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france - Page 74

  • C'est un complot, un coup d'état: Fillon a raison!

    9 juristes quand même!

    Les termes de « coup D’État institutionnel » définissent parfaitement les manœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle.

    Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale qui était d’avance vouée à l’échec.

    Le candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes lors de primaires irréprochables. Il fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi. L’allégation d’un « détournement de fonds publics » est contraire aux termes du code pénal et incompatible avec les principes constitutionnels.

    Contraire aux termes du Code pénal d’abord : le texte qui définit ce délit, l’article 432-15, ne vise, comme auteurs possibles de celui-ci, qu’une « personne dépositaire de l’autorité publique » ou « chargée d’une mission de service public », qu’un « comptable public » ou un « dépositaire public », qualités que n’a évidemment pas un parlementaire.

    Au surplus, il est plus que douteux que les sommes versées à un parlementaire pour organiser son travail de participation au pouvoir législatif et au contrôle du pouvoir exécutif puissent être qualifiés de fonds publics.

    Contraire aux principes constitutionnels ensuite : à celui de la séparation des pouvoirs, seul garant du caractère démocratique des institutions et obstacle à la tyrannie. L’indépendance dont dispose le parlementaire, y compris dans la gestion de ses crédits destinés à rémunérer ses collaborateurs, n’est pas un simple caprice. C’est le préalable nécessaire à l’une de ses missions constitutionnelles qu’est le contrôle de l’exécutif. Pour préserver le principe de séparation des pouvoirs, les assemblées disposent comme elles l’entendent, de leurs crédits de fonctionnement. Incriminer l’emploi discrétionnaire de ces dotations serait s’en prendre à l’exercice de la fonction d’un parlementaire, s’attaquer par là-même au principe constitutionnel de l’indépendance des assemblées parlementaires, corollaire de la séparation des pouvoirs.Pour l’exécutif, prétendre contrôler l’utilisation des dotations d’un parlementaire au moyen d’une procédure pénale enfreint donc ce principe.

    Dans le cas de François Fillon, l’atteinte à la Constitution est d’autant plus grave que la procédure pénale est engagée illégalement. En admettant qu’il y ait eu violation du règlement d’une assemblée parlementaire, une enquête n’aurait pu être menée que par le bureau de l’assemblée en cause. C’est bien d’ailleurs la procédure qu’a retenue le Parlement européen pour sanctionner une candidate à l’élection présidentielle française.

    A plus forte raison le pouvoir ne pouvait-il laisser le parquet national financier (PNF) se saisir d’une telle enquête (ou l’y inciter). Il saute aux yeux que les faits allégués contre le candidat n’entrent pas dans les chefs de compétence énumérés par l’article 705 du code de procédure pénale (loi du 6 décembre 2013) de ce ministère public : non seulement ces faits ne répondent à la définition d’aucune des infractions mentionnées dans ces chefs de compétence, mais encore nul ne saurait prétendre sérieusement qu’ils présentent « une grande complexité », au sens dudit article.

    C’est encore au prix d’une double erreur que le président de la République se retranche derrière l’indépendance de la justice. D’abord, les officiers du ministère public ne sont pas « la justice », la Cour européenne des droits de l’homme leur dénie l’appartenance à l’autorité judiciaire. Ensuite, ils ne sont pas statutairement indépendants du gouvernement, mais subordonnés au ministre de la justice.

    Il y a pire.Le bras armé du pouvoir,en l’espèce, est ce parquet national financier.Il est un organe d’exception au sens technique du terme, d’un organe à compétence dérogatoire au droit commun, limitativement définie.  Faut-il rappeler sa genèse, à savoir le refus du pouvoir de se conformer au fonctionnement régulier du ministère public, faute d’avoir réussi à museler un procureur général de la Cour de Paris trop indocile à ses yeux(il est loin le temps où les tenants de ce pouvoir socialiste remettaient en cause le caractère exceptionnel de certaines juridictions, comme les cours d’assises spéciales en matière de terrorisme, sans parler de la Cour de sûreté de l’Etat).

