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france - Page 73

  • Toujours ces journalistes mange-merde de la gauchiasse!!!

    Silence sur le nom du sénateur socialiste qui a pris un djihadiste comme assistant parlementaire!

    Les loups sont dans la bergerie.

    L’assistant parlementaire d’un sénateur soupçonné d’apologie du terrorisme.

    Selon Le Canard enchaîné, qui a révélé l’affaire, la page Facebook du jeune homme contenait notamment des appels au djihad et des images d’égorgements. Elle aurait été un temps retirée avant de réapparaître en langue arabe, d’après l’hebdomadaire.

    Le sénateur lui est….?

    Socialiste bien sûr, comme hollande, comme macron, comme hamon.

    Avons-nous déjà vu Marine ou un de ses associés inculpés d’apologie de terrorisme?

    Ben non, mais paraît que le danger c’est le Front National.

    Grand classique des pervers manipulateurs narcissiques: Faire porter à ses adversaires ses propres travers afin de détourner l’attention.

    Selon Le Canard enchaîné, qui a révélé l’affaire, la page Facebook du jeune homme contenait notamment des appels au djihad et des images d’égorgements. Page un moment disparue avant de reparaître en arabe…

    Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris visant l’attaché parlementaire d’un sénateur socialiste soupçonné d’apologie du terrorisme sur sa page Facebook. Une militante associative, alertée par les messages de propagande djihadiste postés par le collaborateur, avait fait un signalement aux autorités, conduisant le 25 janvier à l’ouverture de cette enquête préliminaire. Les investigations ont été confiées à la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP).

    Note de Christine Tasin

    Des noms!

    Ils n’ont pas pris de pincettes pour épingler Pénélope et tous ceux qui gravitent autour de Fillon mais quand il s’agit d’un socialiste, sénateur par ailleurs…

    Motus et bouche cousue.

    On ne connaîtra pas le nom du sénateur,  enflure qui a engagé délibérément une CPF au lieu d’un de nos jeunes diplômés, lui permettant l’accès au Palais Garnier avec les risques que cela suppose.

    On ne connaîtra pas plus le nom du "collaborateur".

    Où se trouve d’ailleurs le quidam? Envolé, au bled? En garde à vue? Juste fiché S?

    Réponse à toutes ces questions dans cet article :

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/02/22/le-senateur-ps-roger-madec-savait-pourtant-il-avait-introduit-yacine-chaouat-au-senat/

  • NON MAIS!!!!! LA FRANCE D'AUJOURD'HUI EST DEVENUE UNE POURRITURE!

    ILS COMMENCENT A NOUS LES BRISER PLUS QUE MENU!!!

     

    Un sportif se fait agresser parce qu'il était nu sous la douche

    Une impressionnante blessure, avec de nombreux points de suture.  

    Un homme a été agressé par quatre jeunes dans les vestiaires d'un centre sportif. Ils lui reprochaient d'être nu sous sa douche.

    C'est un homme meurtri. Tant physiquement, que psychologiquement. Voire philosophiquement. Parce que la violente agression dont il a été victime, lui pose désormais question sur la tolérance, et les difficultés du vivre-ensemble.

    Lui, cet enfant de la Frayère à Cannes-La Bocca, qui a toujours côtoyé et copiné avec tous les gamins de son quartier, sans aucune distinction. Quelle que soit leur couleur de peau ou leur milieu social.

    Lui, cet ancien éducateur sportif, qui s'emploie à inculquer des règles de vie et d'hygiène à ses "protégés". Un père de famille de 43 ans, spectaculairement blessé. Tout ça parce que sa nudité sous la douche aurait indisposé certains usagers d'un centre sportif à la Bocca.

    Jeudi soir vers 20h après une partie de soccer (football en salle), O., 43 ans, a laissé ses amis boire un coup, afin de prendre sa douche. Dans le plus simple appareil, faut-il le préciser?

    Un violent coup de poing au visage

    "Ça fait quarante ans que je fais du sport, et quarante ans que je me douche tout nu après avoir transpiré, ce qui me paraît juste normal", souffle l'intéressé.

    Et pourtant. Un état originel qui aurait fortement déplu à quelques jeunes, venus se doucher eux aussi, mais en conservant leur short "boxer".

