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mec - Page 26

  • les débiles au fond du trou.... et ils creusent encore!

    Fausses nouvelles : les journalistes valent-ils vraiment mieux que les autres ?

    L’analyse politique doit-elle être laissée aux journalistes professionnels ? Ce repli sur l’entre-soi est-il une garantie de leur plus grande objectivité ?

    Par Philippe Bilger.

    Jérôme Fenoglio, directeur du Monde, a récemment publié un éditorial sur "La défense des faits", dans lequel il célébrait un certain type de journalisme qui se fonderait seulement sur les faits et serait donc légitime en allant dénoncer sur Internet les fausses informations. Comme une sorte de chien de garde de la vérité!

    Ce n’est tout de même pas à cet homme fin, si doué pour manier l’équilibrisme cher au quotidien qu’il dirige, qu’il convient de rappeler cette évidence que les « faits » ne constituent pas un socle fixe et incontestable qu’il suffirait au journaliste de transmettre mais qu’ils sont d’une certaine manière, à partir d’un noyau dur souvent infime, construits, élaborés et interprétés. Le fait n’est jamais à disposition telle une denrée stable, même sa matérialité peut prêter à discussion.

    Plus gravement, au-delà, évoquer "la défense des faits" néglige l’élément capital que l’information tient moins à leur identification qu’à leur sélection, à leur exclusion ou à leur hypertrophie. Un exemple parmi d’autres de cette étrange discrimination. La mairie de Béziers fait l’objet d’une vigilance médiatique constante mais, pour qui connaît la réalité de cette ville et de sa gestion, frappée d’une infirmité regrettable : l’essentiel qui obligerait à en dire du bien est occulté au profit d’épisodes montés en épingle dont le seul mérite est de donner bonne conscience à la partialité de la plupart des journalistes.

    Défiance à l’endroit des journalistes politiques

    Ces considérations s’inscrivent dans un mouvement général qui, selon une enquête réalisée par l’Institut Kantar pour La Croix, confirme pour 2016 une pente descendante nette pour la confiance qu’inspirent au public les supports d’information. Tous sont concernés : radio, télévision, journaux et web. Particulièrement, une forte majorité de sondés éprouve une défiance envers les journalistes politiques « qui ne seraient pas indépendants des pressions des pouvoirs politiques et du pouvoir ».

    Année après année, cette approche négative s’amplifie à proportion, me semble-t-il, de l’appréciation très positive, quand on les écoute ou qu’on les lit, dont les journalistes continuent à se prévaloir. Comme s’il y avait chez eux, notamment pour l’analyse de la politique, quelque chose d’irremplaçable.

    Tout démontre au contraire que pour un citoyen bien informé – et il en est de nombreux qui passionnés sont capables de s’appuyer sur le même terreau que celui des journalistes spécialisés -, il n’y a pas de partage à opérer entre les amateurs et les professionnels. L’intelligence, la psychologie, l’analyse des rapports de force, l’humus à la fois divers et au fond vieux comme le monde qui imprègne l’actualité politique et sociale ne paraissent pas représenter une frontière infranchissable entre ceux qui ont fait de ces exigences un métier et tous les autres qui se projettent dans cet univers avec une curiosité et une liberté d’autant plus intenses qu’elles ne sont ligotées par rien ni personne.

    La chambre d’écho journalistique

    Mon expérience personnelle, toujours dans un aimable contexte, m’a confronté parfois à cette situation. Pressenti pour une émission, j’étais reporté au motif que le sujet devait être d’abord traité par des journalistes.

    Par exemple à une ou deux reprises pour C dans l’air.

    Caroline Roux que j’apprécie au plus haut point fait pourtant, assez souvent, débattre des journalistes entre eux.

    Comme si leur présence garantissait une vision plus clairvoyante et offrait une capacité d’intelligibilité qui dépasserait par principe celle d’autres invités « profanes » eux aussi épris de joutes intellectuelles et politiques. Ce n’est pas en offenser certains, piliers de cet emblématique moment, que de les écouter certes avec intérêt mais sans être frappé de saisissement par l’originalité de leur perception.

