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femme - Page 15

  • Ils feraient mieux d'apprendre à écrire,

    lire et parler la vraie langue française… ces bouffons!

    "Une victoire au foot, c’est aussi le moment où les hommes réaffirment des valeurs virilistes"

    Sur les Champs-Elysées, dimanche.

    A l’issue de la demi-finale mardi, comme de la finale dimanche, de nombreuses femmes en France ont fait part sur les réseaux sociaux d'agressions sexuelles en pleine rue.

    Mardi 10 juillet, 22h30. La France vient de battre la Belgique 1 à 0 et accède à la finale de la Coupe du monde, de quoi faire espérer une deuxième étoile sur le maillot des Bleus vingt ans après le premier sacre de 98. Avec ses amis, Julie, 26 ans, fête la victoire de l’équipe de France dans un bistrot du XVIIIe arrondissement de Paris, ravie de l’effervescence collective. Avant d’être victime d’une agression sexuelle en pleine rue. "Quand vient le moment de rentrer, je m’aperçois que le service de bus tourne au ralenti : le prochain est dans vingt minutes, je checke mon portable qui me propose un itinéraire – à pied – moins long et plus économique qu’un taxi, raconte-t-elle à Libération. Je traverse le périph pour rentrer chez moi quand un mec, visiblement bien imbibé – et pas que de ferveur footballistique – m’empoigne fermement les deux bras et me sort "Qui a gagné ? Qui a gagné ?" J’ai à peine le temps de répondre qu’il me saute dessus et force un bisou – sur la bouche. Je rentre en tremblant et en colère."

    Main aux fesses

    Le récit de Julie, qui avait pourtant choisi de ne pas trop s’éloigner de chez elle afin de "pouvoir rentrer en sécurité" après la finale, n’est pas isolé. Comme elle, ces derniers jours, plusieurs femmes, et des témoins, ont fait part des violences sexuelles subies lors de ces moments de liesse populaire dans les rues de grandes villes françaises. Si les autorités policières n’ont pas communiqué sur le nombre de plaintes éventuelles déposées, la presse – à l’instar de BuzzFeed – s’est fait écho de plusieurs témoignages, la plupart du temps partagés sur les réseaux sociaux et en particulier sur Twitter. Citée par LCI mardi après-midi, une source judiciaire fait elle état à ce jour de deux interpellations à Paris pour agression sexuelle, dont celle lundi d'un individu pour des faits d'exhibition sexuelle. Invité sur Europe 1 mercredi matin, le préfet de police de Paris Michel Delpuech a invité les femmes victimes à porter plainte.

        Une copine vient de se battre dans les rues de Paris pour ne pas être embrassée de force.

        S’il-vous-plaît, soyez vigilant-es et intervenez.

        — Juliette Lancel (@Oniromanie) 15 juillet 2018

    C’est par exemple le cas de Laura (1), 19 ans, qui vit aux Sables-d’Olonnes, en Vendée, agressée lors de la finale. "J’ai assisté à une partie du match au travail, puis je suis rentrée en voiture, détaille la jeune femme auprès de Libération. Dix minutes après être arrivée dans un bar, à 50 mètres de chez moi, deux grands gaillards ont commencé à discuter avec moi. Sauf qu’ils m’ont attrapée par la taille et m’ont demandé de les embrasser. Je les ai repoussés et je leur ai dit non un peu brusquement pour qu’ils comprennent." Deux minutes après, un de leurs amis lui touche les fesses sans son consentement : une agression sexuelle, selon le code pénal. Laura décide de rentrer chez elle, mais les deux hommes repèrent sa voiture et viennent la solliciter à son domicile à deux reprises : "A la fin du match, ils sont venus toquer chez moi pour me demander de sortir "faire la fête avec eux", me dire que je n’avais "pas de raisons d’avoir peur", etc. Ils sont revenus vers minuit et j’ai failli appeler la police mais ils ont déguerpi rapidement après."