    "A ma sortie de cabine, alors que je me dirigeais vers ma serviette de bain et mon caleçon, l'un d'eux m'a interpellé: " Oh, t'es pas fou toi de te doucher à poil!" Je lui ai répondu que moi, je n'avais pas de problème avec ça, et qu'il n'avait qu'à regarder ailleurs", témoigne O.

    Mais le ton est alors monté, avec des insultes mettant en doute la sexualité de l'intéressé. Puis une injure, portant sur sa famille.

    "Là, je suis revenu vers lui, tandis qu'un de ses collègues était là lui aussi. Alors que je m'adressais à l'un, j'ai reçu un énorme coup de poing dans la figure, par surprise. Sonné, je me suis accroupi au sol en mettant mes mains sur le visage, il y avait du sang partout!"

    1. trouve néanmoins la force de se redresser et d'enfiler son short. Interdisant à ses opposants, désormais au nombre de quatre, de sortir du vestiaire, tandis qu'ils continuent de vociférer des insultes.

    Nez cassé et points de suture

    "Finalement, les gérants se sont interposés, et on m'a emmené dans la mezzanine pour faire cesser mon saignement, en attendant l'arrivée des pompiers."

    Le visage complètement gonflé et tuméfié, avec une très vilaine plaie à la pommette, O. alerte lui-même la police depuis son transport en ambulance. Mais à l'arrivée d'un équipage de la Bac au club de sport, les belligérants avaient pris la fuite.

    "C'est la première fois qu'il y a une bagarre chez nous, et évidemment, nous n'en sommes pas contents!", maugrée un gérant, qui précise n'avoir pas assisté à l'altercation.

    De son côté, le visage encore très marqué, défiguré par une cicatrice aux six points de suture sur la joue et quelques autres sur la paupière, le nez fracturé, O. ravale tant bien que mal sa colère.

    À sa sortie d'hôpital, il a déposé plainte contre X, en attendant que justice se fasse.

    "Mais j'avoue que cette histoire m'a mis un sacré coup au moral, et risque de changer mon regard sur les gens et sur l'évolution de notre société", déplore-t-il.

    L'enquête est confiée à la brigade criminelle de Cannes.

    http://www.nicematin.com/faits-divers/un-sportif-se-fait-agresser-parce-quil-etait-nu-sous-la-douche-116376

  • Vive la Suède!

    Les Suédois vont vite regretter leur tolérance et leur souci d’égalité à toute épreuve.

    Il n’y a pas d’égalité qui tienne avec des terroristes en puissance, mais seulement avec des personnes responsables.

    Emeutes et pillages à Rinkeby, la police a tiré des coups de semonce. Un commerçant blessé par les émeutiers.

    Dans la banlieue immigrée de Rinkeby à Stockholm les agents de police ont été soumis à des jets de pierres, des coups de semonce ont été tirés, des magasins ont été pillés, les commerçants sont battus et plusieurs voitures sont en feu. Une opération policière énorme a lieu sur le site.

    L’agitation a commencé à 20h18 dans le cadre d’une patrouille de police pour arrêter une personne recherchée à la station de métro à Rinkeby.

    Ensuite, il apparaît qu’un certain nombre de personnes ont commencé à lancer des pierres sur la police. La police se sentent attaquée a riposté par des coups de semonce. Un policier a été frappé aux bras par une pierre (…)

    Voici le lien du seul article dispo.

    http://lesobservateurs.ch/2017/02/21/suede-un-quartier-de-stockholm-subit-des-emeutes-dimmigres-videos-nos-medias-nen-parleront-pas/

    Aucune info sur aucun media de propagande français.

    Si demain la France est en feu la consigne sera de minimiser, et si possible de taire.

    Allez c’est la fête chez les Suédois:

    http://lesobservateurs.ch/2017/02/17/suede-un-professeur-parle-ouvertement-dans-les-ecoles-on-peut-voir-la-guerre-arriver/

    “Suède: Un migrant syrien viole une fille de 13 ans dans les toilettes. 2 mois de prison!"

    http://lesobservateurs.ch/2017/02/08/suede-un-migrant-syrien-viole-une-fille-de-13-ans-dans-les-toilettes-2-mois-de-prison/

    Continuez à bien vous voiler mesdames, vous êtes sur la bonne voie.

