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Voyage - Page 4

  • Inteligent: plateforme pour soit aider à voyager, soit demander un accompagnement au voyage pour personne en situation de handicap

    Bon, allez-y! C'est une des plus intelligente plateforme apparue sur le net depuis très, très longtemps...

    Et croyez-moi: je suis internaute depuis 1996 (du temps où il n'y avait même pas Google et Yahoo pour nous aider à surfer comme on disait à l'époque...) et j'en ai vu bien d'autres!

    http://faciligo.fr

    En plus, ils sont à Montpellier, les créateurs, la petite ville d'Occitanie qui se croit plus grosse que Toulouse, MA ville, Ma capitale Occitane.

    Si j'ai compris leur truc (le pitch comme y disent) elle vient en aide aux personnes âgées, aux enfants seuls qui voyagent (pour aller voir l'autre parent divorcé?), aux personnes handicapés qui sont plus ennuyées qu'on ne le croit dans les transports....

    et de l'autre côté, si un "debout" ou "mobile" en pleine santé veut faire un petit acte de solidarité, il indique qu'il sera dans l'avion, le train... et qu'il aidera la personne à monter sa valise, monter une marche, etc....

    Merci aux concepteurs, merci aux aidants temporaires qui vont faire une bonne action!

    Waoouh, je vais, ENFIN, pouvoir partir en vacances!

    Poutous de Toulouse à Montpellier tout entier!

    La rédactrice

     

  • La rose qui tue et qui pue!

    L’Amérique latine nous fait une fois de plus la démonstration du poison social qu’est le socialisme démocratique, l’idéologie qui a permis à Bernie Sanders d’accumuler plus de 13 millions de voix aux élections primaires. Le socialisme – qu’il soit ou non démocratique – n’est pas seulement destructeur pour l’économie d’une nation, comme l’Histoire a pu nous le prouver à maintes reprises au cours du vingtième siècle, il est aussi un poison écologique. Après l’effondrement global du socialisme à la fin des années 1980, nous avons pu apercevoir ce qui arrive à l’environnement d’un pays sous un système socialiste qui interdit les profits privés des décennies durant. En un mot, les conséquences en sont catastrophiques, comme nous avons pu le lire dans Ecocide in the USSR.

    Le monde a pu apprendre que les pays socialistes ont laissé s’écouler leurs eaux usées non traitées dans leurs rivières, leurs fleuves et leurs lacs des décennies durant. La Volga a en effet été si polluée que les bateaux étaient équipés de signes interdisant de jeter des mégots de cigarette dans l’eau de peur qu’en raison de son contenu chimique, elle ne prenne feu. La pollution générée par les usines n’était jamais contrôlée, les poissons mourraient en masse, et l’Académie polonaise des sciences a rapporté qu’au début des années 1990, la moitié des Polonais vivaient dans une zone de désastre écologique.

    L’ancienne théorie selon laquelle la poursuite de profit au sein d’une économie non-régulée est la cause principale de pollution a été réfutée. Contrairement aux nations capitalistes qui tiennent les pollueurs légalement responsables pour les dommages causés, dans les nations socialistes, les politiciens qui sont responsables de la pollution générée par les entreprises nationalisées ne sont absolument pas tenus responsables. La propriété des ressources nationales au gouvernement signifie que personne ne les possède, et lorsque les ressources sont mises en commun, elles finissent par être sur-utilisées, abusées et exploitées. L’absence de droits de propriété et d’un système de responsabilité légale est la recette parfaite d’un désastre écologique, chose qu’ont prouvé et que continuent de prouver les pays socialistes. 

    Lorsqu’un terrible accident a causé l’explosion mortelle d’une plateforme pétrolière dans le Golfe du Mexique, la société privée British Petroleum a immédiatement établi un fonds de 20 milliards de dollars qui a été utilisé pour le versement de dommages et intérêts. Mais quand le gouvernement du Mexique génère des désastres environnementaux et humains dans le Golfe du Mexique, il se contente de ne rien faire et de mettre en avant son immunité souveraine. Au cours des cinq premiers mois de 2015, Pemex, le complexe pétrolier nationalisé du Mexique, a causé trois explosions catastrophiques qui ont fait de nombreux morts et blessé, et pollué air et eau. Le gouvernement mexicain s’est empressé de dire qu’il n’y avait pas eu de fuite de pétrole, une déclaration que des images satellites fournies par Greenpeace Mexico ont suffi à qualifier de mensonge en montrant clairement une marée noire de 5 kilomètres de long.

