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france - Page 78

  • La gauchiasse n'a que ce mec à nous proposer? IL EST TOTALEMENT FOU!

    Benoît Hamon

    “Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique“.

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    C’est devenu une habitude de la fachosphère : renommer un candidat à la présidentielle dans le but de dénoncer sa proximité présumée avec l’islam radical. Après Alain Juppé, devenu Ali Juppé sur le clavier ce certains internautes, c’est au tour de Benoît Hamon d’en faire les frais. Mercredi soir après le débat qui l’a opposé à Manuel Valls, le candidat est revenu face à ses sympathisants sur cette polémique avec légèreté : " Je tiens à dire à ceux qui ont la haine dans le bide et dans la tête que Bilal est un très beau prénom ", a-t-il déclaré. L’ancien ministre de l’Éducation a ensuite évoqué l’histoire de Bilal, " le premier muezzin du prophète " Mahomet, suscitant les applaudissements de ses sympathisants.

    " Benoît Hamon est en résonance avec une frange islamo-gauchiste et fait un appel du pied électoral. C’est une stratégie d’attrape-tout. Pour obtenir un vote, tout est valable. C’est le pire des discours possibles, un discours de faiblesse. Autour de lui, il y a un certain nombre de gens, comme Pascal Cherki [porte-parole de Benoît Hamon], qui vont encore plus loin et ont soutenu par exemple une réunion qui était interdite aux blancs ", ajoutait à 20 minutes Malek Boutih, soutien de Manuel Valls. " C’est une injure ", a simplement réagi jeudi Benoît Hamon, assurant que ces " paroles blessantes " étaient " parfaitement injustifiées ".

    Le JDD

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    Face à l'islamisme et au communautarisme, enquête à Trappes sur le vrai Benoît Hamon

    Le candidat à la primaire de la gauche utilise son fief électoral des Yvelines comme un laboratoire politique. Ses adversaires l'accusent de mollesse à l'endroit de l'islam intégriste. Il s'en défend. Enquête.

    http://www.marianne.net

     

  • Désolée: je suis occupée à faire une autre boutique...

    cela prend du temps....

    Et elle vendra quoi?

    Des box.....

    Des boîtes avec des tas d'articles: sexy, cuisine, déco, pour Mardi-Gras, Noël, pour s'habiller....

    A bientôt donc pour vous donner l'URL....

    De moi-même....

     

  • Encore une folle de gauchiasse!

    Bientôt des seringues en prison pour permette aux détenus de se droguer… en toute sécurité, au nom de la lutte contre le sida!

    C’est la dernière folie laxiste de Marisol Touraine, du ministère de la Santé, qui de santé s’occupe de tuer, et du ministère de la Justice, qui contrevient à la loi, la consommation de drogue étant normalement interdite!

    Seringues propres, stupéfiants autorisés et surveillance des médecins pour permettre aux toxicomanes emprisonnés de se droguer en toute impunité sont au menu de la réforme socialiste de la Santé.

    L’article 26 du projet de loi stipule par ailleurs la possibilité pour certains détenus, dans certaines conditions, d’utiliser les seringues fournies en détention dans leur propre cellule. “Une menace de plus“, estiment les surveillants, car ces seringues peuvent constituer des armes redoutables. D’autant plus si elles sont contaminées par le virus du Sida!

    Décidément l’engeance socialiste au pouvoir s’adonne à la culture de mort à haute dose! Vivement son euthanasie par piqûre électorale…

  • Peillon: le salopard!

    Vincent Peillon: " le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam!"

    "Pour se rendre compte de l’attitude servile de cette gauche, on peut se référer aux propos de Vincent Peillon où sa férocité contre le catholicisme, n’avait d’égale que sa servilité envers l’islam. Ces propos montrent une soumission devant l’islam, doublée d’une véritable haine du catholicisme et du christianisme en général.

    Vincent Peillon: "On ne pourra jamais construire un  pays de liberté avec le Catholicisme". Il faut instaurer une nouvelle religion républicaine !"

    […]

    ""Ce qui manque au socialisme pour s’accomplir comme la pensée des temps nouveaux, c’est une religion nouvelle: donc un nouveau dogme, un nouveau régime, un nouveau culte doivent surgir, afin qu’une nouvelle société prenne la place de l’ancienne. "

    Et il continue: "toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Église. Non pas seulement l’Église catholique, mais toute Église et toute orthodoxie."