    1 commentaire

    La Suède est un pays en chaos. Tous les Suédois quittent les villes où leurs quartiers sont fortement islamisés. Les Suédoises subissent des viols et ne peuvent même pas porter plainte à cause de leurs lois débiles sur la non discrimination. Elles n’ont même pas le droit de dire si leur violeur était blanc ou noir.

    Super pour faciliter le travail de la police… Qui n’a rien de mieux à dire aux femmes de ne plus sortir le soir. Quelle liberté ! Quel progrès, le Suédistan. Les médias cachent les émeutes quotidiennes créées par les gentils migrants. Il suffit de voir sur le blog de T. Robinson tous ceux qui ont posté des vidéos (depuis que les médias ont accusé D. Trump de relayer un faux attentat, les gens postent des vidéos de ce qui se passent chaque jour en Suède).

    Pendant ce temps-là, la seule préoccupation de ces sinistres ministres est la crainte d’une invasion russe. Débile.

     

     

  •  Idée reçue: " augmenter le smic améliore la situation des pauvres "

    Jean-Luc Mélenchon fait sa campagne dessus : il faut revaloriser le salaire minimum. Seulement, une fois écartés le bruit médiatique et les ambitions électorales, cela va-t-il améliorer la situation du pays, en particulier des plus jeunes et des plus pauvres ?

    Par Eddie Willers. sur contrepoints.org

    Idée reçue : "augmenter le smic améliore la situation des pauvres"

    Alors que Jean-Luc Mélenchon profite d’une belle hausse de sa popularité dans les sondages (certainement due à sa superbe chaîne YouTube), parlons d’une de ses mesures phare : la hausse du SMIC.

    Le Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance est actuellement de 1466,62€ bruts mensuels. Jean-Luc Mélenchon propose de le faire passer à 1700€ bruts dans un premier temps puis nets d’ici la fin de son potentiel quinquennat. Cette proposition est selon lui une mesure sociale qui doit permettre d’améliorer les conditions de vie des travailleurs.

    L’idée derrière est simple: les employeurs sont méchants. Ils font donc tout pour payer le moins possible leurs salariés afin de s’enrichir. Nous allons donc les forcer à payer davantage leurs salariés, ils réduiront leurs profits et cela permettra aux employés d’avoir un revenu et un pouvoir d’achat plus élevés.

    Non seulement ce raisonnement est parfaitement faux mais pire que cela, le salaire minimum est certainement une des mesures les plus anti-sociales qui soit. Voyons pourquoi.

    Nous avions vu dans un précédent article la genèse d’une entreprise. Pour faire simple, un entrepreneur a une bonne idée pour satisfaire les besoins d’autres individus. Il organise alors ses différentes ressources disponibles de façon optimale afin de maximiser ses profits. Une de ses ressources sont les ressources humaines. Notre entrepreneur a décidé de recruter un employé parce qu’il a considéré que celui-ci allait lui rapporter davantage que son salaire.

    Le calcul de l’employeur

    Un employeur ne recrute pas s’il imagine que cette personne lui coûtera plus cher qu’elle ne lui rapporte. Cela n’aurait aucun sens. L’employeur peut se tromper en imaginant qu’elle lui rapportera davantage qu’elle ne lui rapporte en réalité. Néanmoins, personne ne fait le choix délibéré d’embaucher quelqu’un en pensant perdre de l’argent.

    Dès lors, votre salaire sera dépendant de votre capacité à générer des profits pour votre employeur. Plus vous contribuez à générer des profits et plus vous serez en mesure de demander un salaire élevé. Votre salaire est donc directement dépendant de votre productivité. Plus vous êtes performant dans votre travail et plus vous générez de profits.

    Revenons à notre SMIC. Si le salaire est directement dépendant de votre productivité, définir un salaire minimum revient à définir un niveau de productivité minimum. Or la productivité ne se définit pas par arrêté ministériel. Elle est différente en fonction des qualités de chaque être humain. Certains individus sont plus productifs que d’autres du fait de leurs talents, de leurs études, de leur façon de s’organiser etc.

    Définir un salaire minimum c’est donc interdire aux individus ayant une productivité plus faible de s’insérer sur le marché de l’emploi. Ces individus sont généralement les plus jeunes n’ayant pas eu l’occasion d’acquérir une première expérience, et qui sont donc enfermés dans une trappe à faible productivité.