    Violences banalisées

    Des agressions sexuelles ou des comportements sexistes qui ne sont pas spécifiques aux manifestations sportives, et qui se retrouvent dans différents types de grandes fêtes publiques en plein air : fêtes de Bayonne ou de Pampelune en Espagne, théâtre d’un viol collectif en 2016, ou encore festivals de musique. Ces dernières années, des festivalières se sont d’ailleurs exprimées pour dénoncer les agressions sexuelles dont elles avaient été victimes lors de ces événements musicaux. En mai, Vera Papisova avait raconté dans une enquête publiée dans Teen Vogue (dont Libération s’était fait l’écho) avoir été "pelotée 22 fois" contre son gré lors du festival Coachella, en Californie. La cinquantaine de festivalières qu’elle avait interrogées avaient elles aussi été agressées ou harcelées sexuellement lors du festival. Selon une étude américaine publiée en début d’année, 90% des femmes qui se sont rendues à un concert ont déjà subi une forme de harcèlement sexuel.

    "Ces problèmes se posent dans toutes les fêtes alcoolisées où les comportements sexistes et machistes s’aggravent, expliquait en 2016 à Libération Yves Raibaud, chercheur, géographe à l’université de Bordeaux-Montaigne et spécialiste des questions sur le genre et la ville. La conquête de la rue par les filles ne va pas de soi. On accepte qu’elles fassent la fête parce qu’on a besoin d’elles pour que ça soit "joli" dehors mais c’est à leurs risques et périls. […] La rue, comme les villes en général, reste un espace de domination masculine." "Une victoire comme celle-ci au foot, c’est aussi le moment où les hommes réaffirment des valeurs virilistes, ou se sentent obliger de les réaffirmer, sous peine de ne pas être vus comme de vrais hommes, analyse de son côté l’anthropologue et urbaniste Chris Blache, à l’initiative de la plateforme de réflexion Genre et ville. Dans un événement de liesse, libérateur et bienvenu, il est aussi admis qu’on peut se lâcher, ce qui malheureusement banalise ces violences, très mal vécues par les femmes qui en sont victimes."

    "On me dit que je gâche l’ambiance"

    Dans le sillage de #MeToo, certaines femmes utilisent les réseaux sociaux pour parler des agressions subies, y compris lors de ce genre d’événements. Contactée par Libération, Elsa (1), jeune femme de 29 ans à l’origine d’un thread qui a compilé sur Twitter des témoignages d’agressions et de harcèlement sexuel, explique avoir voulu montrer "la quantité et le contenu des témoignages pour que chacun se fasse son propre avis sur la question". "Hier encore j’ai entendu dans des discussions avec mon entourage que les comportements dans la rue étaient tous "normaux" et "tolérables" compte tenu des circonstances et d’autres dires qu’une femme qui sort dehors, en ville, pour cet événement ne devrait pas s’étonner de ce qu’il lui arrive…" poursuit l’internaute d’origine toulousaine, restée en partie chez elle par peur de ne pas se "sentir en sécurité dans la foule".

        #MeTooFoothttps://t.co/bKp61KtWkl

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    "En 1998, cela ne devait pas être bien glorieux, mais on n’en parlait pas, complète la chercheuse Chris Blache. Depuis, même si le sujet reste complètement tabou au nom d’une certaine gauloiserie, la parole s’est libérée." Mais gare au retour de bâton en ligne pour celles qui osent parler. "Après mon tweet, j’ai reçu quelques insultes, on me traite de menteuse, on me dit que je gâche l’ambiance, que je n’avais qu’à pas aller fêter la finale, que j’ai pris des risques, ajoute Laura. Comme si j’étais responsable des agissements des hommes."

     (1) Certains prénoms ont été changés pour garantir l’anonymat des victimes.

    Juliette Deborde , Florian Bardou

    Sur Libération

     

    qui ferait mieux de changer de titre car les mecs, ils sont tellement libérés qu'ils se comportent comme des cloportes!

  • Censure en France? la preuve!

