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france - Page 90

  • Gros menteur!!!! bon à enfermer....

    Les 10 (plus ou moins) gros mensonges de Hollande

    Lors de son interview jeudi à l'hebdomadaire de gauche, le président a présenté un bilan économique et social des quatre premières années du quinquennat gonflé à l'hélium, multipliant les inexactitudes, les erreurs, les omissions et les contre-vérités. Démonstration.

    On n'est jamais mieux servi que par soi-même, dit l'adage. François Hollande ne le sait que trop. C'est pourquoi il a décidé de faire lui-même le bilan économique et social des quatre premières années de son quinquennat, lors du long entretien qu'il a accordé cette semaine à L'Obs et intitulé "Je suis prêt". Dans les premières pages, le chef de l'État revient sur tout un tas de sujet (retraite, santé, déficit, chômage...). Et, le moins que l'on puisse dire, c'est que plus c'est gros plus ça passe. Le président de la République déroule un argumentaire -des éléments de langage, comme on dit- bourré d'approximations, d'inexactitudes, d'omissions et même de contre-vérités, pour ne pas dire mensonges pour mieux enjoliver son bilan. Et ce, sans être contredit. La preuve par 10 exclamations présidentielles, sur les premières pages de l'interview.

     

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    1- "La sécurité sociale est à l'équilibre" (page 35)

    Ici, François Hollande reprend le discours ambiant depuis 15 jours selon lequel, dixit Marisol Touraine, sa ministre des Affaires sociales depuis le début du quinquennat, "la gauche a sauvé la Sécu" après avoir fait disparaître, au prix "de réformes de structure, parfois difficiles", les déficits abyssaux hérités par la droite. La réalité est un peu plus complexe. Les malades le savent d'ailleurs bien: être en rémission ne veut pas pour autant dire que l'on est guéri. Si l'on ne peut contester le redressement des comptes sociaux (le gouvernement vend à l'opinion un déficit du régime général de 400 millions en 2017), il est en revanche plus hasardeux de considérer que tous les problèmes sont réglés. D'abord, le rétablissement des comptes a été rendu possible au prix d'un certain nombre d'artifices comptables. Ainsi, comme le dénonce la Cour des comptes, 700 millions d'euros de rentrée exceptionnelle de CSG ont été enregistrés à tort en 2016 dans les recettes de l'Assurance maladie. Pis, le déficit de la branche retraite a été siphonné pour alimenter celui du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) -qui finance le minimum vieillesse ou les cotisations retraite des chômeurs- dont le trou dépasse, bon an mal an, les 4 milliards d'euros. Quant aux dépenses de santé, le comité d'alerte chargé d'informer le gouvernement en cas de risque de dérapage vient de tirer la sonnette d'alarme.

    2- "Le déficit public sera inférieur à 3% de la production nationale" (page 35)

    Là encore, le chef de l'État confond désir (la prévision du gouvernement pour 2017) et réalité (ce que sera le déficit en exécution). Car tout le monde, à commencer par le Haut conseil aux finances publiques (HCFP), l'organisme indépendant chargé d'examiner la véracité des prévisions gouvernementales et présidé par Didier Migaud, le premier président de la Cour des comptes, juge bidonné l'objectif affiché par l'exécutif dans le budget 2017. Un déficit inférieur à 3%? "Improbable" et "incertain", juge ainsi le HCFP. L'hypothèse de 1,5% de croissance arrêtée? "Un peu élevée au regard des informations connues à ce jour", ajoute-t-il. La prévision de 1,6 milliard d'économies dans l'assurance-chômage? "Irréaliste", tranche-t-il, n'osant pas aller jusqu'à qualifier le PLF2017 d'insincère, qualificatif que seul le conseil constitutionnel peut utiliser.