    Les jeunes premières victimes

    Il était d’ailleurs surprenant qu’autant de jeunes manifestent contre la loi travail au mois de mai. Une loi qui rend le marché du travail plus souple est une loi qui facilite le recrutement des personnes les moins productives, et par conséquent, les jeunes.

    De façon plus générale, la mise en place d’un salaire minimum ne peut que créer du chômage. Si le salaire minimum est fixé à 1700€, embaucher une personne dont les capacités ne justifient qu’un salaire de 1200€ ou 1500€ revient à se transformer en œuvre de charité, pour paraphraser Milton Friedman. La charité est éminemment louable, cependant, il est tout à fait normal que les employeurs ne se transforment pas tous en organismes de bienfaisance.

    In fine, ces personnes moins productives se retrouveront donc au chômage.

    Une des dernières expériences en date nous vient des États-Unis où la ville de Seattle a décidé en avril dernier de définir un salaire minimum de $15/h. Une étude de l’Université de Washington d’août 2016 a montré que cette décision avait augmenté de 1,1 point la probabilité de rester au chômage pour les moins productifs. La conclusion de l’étude précisait également que cette loi avait augmenté le taux de chômage des employés les moins qualifiés.

    La Californie avait aussi décidé à la même période de définir un salaire minimum à $13/h. Résultat selon la Réserve Fédérale de San Francisco: " some job loss for the least-skilled workers—with possibly larger adverse effects than earlier research suggested ".

    À l’heure où le taux de chômage n’a jamais été aussi haut en France, il serait bon que nos politiques comprennent que l’enfer est souvent pavé de bonnes intentions. Sous couvert d’améliorer le sort des moins qualifiés, les décisions visant à augmenter le salaire minimum ne font qu’empirer une situation déjà tendue. " Salaire minimum " n’a jamais eu qu’un seul effet: "chômage éternel".

     

  • Ces jours-ci, il vaut mieux éviter cette expression: parle à mon cul... mais y'a des gens qui ont vraiment leur tête malade!

    Hier, sur le coloré parvis de la gare du Nord, je fus accosté par un charmant jeune homme desouche. Il avait un tract à me donner: un tract pour aller faire le guignol samedi à Paris pour soutenir Théo !

    - Viendrez soutenir Théo, qu'il me dit en me tendant son tract.

    Je le pris, le tract, pas le jeune homme, le lus et éclatais de rire. Moi, voyez-vous, un truc qui est signé du SNES-Fsu, du Cran, du Mrap, de la CGT et de SOS Racisme, ça m'éclate. Le jeune homme me demande pourquoi je ris. Je lui réponds: Non mais vous y croyez aux conneries écrites là-dessus ?: " Lorsque les agents ayant autorité outrepassent leurs droits et violent ceux des autres, ils menacent le pacte républicain. Il est temps d'y porter un coup d'arrêt, c'est l'ordre public qui est mis en cause. (...) C'est pour ça que nous appelons tous ceux qui ont à cœur les valeurs d'humanité et blablabla, vivre-ensemble  et joie de la diversité, à participer au rassemblement unitaire de solidarité et de protestations en soutien à Théo et contre les violences policières, blablabla, non au racisme ! "

    - Et le gars de me répondre: ben oui, c'est trop grave ce qui se passe [Et là, je le sentais venir gros comme une maison], la police assassine impunément, en France !

    - Ben mon colon, avoir à tout casser 25 ans et être aussi lobotomisé, c'est pas permis, lui répondis-je.

    - Ah, parce que vous vous en foutez que la police commettent des exactions ? me rétorqua-t-il.

    - C'est pas que je m'en fous, je m'en contrefous, perso, je n'ai jamais cherché de noises à la police et en retour, elle ne m'a jamais fait chier. Tu respectes les règles, tu marches droit, t'as pas de problème. Je peux vous demander où vous habitez (son allure bien mise m'interpellait)  ?

    - En quoi ça vous regarde ?

    - C'est juste pour savoir, comme ça.

    - à Marly le Roi !

     Et me voilà repartir à rire de plus belle !

    - A Marly-le-Roi, c'est sympa comme ville, j'aime bien, y a de belles fontaines, c'est vert et un restaurant extra, je ne me souviens plus du nom...

    - Ah, oui, Les Chevaux de Marly, qu'il me répond du tac au tac !