    Je pense même – je rejoins sur ce plan Daniel Schneidermann et la défiance considérable à l’égard des journalistes politiques – qu’ils n’ont qu’un avantage, mais pervers et préjudiciable, par rapport à l’amateur éclairé : ils connaissent tous les politiques et ont des liens de complicité avec eux, qui ont forcément une incidence sur les modalités de leur analyse et de son expression. Quand il y a connivence, c’est pire.

    C’est la raison qui explique cette impression que j’ai souvent ressentie en écoutant les journalistes de droite ou de gauche : une liberté encadrée, un souci de vérité mais limité, de l’audace contrôlée, des susceptibilités à ménager, des évidences à ne pas dire, un enlisement dans les données techniques mais des tiédeurs intellectuelles, des prudences calculées pour ne pas insulter l’avenir. Règne alors comme une objectivité molle, plus précautionneuse qu’exigeante.

    Sans doute ne serais-je pas autant sollicité par cette envie d’universalité au détriment des enfermements professionnels si ce n’était pas chez moi une obsession qui touche bien d’autres domaines. La Justice est trop fondamentale pour être laissée aux seuls magistrats : les citoyens aux assises sont une bénédiction. Le football est un sport trop populaire pour être abandonné aux commentateurs et experts qui nous en privent en mauvais français. Le cinéma est une passion trop partagée pour être livrée aux seuls spécialistes. J’imagine le Festival de Cannes ouvert aux vents du grand large.

    J’en suis sûr.

    Les citoyens sont des journalistes comme les autres.

    Contrepoints.org

    C'est écrit très bisounours: perso, j'ai envie de dire, comme beaucoup d'autres...

    journalistes? parle à mon "tchoul*" leur tête est malade!

    *tchoul est en occitan, pas besoin de traduction!

  • De plus en plus nombreux.....

    Sclérose en plaques : 100 000 patients en France -

    La sclérose en plaques toucherait actuellement 100 000 personnes en France.

    Pour faire la lumière sur la Sclérose en plaques (ou SEP), nous sommes allés à la rencontre de Christian Cyprien, administrateur de l’Association Française des Sclérosés en plaques (AFSEP), également trésorier et responsable des délégations au niveau national, Jocelyne Cyprien, membre active de l’AFSEP, et Sébastien Provenzano, délégué mosellan de l’AFSEP.

    Pouvez-vous nous présenter l’AFSEP ?

    L’AFSEP a pour but d’aider les malades de la sclérose en plaques de différentes manières, par des aides humaines et un soutien moral, des conseils, des aides juridiques et matérielles, et des actions en faveur du répit. L’AFSEP est la plus vieille association au niveau national de personnes atteintes de sclérose en plaques. Créée en 1949, elle a eu une période de mise en sommeil puis elle est devenue vraiment active en 1962. C’est une association de malades gérée par des malades. Nous avons aujourd’hui 4 salariés, au niveau du siège social à Blagnac, ainsi que des délégués répartis un peu partout en France (une centaine) et qui sont malades ou proches de malades (conjoints, parents…).

    La sclérose en plaques, qu’est-ce que c’est ?

    C’est une maladie neurodégénérative. C’est-à-dire que c’est une maladie du système nerveux central où sont touchées des parties du cerveau – des plaques. Cette maladie désigne une mauvaise connexion entre les neurones et les fibres nerveuses, la partie qui les protège (la myéline) étant endommagée. Si l’on compare le cerveau à un frein de vélo, c’est comme si la gaine qu’il y a autour était abîmée : à force l’intérieur est endommagé car il est moins protégé et donc la combustion se fait moins bien au niveau du frein. C’est pareil pour notre corps. Après, chaque cas de SEP peut être différent. On retrouve tout de même des symptômes identiques : des paresthésies au niveau des membres, une fatigue extrême, des problèmes de marche, des difficultés cognitives (notamment de concentration) … À l’heure actuelle on ne peut pas traiter cette maladie, seulement la stabiliser. Elle reste incurable et on la traite symptôme par symptôme selon chaque personne.
    Il peut s’agir de séances de kinésithérapie pour éviter la spasticité des muscles (contraction réflexe des muscles trop importante), de l’élaboration d’un régime alimentaire adéquat, d’adaptations variables. Faire du sport peut aussi aider à garder un corps qui bouge bien.