    3- "500.000 personnes qui avaient cotisé plus de 42 années sont parties à la retraite dès 60 ans et non à 62 ans" (page 36)

     C'est probablement l'un des plus gros bobards du président, qui mélange tout et fait preuve de beaucoup d'approximations. Tout d'abord, le chiffre de 500.000 ne correspond pas au nombre de bénéficiaires de l'élargissement en 2012 de la mesure des carrières longues -qui permet à des salariés ayant commencé à cotiser jeune (avant 18 ans) et disposant de tous leurs trimestres sans avoir l'âge légal de partir en retraite- de cesser leur activité. Le nombre de personnes en cessation précoce d'activité est en réalité de 260.000 en 2016, avec un pic prévu à 300.000 l'année prochaine. Non, le chiffre de 500.000 mis en avant par le chef de l'État correspond au nombre de salariés qui ont bénéficié en 2015 des premiers "points pénibilité" après l'entrée en application des quatre premiers critères d'exposition à un risque. Ensuite, il ne faut pas (encore) cotiser 42 années de cotisation pour pouvoir partir en retraite. Pour l'heure, le compteur est bloqué à 41,5 années jusqu'en 2020 et ce n'est qu'ensuite, depuis de la réforme Touraine de 2014, que la durée de cotisations nécessaire pour prétendre à une retraite à taux plein augmentera, pour atteindre 43,5 années en 2035. Enfin, l'âge légal de départ à la retraite n'est pas (encore) de 62 ans. Le relèvement de deux ans, voté en 2010, aura été progressif et on arrivera aux 62 ans en 2017.

    4- "La pénibilité est désormais intégrée dans le calcul des pensions" (page 36)

    Faux. La prise en compte de la pénibilité, votée lors de la loi Touraine de 2014, n'a aucun impact sur le montant des pensions de retraite. Les 10 critères d'exposition au risque (les 4 premiers sont entrés en vigueur le 1er janvier 2015 et les six autres le 1er juillet 2016) permettent aux salariés de cumuler les points qui ouvriront droit, à terme, à des formations -les 20 premiers points sont forcément utilisables en formation-, à des aménagements de temps de travail (temps partiels) en fin de carrière, voire à des départs anticipés. Mais nullement à une hausse de la pension. Et si intégration il y a, elle serait plutôt à la baisse car les bénéficiaires pourraient supporter une décote sur leur niveau de pension pour départ précoce.

    5- "La couverture complémentaire santé est étendue à tous les Français" (page 36)

    Là encore, le président prend ses désirs pour des réalités. La complémentaire santé a été généralisée cette année en entreprise, les employeurs devant obligatoirement proposer une couverture en interne. Mais les salariés sont encore libres de la refuser, surtout s'ils en possèdent déjà une , à titre personnel, plus avantageuse. Elle ne le sera pas non plus pour les retraités l'année prochaine, ces derniers bénéficieront de la possibilité de souscrire à des contrats seniors homologués par l'État à des tarifs préférentiels mais avec une couverture minimaliste.

    6- "Le tiers payant est mis en place" (page 36)

    C'est vrai, mais seulement à ce stade pour les femmes enceintes et les malades en ALD (affection longue durée). La généralisation du tiers payant chez les médecins, qui était l'un des points majeurs de la loi Touraine en 2015, a été de surcroît partiellement retoquée par le conseil constitutionnel pour la partie complémentaire, mais pas pour la part assurance maladie. Autant dire que la généralisation, vendue comme une grande avancée sociale du quinquennat, sera loin d'être une réalité pour tous les Français à la fin du quinquennat.

