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mec - Page 24

  • Tout finit par se savoir!

    La bobosphère se rend compte que, comme pour Théo, Adama et ses frères sont des délinquants…

    La diversité ne déçoit jamais. Après les mises en examen de membres de la famille de Théo Luhaka pour détournement de fonds publics, c’est le grand retour en force de l’affaire Adama Traoré dans les dossiers des juges d’instruction. Adama, souvenez-vous, c’est ce jeune délinquant mort pour s’être lui-même essoufflé dans sa tentative d’échapper à un contrôle policier, en juillet dernier. Les merdias et le PAF avaient déroulé le tapis rouge au déferlement d’amour ayant suivi l’affaire (attaque de commissariat au bus bélier, tirs de mortier et de fusil, incendies de voitures…).

    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/ce-que-l-on-sait-de-la-mort-d-un-homme-de-24-ans-lors-de-son-interpellation-a-beaumont-sur-oise_1555761.html

    Un décryptage un peu plus poussé révèle cette histoire sous un autre jour.

    http://www.valeursactuelles.com/societe/exclusif-lautre-verite-sur-laffaire-adama-traore-59738

    Au cœur de la nouvelle enquête judiciaire visant la famille Traoré: le grand frère Bagui. Déjà en cellule pour outrages et violences à l’égard de policiers municipaux, voilà qu’il se trouve en première ligne dans l’enquête concernant les tentatives d’assassinat sur les forces de l’ordre lors des émeutes.

    http://www.20minutes.fr/paris/2022075-20170228-adama-traore-frere-garde-vue-soupconne-avoir-tire-gendarmes

    Une crème, ce Bagui. Entre autres affaires judiciaires dans lesquelles il a traîné: extorsion, vol avec effraction, port d’une arme de sixième catégorie… Un parfait " grand frère " pour Adama qui affiche, lui, pas moins de dix-sept procédures à son compteur. On ignore si les Traoré sont forts en maths, mais ils ont déjà donné du fil à retordre aux statisticiens du commissariat de Beaumont-sur-Oise.

    Pour en revenir aux émeutes, la poussière déborde sérieusement du tapis et Le Parisien ne peut que constater les dégâts:

    "Douze gendarmes et un policier avaient été blessés par des tirs qui visaient le plus souvent les visages selon les éléments de l’enquête. Ils avaient été touchés malgré le port des gilets pare-balles et des casques. Signe de la violence des affrontements, un fourgon de gendarmerie, parmi ceux visés par les tirs, présentait environ 400 impacts de plombs. Trente-huit gendarmes ont déposé plainte pour tentative d’homicide".

    Quatre suspects ont déjà été mis en examen et incarcérés. Bien qu’activiste central dans ces débordements, Bagui n’est qu’un nom de plus sur la liste, probablement non exhaustive.

    Les merdias semblent avoir du mal à prendre en considération toutes les données de l’affaire. Il faut avouer que, comme avec Théo, elle prend une tournure pas très " vivre-ensemble ". Plus de tribune accordée à Assa Traoré dans Médiapart, quelle tristesse !

    Pourtant, la jeune femme a des choses à dire. Elle accuse la Justice de vouloir " étouffer l’affaire " et dénonce un " acharnement " à l’endroit de sa famille.

    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/02/28/un-frere-d-adama-traore-en-garde-a-vue-soupconne-d-avoir-tire-sur-des-gendarmes_5087100_1653578.html

    Il est vrai que ses amis de Beaumont se sont limités, grands sages, à un demi-millier de coups de feu contre les forces de l’ordre.

    Le comité de soutien de la famille a annoncé de nouveaux débordements, pardon une nouvelle mobilisation samedi. Gageons que cette fois encore, les " djeun’s " sauront faire montre de leur profonde humanité… en toute parcimonie.

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/03/01/theo-adama-blagui-netaient-pas-des-heros-mais-des-delinquants-choc-pour-la-bobosphere/

  • Si vous êtes à Paris: voilà pourquoi vous devez être au Trocadéro!