    La maladie peut prendre deux grandes formes :
    – La forme rémittente-récurrente : c’est la forme à poussées de la SEP. La personne atteinte va traverser une période inflammatoire où ses symptômes vont être multipliés, elle pourra avoir des difficultés à marcher ou à sentir ses muscles, ou parfois elle n’entendra plus rien ou aura des troubles de la vision. Ces symptômes seront traités par corticoïdes pour l’aider à retrouver la forme et réduire l’inflammation, et aussi essayer de récupérer le plus possible. Il faut savoir que parfois les gens retrouvent toutes leurs fonctions entre deux périodes de poussées. D’autres récupèrent presque tout, ou moins, c’est vraiment différent selon chaque cas. On ne peut alors pas dire que la personne est guérie, mais elle est stabilisée. Les poussées peuvent être proches ou bien très espacées (de nombreuses années).
    – La forme progressive, qui peut être primaire ou secondaire : Soit cela commence par une forme primaire, où le handicap apparaît et progresse tout doucement, avec un retour en arrière qui n’est pas possible aujourd’hui. Soit cela commence par une forme rémittente-récurrente (alternant des hauts et des bas) qui se transforme en forme secondaire progressive, avec la maladie qui s’est installée. Cela peut entraîner des problèmes de fatigue, de vision, du mal à marcher. Ceci dit il y a des débats pour savoir si la forme secondaire progressive existe ou si c’est une évolution de la forme rémittente-récurrente.

    Pouvez-vous nous résumer les différents symptômes que peut entraîner la sclérose en plaques ?

    Troubles cognitifs (concentration, perte d’équilibre, mémoire), vision, déglutition, acouphènes, fatigue très marquée… Parfois les gens qui souffrent de troubles d’équilibre entendent des remarques dans la rue, comme quoi ils ont trop bu… De la même manière, l’un de nos amis atteint de SEP a été contrôlé par la police parce qu’il zigzaguait. Bien sûr il leur a expliqué et n’a pas eu de problème. Mais cela montre qu’il y a un travail de sensibilisation à faire, pour que les gens sachent que c’est l’un des symptômes. Il y a aussi beaucoup de symptômes invisibles.

    Où en sommes-nous en termes de traitements aujourd’hui ?

    On n’en meurt pas, mais c’est incurable. Et dans certaines formes les symptômes régressent parfois jusqu’à disparaître (comme expliqué précédemment). Ce sera guérissable quand on aura trouvé le moyen de reconstituer la myéline (ce qui protège les fibres nerveuses). Tant qu’il persiste des trous dans la myéline, la maladie peut ressurgir à tout moment. L’idéal serait un produit qui permette de reconstituer cette myéline pour recréer une bonne liaison entre les fibres nerveuses. Dès le moment où elle serait reconstituée le corps repartirait puisque c’est ce qui pose problème.
    Les traitements qui existent actuellement permettent de mieux vivre avec la maladie et de retarder les symptômes. On évite au maximum les corticoïdes même s’ils sont encore utilisés lors des crises. On agit symptôme par symptôme, avec des séances de kiné et des médicaments pour la douleur… et tout ce qui peut aider à mieux les supporter. Les activités sportives peuvent aussi apporter beaucoup et elles ne sont pas du tout proscrites. Tout dépend des possibilités de chacun.

    Quelles sont les idées reçues que vous voudriez voir disparaître ?

    • Certains pensent que la sclérose en plaques est mortelle. C’est faux ! Nous avons la même espérance de vie que n’importe quel citoyen. Certes, pas dans les mêmes conditions (donc ça peut être diminué légèrement) mais on ne peut pas dire de quelqu’un qu’il est mort de sclérose en plaques… à la limite ça peut être dû aux effets secondaires de la sclérose en plaques (du fait que les défenses immunitaires sont diminuées) mais pas à la maladie elle-même.
    • Autre idée reçue très grave : Certains pensent qu’une femme qui a la sclérose en plaques ne doit pas avoir d’enfants. Or, déjà ce n’est pas transmissible, donc il n’y a pas plus de risques pour l’enfant d’avoir une sclérose en plaques. Ce n’est pas une maladie génétique. D’autre part, on sait maintenant qu’une femme ayant la SEP, pendant toute la période où elle est enceinte, ne fait pas de poussées. Elle se sent même mieux parce que son taux de testostérone est plus élevé à ce moment-là. Elle peut refaire des poussées après sa grossesse, mais cela n’influe donc pas sur sa grossesse ou son enfant.