    Dès le début de l’enquête visant François Fillon, le parquet national financier s’est comme ingénié à justifier la suspicion légitimement née de cette origine : la précipitation avec laquelle l’enquête a été ouverte, sans même le respect d’un délai suffisant pour lire à tête reposée le Canard enchaîné laisse perplexe ; surtout, la publication dans Le Monde par deux « journalistes » familiers du président de la République, de son secrétaire général etc., des procès-verbaux de l’enquête à peine sont-ils clos, au mépris de secret de l’enquête, démontre irréfutablement une collusion entre les officiers du ministère public ou leurs délégataires et ces « investigateurs ». Le même journal combat d’ailleurs les moyens de défense constitutionnels invoqués par la défense de François Fillon en faisant appel à un civiliste…

    Dans leur acharnement, ceux qui ont ourdi cette machination ont pourtant négligé ou sous-estimé un risque : celui d’une action engagée contre l’Etat, en application de l’article L.141-1 du Code de l’organisation judiciaire, en réparation du dommage causé par le fonctionnement défectueux du service public de la justice au cas de faute lourde. En effet, il ne se discute pas que la violation du secret de l’enquête ou de l’instruction en matière pénale constitue un fonctionnement défectueux du service public de la justice et que le rôle actif ou passif du parquet dans cette violation caractérise une faute lourde.

    Il reste que la tentative de déstabilisation et de disqualification du candidat de la droite et du centre à l’élection présidentielle est sans précédent par sa violence et par l’implication ouverte de l’Etat.

    Sans doute dans le passé d’autres candidats ont-ils été visés par des attaques venant pour la plupart des mêmes journaux : affaire Markovic, diamants de Bokassa, affaire Clearstream. Mais jamais le pouvoir en place n’avait orchestré la campagne avec une pareille impudence.

    Au-delà du seul piétinement de la présomption d’innocence, principe dont s’enivrent constamment les zélateurs de l’actuel pouvoir, pour refuser d’endiguer la délinquance ordinaire, ce sont tous les principes essentiels d’un Etat démocratique qui sont bafoués.

    Au-delà de la défense du candidat François Fillon, aucun juriste ne peut cautionner ce dévoiement voulu et partisan des institutions, préalable à un « coup d’Etat permanent ». Ni la magistrature ni la police n’ont vocation à servir de supplétifs à un pouvoir moribond.

    C’est pourquoi les juristes signataires de cet appel entendent alerter leurs compatriotes sur cette forfaiture et ses dangers pour la démocratie. Ce n’est pas une poignée de substituts militants trop zélés qui feront obstacle aux millions de Français qui ont déjà choisi démocratiquement François Fillon comme candidat de la droite et du centre. Nous n’acceptons pas un coup d’Etat institutionnel, au profit de l’héritier désigné par le pouvoir.

    Philippe FONTANA 
    Avocat au barreau de Paris

    André DECOCQ 
    Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

    Geoffroy de VRIES 
    Avocat au barreau de Paris

    Yves MAYAUD 
    Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

    Serge GUINCHARD 
    Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas, ancien recteur

    Pauline CORLAY 
    Professeur agrégé des facultés de droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation

    Guillaume DRAGO 
    Professeur à l’Université Panthéon-Assas Paris II

    Guillaume MASSE 
    Avocat au barreau de Paris

    Jean-Luc ELHOUEISS 
    Avocat au barreau de Paris, Maître de conférences

    Georges BONET 
    Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

    Raymonde VATINET 
    Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

    Anne-Marie LE POURHIET 
    Professeur de droit public à l'université Rennes-I

    Bernard de FROMENT 
    Avocat au barreau de Paris

    1 commentaire lu sur la page

    Nous ne sommes plus en démocratie. Le pouvoir détourné le fonctionnement normal des institutions avec l'aide très active de la justice et des médias. Est il possible que ce coup de force soit couronné de succès. Je crains hélas que oui. La droite est totalement inaudible, pétrifiée, culpabilisée, déjà victime consentante. Et nous allons en reprendre pour 5 ans de socialisme !!!! Pourquoi les médias et la droite ne rappellent ils pas la fille cachée de Miterrand aux frais du contribuable, et le coiffeur de Hollande et la non déclaration du couple Hollande triweiler à l'ISF, et les gardes du corps de la nouvelle compagne du President et les fêtes organisées par son fils à la lanterne. Où sont donc les journalistes du monde sur ces questions. Frappés d'autisme, de cécité ? J'ai honte pour ce qu'est devenu mon pays. Une oligarchie de gauche avec des médias et une justice animés par la seule idéologie

     

  • Macron= Saint Concon

    Macron en Algérie: un crime contre la vérité

    En Marche pour caresser un certain électorat

    Bernard Domeyne  est docteur en histoire.

