais entendu parler de lui… donc, il est 100% Français et soumis à la loi sur les héritages de France.
Nous voulons La Vérité sur les actes de notoriété!
POURQUOI AIS-JE PRIS UN PSEUDONYME?
Parce que quand j'ai commencé ma profession, en 1983, mon unique enfant était au collège. Comme je l'amenais en voiture matin et soir et QUE JE SAVAIS que j'aurai de la notoriété sur Toulouse, j'ai pris un pseudonyme afin d'éviter que ses copines lui disent: “ta mère est une sorcière“…
Epithète courante à l'époque et pas très plaisante, vous vous en doutez pour une jeune ado.
De plus, je ne voulais pas que ma marraine que j'adorais et qui portait le même nom de famille que moi soit un mécontente de “salir“ son nom de famille avec une profession de “romanichel“. Or, il s'avère que ma tante était bien trop intelligente pour être mécontente: ce qu'elle voulait avant tout, c'est que je ne passe jamais au Tribunal pour escroqueries diverses. Là, oui, j'aurai eu sa totale et définitive désapprobation.
J'adorais et je l'adore encore dans mes souvenirs celle qui est partie à l'aube de ses 100 ans et qui m'a toujours soutenu quelles que soient mes actions.
Le choix du pseudonyme est libre à condition de :
Ne pas porter atteinte à l'ordre public (en présentant un caractère raciste ou injurieux par exemple),
Ne pas s'approprier la renommée d'une personne ou de s'attribuer une parenté.
L'usage d'un pseudonyme ne constitue pas un changement de nom, qui suit une procédure particulière.
Un auteur utilisant un pseudonyme doit signer tout contrat sous son nom de famille, avec mention du pseudonyme, et peut y insérer une clause empêchant son éditeur, agent ou manager artistique de révéler sa véritable identité.
Il est possible de faire figurer un pseudonyme à la suite du nom de famille sur sa carte nationale d'identité si sa notoriété est confirmée par un usage constant et ininterrompu.
Lors du dépôt de la demande, il faut produire :Un acte de notoriété, soit établi par le juge du tribunal d'instance, dans les tribunaux qui le proposent, soit délivré par un notaire,
Ou une attestation de l'organisme professionnel auprès duquel l'activité sous pseudonyme est exercée (artistes, comédiens, etc.).
L'administration dispose toutefois d'un pouvoir d'appréciation en la matière et peut refuser l'inscription.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F355
NB: j'ai effacé le nom de ma mère et le prénom de mon père: cela ne vous regarde pas. Inutile de récupérer ma signature: je l'ai tronquée, pas la peine de s'en servir pour pratique frauduleuse!
P.S.: mon pseudonyme figure sur ma carte d'identité. NON, je ne mes pas de photocopie... faut pas plaisanter!
RIRES pourtant: pendant des années j'ai dû me battre pour avoir par ex. un compte bancaire professionnel au nom de JOYCE avec des chèques à ce nom-là ou contre l'administration fiscale qui ne voulait pas mes déclarations et paiement à ce nom.... et, depuis 5 à 6 ans, je dois me battre contre l'administration qui ouvre les dossiers (comme à l'hôpital par ex.) au nom de JOYCE pour dire: mais non, c'est mon pseudonyme de travail!!!!
Emmanuel Macron face à un "duo d’hommes blancs de plus de 60 ans"
C’est un symptôme doublé d’une mise en abyme. Qui aurait, hier encore, imaginé que le président de la République puisse choisir d’être interrogé, à sa convenance, par deux personnalités aussi éloignées que Jean-Jacques Bourdin, (68 ans, RMC/BFM-TV) et Edwy Plenel (65 ans, Mediapart). Et, mieux encore, que le second accepterait. Ce sera pourtant le cas: dimanche soir 15 avril, à partir de 20h 35 (à suivre, au choix, sur BFM ou sur MediapartLive).
On imagine sans mal RMC/BFM se réjouir de l’aubaine – et les responsables et journalistes de la télévision publique enrager. Le poisson est nettement plus difficile à avaler du côté de Mediapart – un modèle journalistique aux antipodes économiques et idéologiques du co-invité. Cela donne un étrange texte de justification de la rédaction dirigée depuis sa création par Edwy Plenel. Un texte à lire (gratuitement) sur le site de Mediapart . Extrait:
" Deux intervieweurs, donc: Edwy Plenel (président et directeur de la publication de Mediapart) et Jean-Jacques Bourdin (rédacteur en chef de RMC et animateur de " Bourdin Direct " sur BFM-TV). Et pas dans nos locaux, mais à l’Élysée ou dans un lieu culturel.
" Autrement dit, Mediapart n’est plus la puissance invitante, et la rédaction n’est pas conviée à la table de l’entretien. Le collectif journalistique cède la place à un duo d’hommes blancs de plus de 60 ans, désigné par le président: zéro parité, zéro diversité, personnalisation poussée à l’extrême (sic)".
Qu’allait faire Mediapart face à ce dilemme médiatique, journalistique, idéologique et économique?
" Pour toutes ces raisons, cette invitation ne va pas de soi. Et pour une autre encore: comment un journal comme Mediapart, qui dénonce avec constance le présidentialisme et le fonctionnement de la Ve République, peut-il se plier à cet exercice convenu de l’interview présidentielle, symbole par excellence de la dérive monarchique du pouvoir? Tout le monde a en tête quelques-uns des pires entretiens réalisés depuis soixante ans. Comment subvertir ce dispositif anti-démocratique, et toutes ses contraintes? "
Petit bijou dialectique
Au final, en toute transparence mais pas sans contorsions qui font songer aux anciens jésuites, l’équipe de Mediapart a, " après en avoir longuement discuté collectivement " décidé d’accepter la proposition élyséenne.
" Après plusieurs échanges préalables, nous avons aussi considéré qu’une association avec Jean-Jacques Bourdin, questionneur offensif et lui aussi déterminé à briser les codes du sacro-saint entretien présidentiel, pouvait autoriser cette tentative de rompre avec six décennies de ronronnement et de pompe présidentielle".
Avec, en prime, ce petit bijou de rhétorique et de dialectique:
" Il ne fait de doute pour personne que les lignes éditoriales et les modèles économiques de Mediapart et du groupe BFM-TV/RMC ne sont pas les mêmes: cette différence, par respect du pluralisme, ne doit pas nous interdire de collaborer avec d’autres. Être ouverts dans le cadre d’une relation loyale et respectueuse est le meilleur moyen d’être nous-mêmes, à l’image de notre fil conducteur, au cœur du Festival de nos dix ans: produire quotidiennement un journalisme sans concession à la rencontre de la société".
En une phrase: comment des journalistes, fussent-ils des hommes blancs âgés de plus de 60 ans, pourraient-ils laisser passer une occasion de faire tout simplement le métier qui est le leur? Ce sera oui. On applaudit. Et l’on peut, ce soir, imaginer le président Macron heureux.
https://jeanyvesnau.com/2018/04/09/bourdin-plenel-emmanuel-macron-interroge-par-un-duo-dhommes-blancs-de-plus-de-60-ans/