    Combien de personnes sont touchées par la sclérose en plaques aujourd’hui ?

    Au niveau mondial, la SEP touche deux femmes pour un homme. En France, 100 000. Dans le monde, 2 millions. On ne peut pas multiplier par le nombre de pays car une des spécificités de cette maladie, c’est le fait que qu’elle n’est pas présente partout. Quand on est au niveau de l’Équateur il n’y a aucun cas, et plus on s’éloigne de l’Équateur, plus il y en a. On sait que le manque de soleil peut être un facteur de sclérose en plaques, ce qui peut être un début d’explication. Les seules exceptions qui existent par rapport à l’éloignement de l’Équateur sont la Norvège et la Finlande, deux pays qui sont très peu touchés. Mais il y aurait une explication : dans ces deux pays, les gens mangent beaucoup de saumon, et il y aurait aussi un facteur alimentaire à la maladie – les poissons gras permettraient de diminuer le risque de survenance de la SEP. Tout comme de manger du porc, ce qui a étonné les gens. Cela vient du fait qu’il y a dans le porc une bactérie utile à l’homme.

    Aujourd’hui sait-on ce qui provoque la SEP ?

    Non. On ne sait pas qui fait que quelqu’un est touché ou non par la SEP, ni ce qui la déclenche chez une personne. Il y a eu des débats, notamment un concernant le vaccin contre l’hépatite, or, le vaccin ne donne pas la sclérose en plaques, il peut éventuellement être un déclencheur – ce n’est pas lui qui fait que la personne est porteuse de la SEP. Et les déclencheurs peuvent être très variables : accident, choc émotionnel, événement important… et d’autres qui sont méconnus à ce jour.

    Comment se détecte cette maladie ?

    Le diagnostic devient de plus en plus facile, ce qui permet d’intervenir de plus en plus tôt. Je parle sous couvert du Professeur Labauge, du CHRU de Montpellier, un grand spécialiste de la question qui a évoqué ce sujet lors d’une récente conférence : il a expliqué que l’on peut voir des signes grâce à une IRM, selon la place et la forme des tâches visibles sur l’imagerie du cerveau. Les SEP sont d’autant plus facilement détectées du fait que de plus en plus d’IRM sont pratiquées en France et que l’on progresse dans son identification. En tout cas le nombre de tâche ou leur taille n’est pas forcément significatif, il peut y avoir beaucoup de tâches et pas de SEP. L’IRM a l’avantage d’être bien moins contraignant qu’une ponction lombaire, examen de moins en moins utilisé pour rechercher une SEP.

    Pour plus d’informations sur la sclérose en plaques et sur l’AFSEP : http://afsep.fr/

     

     

  • Votez Hamon et vous serez heureux d'être envahi!!!

    Trappes (78): le fief de Benoît Hamon confronté au communautarisme islamique

    Le communautarisme, qui frappe nos banlieues depuis de nombreuses années, s’est aggravé. Un récent rapport émanant des autorités judiciaires s’inquiète de l’évolution de Trappes, devenue un "pôle d’attraction pour les personnes étrangères à la ville à la recherche d’engagements religieux stricts". (…)

    À 35 kilomètres de la capitale, au milieu du territoire privilégié de l’ouest parisien, Trappes dans les Yvelines ne dénote guère. Un vaste programme de réhabilitation en cours a rafraîchi cette ville de 30.000 habitants environ. Dotée de nombreux équipements publics, celle-ci offre un habitat moderne donnant sur de larges avenues.

    Mais derrière cette façade avenante , la ville qui d’après un récent rapport, concentre une population majoritairement de confession musulmane, s’est enfoncée dans le repli communautaire. Commerces halal, associations imprégnées de religiosité, port du voile pour les femmes et du qamis pour les hommes en sont les signes visibles.