    En visite en Algérie, Emmanuel Macron a qualifié la présence française dans le pays (1830-1962) de "crime contre l'humanité". Une ficelle électoraliste aussi grosse que honteuse.

    "C’est un crime. C’est un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie, et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux vers lesquels nous avons commis ces gestes"

    Voici ce qu’a affirmé, en Algérie, Emmanuel Macron, candidat autoproclamé à la Présidence de la République Française, lors d’une interview au média local Echorouk News.

    Lyautey et Goering, même combat!

    Crime contre l’humanité. Si les mots ont un sens, cela veut dire que l’on met sur le même plan qu’Adolf Hitler, Joachim von Ribbentropp, Hermann Göring, Ernst Kaltenbrunner, Wilhelm Keitel, Alfred Rosenberg, les Français Jacques Cartier, Joseph-François Dupleix, Louis Antoine de Bougainville, Thomas Robert Bugeaud, et les maréchaux Joseph Simon Gallieni et Hubert Lyautey entre autres. Et bien entendu les penseurs de ce crime contre l’humanité, Colbert, Duplex, Jules Ferry et tant d’autres…

    Il conviendra donc, si l’on suit ce bel esprit, de débaptiser toutes les rues, tous les lycées Jules Ferry, les places Lyautey, les avenues Gallieni…

    Avec ces propos dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils sont navrants, on voit bien où le candidat autoproclamé veut en venir: au vote des musulmans des banlieues, bien sûr. Un électorat à caresser dans le sens du poil.

    Ces propos révèlent qui est Emmanuel Macron, que beaucoup fantasment comme un homme providentiel, au-dessus des querelles partisanes… C’est clairement un héritier de François Hollande, un socialiste qui a inspiré le quinquennat, et il sera prêt, lui aussi, à crier, " reviens, Léonarda ! " et à faire dans la contrition pour s’attirer les bonnes grâces des indigènes de la république, qui, c’est sûr, veulent beaucoup de bien à la France…

    Des crimes de guerre largement partagés

    Puisqu’il s’agit de l’Algérie, il convient toutefois de rappeler quelques vérités historiques. Que jusqu’en 1818, l’un des repaires des pirates barbaresques qui infestaient la Méditerranée depuis trois siècles, était précisément le port d’Alger, célèbre pour son marché aux esclaves, et que deux pays occidentaux, avant la France, avaient fait la guerre au Dey d’Alger pour faire cesser – outre la piraterie – ce qui était, précisément, un crime contre l’humanité, l’esclavage subi par les chrétiens et les chrétiennes. Les États-Unis, on le sait peu, ont fait la guerre aux barbaresques de 1801 à 1805, puis à nouveau en 1815 ; les Anglais en 1818, toujours pour libérer les esclaves chrétiens.

    J’ai grandi sous la présidence du Général de Gaulle. J’ai 59 ans. Je ne suis pas d’origine pied-noir. Alors que les armateurs nantais et bordelais s’enrichissaient dans le commerce triangulaire, mes aïeux crevaient de faim dans les Hautes-Alpes. Je ne me sens, contrairement à Emmanuel Macron, en tant que Français, coupable de rien, de rien du tout, et je n’ai d’excuses à faire à personne.

    Jacques Cartier, Bougainville, Lyautey… Le père Bugeaud et sa casquette… Tous ces héros ont peuplé mon enfance. Car jamais personne ne pourra me faire avaler – car il s’agit bien de cela – que ces héros, dont certains, je pense à Gallieni et Lyautey, ont sauvé la France et son empire durant la Guerre de 1914-18, sont des criminels contre l’humanité. Jamais leur image de pourra être associée aux bouchers des camps d’Auschwitz et de Treblinka.