    Une campagne écœurante, des médias abjects et... 101 traîtres. (Plus de 150, désormais)

    N'ayons pas peur des mots: Je suis absolument scandalisé, écœuré et révolté par la tournure que prend cette machination contre François Fillon, ulcéré de voir avec quelle facilité déconcertante les gens se laissent manipuler par les médias et quelques politiciens, révulsé par la lâcheté de ceux qui l'abandonnent.

    Parce qu'enfin, de quoi parle-t-on? François Fillon n'a pas commis de meurtre, il a juste employé, moyennant rémunération, son épouse et deux de ses enfants. Absolument rien d'illégal et jusqu'à preuve du contraire, il est présumé innocent. Rien d'illégal, mieux une situation qui était connue de tous ceux qui pouvaient avoir la curiosité de s'intéresser à ce genre de chose.

    En Juillet 2014, le journal Mediapart sortira la liste exhaustive des députés qui emploient des membres de leur famille. Pensez-vous que cela, à l'époque, ait révolté qui que ce soit? Non. Il faudra deux ans et demi de plus pour que Le Canard sorte opportunément "l'affaire" de manière si tendancieuse que le lynchage et la machine à donner des baffes se mirent en route au quart de tour. Il est vrai qu'entre ces deux parutions, Fillon s'était porté candidat, remportait haut la main la primaire de la droite et du centre et devenait, de l'avis général, le très probable successeur de Présiflan. Il est vrai qu'entre temps, un produit marketing parfaitement élaboré, Emmanuel Macron, devenait le chouchou des médias (plus de 36 couvertures de magazines en 2 ans) et que parmi ces nombreux médias, la plupart est aux mains de personnages qui lui ont apporté officiellement soutien et financement.

    Alors il est vrai que François Fillon, dans cette affaire, aura plutôt mal assuré sa défense et commis des erreurs de langage qu'il paie cher aujourd'hui. Je ne lui tiens pas rigueur pour sa sortie sur de Gaulle visant Sarkozy, une pique on ne peut plus classique pendant une campagne électorale. Je ne lui en veux pas non plus lorsqu'il déclara que si il était mis en examen il renoncerait. Cette éventualité était pour lui, comme pour énormément de gens, tellement improbable qu'il ne pouvait donner d'autre réponse à la question que lui posa un journaliste perfide. Aucun de ses "amis" politiques ne pouvaient imaginer que pour cette histoire Fillon pourrait être éventuellement mis en examen, alors comme un seul homme ils rangèrent tous derrière lui. A la gamelle!

    Mais la machine à détruire Fillon continua son œuvre. Et rétroactivement, les propos de Fillon lui explosent en pleine tronche. Pour le plus grand bonheur des médias, du camp Macron et de ceux que je qualifie aujourd'hui de lâches et de traîtres, ceux qui l'abandonnent honteusement aujourd'hui.

    Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, ils ne sont pas si nombreux? 101 à l'instant. Mais 101 noms qui comptent dans le landernau politique. Alors, on met en scène outrageusement ces déjections défections, le journal Libération en tenant un décompte en temps réel, BFM et France 2 itou. Et tout est fait pour que l'on fasse croire au lambda que l'affaire est entendue, que Fillon est foutu. Un sondage IFOP le donne à 23,9%, juste derrière MLP et 4 points devant Macron, le sondage est occulté par tous les médias. Un autre sondage le donne 3ème à 19 % - ce qui compte tenu du lynchage est une belle performance - et tous les médias en font état, Ruth Elkrief constatant non sans quelque malice que Fillon "aura beaucoup de mal à continuer".

    Et toujours ces médias qui constatent que Fillon "est plus que jamais dans la tourmente et lâché de toutes parts" mais qui occultent que celui-ci continue d'engranger de très nombreux parrainages, 738 au 1 mars, 1 155 aujourd'hui, soit 417 de plus depuis la fameuse déclaration de Fillon du 1er mars. Selon BFM, Alain Juppé "engrangerait" les parrainages... Il en a un et un seul aujourd'hui!

    Et encore ces médias qui passent quasiment sous silence les protestations de dizaines de magistrats et de juristes qui sont scandalisés par la façon avec laquelle l'enquête est conduite et qui préfèrent donner la parole au syndicat de la magistrature ou au président d'Anticor!