    Cet ancien bastion communiste, dirigé désormais par un maire socialiste, n’est pourtant pas le seul concerné par cette évolution. D’autres secteurs dans ce département sont touchés par la montée du communautarisme. Parmi eux, ceux de La Verrière, de Mantes-la-Jolie ou encore des Mureaux notamment . Mais Trappes, plus que les autres communes, inquiète. C’est ce que signale un récent rapport confidentiel émanant des autorités judiciaires et déposé place Vendôme. Balayant tous les indicateurs qui témoignent de ce repli, celui-ci rappelle que c’est dans cette ville qu’éclatèrent les premières émeutes en France liées à une contestation religieuse. Après le contrôle d’identité d’une femme voilée, la cité s’était, en effet, embrasée en 2013 .

    Au passage, ce même document aborde la radicalisation qui frappe la commune. Celle-ci a vu une cinquantaine de ses jeunes partir en Syrie. À travers ces quelques lignes sur l’islam radical, c’est alors un Trappes plus inquiétant encore qui se dessine: celui que les services de renseignement surnomment "Trappistan". Celui que d’autres appellent aussi "le Molenbeek français".

    Ainsi estampillée, la ville vit depuis plusieurs années dans un concert d’accusations permanentes. Relayant les craintes de leur population, les élus voisins s’inquiètent de son évolution et redoutent aussi un effet de contagion. Au sein de la ville aussi, où la majorité de la population vit à l’écart de ces dérives, on s’inquiète aussi de cet affichage religieux excessif. Le voile ici est quasi permanent dans les rues. "Mais on le porte aussi parce qu’on est à Trappes. Celles qui l’adoptent n’y connaissent parfois rien en religion", signale exaspéré, Marwan*, un jeune musulman pratiquant.

    Source : fdesouche via Le Figaro

     

  • Où l'on voit une fois de plus que les journalistes Français sont des pourris!!!

    Pédophilie des "élites ": le silence des micros…

    Nice Provence Info est l’un des rares médias à lever le voile sur une forme protégée de la pédophilie, celle que nous nommions " rose " dans notre article du 26 janvier, La pédophilie noire et la pédophilie rose.

    Nous ne pouvons que nous réjouir qu’un autre organe de la presse de réinformation, Paris Vox, fasse lui aussi tout simplement son travail d’information dans un article paru 8 jours plus tôt que le nôtre et que nous reproduisons volontiers ci-dessous.

    Paris Vox – Dorénavant, Paris Vox publiera régulièrement la retranscription écrite de la chronique de commentaire d’actualité d’Arnaud de Robert diffusée dans la Matinale de Radio Libertés. Aujourd’hui, notre chroniqueur revient sur l’incroyable indulgence, notamment médiatique, dont bénéficient en France les “élites” en matière de pédophilie…

    J’avais choisi pour cette fin de semaine un thème plutôt positif. Je me dis souvent qu’après vous avoir infligé mes humeurs toute la semaine, vous avez droit le vendredi matin à de la légèreté. Mais non, décidément le réel le plus infâme, le plus sombre nous rattrape toujours. Et ce matin, celui qui m’a mis d’une humeur de chien s’appelle Christophe Bejach. Vous le connaissiez avant aujourd’hui? Moi non plus. Et pourtant ce type est tout sauf un anonyme. Christophe Bejach, 53 ans, ingénieur et titulaire d’un MBA d’HEC a une carrière plutôt brillante orientée dans l’investissement des deux côtés de l’Atlantique. Passé chez Rothschild, créateur de la société Avion, revendue pour 68 millions d’euros à British Airways, ce strauss-kahnien convaincu à également un pied en politique. En 2012, il a rejoint l’équipe de Montebourg alors ministre du redressement productif au titre de conseiller à l’aérospatiale. Il est, enfin il était jusqu’au mois de décembre toujours conseiller du candidat Montebourg. Autre fait politique marquant, il est le fondateur du Think Tank de gauche Terra Nova.

    Christophe Bejach a été condamné le 14 décembre dernier par un tribunal britannique à 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes.