    Curieux incident d’antenne, ce dimanche 15 juillet, lors de la diffusion du Soir 3 entièrement consacré à la victoire de la France au Mondial de football.

    Un journaliste de la rédaction s’apprête à intervenir en direct dans le journal depuis la terrasse Publicis qui surplombe la place de l’Etoile et les Champs Elysées.

    Il est un peu plus de minuit et le journaliste décrit la situation qui se déroule sous ses yeux : la fête devait se prolonger une bonne partie de la nuit mais elle a dégénéré et est désormais finie. Le drugstore et de nombreux magasins ont été pillés. Les Champs Elysées et l’Etoile sont désormais évacués, quadrillés par les CRS et baignés dans des effluves de gaz lacrymogène qui rend l’air irrespirable, y compris sur la terrasse au sommet de l’immeuble d’où se tient le direct…

    …On n’en saura pas plus. Au bout de quarante secondes, le direct est coupé sans plus d’explications sur décision de la rédactrice en chef. (de 3’14 à 4’00)

    L’explication n’a été donnée que le lendemain au journaliste : son direct a été interrompu parce qu’il a exagéré l’ampleur des violences et qu’il aurait dû évoquer " l’atmosphère de liesse… " qui n’existait plus depuis près de deux heures !

    On peut toujours discuter de la pertinence ou de l’angle d’un papier, les conférences critiques sont là pour ça.

    Mais interrompre volontairement un direct est un acte grave réservé aux circonstances exceptionnelles ou aux cas de force majeure.

    Cette interruption intempestive est d’autant plus incompréhensible que le journaliste n’a fait que son métier : décrire une réalité – certes déplaisante – qui a été largement rapportée et développée dans la presse du lendemain.

    Cette censure est d’autant plus absurde qu’elle alimente le fantasme d’une télévision d’Etat qui voudrait "dissimuler des informations" au public

    De nombreux internautes ont d’ailleurs réagi en ce sens à l’interruption du direct du Soir 3.

    L’incident de dimanche soir témoigne aussi d’une certaine dérive dans les pratiques professionnelles en vigueur dans les rédactions de France Télévisions.

    De nombreux confrères déplorent de se voir de plus en plus en dicter leurs papiers par des chefs qui prétendent mieux appréhender un événement depuis les bureaux de la rédaction que les journalistes qui se trouvent sur le terrain.

    Dans le monde enchanté de Macron, monde enchanté que les médias adorent, il n’y a pas de problème d’immigration, pas de problème d’islam, pas de problème de délinquance quotidienne…

    Oui, c’est le monde enchanté de Macron.

    Alors quand l’un des rares journalistes courageux  de terrain, (pour ne pas dire le seul),  dit qu’il voit ce qu’il voit, on lui coupe l’antenne!

    Rappelons que Clément Weill-Raynal est ce journaliste qui a fait connaître à la France entière l’abomination du "Mur des cons".

    Cette affiche dans les locaux du " Syndicat de la Magistrature " où ces "dignes" magistrats vouaient à l’exécration, entre autres, les parents de victimes assassinées par des barbares.

    http://www.wikistrike.com/article-le-mur-des-cons-du-syndicat-de-la-magistrature-117344154.html

     

    Et que loin d’être défendu par le SNJ- CGT, principal syndicat de journalistes de France-Télévision, il avait été proprement enfoncé par ce dernier.

    Saluons  donc l’indépendance du syndicat FO, dont Clément Weill-Raynal est adhérent,  qui montre un grand courage en cette occasion…

    Imaginons ce qu’était  un Sakharov dans l’URSS stalinienne  de Brejnev et nous aurons une idée de ce qu’est un Clément Weill-Raynal dans la France médiatique de Macron: il n’y manque que le Goulag!

     

  • Salopiots! bande de dégueulasses!!!

    La fête battait son plein ce dimanche. La France entière célébrait la victoire de son équipe nationale, sacrée championne du monde au terme d'une finale rythmée contre la Croatie (4-2). Mais l'envers du décor, lui, s'avère nettement moins reluisant. Certaines femmes ont en effet vécu l'enfer et le racontent sur la Toile.