    Et revenons à ces lâches qui se cherchent une autre gamelle. Ils reprochent à Fillon de ne pas respecter sa parole et sont prêts à soutenir maintenant un homme qui a été par le passé condamné. Ils lui reprochent de vouloir faire de la manifestation de dimanche une marche contre la justice. Bande d'hypocrites dont les propos sont montés en épingle par les médias, ces mêmes médias qui oublient de dire que c'est le président des Républicains, Bernard Accoyer qui est à la manœuvre en envoyant SMS et emails aux adhérents des messages les conviant à cette manifestations; j'en ai reçu 3 depuis le début de l'après midi! Ces 101 lâches, jouant les vierges effarouchées, foulent au pied, en faisant défection, les résultats de la primaire, la présomption d'innocence et, tant qu'à faire, oublient que Fillon bénéficie de l'immunité parlementaire, immunité constitutionnelle prévue justement pour éviter ce genre de situation. 101 lâches sur 230 000 adhérents à jour de leur cotisation.

    Tout aura été fait et superbement fait pour que Fillon ne puisse pas se présenter et, mieux encore, pour que la droite se divise. Sachant que, comme la gauche, quand il s'agit de se diviser dans l'adversité au lieu de se rassembler, nos politiciens sont champions du monde.

    François Fillon, en acceptant que se tienne cette manifestation, a pris un risque énorme: Si elle est un succès, ce sera tout bénef. Si c'est un échec - gageons que les médias s'emploieront à la faire passer comme tel - il est définitivement cuit.

     

    C'est bien pour cela qu'il faut se mobiliser en masse et y aller.

    Non seulement pour la mettre profond (oups!) aux 101 lâches du jour, aux médias mais aussi aux trop nombreux Français qui sans chercher à savoir se font manipuler dans les grandes largeurs.

    Je ne sais quelle sera l'issue de toute cette histoire mais j'ai une certitude: cette campagne présidentielle laissera un goût très amer, du dégoût. Voilà qui n'est vraiment pas bon pour la démocratie.

    Au fait, qui a donc la responsabilité de préserver la démocratie et siffler la fin de la récré quand celle-ci est en danger?... Je vous laisse deviner.

    Folie passagère 3468.

    http://corto74.blogspot.fr/2017/03/une-campagne-ecurante-des-medias.html

  • Adieu ma France Libre: la guauchiasse ma tuer.....

    Sur les ruines de la démocratie

    Chacun se prononce selon ses opinions personnelles: complot politique manigancé de A à Z ou indépendance de la justice? Il ne m’appartient pas d’entrer dans cette discussion. Mais un constat objectif s’impose à tout le monde: les " fuites " dans la presse, au moment le plus opportun  et décisif du début de campagne, sur des faits remontant à des années, ont entraîné une fantastique curée médiatique et jusqu’à l’annonce fatale de la mise en examen.

    L’opération de déstabilisation de la candidature de François Fillon a d’ores et déjà largement atteint son but. Une manœuvre souterraine, qu’on le veuille ou non, à bel et bien abouti à fausser le déroulement du suffrage universel, donc de la démocratie. Cela, même le plus obtus des idéologues ne peut le nier car ce sont les faits.

    Et franchement, dans ces conditions, je ne vois pas quelle peut être la valeur de l’élection présidentielle quel qu’en soit le résultat. Un chef de l’Etat a pour but de rassembler. L’élection de 2017 résultera d’une manœuvre souterraine, obtenant l’éviction du candidat de l’opposition, représentant la plus grande part de l’électorat et ayant vocation à assumer l’alternance.