    7 - "Une politique de gauche, c'est d'avoir créé le compte personnel d'activité qui s'inscrit dans la formation tout au long de la vie" (page 36)

    Effectivement, le gouvernement a créé dans la loi Rebsamen de 2015 le compte personnel d'activité (CPA) qui doit, comme le dit le gouvernement, "préfigurer la protection sociale de demain, permettre à chacun de construire son parcours professionnel ainsi que la création d'un droit universel à la formation". Mais pour l'heure, c'est une coquille vide qui regroupe seulement quelques droits à la formation et d'engagement citoyen. Et donc très loin du "progrès social considérable" dont parle le gouvernement à tout bout de champ, même si le décret définissant les modalités d'utilisation du compte personnel de formation (CPF) pour les salariés non diplômés et les créateurs d'entreprises, lorsque le CPF sera intégré au CPA au 1er janvier 2017, a été publié ce vendredi au Journal Officiel.

    8 - "J'ai obtenu parallèlement que nous puissions repousser l'objectif de 3% de déficit à 2017 au lieu de 2013" (page 36)

    Là, le président est très précis dans la chronologie. Il justifie son reniement à renégocier le traité budgétaire en juin 2012 juste après son élection par l'ajout d'un volet croissance et investissement de 100 milliards d'euros au niveau européen et par le report concomitant de l'objectif sous la barre des 3% de déficit pour 2017. C'est inexact. François Hollande a obtenu au cours du quinquennat deux reports successifs de deux ans: le premier en 2013 pour 2015, et le second en 2015 pour 2017. Et ce, en promettant contre l'évidence jusqu'au dernier moment que son engagement européen serait tenu.

     

     

    9 - "La conclusion est qu'il fallait absolument alléger de 20 à 30 milliards d'euros les charges des entreprises" (page 38)

    Dans cette partie consacrée à la politique de compétitivité du gouvernement, lancée à partir de 2012 avec la mise en œuvre du CICE (crédit d'impôt compétitivité emploi) puis prolongée en 2014 par le pacte de responsabilité, François Hollande fait un trop rapide raccourci. Il assimile en effet le CICE à une baisse de charges alors que c'est un crédit d'impôt sur les sociétés. Si l'objectif est le même (baisser le coût du travail), le véhicule utilisé n'est pas neutre et a un impact différencié sur le budget de l'État. Une baisse de cotisation -on peut au passage noter que le président emprunte les mots de la droite: il parle de charges et non de cotisations, ce qui ne va pas manquer de faire hurler les syndicats et la gauche passéiste- en année n a des répercussions en année n, l'État étant obligé de compenser les baisses de recettes de cotisations à la Sécu. Alors qu'un crédit d'impôt s'impute en année n+1 dans les recettes de l'État. Et c'est d'ailleurs pour cette seule raison que le choix de passer par un crédit d'impôt a été arrêté en 2012. Pour que le coût (porté à 24 milliards en 2017) ne pèse pas sur les comptes en 2013, année où la France devait repasser sous la barre des 3% de déficit...

    10 - "Il avait annoncé en pleine campagne une hausse de 1,6 point de la TVA sans la mettre en œuvre" (page 38)

    Là encore, le président joue avec les faits lorsqu'il évoque la TVA sociale mise en œuvre à la fin du quinquennat précédent par Nicolas Sarkozy. S'il est vrai que cette thématique est arrivée tard et en pleine campagne électorale -elle avait été écartée en 2007 après que Jean-Louis Borloo avait vendu la mèche un peu trop tôt pendant la campagne des Législatives, provoquant la défaite d'une 50aine de candidats de droite-, elle a été votée par le Parlement au printemps 2012 pour une application à l'automne de la même année, soit après l'élection présidentielle. Et si la TVA n'a effectivement pas été mise en œuvre, c'est parce que François Hollande a défait ce que la majorité précédente avait décidé. Et ce, pour augmenter lui-même la TVA de 7 milliards au 1er janvier 2014, pour financer une partie du CICE...

     

  • Nous ne sommes pas là pour faire aimer la France aux élèves, disent des prof d'histoire!!!!

    ... il a des tas de coups de pied  au cul qui se perdent!...

