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mec - Page 7

  • Hier, dimanche des Rameaux

    Le tressage, une tradition qui se perd

    Rares sont les artisans dans le Vieux Nice qui perpétuent la tradition des palmes tressées. Devant la cathédrale de Nice, il n’a y a plus que deux étals. Ils appartiennent à la même génération, car la technique se transmet de génération en génération.

    Motifs traditionnels ou fantaisistes, simples ou élaborés, depuis plus de 80 ans, la famille Vaseli tresse des motifs avec le cœur des palmiers.

     […] La fête des Rameaux marquera alors le début de la semaine sainte. Signe de vitalité, il était autrefois déposé sur les tombes ou exposé dans le foyer.

    "Les fidèles portent les rameaux chez eux et se souviennent que dans la vie, il y a lumière et ténèbres, joie, peine et difficultés et que c’est tout cela qui tisse une vie humaine“. Père Michel Angella, Recteur de la cathédrale Sainte-Réparate,

    Ne répondant à aucune prescription de l’Église, les rameaux en France présentent une grande variété de végétaux correspondant à la variété des zones climatiques: laurier, olivier, buis, romarin… Si la coutume est respectée, tous ont un point commun: être brûlés au bout d’une année. L’entrée d’un jeune rameau dans sa maison marque le début d’une nouvelle année liturgique.

    Source : France 3

    A Toulouse, les rameaux sont de buis ou laurier

  • Une folle comme ministre…

    Les loups sont entrés dans Paris… (et la France). Tous ceux qui ne nous ressemblent pas, un jour ou l'autre…

    Viktorovitch dénonce les mensonges assumés de Sibeth Ndiaye, ses propos sur la mort de Simone Veil, sur son "job" au gouvernement, et sa "participation" à l’Affaire Benalla

    Par fandetv le 02/04/2019

    Clément Viktorovitch dénonce les mensonges assumés de Sibeth Ndiaye (nouvelle porte-parole du gouvernement), ses propos sur la mort de Simone Veil, sur son "job" au gouvernement, et sa "participation" à l’Affaire Benalla. Il estime que sa qualité de femme n’est pas un argument pour la défendre: "La seule chose qui compte, c’est qui elle est et ce qu’elle a fait".

    – CNEWS, 1er avril 2019, 19h07

     

     

  • Vivent les femmes! et mort aux c...s

    L’Iran annule la diffusion d’un match de football arbitré par une femme

    Par Auteur valeursactuelles.com

    La retransmission d’un match de football allemand arbitré par une femme a été interdite en Iran, selon la réglementation islamiste.

    Les Iraniens ne pourront pas regarder le Bayern Munich affronter le FC Augsbourg vendredi 15 février. La chaîne de télévision Irib, qui retransmet les matchs de football en Iran, a décidé d’annuler la diffusion de la rencontre qui ne respecte pas la loi islamique, rapporte le Parisien. En cause, l’arbitre de ce match de Bundesliga, Bibiana Steinhaus, est une femme, ce qui ne saurait être montré à la télévision iranienne.

    Contraire à la réglementation islamiste

    En effet, la tenue d’arbitrage officielle que Bibiana Steinhaus arbore : manches courtes et short, est contraire à la réglementation islamiste iranienne. « Vous n’êtes pas censé voir quelque chose comme cela à la télévision d’État iranienne », a souligné sur Twitter une correspondante en Iran de la chaîne allemande ARD.

    Cas unique, l’arbitre allemande de 39 ans est la seule femme à officier dans le monde du football professionnel masculin. Faute de pouvoir censurer son image en direct, la télévision iranienne a préféré annuler la retransmission.

    Par le passé, toujours pour des raisons religieuses, des compétitions sportives internationales n’ont pas été diffusées en intégralité en Iran. Notamment la finale de championnat asiatique de futsal féminin, pourtant remporté par l’équipe iranienne.