    Le candidat issu d’un vote trafiqué sera privé de légitimité. Il ne pourra en aucun cas, dans ces conditions, prétendre au titre de " président de tous les Français ". Il deviendra quoi qu’il arrive la cible de toutes les souffrances, des haines, des frustrations d’un peuple, et vivra comme un fantôme pourchassé, terrifié, errant dans son Palais maudit. C’est pourquoi, face à des élections présidentielles otages d’une tricherie, je compte profondément sur les élections législatives, qui doivent se dérouler indépendamment d’une élection présidentielle, de facto frappée de nullité, pour faire émerger une majorité politique, peut-être une majorité nouvelle, recomposée, d’hommes et de femmes de tout bord désireux de sauver la France, un gouvernement et un Premier ministre puissant dont la tâche, adossé à cette majorité, sera de redresser la France à l’image des grands premiers ministres de notre histoire qui ont émergé lors des crises menaçant la survie de notre pays, les Waldeck Rousseau, Clemenceau, Poincaré, de Gaulle (1943-1946), 1958.

    Je sais que cela n’est pas évident, remettant en question les schémas de " toute puissance élyséenne " dont nous sommes intoxiqués depuis des décennies. Mais il faut prendre acte de la réalité d’une déchéance présidentielle, déchéance de l’élection présidentielle, et adapter nos modes de pensée, d’action et d’espérance. Me comprenez-vous?

    Maxime TANDONNET

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    Assassinat politique: les mots prononcés par François Fillon, lors de sa conférence de presse qui faisait suite à l’annonce de sa convocation par les juges pour être mis en examen ne sont pas excessifs. Car cet assassinat n’est pas celui d’un homme, mais de la démocratie française. La théorie du complot n’est pas ici de mise. La question n’est pas de savoir s’il existe une officine mystérieuse qui tire les ficelles de la manœuvre, ni d’accuser les différents acteurs du processus en cours (presse, medias, magistrats). Il suffit de constater les faits en toute impartialité : à la suite de fuites ou de dénonciations destinées à nuire au candidat Fillon, une campagne extrêmement virulente s’est déclenchée, suivie de procédures judiciaires, dont l’effet est de compromettre ses chances d’élection.

    Les faits sont là, qu’il faut avoir le courage et la lucidité de reconnaître: à quelques semaines de l’élection présidentielle, une opération de déstabilisation de la campagne de François Fillon, sur la base de faits qui remontent à des années et qui ont été ressortis opportunément à la veille du scrutin,  est peut-être en train de réussir.

    La destruction par le scandale de la candidature de François Fillon, à quelques semaines du scrutin, est sans aucun précédent historique dans l’histoire de la démocratie française. C’est ainsi que la victoire politique d’un camp, celui des républicains modérés, qui avait jusque-là vocation à prendre la relève en assumant l’alternance, se voit menacée par une opération souterraine. C’est bel et bien le suffrage universel et la démocratie qui se voient ainsi dynamités.

    Fillon en appelle aujourd’hui au peuple et à la résistance. Certes mais les résistances sont en général le fait de minorités animées par l’audace, le courage et la lucidité. Or, l’étiquette maudite de " mis en examen ", si elle était confirmée, semble difficile à surmonter au regard d’un corps électoral aisément influençable par l’air du temps et les messages médiatiques. Tout dépendra du caractère et de l’intelligence de ce peuple. Nous en saurons davantage dans deux mois.

    Nous vivons le paroxysme d’une crise de la démocratie française, dans une nation en plein chaos mental, déstabilisées par les attentats terroristes, le chômage de masse, la désintégration sociale, le discrédit de la politique.

    Quelle peut-être la légitimité du futur chef de l’Etat élu à la faveur d’un gigantesque scandale et d’un assassinat politique ? Les deux favoris actuels des sondages se trouveraient à l’Elysée dans une situation intenable. La candidate lepéniste, quoi qu’elle fasse, en dépit de ses contorsions pour gagner une respectabilité, n’échappera pas à l’histoire ni à l’identité de son parti, à son rejet viscéral par au moins deux-tiers de la population. Quant à l’autre, M. Macron, porté par une fantastique bulle médiatique, à moins de 40 ans, jamais élu, sans expérience de l’Etat ou presque, dépourvu de ligne et de troupes politiques cohérentes, il risque de déchanter tout aussi vite et de devenir, en un rien de temps, à son tour, le parfait bouc émissaire de la nation. Ni l’un, ni l’autre, ne sont en mesure de disposer d’une majorité stable à l’Assemblée nationale, sans laquelle le pays est ingouvernable et le chef de l’Etat réduit à la figuration. Les conditions de leur élection, à la suite du scandale ayant frappé M. Fillon, ne pourront qu’aggraver leur impuissance et leur fragilité. Et même M. Fillon, s’il est élu malgré tout, grâce à la faiblesse intrinsèque des candidatures adverses, devra surmonter dès le départ le handicap d’une image gravement ternie.