    Les Chevaux de Marly, c'est Le gastro de Marly, pas de bon repas à moins de 150 euros ! J'y suis allé une fois, il y a 4 ou 5 ans...

    - Oui, c'est ça, on y mange super bien, t'y as déjà été ? lui demandais-je.

    - Ouais, une fois ou deux, avec mes parents...

    C'est seulement là que le gars a commencé à comprendre qu'il était sur un terrain glissant...

    - Faudrait que tu demandes à tes parents d'y inviter Théo, ce serait sympa en guise de soutien, lui montrer que le monde ne s'arrête pas à Aulnay et à un coup de matraque mal ajusté, quoi !

    Le gars essaie de se ressaisir...

    - Non mais c'est pas là le problème, c'est à Aulnay, le problème, avec la police. Et le racisme, et l'antisémitisme.

    - Qu'est-ce que vient faire l'antisémitisme dans cette histoire de Théo ?

    - C'est pareil, c'est comme le racisme.

    - Au fait, lui dis-je, pourquoi  vous distribuez ça ici et pas à Marly ?

    - Parce qu'ici, y a la clientèle pour, qu'il me répond.

    Et moi de me marrer encore plus...

    - Alors me dit-il, un brin perdu, vous viendrez au rassemblement ?

    - Ben oui, si tu veux mais à une condition, c'est que d'abord on aille rendre une visite de soutien et de solidarité aux flics de Viry, tu sais ceux qui se sont fait cramer dans leur bagnole de service, t 'es ok ?

    Un blanc... si j'ose dire en ce lieu...

    - C'est pas pareil, Théo, les flics qui sont au service de l'ordre et de la population, lui ont mis une matraque dans le cul

    - Ah oui, quand même, effectivement, cépapareil... C'est  vrai, c'est pas pareil, entre une matraque dans le cul et être quasi brûlé vif, en grande partie défiguré pour l'un, le choix est vite fait, moi, je prends la matraque ! Alors, on va les voir, leur dire bonjour aux flics ?

    C'est à ce moment précis que ce jeune homme aussi charmant que con m'a sorti son arme fatale avant de faire demi-tour et de partir distribuer ses tracts à cette clientèle choisie:

    - Pauvre con !

    Et voilà, fin de la blague.  Une petite tranche de vie, moins de cinq minutes de conversation relatée de mémoire... On se marre bien sur le parvis de la gare du Nord.

    - Il y a quelques jours, un collectif d'artistes a fait paraître une tribune en Une de Libération: Soutien à Théo. Parmi ces artistes, un certain Patrick Bruel condamné récemment à 10 000 euros d'amende pour... outrages et blessures sur agent dépositaire de l'autorité. On se marre.

    - Heureusement, pour résoudre cette crise " Théo ", nous avons Thomas Guénolé, auto-désigné politologue. Celui-ci a LA solution: qu'il soit strictement interdit, sous peine de révocation, aux policiers de contrôler les personnes ne troublant pas l'ordre public. Et d'ajouter: " A cela s’ajoute une exigence extrêmement claire et répétée, venue des quartiers populaires eux-mêmes. Cette exigence, c’est la justice. Il faut que le centre-ville comprenne que la banlieue a désormais sa propre société civile." Sa propre société civile...

    Sur le parvis de la gare du Nord, ils sont des dizaines, issus de la diversité. Ils sont seul, par groupe de deux ou trois, jamais agressifs, ont tous de beaux smartphones et aucun ne trouble l'ordre public. Aucun. Par contre, pour qui ouvre l’œil, c'est une des places to be si vous voulez acheter herbe, cocaïne, crack, ecstasy et autres substances illicites, sans compter les (très) jeunes yougos qui, pour quelques euros, vous vendent leurs culs... Et pourtant, ils ne troublent pas l'ordre public... alors, autant ne pas les contrôler, n'est-ce pas?

    http://corto74.blogspot.fr/

  • Ces promesses qui n'engagent que ceux qui y croient.....

    Les belles promesses des candidats Macron et Hamon

    Bâtir un projet politique sur les promesses intenables d’une abondance obtenue sans travail est le fruit d’une irresponsabilité capable de dégénérer en médiocrité universelle au mieux, et en tyrannie larvée ou affichée au pire.