    Une pointure en somme dans son domaine comme sur le plan politique. Une pointure certes mais un pointeur aussi comme on dit dans le langage des taulards. Et un pointeur de la pire espèce puisque Christophe Bejach a été condamné le 14 décembre dernier par un tribunal britannique à 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes. L’affaire est salace. Bejach en bon prédateur sexuel écumait les forums internet d’enfants et d’ados à la recherche de proies. Il est entré en discussion avec celle qu’il pensait être la mère de trois fillettes de 8, 10 et 12 ans et qui était en fait un officier de police spécialiste de la traque sur le net des criminels pédophiles. À cette fausse mère, il a raconté vouloir faire des séances de photos avec les fillettes. Il lui a expliqué avoir acheté de la lingerie dans ce but et fantasmer particulièrement sur des filles de 10 ans. À son domicile, les policiers anglais ont retrouvé la lingerie mais aussi des dizaines d’images pédophiles sur son ordinateur dont certaines de classe “A” c’est-à-dire présentant des scènes de pénétration, j’en ai la nausée. Au juge, il a avoué qu’il espérait bien avoir des relations sexuelles avec les fillettes. Ce monstre s’en tire finalement plutôt bien, même s’il devra signer le registre britannique des délinquants sexuels pendant 10 ans. Cette affaire est effroyable, mais elle prend une dimension écœurante quand on compare la forte couverture médiatique qui l’a entourée au Royaume-Uni avec le silence abyssal des micros et stylo de ce côté-ci de la Manche.

    Cette affaire est effroyable, mais elle prend une dimension écœurante quand on compare la forte couverture médiatique qui l’a entourée au Royaume-Uni avec le silence abyssal des micros et stylo de ce côté-ci de la Manche.

    Les seuls à avoir réagi sont les tenants de la " fachosphère " : Fdesouche ; le salon Beige, TV Libertés et Breizh-Info(1). En dehors du site Auféminin.com qui est à saluer pour relayer toutes les affaires de pédophilie, rien dans les médias français, rien, silence. Épouvantable silence, coupable silence.

    Comment peut-il se faire que les organes de réinfo comme TVL ou Fdesouche soient au courant et pas Libé, le Monde, le Figaro, BFM TV ou TF1?

    Quelle est donc la vile petite raison de ce silence médiatique effarant? Ne pas gêner Montebourg en campagne?

    Ne pas miner plus encore la primaire de gauche? Ne pas achever le Parti Socialiste? Préserver le think tank Terra Nova? Ne pas réveiller le spectre Strauss-Kahn? Ou pire encore, bien pire, occulter volontairement l’affaire pour ne pas dégrader si c’est encore possible l’image d’une classe politique déliquescente, corrompue, déviante et dangereuse.

    On se serre les coudes dans l’oligarchie, c’est connu. Quel que soit le motif de ce silence, il fait des tenants de la soi-disant grande presse les complices de prédateurs pédophiles et ce n’est pas la première fois hélas, contrairement aux scandales de pédophilie dans l’église catholique, eux toujours abondamment commentés et relayés. Décidément la classe médiatico-politique de ce pays sent de plus en plus le pourri.

    Les éliminer n’est plus une question de victoire politique mais une mesure d’hygiène nationale.

    Bon week-end.

    [source] Paris Vox

    (1) Paris Vox oublie de mentionner Nice Provence Info, mais nous ne lui en tenons pas rigueur.

    http://www.nice-provence.info/blog/2017/02/03/pedophilie-elites-silence-micros-presse-mainstream/

     

  • Aimez-vous fortement le cracra…

    … ce “magma“ au fond de la poêle quand on fait des patates sautées à la graisse de canard…. j'adore, que c'est bon! hélas, il parait que c'est cancérogène!!!

    Savez-vous que les fritures vous font vieillir?

    Les aliments trop cuits, portés à haute température apportent des composés toxiques appelés produits de glycation avancés ou AGE qui accélèrent le vieillissement et exposent au risque de maladie chronique, dont le diabète.

    Trop d'AGE, et vous cuisez à petit feu!

    L'état des connaissances sur la nutrition et votre santé et un message: bouilli, c'est mieux que rôti ou frit.

    On croit avoir tout tenté. Tout essayé pour prévenir et guérir les maux de l’alimentation moderne. Avec deux maîtres mots: nutriments et apports. Lipides, glucides et calories sont les piliers fondateurs de l’alimentation santé. Et pourtant!

    Depuis le début du 20e siècle et l’avènement de l’industrie alimentaire les maladies liées à l’alimentation s’aggravent et se multiplient. Et si on s’était trompé? Et si la clé de notre santé, ça n’était pas ce qu’on mange, mais la façon dont on le prépare?