    Pour lui: "cette nouvelle religion est nécessaire pour  conquérir l’espace laissé par la Révolution française à l’Eglise, dans le domaine de la foi et de la spiritualité, pour assurer " la victoire finale" de la révolution. Et cette révolution spirituelle, qui doit accompagner la révolution matérielle, c’est la laïcité. C’est pour cela qu’on a pu parler de foi laïque, de religion laïque … ""

    Lire l'article (datant du 3 septembre):

    http://ripostelaique.com/vincent-peillon-le-catholicisme-est-incompatible-avec-la-liberte-contrairement-a-lislam.html

     

  • Comment les Français sont tirés vers le bas

    La France va mal. Ses élites sont décriées, vilipendées, honnies. Les Français ne font plus confiance à ceux qui sont censés les représenter. Le divorce est consommé et la colère qui monte depuis plus de quatre ans est alimentée – souvent bien inconsciemment – par le système lui-même. Les leçons de morale pleuvent et sont données par des personnages qui n’ont pas grand-chose de recommandable. Radio, télévision, presse écrite, tous les moyens traditionnels de communication donnent le sentiment que la bêtise et la médiocrité sont deux valeurs cardinales dans notre pays qui est détruit méthodiquement.

    Mai 2012. François Hollande est élu président de la République. Celui qui ne peut revendiquer aucun héritage politique mis à part d’avoir géré la boutique socialiste pendant une décennie devient la figure la plus importante du pays. " Flamby " comme l’appelait alors Laurent Fabius occupe le Palais de l’Elysée sans trop savoir quoi faire d’un pouvoir qui lui est tombé dessus à la suite d’événements aussi imprévisibles que la sordide affaire strauss-khanienne du Sofitel new-yorkais. Un quinquennat catastrophique plus tard, Hollande sort par la lucarne, mais aura laissé des marques terribles au pays. Les marques du mensonge, de l’infamie, des politiques brutales comme l’imposition du mariage pour tous et celle de l’absence de politique à de bien trop nombreuses reprises ont fait mal, mais l’expérience la plus terrible peut-être est celle de l’exemple.

    Rien ne sert de réussir, tout est dans la médiocrité

    Figure ultra-exposée, le président de la République se doit d’être un exemple. L’exemplarité avait d’ailleurs été érigée en vertu lors de la campagne présidentielle de 2012 avec en point d’orgue l’anaphore " Moi président " dont reste très fier Hollande selon les auteurs du livre Un président ne devrait pas dire ça. Sauf que le parcours et l’action du futur ex-chef de l’Etat n’ont rien d’exemplaire. Pire, cela est tellement évident que les Français se sont rapidement détournés de celui qu’ils avaient élu. Prenant conscience qu’ils avaient porté un ectoplasme à la présidence, ils ont aussi vu chaque jour depuis mai 2012 que la médiocrité n’est pas forcément un handicap, bien au contraire.

    Un président portant le ridicule en étendard secondé par plusieurs équipes gouvernementales fondées sur les rapports de force politiciens et non pas construites en fonction des mérites individuelles. La chose n’a certes pas débuté sous Hollande, mais elle a été érigée en art de vivre et de gouverner. Le défilé des mauvais, des jaloux, des bras cassés et des petits esprits vils n’a pas cessé avec comme cerise sur le gâteau la bien inutile et éphémère nomination de Le Roux au ministère de l’Intérieur. Spectacle pathétique qui montre que rien ne sert de mener une vie saine et ambitieuse (humainement). Les contre-modèles ont pris le pouvoir et la vertu n’a pas sa place en haut de la pyramide.

    Vive le fric!

    L’idée d’attribuer un revenu universel dès le premier jour de sa naissance participe de l’envie sauvage de défaire ce qui fait un pays et un individu. Certains bateleurs de la primaire socialiste prétendent que le fait de vivre donne un droit (sacré) perçu sous forme sonnante et trébuchante. La vie est-elle à ce point si insupportable que l’Etat doit s’excuser en donnant une compensation financière mensuelle? Outre l’impossibilité comptable de recourir à une telle mesure, il est temps de se questionner l’idéologie qui sous-tend ce caprice socialiste.

    Être payé pour vivre? Ou être payé pour continuer à vivre dominé par une caste de médiocres aussi ambitieux que sans-scrupules? Les socialistes ont peut-être trouvé l’ultime pirouette pour continuer leur manège. On paie tout le monde à commencer par les gueux, les racailles, les décrochés scolaires, etc… pour s’acheter une paix sociale factice et continuer à dominer une populace qui décidément ne vote plus comme elle devrait (Grèce, Brexit, Trump, etc.).

    Dans un monde où l’argent n’a plus de prix et où la planche à billets a remplacé l’huile de coude, pourquoi ne pas payer pour que nous autres manants la fermions bien?! L’argent n’est pas un problème. La télévision en est un triste exemple avec les innombrables "journalistes", présentateurs et chroniqueurs qui sont rémunérés des fortunes pour raconter n’importe quoi et abrutir le quidam. La révélation du traitement dont bénéficie Stéphane Guillon pour faire le bouffon cinq minutes par semaine a choqué. 10 000 euros? Allez, banco mon gars! Mais Guillon n’est pas le seul. Son collègue du service public, Laurent Ruquier, gagne la même somme à chaque émission qu’il présente. Il invite ses potes ou les artistes qu’il aime, en laisse quelques uns en pâture à ses deux chroniqueurs payés 1 500 euros par pige et hop, on rentre à la maison. L’exercice de style est facile et très rémunérateur. Comme pour les hommes politiques, les Français sont abreuvés de médiocrité à la télévision et dans les autres médias et savent désormais qu’elle se rémunère à prix d’or.