    Le 4 novembre prochain est prévu à Trappes une conférence sur l’Histoire de France donnée par l’acteur Lorànt Deutsch pour les élèves de 4ème de trois collèges. Mais certains professeurs d’histoire-géographie refusent de s’y rendre.

    C’est un refus purement politique. Deux professeurs d’histoire-géographie au collège Gustave Courbet de Trappes (Yvelines) se rebellent contre la venue de Lorànt Deutsch que l’établissement impose à ses élèves de 4ème. Selon eux l’Education nationale n’a pas à faire venir l’acteur et écrivain français.

    Ils ont écrit une tribune sur leur site respirant avant tout l’engagement politique, leur texte finissant par un lien de l’interview qu’a accordé Lorànt Deutsch à Valeurs Actuelles la semaine dernière. “Au début on nous a présenté ça comme un spectacle pour éveiller le goût de l'histoire auprès des élèves. Nous avons dit que nous n'étions pas intéressés“. Déjà, ça commence bien. Quel temps perdu en effet d’éveiller le goût de l’histoire auprès des élèves!

    “Lorànt Deutsch a sûrement beaucoup de talent en tant que comédien mais ce n'est pas à l'Education nationale de le faire venir. Il y a deux missions différentes: la mission de l'Education nationale et celle de vulgarisation de Lorànt Deutsch. J'ai lu des interviews de Lorànt Deutsch dans lesquelles il dit des choses qui m'ont toujours parues assez approximatives, je n'ai rien contre son personnage. Le problème, c'est pourquoi le fait-on venir à Trappes? Pourquoi lui et pas un autre historien? Il est assez marqué sur le fait qu'il faille aimer la France à travers ses grands personnages, ses rois… Nous, c'est aux antipodes de ce que l'on fait avec les élèves. Nous ne sommes pas là pour glorifier les rois ou pour faire aimer la France à nos élèves. NDLR: bande de comiques! Lorànt Deutsch défend la politique qu'il veut à travers l'Histoire mais ce n'est pas à nous d'être mélangés à ça“.

    Le professeur continue plus loin le délire: “On nous a aussi dit que c'est très important pour l'intégration républicaine de nos élèves. On n'est plus seulement dans le fait de faire aimer l'Histoire. Je ne vois pas pourquoi il y aurait une problématique d'intégration républicaine. Nous n'avons pas besoin de Lorànt Deutsch: nos élèves sont français, ils sont intégrés et ils sont chez eux ici. (…) Ils vont dans les banlieues populaires, avec des enfants d'origine immigrée, comme par hasard on leur envoie des dits-historiens un peu marqués“.

    Sur Valeurs Actuelles

     

  • Un Président ne devrait pas dire ça? Et bien qu'il se taise!

    La bourde monumentale de François Hollande: "Il y a un problème avec l'islam"

    On savait depuis longtemps que Président-Candidat aimait papoter avec les journalistes mais tout de même!

    Avec le livre des deux pique-assiettes de l'Elysée, Davet & Lhomme, on découvre que le président de la République, le chef de la cinquième ou sixième puissance mondiale( ça dépend des jours),  celui qui fait la nique à Poutine, prend ses ordres à Washington et Bruxelles, l'homme qui "préside" aux destinées de 64 millions d'habitants, le gars qui a une p'tain de Courbe à 6 millions de chômeurs à inverser et un panier de 8 millions de précaires à soutenir, le chef des armées d'un pays en guerre contre le terrorisme, le gars qui d'un simple coup de fil envoie le Charles et ses 3 000 bonhommes au front, l'homme qui, sidéré, réalise qu'on vient de lui massacrer en un an 230 de ses concitoyens, le "chef d'Etat de l'année", celui qui doit ventiler des milliers de migrants dans nos villes et campagnes, le gars qui doit veiller à éteindre les BBQ que la racaille fait avec les flics, le garant de l'unité de la Nation, président de tous les Français et non chef d'une majorité, ...