    Les pommes frites croustillantes, le pain grillé, potentiellement cancérogènes

    L’Agence de sécurité alimentaire du Royaume-Uni met en garde contre les aliments glucidiques trop chauffés, qui peuvent augmenter le risque de cancer via l'acrylamide.

    La FSA, l'Agence de sécurité alimentaire du Royaume-Uni lance une campagne d'information à destination de la population britannique pour informer des risques liés à l'acrylamide, une substance cancérogène qui se forme à haute température dans certains aliments. Cette campagne fait suite à une étude de novembre 2015 qui montre que le pain trop toasté, les pommes de terre trop dorées renferment des niveaux élevés d’acrylamide. Selon le Pr Guy Poppy, directeur scientifique de la FSA, " les niveaux d’acrylamide auxquels nous sommes exposés par l’alimentation pourraient augmenter le risque de cancer."

    L'acrylamide est une substance chimique qui se forme naturellement dans les aliments riches en amidon lorsqu’ils sont cuits à haute température: friture, cuisson au four, rôtissage... Le principal mécanisme chimique à l’origine de ce processus est appelé réaction de Maillard; c’est également cette réaction qui confère une couleur dorée aux aliments et affecte leur saveur. L’acrylamide se forme à partir des sucres et des acides aminés (principalement l’asparagine) naturellement présents dans de nombreux aliments.

    Pommes de terre croustillantes, chips, frites, pain grillé, biscottes

    L'acrylamide se retrouve dans des produits tels que les chips de pomme de terre, les frites, le pain, les biscuits ou encore le café. Il a été détecté pour la première fois dans des aliments en avril 2002, mais il est présent depuis que l’homme cuit ses aliments. L'acrylamide est également présent dans la fumée de tabac.

    L’étude britannique de 2015 a analysé des échantillons d’aliments préparés par 50 familles britanniques et mesuré la quantité d'acrylamide en laboratoire.

    Plus les pommes de terre sont croustillantes, plus le pain est grillé, plus le niveau d'acrylamide qu'ils contiennent est élevé. Les pommes de terre ne doivent pas avoir une couleur plus soutenue que le doré, et le pain toasté devrait avoir la couleur la plus claire possible.

    En juin 2015, l’EFSA, l’agence de sécurité alimentaire européenne a conclu, sur la base d’études expérimentales que l'acrylamide et son métabolite, le glycidamide, sont génotoxiques et cancérigènes: ils endommagent l'ADN et provoquent le cancer. Pour l’instant, les études sur l’homme sont limitées et non concluantes.

    L'acrylamide étant présent dans un large éventail d'aliments consommés au quotidien, tous les consommateurs sont exposés, mais les enfants plus que d’autres groupes d’âge proportionnellement à leur poids corporel.

    Les catégories alimentaires qui contribuent le plus à l'exposition à l’acrylamide sont les produits frits à base de pommes de terre, le café, les biscuits, les biscuits salés, les pains grillés, les biscottes et le pain. Étant donné que tout niveau d'exposition à une substance génotoxique pourrait potentiellement endommager l'ADN et provoquer un cancer, les scientifiques de l'EFSA ont conclu qu'ils ne pouvaient pas définir de dose journalière tolérable (DJT) pour l’acrylamide dans les aliments.

    L'étude britannique montre une énorme variation de la quantité d'acrylamide présent dans les aliments selon la durée de cuisson.

    Les niveaux d’acrylamide dans le pain peu grillé et encore pâle sont en moyenne de 9 microgrammes par kg, tandis que le pain le plus grillé en contenait 167 mcg/kg, une valeur considérable. La même chose a été observée avec les chips: 1052 mcg/kg pour les plus cuites, 50 fois moins pour les moins cuites. Enfin, la FSA a relevé 490 microgrammes d'acrylamide par kg dans les pommes de terre rôties, soit 80 fois plus que dans les moins cuites.

    En plus de limiter les temps de cuisson, les chercheurs conseillent d’éviter de secouer les pommes de terre dans la poêle pour les rendre plus croustillantes, et de stocker les pommes de terre non cuites dans des endroits secs par opposition à un réfrigérateur car de basses températures peuvent augmenter la quantité de sucre de la pomme de terre, ce qui peut conduire à un surcroît d’acrylamide.