    Il est temps d’ouvrir les yeux ; le présidentialisme à la française, cette grande illusion d’un seul homme incarnant la puissance publique, otage des crises d’hystéries, des scandales, de la propagande médiatique, est désormais à l’agonie. Nous l’avions constaté depuis 2000 et surtout avec la présidence Hollande. L’actualité le confirme. Les politiques sont tellement attachés à leur rêve de prestige sous les ors de l’Elysée qu’ils ne parviennent pas à l’admettre. Aujourd’hui, la démocratie française est à refonder sur des bases nouvelles, celle d’un Premier ministre puissant et responsable, conformément au texte – bafoué – de la Constitution de 1958, à la tête du gouvernement de la France, adossé à une majorité parlementaire, un nouveau Waldeck Rousseau, Clemenceau, Poincaré, de Gaulle (1943-1946 et 1958), Pinay, PMF… L’enjeu essentiel, désormais, sur le champ de ruines de la démocratie française, n’est plus celui de la présidentielle. Il est celui des législatives et de l’émergence d’une majorité d’alternance, solide et déterminée, indépendamment des présidentielles fracassées, d’où naîtra le futur gouvernement de la France. Encore faut-il que le peuple, dans la tourmente actuelle et le chaos politique, conserve sa lucidité pour permettre à une telle majorité d’émerger.

    https://maximetandonnet.wordpress.com/2017/03/02/sur-les-ruines-de-la-democratie/

  • "Brillante" à gros pognon, la femme de Hamon!

    Portrait de la femme de Benoît Hamon, vainqueur de la primaire de gauche ce dimanche soir.

    Elle n'est pas encore aussi connue que Penelope Fillon mais nul doute qu'on devrait parler d'elle à l'avenir. La femme de Benoît Hamon se nomme Gabrielle Guallar et vit loin de la scène politique. Et l'ex- président des jeunes socialistes s'en félicite.

    Une discrétion voulue par celle qui travaille au secrétariat général de LVMH ( propriétaire du Parisien), en tant que responsable des affaires publiques. Gabrielle Guallar est une «première de la classe», diplômée de Sciences Po Paris – en tant que major de sa promotion, et du Collège de Bruges, sorte d'ENA européenne, dont elle est sortie avec la mention «très bien» selon le Figaro Madame. «Je suis très fier que ma femme soit cent fois plus diplômée que moi», confiait d'ailleurs récemment Benoît Hamon sur le plateau de l'émission «Punchline», sur C8.

    «Au-delà du fait que la communication au sein de LVMH est très maîtrisée, Gabrielle est une femme naturellement très discrète», confie encore Benoît Hamon. «Elle n'a jamais voulu jouer un rôle public en politique et, à vrai dire, je ne lui ai jamais demandé de le faire» précise le socialiste frondeur. Benoît Hamon, qui dresse lui même le portrait de sa femme dans cette interview au Figaro Madame, souligne «qu'à part ses potes, personne ne la connaît. Elle n'est jamais venue dans ma circonscription, elle n'est jamais venue dans mes meetings. Tout cela s'est fait très naturellement» ajoute-t-il. «Pour l'instant on reste tous les quatre (avec leurs deux filles, NDLR), comme d'habitude», avoue le père de famille.

    Elle lui joue du piano (pipo?)

    Le couple qu'il forme avec Gabrielle Guallar se veut à contre-courant de la tendance actuelle de la «peopolisation» des politiques. Le candidat à la primaire de la gauche a ainsi refusé de participer à l'émission de Karine Le Marchand, «Une ambition intime». Karine Lemarchand avait même décrié cette décision sur l'autel des fonctions de sa femme chez LVMH pour l'animatrice.«Insinuation scandaleuse», avait alors précisé l'équipe de campagne du candidat socialiste.