    Ouais, ce gars là qu'on imagine avec un agenda overbooké en permanence, sollicité de toutes parts par ses pairs (et sa paire de c.......), ses sujets, ses courtisans, ses ennemis, ses amis, les syndicats, les industriels, les cultureux et les assoces en mal de fonds et autres lobbies à satisfaire...

    Ouais, ce type dont il est largement temps de se demander s'il bénéficie de toutes ses facultés mentales, notre Président, a le temps de recevoir 2 journalopes 61 fois! Il leur aura accordé soixante et un entretiens en à peine 4 ans! 61! Tantôt chez eux, tantôt à nos frais au Château, parfois à dîner ou plus simplement autour d'une table basse. Au bas mot, 122 heures d'entretien(1), peu ou prou l'équivalent d'un mois de travail pour un cheminot ou un contrôleur aérien. Sur 48 mois, il leur aura consacré, à la louche, 122 heures, deux semaines de travail pour un médecin de campagne!

    Moi qui croyais que président, c'était un job à plein temps...( Ce qui me fait penser que puisqu'il a pris sur son temps de travail pour blablater avec les plumitifs du Monde, ce bouquin devrait être offert à tous les contribuables qui en feraient la demande. Normal.)

    Voilà qui m'en touche et bouscule l'autre! 61 entretiens pour un bouquin (d'après ce qui a fuité) plein de petites saloperies sur les uns et les autres, plein de piques assassines, de putasseries, de vérités aussitôt démenties par son ex et de révélations pour certaines vénéneuses, pour d'autres sans intérêt!

    Et comment qu'il s'appelle cet ouvrage qui a mobilisé l'énergie du Président-Candidat et des deux scribouillards? " Un Président ne devrait pas dire ça... ".

    Oui, c'est clair, un Président digne de ce nom, le gars qui respecte et grandit la fonction, a d'autres chats à fouetter que de passer autant de temps à écrire le roman de sa vie dont on finit pas se foutre chaque jour un peu plus. Et le pire dans cette lamentable histoire, c'est que de l'avis quasi unanime des commentateurs habituels, ce livre est une erreur. On verra.

    En attendant, il ferait mieux de se la fermer, qu'il se taise à jamais! Parce que, à chaque fois qu'il l'ouvre, c'est pour dire des conneries à qui veut bien l'écouter. Les sans-dents, les pauvres ont fini par fermer les écoutilles depuis longtemps.

    (1) 120 minutes: temps estimé par moi-même personnellement. Entre les salamalecs de début d'entretien,  l'entretien en lui-même, les blagounettes, les dîners, le petit verre de l'amitié et les bisous à la sortie, ça doit bien faire une moyenne de deux heures par entretien. Je pense.

    Folie passagère 3314.

    http://corto74.blogspot.fr/2016/10/un-president-ne-devrait-pas-dire-ca-et.html#comment-form

    Les commentaires ne sont pas piqués des vers!

     

  • Toi, clique de la gauchiasse pourrie et obscène, occupe-toi des Français de France et cesse de nous accuser de fascisme!!!

    Toi, clique de la gauchiasse pourrie et obscène, occupe-toi des Français de France et cesse de nous accuser de fascisme!!!

    Trouville (14): ils vivent dans un camion avec leurs enfants

    Emmanuelle Guilet, Jérôme Poirier et leurs enfants vivent depuis deux ans entre chambres d’hôtel, camping et… leur camionnette, faute de pouvoir trouver un logement stable. La galère pourrait prendre fin, mardi.

    Lui enchaîne les missions d’intérim. Elle multiplie les CDD. Les enfants, Steven, 8 ans, et Mylina, 4 ans, vont à l’école comme tous les enfants de leur âge. À une différence près, leur maison est un camion, garé le long de la Touques. "Ça fait deux ans qu’on est à la rue", racontent Emmanuelle Guilet et Jérôme Poirier.