    Une ambition pour la France?

    Je ne suis pas en train de dire que la France n’a rien à se reprocher. Notre pays n’a pas su mener la décolonisation, celle de l’Indochine, celle de l’Algérie. Des crimes de guerre ont été commis. Mais ces crimes de guerre ont été largement partagés : le Viet-Minh et le FLN aussi ont du sang sur les mains, du sang français, comme l’armée française a sur les siennes du sang vietnamien et algérien.

    C’était il y a longtemps. Les sujets, les enjeux, désormais, sont ailleurs. Il serait peut-être temps d’en parler.

     Il paraît que M. Macron serait un philosophe. Qu’il serait un littéraire. En tout cas, ce n’est sûrement pas un historien.

     Pour qu’Emmanuel Macron devienne Président de la République, il faudrait qu’à côté de l’ambition et du sens des affaires qu’on apprend à l’École Nationale d’Administration, il ait aussi de l’ambition pour la France ; une vision.

     Cela s’appelle le sens de l’histoire.

    http://www.causeur.fr/macron-algerie-crime-humanite-colonisation-42701.html

  • Plus dure est la chute!

    … ceux qui financent ce crétin vont pouvoir sortir leurs mouchoirs!

    L’ÉDITO D’YVES DE KERDREL

    Valeurs Actuelles

    Quand Macron trébuche. En l’espace de dix jours Emmanuel Macron est le seul des candidats à l’élection présidentielle à avoir vu ses intentions de vote chuter, selon le sondage OpinionWay publié chaque jour à midi par les Échos. Il a perdu plus de 3 points et se retrouve désormais à égalité avec François Fillon, qui n’a pas vraiment pu faire campagne au cours de cette même période.

    Et ce sondage ne tient pas compte encore complètement de sa bourde monstrueuse sur la colonisation française en Algérie comparée à un " crime contre l’humanité " ou de son clin d’œil grossier aux anti-“mariage pour tous” dont il dit comprendre l’humiliation, après avoir annoncé son intention de légaliser la PMA pour les couples de femmes. Après avoir dit, dimanche dernier, que la politique, c’est mystique et que c’est une erreur de croire qu’une campagne doit reposer sur un programme, le ludion Macron se retrouve pris au piège de toutes ses ambiguïtés. Et le glissement observé ces derniers jours annonce le dégonflement d’une bulle.

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    La phrase du jour

    “ En 1960, 38 % des garçons musulmans et 23 % des filles fréquentaient l’école, pourcentage qui était supérieur à Alger où 75 % des garçons musulmans et 50 % des filles étaient scolarisés, Européens et Arabes étant mêlés sur les bancs des écoles au moment où, dans maints États américains, la ségrégation sévissait encore entre Blancs et Noirs. Peut-être l’ancien ministre faisait-il encore allusion à la médecine coloniale. L’École de médecine d’Alger a été fondée moins de trente ans après la conquête. En 1860, le taux de mortalité infantile pouvait atteindre les 30 % dans la population algérienne. En 1954, il sera descendu à 13 %, pourcentage certes trop élevé, mais qui témoignait quand même d’un progrès. C’est à Constantine, en 1860, qu’Alphonse Laveran a identifié l’agent du paludisme, ce qui lui vaudra le prix Nobel de médecine en 1907. À l’école ou à l’hôpital, où était le crime contre l’humanité dans l’Algérie française?”.

    L’historien Jean Sévilla, au sujet des propos d’Emmanuel Macron sur la colonisation, dans le Figaro.

    5 millions d'habitants dans TOUT le Sahel en 1830: combien d'habitants aujourd'hui? Je trouve que ce peuple génocidé à repris du poil de la bête en peu de temps!

     

     

  • Au lendemain de son élection, le président de la République doit IMPERATIVEMENT

    Interdire aux centrales syndicales de faire des manifs politisées….

    … supprimer la Loi Pléven qui permet a toutes les assoc de merde de mettre au tribunal ceux qui disent la vérité...