    La couverture télévisée des Jeux olympiques de Rio est sur le point de nous faire preuve des terribles problèmes de pollution auxquels fait face le Brésil, géré depuis de nombreuses années par le parti travailliste social-démocrate, qui proclame fièrement le socialisme révolutionnaire comme étant son idéologie première. En plus d’avoir généré la pire pauvreté au monde, le gouvernement brésilien a transformé ses plages autrefois très belles en véritables fosses septiques.

    Le 2 août, un article écrit par Gareth Davies pour le Daily Mail a mentionné les résultats d’une étude de pollution menée à Rio la veille des Jeux Olympiques :

    Il a été recommandé aux athlètes de ne pas mettre la tête sous l’eau.

    La concentration de virus dans la baie de Guanabara, où aura lieu l’épreuve du triathlon, est 1,7 million de fois plus élevée que dans les eaux les plus polluées des Etats-Unis et d’Europe.

    Dans certaines baies, il y a tellement de déchets qu’il est impossible de voir l’eau, et des rats se sont installés sur les piles de déchets flottantes.

    Un corps ainsi qu’un bras humain ont récemment été vus flotter dans la baie de Guanabara.

    Les sables des plages ont aussi une concentration de virus très élevée.

    A Gloria Marina, où auront lieu les épreuves de voile, la concentration de virus est plusieurs milliers de fois plus élevée que dans les eaux les plus polluées des Etats-Unis.

    Les marées d’eaux fétides et usées sont assez communes sur la plage d’Ipanema.

    De vastes îles de déchets en décomposition peuvent être aperçues à marée basse. Ce sont les immeubles résidentiels des bords de plages qui en sont responsables.

    De nombreuses rivières sont noires de pollution.

    Ce genre de cauchemar est devenu assez commun dans les autres nations d’Amérique latine adeptes d’un socialisme démocratique. Le Venezuela souffre d’une déforestation massive et son lac Maracaibo est pollué par plus de 40.000 litres d’eaux usées par seconde provenant des deux millions de résidences qui bordent le lac. Plus de 800 sociétés, dont beaucoup sont liées à l’industrie pétrolière nationalisée du pays, sont autorisées à rejeter des déchets industriels dans le lac. Le lac Valencia est aussi très pollué, et la société pétrolière du gouvernement, PDVSA, aurait rempli plus de 15.000 fosses pétrolières de déchets contaminés, des déchets qui suinteront inévitablement dans les nappes phréatiques. 

    L’une des leçons que les partisans de Bernie Sanders devraient apprendre est que le socialisme démocratique ne détruira pas seulement leur avenir économique, mais aussi leur environnement naturel. Le socialisme est, partout, un désastre économique et environnemental.

     

    Pour les polonais: c'est vrai... les numérations formules sanguines des polonais étaient très "perturbées" à cause de la pollution: pour la même formule en France, on aurait pensé à quelque chose de "grave"... les polonais envoyaient le plus possible leurs enfants à la campagne le WE et pendant les vacances (ou en France, chez des correspondants…) pour leur assurer un peu de temps de vie non pollué.

    Venezuela: le fameux paradis... les gens meurent de faim... Les animaux du zoo de la capitale meurent de faim aussi, ou autre option, sont mangés par la population...

    Source

     

  • Dangers sur la rocade calaisienne

    Matelas en feu, bouteilles de gaz, les techniques des migrants pour arrêter les camions à Calais (VIDÉO) sur le site

    Une vidéo que nous nous sommes procurée montre des individus en train de poser un barrage enflammé sur la rocade portuaire de Calais. Prise il y a une dizaine de jours, elle témoigne des nouvelles techniques, particulièrement dangereuses, employées par les migrants qui tentent de prendre d’assaut les camions en partance pour l’Angleterre sur la rocade portuaire de Calais: ils enflamment leurs barrages, n’hésitant pas à faire exploser des bouteilles de gaz, obligeant les poids lourds à s’arrêter.

    La scène a été filmée il y a une dizaine de jours.