    La galère, elle commence en mai 2014. Le couple habite alors un logement " insalubre " et "dangereux" à Honfleur. "Pour protester, j’avais décidé de ne plus payer la totalité du loyer, rapporte Jérôme Poirier. Ça a été une erreur“. "On a reçu un coup de téléphone nous disant qu’on avait quinze jours pour partir", poursuit sa compagne.

    Direction Trouville. Mais avec l’équivalent d’un salaire et deux enfants, pas simple de trouver un logement dans le parc privé. "Quand on demande un studio, on nous répond que c’est trop petit pour une famille. Quand on visite un appartement plus grand, on nous dit qu’on n’a pas de CDI, pas de garant. "Difficile également d’accéder à un logement social. "Leurs ressources sont trop faibles pour qu’ils accèdent à un logement HLM", explique Christian Cardon, maire de Trouville.

     (…) Ouest France

     

  • Ho, Marie si tu savais.....

    104 églises profanées en 4 mois: et nos gouvernants parlent d’islamophobie?

    Le sitelagauchematuer.fr a relevé que, du 1erjanvier au 15 février, 45 églises ont été visitées par des infidèles indélicats. Une par jour. Cela va du tabernacle vandalisé à l’église incendiée, en passant par des tags démoniaques défigurant chœur et autel. Le site propose " un panorama de cette christianophobie ordinaire ".

    Mais il y a pire statistique encore. Sur un autre site spécialisé dans l’observation des actes de christianophobie, dirigé par Daniel Hamiche (www.christianophobie.fr), sont répertoriés l’ensemble des actes commis contre des églises, des lieux de culte, de dévotion, des écoles et des sites Internet chrétiens en France. La synthèse mensuelle de ces actes est tout simplement ahurissante ! Et totalement ignorée du gouvernement et de ses complices les médias.

    Pendant les quatre premiers mois de l’année, ce sont 170 actes qui ont été relevés par cet observatoire, dont 104 concernent des églises ! Une interruption de messe aux cris de Allahu Akbar, le caillassage de l’église de Lacanau, une sacristie incendiée, des tags anarchistes sur une église de Tours. Car ces actes christianophobes ne sont pas toujours le fait des adorateurs d’Allah mais souvent, aussi, celui de jeunes satanistes ou de cette secte des antifas, les milices armées de notre Premier ministre, qu’il ne veut surtout pas dissoudre pour entretenir un certain désordre sur notre sol. Et c’est peut-être bien là son seul bilan positif. Alors islamistes radicaux, jeunes des cités désœuvrés, antifas: tous des déséquilibrés si l’on s’en réfère aux rapports de police ou aux juges façon Taubira. Mais le gouvernement – Manuel Valls en tête – comme les médias n’ont qu’un mot au bout de leur plume: islamophobie. La christianophobie, " connais pas ". À une exception près: au lendemain de la tentative de mitraillage d’une église à Villejuif, notre Premier ministre a clôturé le débat en nous invitant à aller tous à la messe… Comme si d’un coup d’un seul, son enfance lui revenait dans le fond de sa mémoire catholique.

    Mais sur cette succession de faits gravissimes contre les signes de la catholicité et qui ne semble pas s’arrêter, peu de déclarations, aucune émotion. Même le silence de M. Cazeneuve est intolérable, tant il est loquace dès qu’il s’agit d’une mosquée. 

Le récent exemple de deux poids deux mesures est éloquent sur la mentalité de nos juges politisés à outrance: deux jeunes gens de Mâcon ont pris 30 mois de prison dont six mois ferme pour avoir tenté d’incendier une mosquée, alors que cette même justice relâchait un "jeune" qui avait lardé de 16 coups de couteau une prostituée car sa religion, a-t-il déclaré lors de son arrestation le mois dernier, ne tolère pas la location du corps.