     

  • Pas loin de chez moi, la maire de Montauban Brigitte BAREGES

    (Montauban? moins de 50 km de chez moi)

    Brigitte BAREGES, Les Républicains a sauvé l’honneur

    Face au petit Nicolas Flamel élyséen, elle a réussi à sortir quelques vérités:

    — les étrangers ont des droits supérieurs aux Français, notamment en termes de protection sociale (avec l’aide médicale d’État (AME), un étranger peut s’offrir des lunettes et des soins dentaires sans frais)

    — dans certaines écoles de sa ville aux 70 fichés S, l’arabe a remplacé la langue nationale

    — un Algérien en situation irrégulière a sodomisé une vieille dame montalbanaise de 81 ans sans que cela n’émeuve particulièrement la presse…

    et les pétasse de meetoo ou des balance ton porc, elles sont où, les chiennes de garde... perdues dans leur gauchiasserie décervelée, sans doute.

    Brigitte Barèges a lancé que les Gilets jaunes ne sont pas protégés par les ONG contrairement aux immigrants illégaux. Elle a ajouté que le politiquement correct est en train de ruiner la France.

    Et ses collègues au lieu de l’applaudir l’ont sifflée, huée, auraient bien aimé la lyncher mais le p’tit Macrouille n’a pas souhaité que l’on aille jusque-là. La prochaine fois peut-être?

    Les médias du régime ont persisté dans le train-train habituel: Madame Barèges serait une dame pas très honnête, elle serait soupçonnée de détournement de fonds publics, a refusé un mariage gay avant d’y être contrainte par… un juge.

    La réponse du maître de la jactance a été claire: “L’accueil et l’hébergement sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’État, il a encore augmenté, c’est environ deux milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter“.

    Deux milliards d’euros, le chiffre de notre organisateur de l’inoubliable Fête de la musique sur le perron de l’Élysée paraît approximatif.

    Les mineurs non accompagnés, l’AME, le logement des immigrants illégaux, la scolarisation de leurs nombreuses progénitures, leurs inscriptions dès qu’ils sont régularisés, la délinquance dont ils sont les grands pourvoyeurs (arnaques, viols et petits meurtres), l’installation d’un islam de conquête (mosquées et prétendus centres cultuels), le suivi des fichés S, les massacres à la Kalachnikov ou au couteau, l’apparition de nouvelles maladies et la recrudescence d’anciennes (gale, Sida, tuberculose…), l’augmentation des cas d’IST (Infections sexuellement transmissibles) et de MST (maladies sexuellement transmissibles), les détournements, les fraudes, les escroqueries à la Sécu et aux retraites, ne coûteraient que deux milliards.

    Le banquier de l’Élysée sait-il compter?

    Et pendant ce temps, nos vieux, nos paysans, nos jeunes de souche, nos artisans crèvent dans la France périphérique.

    Après les politicards, les médias, la justice, les forces de l’ordre : les maires.

    Qui, demain, par ses courbettes ternira notre fierté d’être français?

    Les syndicats? C’est déjà fait.

    Les intellectuels? Pour la plupart c’est fait aussi.

    Les enseignants? Pas très brillants avec leur soutien aveugle à l’immigration.

    Les infirmières?

    Les pompiers?

    Espérons que pour ces deux derniers ce ne sera jamais le cas.

    Marcus Graven

    A Toulouse, y'avait une blague qui courrait dans les années soixante:

    Un jour, le chef de gare de Montauban -qui annonçait dans ce temps-là les arrivées des trains dans sa gare au micro- n'a pas coupé assez vite celui-ci et tous les voyageurs ont entendu ceci:

    "Montauban, Montauban, tout le monde descends!....

    et la phrase hilarante: "les cons, comme les intelligents"....

    Et bien, quarante ans plus tard, il y a plus de cons que d'intelligents, à Montauban! C.Q.F.D.

     

  • Moi-même, si je gagne au loto…

    je me casse dès que j'ai un passeport

    La France qui s’expatrie

    La plupart des expatriés ne reviennent pas! Et quand ils reviennent, c’est pour trouver un véritable ENFER bureaucratique.

    Par Frédéric Duval. Contrepoints.org

    Si vous me lisez  régulièrement, vous savez peut-être que j’ai vécu plusieurs années à Prague.