    La vidéo, qui dure 1’14’’, montre une partie de la rocade portuaire qui relie l’A16 au port de Calais. Elle est prise sur une partie sécurisée par une double rangée de clôtures, dont une surmontée de barbelés (l’autre partie de la rocade est en cours en cours de sécurisation ). Les grilles ont été découpées auparavant, permettant de se frayer un passage. Durant les premières secondes, on peut voir trois ou quatre individus: deux sont positionnés entre les deux rangées de grilles, les autres sont plus en retrait. Tous semblent faire le guet tandis que de l’autre côté de la barrière, le long de la glissière de sécurité de la rocade, on aperçoit un matelas blanc posé au sol.

    Les individus s’accroupissent. L’un d’eux, le plus à l’avant et qui semble diriger l’opération, franchit alors la grille pour mettre le feu au matelas. Deux autres individus le suivent, dont un qui porte une bouteille de gaz: ils saisissent le matelas enflammé et le jettent sur la chaussée, de l’autre côté de la glissière de sécurité. Puis tout s’enchaîne: les trois hommes balancent rapidement divers matériaux – ce qui semble être un chariot, de grosses branches d’arbres, ainsi que la bouteille de gaz qui roule vers le matelas – sur les voies. Tandis qu’une voiture passe sur la voie de gauche, en évitant le barrage, ils décalent le matelas pour qu’il bloque aussi cette voie. L’un des individus ressaisit cette bouteille pour la placer juste devant le barrage en feu, puis tous repassent les deux grilles pour se cacher dans les buissons, en retrait. La vidéo s’arrête là.

    Cette technique consistant à enflammer les barrages, en utilisant au besoin des bouteilles de gaz, est utilisée depuis début mai environ. Auparavant, les assauts sur la rocade se limitaient à la pose de barrages contenant divers matériaux (branchages, pneus, ballots de paille, caddies), que certains chauffeurs routiers n’hésitaient pas à percuter de plein fouet pour continuer leur route vers le port. D’après le député PS Yann Capet, qui a passé la nuit de mercredi à jeudi sur la rocade, une autre technique est désormais utilisée: elle consiste à poser de grosses pierres sur les voies, à proximité du port. Une zone qui, jusqu’ici, était préservée des barrages de migrants. Pour rappel, cette nuit a été marquée par de nombreux incidents sur la rocade: cinq migrants ont été blessés, ainsi qu’un CRS qui a reçu un projectile à la tête.

    http://www.lavoixdunord.fr/region/matelas-en-feu-bouteilles-de-gaz-les-techniques-des-ia33b48581n3561511

  • Triple infection

    par le virus de la dengue, du chikungunya et Zika chez un même patient?

    Des spécialistes en infectiologie colombiens rapportent ce qu’ils pensent être un cas de triple infection par les virus de la dengue, du chikungunya et Zika. Une première, selon eux, en Colombie, et plus généralement en Amérique latine.

    Publiée en ligne dans la revue Journal of Infection and Public Health, cette observation clinique concerne un homme de 49 ans de Sincelejo, chef-lieu du département de Sucre.

    Ce patient a présenté une fièvre à 38 °C, des yeux rouges (conjonctivite bilatérale) et une éruption cutanée (rash maculo-papuleux, autrement dit des « boutons » confluant par endroits en placards) qui le démangeait dans le haut du dos et sur les bras, avant qu’il ne consulte quatre jours plus tard.

    Des anticorps (IgM) dirigés contre les virus de la dengue et du chikungunya ont été détectés dans les échantillons sanguins. Le patient n’était pas infecté par le paludisme. Il avait voyagé au cours du mois précédent dans plusieurs localités du département de Sucre et de Bolivar, notamment dans des zones où circulent les virus de la dengue et du chikungunya, et depuis peu le virus Zika.

    La détection du génome du virus Zika par la technique RT-PCR fut positive. Ce patient ne présenta pas de signes hémorragiques ou neurologiques (notamment pas de syndrome de Guillain-Barré qui se traduit par une atteinte des nerfs avec des paralysies d'intensité variable, parfois respiratoire).

    Il avait un léger œdème des membres inférieurs, ce qui n’est pas rapporté en cas d’infection par le virus de la dengue ou du chikungunya, une conjonctivite qui est peu décrite dans l’infection au chikungunya et une éruption cutanée qui est plus fréquente lors d’une infection par Zika que par le virus de la dengue ou celui du chikungunya. Traité pour ces divers symptômes, le patient connut une évolution favorable et récupéra.