    Seul vrai indice sur la complicité qui lie le couple : «Elle me joue souvent du piano, c'est ce qui m'apaise le plus» finit par révéler un Benoît Hamon, aussi discret sur sa vie privée que sa femme. Le dirigeant socialiste, vainqueur de la primaire socialiste, disait mardi dernier que sa compagne se montrerait peut-être «après dimanche (29 janvier, ndlr), si je sors gagnant». La victoire de ce dimanche risque donc d'obliger Mme Hamon à sortir de l'ombre.

      laparisienne.com

    LVMH une des plus grandes sociétés françaises de LUXE, donneur d'ordre de la petite société LOGO, fabricant de lunettes depuis 1896 à Morez qui, depuis septembre 2016 est en liquidation judiciaire avec 172 salariés!

    Et qui est à la tête de LVMH? Gabriella GUALLAR ! La femme de Benoit HAMON dont il se garde bien de parler et avec qui il ne s'affichera pas, étant en pleine campagne présidentielle, lui, l'homme de gauche, l'homme du petit peuple?..lui qui a refusé une émission sur M6 car il devait parler d'elle, ce qui aurait pu contrecarrer ses ambitions.

    Tout le monde a le droit d'être brillant et de bien gagner sa vie mais il ne faut pas faire de politique et surtout prétendre vouloir aider les plus démunis quand on partage la vie de quelqu'un encore plus riche que Madame FILLON?..et qui n'hésite pas à faire fermer une petite usine?. pour continuer à faire du grand LUXE., sans aucun regret.

     

  • Vive la Suède! 2*

    Ce texte a été écrit par un professeur de lycée et a été publié sur le site alternatif de nouvelles suédoises Avpixlat, où il prédit plus ou moins une guerre civile à venir:

    Comme je travaille à l'école suédoise, je prends un grand risque en publiant ces pensées, mais après Peter Springare qui a courageusement contesté l'establishment, tel David contre Goliath, à travers ses messages sur Facebook, je sens que je suis prêt à donner mon impression sur l'école, impression qui est partagée par de nombreux autres professeurs. Et ce n'est pas une bonne impression. Auparavant, je publiais des articles d'opinion au sujet de l'école. Mais à présent, je pense qu'il est temps de parler sérieusement sur ce sujet.

    Je travaille en tant que professeur depuis 2005 et je possède des antécédents liés à la gauche suédoise. Aujourd'hui, je travaille en tant que professeur de lycée pour les branches d'anglais et d'histoire. J'accuse le gouvernement actuel de ne pas être légitime. Lorsque les partis politiques se voient refuser le droit de montrer des publicités, qu'ils ont leurs réunions sabotées, que leurs membres sont battus avec l'approbation du gouvernement, et que le parti est constamment attaqué par les médias d'Etat, le processus démocratique a disparu et les gouvernements formés au cours de ces élections sont, selon moi, illégitimes.

     (...)

    Certains étudiants non-assimilés ont déclaré ouvertement qu'ils détestaient les Blancs, ils haïssent les Juifs, ils veulent que la Suède adopte la Charia. J'ai rencontré des étudiants et j'ai eu une longue discussion au sujet de leur vision d'un monde "où tous les Blancs ont été tués" et par conséquent, " où le racisme n'existe plus."

    Contrairement à la gauche libérale de la classe moyenne, je parle à ces étudiants. Je les respecte, quel que soit leur point de vue ou leurs valeurs. Ce sont des gens qui préconisent les lois de la charia ou qui prétendent vouloir exécuter une personne tel que moi. Les opinions sont respectées, mais contrées poliment et objectivement. En tant qu'individu, je travaille pour essayer de leur donner une bonne vie, en tant que citoyen, je vois les mécanismes cruels de la guerre civile rampante toujours plus proche de mon école chaque jour. Les guerres sont menées non pas par un monstre, mais par des gens ordinaires avec des préjugés ordinaires, qui se trouvent être du côté opposé dans un conflit.

    Que les notes aient chuté en raison de l'absence d'assimilation ne devrait guère être une surprise.