    Les églises de petites villes comme Le Teil en Ardèche, ou Orgelet dans le Jura, comme les abbatiales, telle celle de Saint-Pierre de Moissac, ou les calvaires et les cimetières ne sont pas épargnés par ces barbares qui défendent, les uns une laïcité outrancière, les autres certains versets d’un Coran peu tolérant.

 Une situation que les autorités laissent pourrir, sans doute au nom de la laïcité, devenue en Hollandie la religion officielle.



    https://ns2017.wordpress.com

     

  • Vive les vacances!!!

    Air France: les inquiétantes tentatives de sabotage de salariés radicalisés

    La sécurité est-elle garantie sur les vols d’Air France?" Le Canard Enchaîné "de ce mercredi 5 octobre rapporte que la compagnie aérienne fait face à une multitude d’incidents en lien avec la montée de l’islamisme radical au sein de ses effectifs.

    Air France a enregistré plusieurs tentatives de sabotage sur certains de ses appareils.

    "Allah Akbar" tagué sur les trappes de remplissage de kérosène d’une quarantaine d’appareils, des toboggans d’évacuation trafiqués dans un atelier de maintenance, des annonces de sécurité programmées en arabe… La compagnie Air France fait face à une multitude d’incidents dus à la montée de l’islamisme radical au sein de ses effectifs, révèle le Canard Enchaîné ce mercredi 5 octobre. Les faits signalés n’ont fait aucune victime mais auraient pu se révéler très dangereux aussi bien pour les passagers que pour le personnel…

    En témoignent les "anomalies" constatées "à plusieurs reprises" sur certains avions dont le "moteur relais "censé contrôler les réacteurs depuis le cockpit présentait des "avaries". "Heureusement, explique le Palmipède, qu’au moment de la check list, l’alarme a fonctionné", et qu’à "chaque fois l’anomalie a été détectée“. Après enquête, le suspect identifié parmi les employés du groupe par les services de renseignement, un Français converti, aurait pris la fuite au Yémen, se sentant surveillé.

    Inquiétant, d’autant que sur le tarmac, l’individu aurait conservé " quelques amis. " Deux d’entre eux sont d’ailleurs soupçonnés d’être à l’origine d’autres dommages volontairement causés, dans un atelier de maintenance, sur des toboggans d’évacuation. Et que l’on savait déjà que des agents radicalisés ont soigneusement noyauté, depuis des années, les syndicats de l’entreprise. "La radicalisation des musulmans pratiquant un islam rigoriste date de la fin des années 2000 avec la montée du communautarisme au sein même des syndicats", expliquait ainsi à Marianne, dans une longue enquête parue en janvier dernier, Jean-Claude Chapon, délégué syndicat central CFDT.

    Air France: quand les islamistes noyautent les syndicats

    Le problème de la sécurité des sous-traitants

    La sécurité est-elle alors garantie sur les vols d’Air France? Ces divers incidents interrogent, malgré un dispositif de surveillance renforcé. Depuis le printemps, une trentaine d’agents du renseignement parisien ont en effet renforcé les équipes de la sécurité intérieure (DGSI) en poste à Roissy. Des dizaines de badges d’accès ont par ailleurs été retirés aux salariés de la plateforme aéroportuaire de Roissy, tous " passés au crible " par les services avant d’être embauché. Sur les 90.000 salariés des 900 entreprises qui gravitent autour de la compagnie, une dizaine de personnes seraient également actuellement sous surveillance.

    Problème, les ateliers des sous-traitants d’Air France ne font pas l’objet des mêmes mesures de sécurité. Ainsi en est-il du site d’Air France Industries, basé à Villeneuve-le-Roi, dans le Val-de-Marne, chargé d’inspecter la qualité de certains équipements de sécurité. Sans badges d’accès requis, aucune enquête sur le profil et le passé judiciaire des salariés n’est dilligentée. "Nos personnels comme nos clients sont en sécurité absolue", assure toutefois la direction de la compagnie aérienne au Canard Enchaîné.