    Durant mon séjour, je fus surpris du nombre impressionnant de Français habitant dans la ville aux mille clochers.

    Lorsque je sortais pour partager une pivo avec mes amis Tchèques, je me retournais régulièrement au doux son de ma langue maternelle. N’y tenant plus j’ai fini par en interpeller un: que faites-vous dans ce quartier, loin des touristes?

    Qui sont ces candidats à l’exil?

    La plupart sont des jeunes en début de carrière. Ils ont fait des études et ne trouvent pas d’opportunités intéressantes en France. Beaucoup veulent changer d’air.

    Ils parlent parfois une ou plusieurs langues étrangères et trouvent très facilement du travail dans cette ville en plein boom.

    Contrairement à la France, la République Tchèque peut se vanter d’avoir le quasi plein emploi: moins de 3 % de chômage alors que la France se rapproche des 10 %.

    D’ailleurs, à Prague, on ne se prive pas pour changer de poste régulièrement tant l’offre est forte sur le marché du travail. Et on en profite forcément pour négocier avec l’employeur un salaire revu à la hausse.

    Quelle différence avec la France!

    Alors oui, les salaires sont plus bas qu’en France… Mais dans un pays où tu paies un euro ta bière et moins de 800 euros un deux pièces en plein centre d’une des plus belles villes du monde, tu ne te plains pas!

    Où vont-ils?

    Sans étonnement, les Français vont là où l’économie tourne, et où il reste des opportunités à saisir! La Suisse est en tête du classement, suivie des États-Unis et du Royaume-Uni:

    Les jeunes sont de plus en plus nombreux à s’exiler parce qu’ils crèvent d’envie de bosser!

    Les destinations "à la mode" sont des pays à l’économie performante. On ne se rend pas en Angleterre pour le beau temps et la gastronomie. Pour preuve, l’Italie et l’Espagne perdent de leur attrait.

    Combien sont-ils à prendre la poudre d’escampette?

    Un peu moins de deux millions d’inscrits dans les consulats… mais l’INSEE pense qu’un expatrié sur deux ne s’enregistre pas.

    On est sans doute proche des 4 à 5 millions. Cela fait environ 5 % de la population française… soit une personne sur 20. Des chiffres effrayants… et qui ne cessent de progresser. Mais pourquoi partent-ils en masse?

    La France tu l’aimes… et tu la quittes

    Ces jeunes que l’on appelle souvent "expats" sont souvent partis pour des raisons purement économiques, loin du cliché de l’exilé fiscal qu’on entend en permanence dans les médias.

    Les politiques nous disent que c’est un bon signe: " Les jeunes vont faire leurs armes à l’étranger pour revenir avec de nouvelles connaissances qui feront la grandeur de la France de demain! "

    La vérité est que la plupart ne reviennent pas! Et quand ils reviennent, c’est pour trouver un véritable ENFER bureaucratique.

    Certains qui envisageaient de rentrer ont même renoncé tant c’est un parcours du combattant.

    Ne serait-ce que pour acquérir un logement, il vous faut:

    Un avis d’imposition français,

    Une fiche de salaire française,

    Un contrat de travail, Etc…

     

    Comment voulez-vous avoir tout cela lorsque vous revenez de plusieurs années à l’étranger? Dans un marché immobilier complètement fermé, même si vous avez un bon capital, la plupart des agences immobilières refusent simplement d’étudier votre dossier!

    Et là je ne parle que du logement… Je vous épargne les démarches administratives (type maison des fous) de l’État français.

    C’est tragiquement simple: Marianne chasse ses propres enfants

    Quand je compare à Prague où il suffit de payer en cash deux loyers au moment de la signature du contrat, le contraste est saisissant. Le seul papier administratif nécessaire? Une copie de ma carte d’identité. Et c’est tout!

    Pour l’emploi, c’est encore plus impressionnant: deux entretiens et on signe un CDI directement.

    C’est là qu’on réalise que notre pays n’est plus une destination pour travailler!