    On déconseille les fritures et les cuissons élevées, et on recommande de ne pas manger les parties roussies ou carbonisées des aliments.

    De plus, il faut savoir que:

    Les huiles polyinsaturées sont fragiles à la chaleur. On sait aujourd'hui que lorsqu'elles sont trop chauffées elles s'oxydent et produisent des composés toxiques. L'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) surveille notamment la présence d'acrylamide dans les produits alimentaires comme les frites ou les chips. L'acrylamide est un composé cancérigène reconnu.

    D'autres substances se forment lorsqu'une huile est chauffée à haute température, il s'agit des aldéhydes (ou acroléine). Les aldéhydes se dégagent lorsqu'on chauffe des graisses ou du plastique mais on en retrouve également dans la fumée des pots d'échappement ou dans la fumée des cigarettes. Les aldéhydes polluent l'atmosphère et ont été retrouvés comme cause de cancers et de maladies neurodégénératives (maladie d'Alzheimer et de Parkinson) dans certaines études.

    Les aldéhydes sont produits lorsque les huiles se dégradent à la chaleur. Il s'agit de composés volatiles, c'est-à-dire qui s'évaporent. Seulement il semble qu'une partie des aldéhydes puisse rester dans l'huile. Des chercheurs spécialistes des aldéhydes ont voulu vérifier leur présence ou leur absence dans des huiles de friture après des chauffes répétées. Ils ont chauffé répétitivement trois huiles dans une friteuse classique à 190°C, de l'huile d'olive, de l'huile de tournesol et de l'huile de lin. Les deux dernières sont riches en acides gras polyinsaturés, peu stables à la chaleur.

    Résultat: Après les chauffes multiples les chercheurs constatent que l'huile de tournesol et l'huile de lin produisent rapidement de grandes quantités d'aldéhydes, en particulier l'huile de tournesol. A contrario, l'huile d'olive produit peu d'aldéhydes et plus tardivement. Ces résultats s'ajoutent à de précédentes données déjà enregistrées par ces chercheurs sur les huiles de friture. Ils avaient en effet montré que la chauffe des huiles à haute température produit aussi des composés aromatiques polycycliques hautement toxiques et avérés cancérigènes. Maria Guillen, directrice de l'étude, essaye de rassurer le public: "Ces données n'ont pas pour objectif d'alarmer la population mais elles sont ce qu'elles sont et nous devons en tenir compte. C'est la dose qui fait le poison." Mais les chercheurs d'origine Espagnole sont obligés de se rendre à l'évidence: les quantités produites d'aldéhydes sont en fait très proches des limites de sécurité fixées par le gouvernement Espagnol et sont déjà toxiques.

    Pour limiter la toxicité des huiles chauffées il est important de jeter l'huile après chaque friture. Les fritures à la maison sont donc probablement moins nocives que les fritures de la restauration où les consignes d'utilisation ne sont pas toujours respectées et les huiles utilisées pas toujours adaptées.

     

  • Aimons-nous les uns, les autres????

    Allez sur ce site, regardez la vidéo épouvantable!!! si vous êtes sensibles, ne la regardez SURTOUT pas!

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/02/01/islam-assassin-monsieur-le-juge-oserez-vous-condamner-christine-tasin-le-1er-mars-apres-avoir-vu-cette-video/

    Quelques commentaires.

    Nous avons assez vu de pleurnichards déposer des fleurs et des bougies sur des lieux d’attentats commis par ces couards lâches qui entourent cette pauvre femme comme une meute de chiens enragés…ou plutôt comme un nid de serpents, des mambas noirs ! Montrons le vrai visage de cette saloperie d’islam pour éviter que de pareilles horreurs soient perpétrées sur notre sol de LIBERTE (avant hollandouille !)

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    Qu’attendre d’une religion dont LE prophète a égorgé de sa main des centaines de gens?

    Qu’attendre de cette religion quand son prophète égorgeait un homme pour pouvoir ensuite épouser sa femme?

    Qu’attendre d’une religion qui ne cesse de vouloir tuer tous ceux qui ne rentrent pas dans sa doxa?

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    Quand je vois toutes ces pourritures prendre des photos, comme s’ils étaient au cirque, ou comme un trophée de safari, je prend acte, une fois de plus, qu’il n’y a pas de vivre-ensemble.