    Jusqu’en 2014, en Amérique latine, le virus de la dengue était l’unique virus transmissible par les moustiques du genre Aedes. Cette année-là vit l’apparition d’une autre maladie, le chikungunya, elle aussi transmise par un arbovirus de la même espèce de moustique. Pourtant, pendant plus d’un an, on ne rapporta pas de cas de co-infection par les virus de la dengue et du chikungunya.

    Se surajoutent à cela, à partir de septembre 2015, les premiers cas d’infection au virus Zika en Colombie. A compter de cette date, on observe dans cette région la circulation de trois virus transmissibles par les moustiques Aedes, une situation non décrite auparavant dans le monde, ni dans le Pacifique, ni en Asie.

    A ce jour, une triple infection par les virus de la dengue, du chikungunya et par le parasite du paludisme avait été rapportée chez un étudiant de retour en Inde après un voyage au Nigeria, une région endémique pour ces trois agents infectieux.

    De même, des cas de co-infection par les virus de la dengue et Zika ont été décrits en Nouvelle-Calédonie. Enfin, un cas de co-infection par le virus de la dengue et du chikungunya a été décrit chez une femme de retour, en janvier 2014, au Portugal après un séjour en Angola. De tels cas de co-infections dengue-chikungunya ont rarement été notifiés dans le passé.

    Mais revenons au cas rapporté par Alfonso Rodriguez-Morales et ses collègues de l’hôpital universitaire de Sincelejo et de la faculté des sciences de la santé de l’université technique de Pereira, capitale du département de Risaralda.

    Peut-on affirmer qu’il s’agit avec certitude d’un cas de co-infection par les virus de la dengue et Zika et celui du chikungunya? A vrai dire, les choses apparaissent plus compliquées qu’elles n’y paraissent, estiment d’autres chercheurs colombiens, spécialistes en infectiologie à Bogota.

    Il existe en effet de fortes homologies entre les virus de la dengue et Zika d’une part et celui du chikungunya d’autre part. Une situation qui peut conduire à des réactions sérologiques croisées. En d’autres termes, il arrive que les anticorps dirigés contre le virus responsable d’une récente infection d’un patient soient pris pour ceux spécifiques d’une infection due à un virus proche du premier.

    Ainsi, Álvaro Faccini-Martinez et ses collègues font remarquer que la recherche d’anticorps anti-virus de la dengue peut conduire à des résultats faussement positifs. Cette situation, qui peut amener à penser qu’un patient présente une infection aiguë par le virus de la dengue alors qu’il n’en est rien, survient principalement chez des patients infectés par Zika (infection confirmée par la présence du matériel génétique) mais qui ont déjà rencontré le virus de la dengue.

    Une situation qui pourrait correspondre à celle du patient résidant dans le département de Sucre et dont le cas est rapporté dans le Journal of Infection and Public Health. En effet, cette région où circule aujourd’hui largement le virus Zika, est aussi une zone où le virus de la dengue est endémique, et ce depuis longtemps.

    Par conséquent, la recherche positive d’anticorps pour le virus de la dengue pourrait parfois ne traduire qu’une ancienne infection par ce même virus.

    En réalité, seule la recherche du génome viral permet d’affirmer avec certitude la présence de l’agent infectieux. De fait, il est également arrivé que la recherche d’anticorps dirigés contre le virus du chikungunya conduise à des résultats faussement positifs pour la dengue, dans la mesure où le génome de ce virus était indétectable.

    Par ailleurs, il importe de souligner que les anticorps IgM anti-chikungunya qui apparaissent généralement à partir du 7ème jour de la maladie peuvent persister à des taux détectables 3 ou 4 mois plus tard, et même jusqu’à 2 ans chez les patients présentant une symptomatologie chronique.

    En matière de diagnostic d’infection au virus Zika, de la dengue et du chikungunya, les examens sérologiques, visant à rechercher dans le sang la présence d’anticorps IgM dirigés contre ces trois virus, doivent donc être interprétés avec prudence, en tenant compte de la cinétique d’apparition et de disparition des anticorps spécifiques pour chaque maladie et en faisant plus fréquemment appel aux techniques de détection du génome du virus ou de ses protéines (antigènes viraux). Ceci permettrait de lever les doutes.

    En pratique, l'émergence du virus Zika dans une zone de co-circulation d'autres arbovirus imposera donc d'avoir le plus souvent recours à la biologie moléculaire afin d'identifier précisément la cause de l'infection virale.