    Du coup il ne faut pas s’étonner qu’ils aillent voir si l’herbe n’est pas plus verte chez nos voisins…

    Prendre son destin en main

    Après discussion avec ces jeunes échappés, je suis resté dépité… et admiratif. Ils ont pris une décision difficile. Ils se sont levés et ont quitté leur cocon, leur confort, et accepté de prendre un risque. J’ai ressenti chez eux cette envie de réussir, cette hargne de celui qui veut faire sa place dans le monde.

    Ils pourraient être en France, au chômage, passer leurs journées devant des jeux vidéo et des séries Netflix et n’avoir comme exigence que des visites régulières à Pôle Emploi; une situation précaire certes, mais sans risque.

    Quand on est jeune, sans enfant et sans responsabilité financière, il est possible de vivre avec un tout petit revenu. Vous vous faites un plat de spaghettis et vous passez vos journées à regarder des séries ou à jouer à des jeux. Au XXIe siècle, il est difficile de s’ennuyer devant la pléthore d’offres de divertissement bon marché.

    Mais ces jeunes expats ont compris qu’on ne doit pas gaspiller sa vie.

    Suivant les conseils de Macron 1er, ils se sont levés et ont traversé… la frontière.

    Plus sérieusement ils ont compris qu’il n’y a rien à attendre dans notre pays, et qu’il vaut mieux aller chercher meilleure fortune ailleurs.

  • Macrouille, une fois de plus, tu déconne!

    "Les gilets jaunes sont des derniers de cordée qui tirent pour faire tomber ceux qui sont en haut! "

    par Charles Sannat

    "Les gilets jaunes sont des derniers de cordée qui tirent pour faire tomber ceux qui sont en haut ! " Cette phrase a été prononcée hier par un éditorialiste, Christophe Barbier, dit l’homme à l’écharpe rouge, sur BFM TV.

    " Les gens en situation de difficulté, on va davantage les responsabiliser car il y en a qui font bien et il y en a qui déconnent "… Cette phrase a été prononcée par le président de la République en marge de son déplacement en Normandie et à quelques kilomètres seulement de mon petit coin normand !

    Le point commun de ces deux phrases est de contenir du juste. Disons-le. Le point commun de ces deux phrases est également de suinter le mépris de classe le plus profond à l’égard de ceux qui souffrent.

    Évidemment que lorsque le sujet de l’ISF est remis sur le tapis, cela peut être perçu par les "riches" comme une volonté des "pauvres" de les faire chuter, mais tout ceci n’est que la rançon d’opposition des uns aux autres ! Mais soyons sérieux, jamais un impôt ne fera chuter les premiers de cordée.

    Barbier, lui aussi, est en pleine lutte des classes. Le véritable sujet ne devrait d’ailleurs pas être celui de l’ISF, mais de la fiscalité des entreprises, et d’une fiscalité écologique qui viendrait en remplacement (pas en supplément comme la taxe carbone) de la fiscalité actuelle et taxerait de manière prohibitive tout ce qui vient de loin !

    Tout ceci est la conséquence d’un manque évident de bienveillance et de simple humanité.

    Le problème des gilets jaunes et soulevé par cette révolution citoyenne, ce n’est justement en aucun cas de jalouser les riches mais de pouvoir vivre dignement de son travail.

    Les revendications de base des gilets jaunes, ce n’est pas de faire la leçon à ceux qui "déconnent" mais au contraire d’avoir du respect pour ceux qui ne déconnent pas et, bien plus nombreux chaque jour, portent, par leur engagement et leur travail pour de petits salaires, la valeur de la dignité.

    Tant que la caste dirigeante manifestera un tel mépris, alors il ne peut pas y avoir de démocratie, de subsidiarité, de respect et de pacification de rapports condamnés à se tendre toujours un peu plus.

    En fait, pour le moment, ceux qui " déconnent " le plus sont situés au plus haut de l’échelle et c’est cette petite caste qui dirige pour ses propres intérêts en omettant trop, visiblement, le bien commun.

    Charles SANNAT