    L'heure était aux festivités dans toutes les rues du pays après la victoire des Bleus lors de l'ultime match de la Coupe du monde de football le dimanche 15 juillet. Des millions de Français sont descendus dans les rues afin de célébrer cet évènement exceptionnel comme il se doit. Quelques débordements, notamment à Paris, ont été constatés mais l'ambiance restait plutôt bon enfant. En apparence, du moins. L'effervescence et l'abondance d'alcool ne font pas forcément bon ménage, et certains en ont fait les frais.

    Les réseaux sociaux font alors - une nouvelle fois - office d'exutoire pour bon nombre de femmes qui témoignent des actes subis ce fameux soir. L'internaute Kateya s'est lancée dans le recensement de ces récits glaçants rapportés anonymement sur son compte Twitter. « Je vous laisse observer la soirée horrible que la délicatesse masculine a fait passer à beaucoup trop de femmes hier soir », annonce cette dernière. La gent féminine demeure une cible fragile dans l'espace public, en particulier lors d'importants mouvements de foule tels que cela a été le cas ce week-end.

    Mains baladeuses, bisous forcés, frottements ou sifflements… la soirée n'a pas été de tout repos pour de nombreuses supportrices venues elles aussi marquer le coup. "Donc là y'a un mec alcoolisé qui vient de me foutre une main au cul tout en essayant de m'embrasser de force, je le repousse il me prend par le cou en me disant : c'est la victoire qu'est-ce que tu attends", raconte l'une d'elles.

    "Quand on a gagné y a un mec qui a pris ma tête entre ses mains pour m'embrasser", se souvient une autre. Et les témoignages s'accumulent, comme vous pouvez le constater ci-dessous :

        pic.twitter.com/ac3X14sw4a

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/UTTJwrrf7V

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/wrAAH5OqIS

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/gbomvry9KK

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

        pic.twitter.com/NIA9DbE0QL

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    Certaines de celles qui ont relayé le triste vécu de leur soirée restent très marquées quelques jours après. « Je suis apeurée », note l'une. « Je suis mal, très mal », se désespère une autre. Ou cette dernière qui dit avoir « envie de chialer ».

        pic.twitter.com/rc56Tt2WQu

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

         pic.twitter.com/XzlnPkeAF7

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

     

        pic.twitter.com/XKMFTljb0a

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    Les mésaventures de cette personne sont particulièrement choquantes. « Il m'a embrassé de force en mettant sa langue dans ma bouche alors que je le repoussais violemment, me touchait les seins et a touché mon entrejambe pendant que je me débattais en pleurant », relate-t-elle. Devant sa détresse, aucun des nombreux passants présents n'a semblé réagir. " Personne n'est venu m'aider alors que j'étais à terre en pleurs", regrette l'auteur de la plainte.

        [Agression sexuelle] pic.twitter.com/L9Pmtpd5ib

        — Kateya (@KateyaV) 16 juillet 2018

    Des hommes ont toutefois tenu à rappeler que tous n'étaient pas responsables de tels agissements et qu'il ne faut en aucun cas généraliser, comme le soutient cet internaute:

      Alors NON.Tous les hommes ne st pas des connards et n'ont pas profité de la fête pour agresser des femmes. Par contre il y a un % de débiles qui existe et qui augmente fortement quand c'est le bordel. Pensé pourr les femmes et hommes qui subissent tous les jours l idiotie de certains

        — Aldjinn (@Aldjinn_) 16 juillet 2018

    Il n'empêche que ces actes condamnables méritent d'être dénoncés.

     

    LISEZ AUSSI Valeurs Actuelles de cette semaine: édifiant!

    Que ces conn... pourrissent de la queue!

     

  • Plus ils ont de diplômes plus ils sont c-o-n!