    On flatte le Français, pris sans cesse pour un gogo et on s’interroge sur la qualité du travail dans les entreprises et les services publics. Comment expliquer aux jeunes générations que le travail est une valeur positive quand ce sont les mauvais qui sont promus juste pour les dégager au plus vite du service où leur (absence de) travail est un boulet bien lourd. Nul en Corrèze? Allez, direction le PS! Nul au PS? Allez, direction l’Elysée! Nul à l’Elysée? Direction l’Union européenne? Ça ne vous rappelle personne?

    24heuresactu.com

  • Catastrophique!

    L’islamisation galopante de la police française

    Soumise à rude épreuve depuis les attentats de Charlie Hebdo il y a deux ans, la police est entrée dans une spirale infernale. Non, pas celle de l’extrême-droitisation dont nous parlent sans cesse les médias friands de rentrer dans le jeu de la gauche écervelée, mais celle de l’islamisme radical qui gangrène de nombreux services de police. A en croire l’ouvrage “Où sont passés nos espions“? qui vient de paraître et qui s’appuie sur une note en date du 9 novembre 2015 de la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP), dix-sept policiers travaillant dans l’agglomération parisienne se sont radicalisés.

    Dix-sept. Ce chiffre laisse pantois. Comment des agents de police censés protéger les citoyens peuvent-ils être sujets au lavage de cerveau made in Daech? Sauveurs de la veuve et de l’orphelin le jour et amateurs de vidéos de décapitation la nuit? La réalité est bien plus inquiétante encore puisque ces policiers convaincus que la justice se trouve dans la charia et le massacre des non-musulmans sont de plus en plus nombreux et ne cachent pas leur haine contre la France et nos valeurs. Les dix-sept policiers sont en fait des centaines et nourrissent leur haine chaque jour un peu plus jusqu’au jour où ils se décideront à nous frapper.

    Fermer les yeux et mourir

    Il suffit de passer quelques jours dans une unité pour comprendre que l’islamisme radical est un problème particulièrement inquiétant. La hiérarchie, confrontée quotidiennement à ce problème ne fait aucune vague de peur d’être débarquée pour racisme et mal-pensance. Car au-dessus, les politiques veillent au grain et font tout leur possible pour qu’aucune information ne filtre à ce sujet. Les élites ferment les yeux et participent pleinement à la mise à mort de la France à travers l’islamisation bien réelle de la police.

    Entre un agent obsédé par les chants religieux lors de ses patrouilles et une fliquette qui a honte d’être dans la police et qui appelle à la mise à mort des politiques, la police française prend les airs de milice islamique.

    Une autre policière auteure de graves propos tenus sur les réseaux sociaux a été écartée et mise en arrêt maladie! Non contente de vouloir soumettre la France à ses desseins islamiques, elle est payée par nos impôts à préparer chez elle une attaque!

    Lorsqu’on en arrive à de telles aberrations, la question de la fin de notre civilisation se pose avec acuité.

    Régulièrement et dans la plus grande discrétion, des policiers qui ne sont que des terroristes en puissance sont écartés de leur service, mais on écope une partie infime et le bateau coule très rapidement. Seule une prise de conscience rapide et radicale pourra faire émerger un espoir de changement. Mais cette prise de conscience n’a-t-elle pas pu avoir lieu après les attentats de Paris, de Nice, de Saint-Etienne-du-Rouvray, Magnanville, etc…? Apparemment non, les politiciens n’ont tiré aucun enseignement et attendent benoitement le prochain drame et espérant qu’ils ne seront pas désignés à la vindicte publique.

    Mais où trouver l’homme politique qui prendra les mesures qui s’imposent ? A gauche, le combat est déjà perdu avec un Valls coupable (ministre de l’Intérieur puis Premier ministre), et des dangers comme Peillon et Hamon qui ne trouvent rien à redire à la situation religieuse et sociale dans le pays.

    Fillon? L’inflexion pourrait arriver mais sera trop faible pour changer le fond du problème. Alors Le Pen? De Le Pen, aucun salut n’est à attendre car dans sa volonté de se “normaliser“ elle est prête à faire part d’un pseudo “sentiment de malaise“ quand le candidat Républicain affirme être catholique.

    Malaise il y a. Celui d’être considéré comme un paria dès lors qu’on est catholique. Celui de voir une police et un pays s’enfoncer dans l’islamisme radical sans que personne n’ose même le dénoncer.

    Source : 24heuresactu