    Rapportera-t-on en Amérique latine, dans les mois ou années à venir, de plus en plus de cas cliniques de co-infection virale dans les zones de distribution des moustiques Aedes aegypti et Aedes albopictus, vecteurs de ces trois virus ? Une chose est sûre : la recherche de techniques de détection sophistiquées et de protocoles permettant de discriminer chacune des trois pathologies virales devrait s’amplifier.

    Marc Gozlan, journaliste à Sciences et Avenir

  • Allemagne : la police met en garde contre les raids de gangs d’Afrique du Nord dans les trains

    Soyez prudents en France aussi

    Les arrestations ne les dissuadent pas. Dans la région de Nordrhein-Westfalen, la police met en garde contre des incursions de bandes nord-africaines dans les trains.

    Depuis déjà longtemps, la police fédérale met en garde contre des bandes de Nord-Africains qui volent les passagers à bord des trains durant leurs voyages. Mais ce n’est que depuis les événements du Nouvel An à Cologne que le problème est admis. Il était grand temps. Depuis des semaines, le même schéma se reproduit pour les policiers fédéraux de Nordrhein-Westfalen : ils arrêtent des délinquants d’origine nord-africaine qui commettent des vols dans des trains. Le problème : après l’enregistrement de leurs dépositions, ils ressortent libres. " C’est frustrant, mais nous ne pouvons pas les envoyer en prison“, selon Jürgen Karlisch, de la police fédérale de Dortmund, dans un entretien à rp-online.de. " Selon nous, ils vont rapidement retourner se constituer un butin dans les trains“. Le problème est connu depuis longtemps

    Souvent même immédiatement après qu’ils ont été arrêtés par la police. " Souvent nous sommes encore en train de saisir la déposition dans l’ordinateur et la personne est déjà libre, en train de commettre son prochain délit“, selon Karlisch. La police fédérale aurait signalé ce problème depuis longtemps, " mais ce n’est que depuis les événement du Nouvel An à Cologne que nos avertissements sont peu à peu pris au sérieux ", selon le fonctionnaire.

    Mais comment le problème peut-il être réglé ? " La seule chose que nous puissions faire dans le cadre de nos fonctions est de compliquer la tâche des voleurs en les contrôlant ", selon Karlisch. La plupart du temps, les délinquants agissent par groupe de trois, chacun ayant une mission bien définie. L’un des hommes s’assoit à côté de la victime. Un autre guette les policiers et un troisième embrouille la victime en discutant avec elle, pour que le premier puisse dérober les objets de valeurs dans les poches de la victime.

    Mais il y a pire : après les graves incidents du Nouvel An à Cologne, la police met en garde plus que jamais contre ceux que nous appelons les " Antänzern ". Dans ce type d’escroquerie, les délinquants foncent sur leurs victimes en recherchant le contact physique. Ils agissent souvent de façon très agressive. Quand la victime est distraite pour quelques instants, les voleurs agissent.

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  • Hips : système de parking intelligent pour places handicapés

    Faciliter l’accès à n’importe quelle place réservée aux personnes handicapées d’une ville via un système de détection de stationnement connecté et une application. C’est le projet Hips, pour Handicap Intelligent Park System.

    Comment accéder facilement à une place réservée proches d’un lieu recherché? Comment également visualiser celles disponibles? La solution Hips a été pensée pour répondre à de telles questions. Développée par des étudiants de première année de l’Etna (la nouvelle alternance en informatique), elle a d’ailleurs remporté le prix " Jeune pousse " du Défi H, un concours où s’affrontent, à travers des projets innovants, différentes équipes d’élèves issus de grandes écoles ou d’universités françaises et mobilisées pour lutter contre le handicap. Innovant le projet Hips l’est mais pas original, puisque son principe rappelle l’application (gratuite) parking.handicap.fr.

    Un succès qui n’est pas une fin en soi mais une première étape comme l’explique, Adrien Alexandre, un des membres de Hips: "Comme notre projet est concret et qu’il fonctionne, cela fait plusieurs mois que l’on envisage de le faire passer à une autre dimension. Avec l’obtention de ce prix, on va donc monter prochainement une start-up. On sait que Hips peut intéresser les institutions publiques et attirer des entreprises comme les parkings privés. Pour le moment, nous avons déjà entamé des collaborations avec les mairies d’Ivry-sur-Seine et d’Issy-les-Moulineaux, en région parisienne".

     

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