    La patronne de la FDJ ne connaît pas le mot "addiction"

    C’est à lire dans Le Figaro, au rayon, saumon, des "décideurs": Stéphane Pallez, PDG de la FDJ (Française des Jeux) explique "comment elle change l’opérateur de jeux de hasard que le gouvernement privatise". Un très long entretien (Yann Le Galès) dans une langue proche du néoparler orwellien:

    "Un dirigeant ne peut pas décréter une révolution culturelle et managériale. Il ne peut pas l’imposer par l’autorité. Mais il a le devoir de construire le changement et doit avoir la capacité à en convaincre. Ma responsabilité est d’expliquer les nécessaires transformations, en interne et auprès de toutes les parties prenantes au développement de FDJ. Je travaille pour cela avec les managers, les représentants des salariés et le conseil d’administration. Un changement d’actionnariat n’aurait pas d’impact sur mon mode managérial. Je continuerai de porter l’ambition stratégique du groupe dans l’intérêt des collaborateurs, qui pourraient renforcer leur propre participation au capital à cette occasion. (…)

    "Un dirigeant ne doit pas seulement définir une stratégie. Il doit aussi convaincre du bien-fondé de ses choix. Il doit être capable de mobiliser. S’il ne le fait pas, la meilleure stratégie sur le papier peut échouer. J’y consacre une grande partie de mon temps. Les membres du comité exécutif également. Et nous avons aussi mis en place un groupe de managers qui sont nos relais au sein de l’organisation. (….)"

    Intérêt général

    On s’ennuie ferme. Puis on tombe sur ceci:

    "L’entreprise joue-t-elle un rôle sociétal?

    – Je suis convaincue depuis longtemps que l’entreprise a une fonction sociétale. Elle doit limiter ses impacts négatifs et accroître ses contributions positives.

    "Produire et vendre des jeux, est-ce défendre l’intérêt général?

    – Le jeu est une activité ludique qui crée du lien social. FDJ est par nature une ‘’entreprise à missions’’ (sic). Entreprise régulée qui agit dans le cadre de droits exclusifs, elle propose des jeux récréatifs et intègre la gestion des risques liés à cette activité. Elle a un impact très fort sur les emplois dans les territoires puisque nos jeux sont commercialisés par le plus grand réseau français de distribution de proximité formé par les bars-tabacs et les distributeurs de presse. "

    "Financez-vous des activités sociétales?

    – Depuis toujours, FDJ finance les œuvres sociales des anciens combattants qui sont aujourd’hui nos actionnaires. Elle finance le sport pour tous et accompagne des athlètes de haut niveau. Elle va participer aussi à partir de cette année à la sauvegarde du patrimoine français. "

    Que de "sociétal" dira-t-on. Avec un absent de renom. Où l’on voit que seule la Fédération addiction s’est intéressée au sujet. C’était en mars dernier:

    " La question de la privatisation, même partielle, de la FDJ, est au cœur d’un nécessaire débat public sur l’addiction aux Jeux d’Argent et de Hasard (JAH). Il serait envisagé des mesures de ventes plus incitatives auprès des détaillants pour les amener à vendre plus de jeux afin " d’équilibrer " le manque à gagner dû à la hausse du prix tabac. Changer le modèle économique de l’offre de jeu en passant d’une conception extensive à une conception intensive n’est pas sans conséquences: l’Italie et l’Australie, après avoir expérimenté une politique libéraliste avec la privatisation, font aujourd’hui marche arrière ".

    Sociétal?  L’Observatoire des Jeux  estime à un million deux cent mille le nombre des joueurs qui, en France, peuvent être " problématiques ". Les études récentes portant sur les Jeux d’Argent et de Hasard de hasard mettent en lumière " une hausse croissante des pratiques et du budget consacré par les Français, même pour les mineurs à qui ils sont pourtant interdits ".

    Un "débat sociétal" sur la privatisation de la FDJ et la prévention de l’addiction ? Ce serait, à coup sûr, une "révolution culturelle et managériale".

    Parle à mon tchoul, ma tête est malade

    Les Rita Mitsouko. "Alors c’est quoi":

     

    "Alors c’est quoi que j’appelle

    c’est la joie, c’est elle

    que les émois étincellent

    et s’entremêlent encore nos voix.