    … et, SURTOUT, ne plus subventionner avec l'argent de nos impôts toutes ces racailles droits-de-l'hommiste et saint dika-liste: bande de jaloux au Qi de betterave!

    Pierre Gattaz relaxé après avoir traité les militants CGT de "terroristes" et de "voyous"

    Les propos de Pierre Gattaz remontent à fin mai, alors que les mobilisations contre la loi El Khomri entamaient leur quatrième mois, accompagnées de nombreuses dégradations. Dans un entretien accordé au Monde, le président du Medef avait ainsi dénoncé la " conception du dialogue social "de la CGT qui recourt selon lui" au chantage, aux violences, à l’intimidation, à la terreur". Il avait également critiqué ces " minorités qui se comportent un peu comme des voyous, comme des terroristes". Poursuivi par la CGT pour ces propos (elle lui réclamait 10 000 euros de dommages et intérêts), Pierre Gattaz a finalement été relaxé de diffamation par le tribunal correctionnel de Bobigny qui a estimé que ces derniers n’étaient " pas suffisamment précis pour constituer une diffamation".

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    Des rassemblements sous haute tension

    Les rassemblements et manifestations après l’interpellation violente de Théo à Aulnay-sous-Bois il y a deux semaines se multiplient, souvent dans la violence. Hier à Bobigny, près de 200 jeunes étaient réunis devant la gare routière et à proximité du tribunal pour un rassemblement non déclaré en préfecture. Les forces de l’ordre ont dû les disperser avec des tirs de grenades lacrymogènes. " Plusieurs voitures ont été vandalisées au cours d’une incroyable scène de poursuite à pied dans les rues entre les policiers et un groupe d’adolescents. La course s’est terminée à Drancy ", rapporte le Parisien. La manifestation de " soutien à Théo " samedi dernier à Bobigny avait dégénéré et débouché sur de multiples dégradations et 37 interpellations en Seine-Saint-Denis. Plusieurs associations dont SOS Racisme, la CGT, la FSU, le Cran, le Mrap et la Ligue des droits de l’homme ont appelé à un rassemblement contre " les violences policières " demain à 15 heures place de la République à Paris. " Les faits qui se sont produits à Aulnay-sous-Bois sont graves. Le déni par les autorités policières, les déclarations racistes qui en ont suivi [sic] sont inacceptables […] Nous appelons […] à organiser des rassemblements largement unitaires de solidarité et de protestations le samedi 18 février en soutien à Théo, contre des dérives policières auxquelles il faut porter un coup d’arrêt. Nous appelons le gouvernement à prendre la mesure de la gravité des événements et à prendre en compte les propositions portées par la société civile en matière de lutte contre le racisme et de sécurité publique ", expliquent ces organisations dans un communiqué. Les policiers craignent de leur côté que ce rassemblement soit phagocyté par quelques casseurs, militants d’extrême gauche et jeunes de cités voulant avant tout en découdre.

     

  • L'impression de déjà vu -3

    Cependant, la fatigue, l’état de stress ou d’anxiété jouent indéniablement un rôle important dans le déclenchement du déjà-vu. De nombreux auteurs (Siomopoulos, 1972; Yager, 1989 parmi les études les plus récentes [2]) rapportent que la fréquence des phénomènes augmente chez les sujets en état de grande fatigue ou après une période de stress. En ce qui concerne les sujets souffrant d’une pathologie cérébrale, aucun lien particulier entre le déjà-vu et la schizophrénie n’a pu être établi.

    La suite dans mon blog:

    http://www.josyanejoyce.com/blog/index.html

  • Toute ma tristesse…

    pour les anciens combattants de la France qui ont servi avec honneur le drapeau Français

    pour leurs morts,

    pour leur famille

    pour leurs amis

    pour leurs alliés

    de les voir comparés aux génocidaires khmers rouges et aux assassins du communisme qui a fait plus de 130 millions de morts en 90 ans

     

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    JE DEMANDE QU'UNE PÉTITION SOIT MISE EN ROUTE POUR RETIRER LA NATIONALITÉ FRANÇAISE A MACRON qui ne mérite pas qu'on lui donne son prénom !