    Par Jean-Philippe Delsol. sur contrepoints.org

    La surenchère n’en finit pas. Les candidats de gauche multiplient les promesses. Benoît Hamon veut une " société désirable " qui confond le juste, boussole objective des sociétés, et le désir subjectif qui alimente les passions et les pulsions des hommes. Et partant, comme Alice, au pays des merveilles, il propose le revenu universel, jusqu’à 750€ par mois à terme pour chacun pour un coût de l’ordre de près de 400Md€ par an ! Emmanuel Macron veut offrir à tous, salariés et indépendants, " un droit universel à la mobilité professionnelle " et souhaite que les professionnels indépendants soient indemnisés en cas d’arrêt d’activité, comme le chômage pour les salariés.

    Et plus généralement, il garantit l’égalité des chances à tous et pour tout, l’antichambre de l’égalité des conditions, stade suprême des fantasmes égalitaires du socialisme aigu. Qui paiera ? Peu importe ! Cette débauche d’utopie masque les échecs cuisants de la gauche depuis cinq ans, qui sont autant d’années de régression sociale et économique. Pour faire oublier la réalité du pouvoir auquel ils ont été étroitement associés, Macron et Hamon se disputent les rêves des Français.

    Il est vrai que les candidats y sont incités de tous bords. Après que Génération Libre ait prôné le revenu universel, voici que France Stratégie imagine de doter chaque individu âgé de 18 ans d’un patrimoine minimal. Et même l’Institut Montaigne, soi-disant libéral, préconise, pour un coût de 11Md€ par an, la création d’un dispositif de droits individuels sous forme d’un " chéquier électronique " qui permettrait à chaque titulaire de se payer les formations les mieux adaptées à son cas.

    Il n’y a pas de repas gratuit

    En soi, l’idée de permettre à chacun de constituer un compte regroupant d’ailleurs non seulement des droits de tirage en matière de formation, mais l’ensemble de ses droits d’assurance maladie, maternité, retraites, chômage est intéressante. Un tel compte permettrait plus de flexibilité tout au cours de la vie professionnelle de chacun, quel que soit son statut. Chacun pourrait naviguer d’un statut de salarié à un autre de professionnel indépendant sans perdre ses acquis.

    Mais pourquoi faire croire aux gens, une fois de plus que cela peut leur être offert ? Il n’y a pas de repas gratuit. Il y a toujours quelqu’un qui le paye. Et quand on laisse l’État s’en mêler, gérer la redistribution des uns vers les autres… on peut être certain que cela coûtera plus cher, que ce sera mal administré, que le système profitera à quelques-uns au détriment des autres… La distribution de droits aux uns se fait toujours sur le dos de quelques autres.

    Toutes les politiques qui se construisent en réduisant les cotisations des uns et en attribuant de nouveaux droits à des catégories sans cesse plus nombreuses sont d’autant plus arbitraire que leur charge supportée par les assujettis est plus déconnectée de leur coût réel. Elles relèvent de la manipulation politique. À la fin, plus personne ne sait qui paye quoi au profit de qui.

    Libérer les choix individuels

    La solution n’est pas dans le renforcement des mécanismes étatiques ou para-étatiques pour prendre en charge la vie de tous. Tout au contraire, elle repose sur la libération des relations sociales et des choix individuels. La mutualisation des risques et leur gestion dans le temps existe depuis longtemps. Cela s’appelle l’assurance. Elle permet la responsabilisation des assurés et le respect de leur liberté en même temps que celle des autres.

    À l’inverse, bâtir un projet politique sur les promesses intenables d’une abondance obtenue sans travail est le fruit d’une irresponsabilité capable de dégénérer en médiocrité universelle au mieux, et en tyrannie larvée ou affichée au pire. Car l’égalitarisme qui tue l’initiative et l’incitation au travail nivelle la société par le bas jusque dans la grisaille des systèmes où ne survivent que ceux qui savent profiter de l’appareil du pouvoir, les apparatchiks.

    L’utopie est nécessairement vouée à l’infaisabilité, que le pouvoir cherche alors à surmonter en augmentant les prélèvements qui pèsent sur les producteurs jusqu’à épuisement, en même temps qu’il explique ses insuccès par la dénonciation de boucs émissaires condamnés pour les crimes improuvés de sabotage des illusions perdues comme autant de mirages évaporés sans fin.

    Puissent les Français écouter la voix de la raison plutôt que les sirènes qui les incitent à revêtir la tunique empoisonnée de Nessus.