    A chaque fois je remets ça

    1 2 3 ça recommence

    à chaque fois je remets ça.

    Réponds moi encore, montre toi

    réponds moi encore, montre toi

    réponds moi encore, et encore

    et encore, encore une fois (…)"

  • Mordre la main qui te sauve et te nourris!

    Les " touristes " de l’Aquarius montrent leur mépris pour ceux qui les accueillent

    Nouvelles d’Espagne, les "rescapés" de l’Aquarius font parler d’eux!

    L’Espagne unanime pour l’accueil des "envahisseurs" "migrants" n’était pas au rendez-vous, il y avait comme toujours quelques récalcitrants, des lépreux aurait dit notre "estimé" président! Même en Espagne, la propagande y fait vraiment mal son boulot!

    (Traduction sommaire des propos de la femme):

    "Contre l’immigration qui arrive à cause des mafias, parce que nous ne nous y trompons pas, cette immigration qui arrive par Melillia, par Motril, par l’Andalousie et par les côtes européennes sont des immigrations illégales envoyées par les mafias, simplement. Il s’agit que tous en Europe se mettent d’accord pour arrêter le problème des arrivées car toute l’Europe ne peut recevoir une immigration illégale parce qu’il n’y a pas de travail pour autant d’entre eux, il n’y a pas d’aides pour autant d’entre eux!

    (Pour ce qui est de l’homme, difficile à comprendre, il doit être d’accord avec l’accueil des migrants):

    Affirme qu’à Patera sont hébergées deux familles de migrants (certainement ne venant pas de l’Aquarius) qui ont été accueillies comme n’étant pas des immigrants économiques illégaux!

    Les égoïstes que nous sommes n’ont pas compris l’état d’épuisement de ces pauvres "migrants" arrivés de Libye, des femmes qui ont été violées, des hommes torturés…

    https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/aquarius/direct-on-les-sent-extremement-fatigues-les-premiers-migrants-de-l-aquarius-sont-arrives-en-espagne_2806131.html

    Une chance, nombre de ces pauvres "illégaux" immigrés épuisés ont repris rapidement des forces et se sont fait la paire…

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/06/21/aquarius-plus-de-150-migrants-ont-deja-pris-la-poudre-descampette-pour-venir-en-france/

    Les mineurs et prétendus tels ne sont pas en reste…

    A ne pas douter, certains se retrouveront à la charge des départements con-tribuables sous peu si ce n’est déjà fait!

    https://www.tendanceouest.com/actualite-281119-espagne-des-mineurs-de-l-aquarius-fuguent-de-leur-residence.html

    Mais voilà que la polémique enfle sur les réseaux!

    Ces migrants accueillis chaleureusement, recevant soins médicaux et vêtements de rechange, semblent ne pas apprécier la qualité de l’hospitalité espagnole… On en avait déjà eu des exemples en Europe…

    En plus, ils méprisent l’aide apportée: les vêtements fournis par la Croix Rouge espagnole auraient fini dans les poubelles.

    Dans le premier article, la Croix Rouge d’expliquer que ses kits d’accueil contiennent des objets (couvertures, serviettes) et vêtements à usage unique!

    https://www.sevillainfo.es/noticias-nacional/ropa-cruz-roja-basura-aquarius/

    Cependant, les photos des poubelles du Complexe éducatif de Cheste-Valence où les immigrés ont été logés montrent des vêtements encore dans les sacs de la Croix Rouge…

    Autre critique, ces vêtements devraient être recyclés, voire pour l’industrie… ce que la Croix Rouge prétend, après qu’un traitement sanitaire adéquat leur ait été appliqué. Le protocole ne semble pas avoir été suivi.