    J'accuse les gouvernements non légitimes suédois, et les médias traditionnels de cette évolution. Je ne crois pas une seule seconde que ces évolutions sont dues à la naïveté des dirigeants. Ils savent que toute leur puissance repose sur la division et le mensonge.

     (...)

    Depuis de nombreuses années, nous avons construit une école ségrégationniste, avec des étudiants non-musulmans dans un groupe et des étudiants musulmans et africains dans le second groupe. Ce n'est pas une "vision raciste." C'est une description de la réalité dans les écoles suédoises aujourd'hui. Une situation créée par les politiciens et les médias qui feront tout pour nier que ce que je vous écris est vrai et qui le présenteront comme une attaque contre tous les immigrants.

    Je les vois tous les jours. Les jeunes Suédois de souche et les naturalisés. Ils se cachent presque dans les salles de classe. Tout l'espace est laissé aux jeunes non-assimilés. Exception occasionnelle avec des gens qui ont été totalement endoctrinés qui rejettent la faute de tous les problèmes sur les "racistes" et les "hommes". Ils prennent également beaucoup d'espace avec leurs tirades haineuses, accusant tout le monde sauf les politiciens coupables et les médias.

    (...)

    Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

    A noter que ce professeur a été dénoncé auprès des autorités par un anonyme à la suite de cette déclaration:

    https://www.facebook.com/lilouandjohn/

    http://lesobservateurs.ch/2017/02/11/allemagne-ladministration-detourne-300-millions-afin-de-financer-des-cours-dallemand-pour-refugies-cela-se-solde-par-un-desastre/

    " Je confirme. J’ai donné des cours d’allemand à un groupe de 16 " réfugiés ". Deux seulement avaient vraiment l’intention d’apprendre et deux autres, avec des diplômes universitaires, se débrouillaient déjà assez bien. Parmi ces deux derniers, un a vite arrêté de venir, parce qu’il perdait son temps. Parmi les deux très motivées (deux femmes), une se donnait beaucoup de mal, mais n’avait pas les capacités intellectuelles.

    Puisque les autres ne connaissaient pas l’alphabet latin, le cours commençait à 8 heures et demi pour trente minutes d’alphabétisation, et se poursuivait par le cours de langues et d’initiation à la vie européenne. Ne venaient au cours d’alphabétisation que les 3 qui savaient déjà lire.

    Les autres ne se présentaient qu’épisodiquement au cours de langue, avec des excuses bidons pour justifier leurs absences précédentes, en retard (9 heures du matin, c’est bien trop tôt!) et avec un manque total de travail personnel. Deux se sont battus en cours. Un "jouait à l’enfant" en faisait le pitre, comme par exemple se cacher sous sa table. Un jeune adulte qui disait avoir, une fois 22 ans, une fois 19 ans, une fois 20 ans… a disparu: devenu mineur, il avait été envoyé à l’école.

    La femme très motivée se disait un jour érythréenne, un autre jour somalienne ou encore soudanaise. Et ce petit monde se plaignait beaucoup de ses conditions d’hébergement (même ceux qui ont très vite eu un logement remis à neuf) et de leur pauvreté (ils vivaient mieux que moi. Je le certifie, ayant parfois rempli des papiers pour eux et ayant vu de ce fait, le montant des allocations qui leur étaient allouées. Presque 1400 euros pour une famille de trois enfants de moins de 12 ans (c’est plus quand les enfants sont ados), alors que tous leurs frais étaient payés. Donc, 1400 pour se nourrir et se vêtir. Jamais je n’ai eu autant pour vivre! Une de mes élèves a d’ailleurs passé une semaine de vacances en Grèce, mère d’une famille fortunée dans son pays d’origine (photos à l’appui) famille qui n’était pas devenue pauvre en arrivant en Allemagne.

    Mais tous se présentaient en cours le jour où quelqu’un venait leur distribuer de l’argent liquide, dans une enveloppe, soit-disant pour payer leur transport, alors qu’ils avaient déjà un abonnement de bus, tarif réduit, offert par " Job Center ".

    Mes collègues étaient aussi écœurées que moi. Je n’enseigne plus l’allemand. La colère ne me quitte pas. "

    Je devrais plutôt dire: adieu, la Suède!