    Il faut savoir que des migrants arrivent avec la gale, voire  apportent avec eux des punaises…

    Le deuxième est critique, de se poser en plus la question sur les exigences des migrants ne trouvant pas les vêtements adéquats, ou pas assez à leur goût, à la mode…

    https://www.mediterraneodigital.com/espana/espana/tiran-a-la-basura-toda-la-ropa-que-cruz-roja-les-regalo-a-los-inmigrantes-del-aquarius.html

    Le troisième est lui extrêmement critique. Il explique que des migrants, fort joyeux, sont allés dans un bar, payant avec des billets de 100€ pour des verres de whisky et du tabac, au point de vider le distributeur de paquets de tabac… Un barmaid a expliqué que l’un d’entre eux avait une "pochette" avec une liasse de billets de 50€ mouillés… Où les avait-il obtenus? Les avait-il avant de prendre le bateau?

    https://casoaislado.com/tiran-contenedores-basura-la-ropa-donada-cruz-roja-los-inmigrantes-del-aquarius/

    https://casoaislado.com/los-inmigrantes-del-aquarius-pagaron-billetes-100-euros-los-chupitos-whisky-pidieron-restaurante-cheste/

    Voilà qui doit en laisser dubitatif plus d’un…

    Bien des choses sont ignorées concernant ces migrants désespérés!

  • Attention, les filles!

    “Mon mari m’avait épousée pour avoir un titre de séjour ”

    C’est après son mariage que Malika a découvert que l’homme qu’elle aimait ne voulait que des papiers… Elle a réussi à prouver l’imposture et à faire annuler son mariage.

    Malika était convaincue d’avoir trouvé l’âme sœur. Elle est en réalité tombée dans un piège. "Une duperie aux sentiments qui a brisé à jamais mon cœur et ma confiance dans les hommes", regrette la célibataire de 48 ans. Aujourd’hui, Malika témoigne pour alerter des dangers du mariage gris. Il lui aura fallu huit ans pour réussir à parler publiquement de cette trahison. "J’ai mis des années à me reconstruire, reconnaît-elle. J’ai fait le deuil du mariage. J’avoue aller à contrecœur aux mariages des autres. Ça reste une épreuve pour moi, ça me rappelle trop de mauvais souvenirs. Je ne me remarierai plus. Pour moi, c’est fini, je ne fais plus confiance aux hommes. Face à eux, je suis un bloc de béton“.

    Comptable de profession, Malika a 36 ans lorsqu’elle le rencontre. Tous les matins, elle passe devant un chantier de Marseille où le jeune homme est ouvrier. "Cet homme m’a fait une cour assidue. D’abord des sourires et des bonjours polis, puis il m’a abordée pour faire connaissance. J’ai aimé son culot“.

    Au fil des rendez-vous, la Française tombe sous le charme du jeune Algérien de huit ans son cadet. "Il était beau, attentionné, galant et tendre. Je n’avais jamais été autant séduite par un homme", confie Malika. Ferhat ne cache pas qu’il est en situation irrégulière. "J’étais tombée amoureuse de l’homme et non d’un statut civil“.  Après plusieurs mois d’une relation idyllique, Ferhat la demande en mariage. Malika accepte, persuadée d’avoir enfin trouvé l’homme de sa vie.

    "A 36 ans, je voulais des enfants. J’étais la petite dernière de la fratrie et toute ma famille y a cru. Sauf mon père. Il me répétait de prendre mon temps, de faire le mariage religieux, de vivre ensemble avant de passer à la mairie. Mais je croyais au prince charmant“. Le couple se marie civilement en décembre 2005 et s’offre un mariage religieux fastueux quatre mois plus tard. Malika est sur un petit nuage. Le bonheur sera de courte durée.

    Un an plus tard, son fiancé change subitement d’attitude. "Lorsqu’il a reçu son titre de séjour, valable dix ans, le masque est tombé. Je me suis retrouvée face à un inconnu. "Son mari découche, la dénigre et se montre agressif. "Il m’a annoncé qu’il me quittait, car il ne me supportait plus“. L’épouse éplorée est alors convoquée au commissariat. Elle découvre ébahie que son époux porte plainte contre elle pour coups et blessures, dossier médical à l’appui.

     www.closermag.fr