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Sibeth Ndiaye : les Français mangent “plutôt des kebabs” que du homard
Evoquant la démission de François de Rugy, la porte-parole du gouvernement a affirmé que “tout le monde ne mange pas du homard tous les jours, bien souvent on mange plutôt des kebabs”.
Accusé d’avoir donné des dîners fastueux aux frais de l’Etat, François de Rugy a démissionné du gouvernement ce mardi 16 juillet, estimant qu’il ne pouvait pas se défendre correctement en restant en fonction. Un choix qui a surpris alors que le ministre démissionnaire n’avait de cesse de se défendre et de jouer la transparence depuis les révélations de Mediapart. Invitée à réagir à cette démission, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a évoqué l’affaire des homards, dont des photos ont été publiées par Mediapart. " On doit à chaque fois avoir de la mesure, avoir une certaine forme, parfois, de frugalité car je suis bien consciente, nous le sommes tous, que tout le monde ne mange pas du homard tous les jours, bien souvent on mange plutôt des kebabs ", a déclaré la porte-parole du gouvernement.
Ne pas confondre vie personnelle et vie publique
Une manière de simplifier les choses et les goûts culinaires des Français, que certains internautes n’ont pas hésité à moquer sur les réseaux sociaux. " Il faut que nous ayons cette raison qui fait qu’on sait apprécier les choses et on sait doser au bon niveau ses frais de représentation. A aucun moment il ne faut confondre ce qui est notre vie personnelle et les dépenses qu’on a dans un cadre personnel et ce qui est notre vie publique, ce sont deux choses différentes ", ajoute-t-elle. Selon la membre du gouvernement, " notre exemplarité se mesure aussi à notre capacité à bien discerner les choses ".
Lors d’une interview sur RMC vendredi 12 juillet, François de Rugy s’était défendu en affirmant qu’il était allergique aux fruits de mer. En annonçant sa démission sur Facebook, le ministre a expliqué que " les attaques et le lynchage médiatique dont ma famille fait l’objet me conduisent aujourd’hui à prendre le recul nécessaire. La mobilisation nécessaire fait que je ne suis pas en mesure d’assumer sereinement et efficacement la mission que m’ont confiée le président la République et le Premier ministre ".
PERSO: je n'en ai jamais mangé: et que le croquemitaine me croque si j'en avale un jour!
Je préfère la viande de mon boucher: au moins, je sais ce que je mange!
Il n'y aurait aucune des ces harpies encore en train de nous faire ch…..
Tourcoing (59) : une association "féministe" compare l’interdiction du burkini à l’Holocauste
Zakia Meziani, présidente de l’association féministe et antiraciste Identité plurielle et ancienne candidate EELV aux élections cantonales en 2015, s’insurge contre l’interdiction du burkini (maillot de bain intégral) dans les piscines municipales. Alors que des associations ont tenté des coups de force pour l’imposer à Villeurbanne ou Grenoble, Zakia Meziani a réagi sur sa page Facebook à un sondage du Figaro interrogeant ses lecteurs sur le point de savoir si une loi était nécessaire sur le sujet. […]
La Voix du Nord
Ben dis donc, les écervelé-es qui ont voté pour EELV aux régionales étaient au courant de cela?
Metz (57): Khaled L. jugé pour avoir tué "sa 2e compagne avec le couteau réservé habituellement au sacrifice des moutons "
La cour d’assises de la Moselle a condamné, ce vendredi, Khaled Lamri a 20 ans de réclusion criminelle. Le 27 avril 2017, il avait poignardé de 11 coups de couteau Alison Stoquert-Vix avec laquelle il entretenait, une relation depuis 9 ans.
[…]
"La réalité est toujours différente des images d’Épinal", constate Me Éric Munier, voix des parents de la victime, absents à l’audience. Il évoque "un assassinat avec un incroyable acharnement! Deux minutes pour donner 11 coups de couteau et arriver au but qu’on s’est fixé." À côté, sur le banc des parties civiles, Me Chapuis parle pour les fils d’Alison. Aujourd’hui âgés de 3 et 10 ans, "ils vivent en famille d’accueil, parce que personne n’a voulu d’eux dans leur famille. Sous la tutelle de l’État, ils sont presque un peu nos enfants à nous tous. Une blessure narcissique a conduit l’accusé à commettre l’irréparable. Les enfants vont grandir amputés de l’amour d’une mère et de la protection d’un père."
[…]
Le Quotidien (LU)
28 Juin 2019
Pendant neuf ans, Khaled Lamri s’est partagé entre sa femme et ses deux enfants à Metz, mais aussi son foyer avec Alison Stoquert-Vix et deux autres enfants à Jœuf. Elle s’impatientait de le voir divorcer. Après une énième dispute, la pression a été trop forte. Il l’a tuée sur la route à Rombas.
[…]
Le Messin de 44 ans est de retour le lendemain matin, mais avec les menottes aux poignets et la police. Elle vient perquisitionner l’appartement pour retrouver cette mallette fermée par une serrure à code, dans laquelle le Mosellan a pris un couteau habituellement utilisé pour le sacrifice rituel des moutons. Mais la veille, vers 18h40, cette lame a tué Alison Stoquert-Vix, 27 ans à l’époque. La jeune femme a succombé à l’unique coup létal sur les onze donnés avec cette lame de 21 cm
[…]
Elle a 18 ans, il flashe, elle aussi, sans savoir que son rêve de couple n’aboutira jamais. Khaled est marié et père de deux enfants. Pourtant, malheureux en couple avec une épouse qui connaît sa double vie, il ne veut pas divorcer.
[…]
La victime humilie Khaled qui frappe, tue et reste prostré contre un arbre à quelques mètres de son couteau fiché dans le sol. Il ne peut toujours pas le regarder quand ce scellé est présenté à la cour.
"Sa va?", "y’a-t-il", "j’ai été amener"... Ces fautes d’orthographe qui piquent les yeux
Figaro Le figaro.fr
En France, 70% des employeurs considèrent le niveau grammatical et lexical des étudiants, faible. Tour d’horizon, grâce à l’ouvrage Le Bled des 100 fautes à ne plus faire! d’Aurore Ponsonnet, de ces erreurs à éviter.
Il y a ce chiffre saisissant: en France, 81% des entreprises considèrent l’absence de maîtrise de l’orthographe comme un point bloquant pour le recrutement d’un cadre. Mais également, celui-ci: 70% des employeurs considèrent le niveau grammatical et lexical des étudiants, faible. Plus que jamais, la maîtrise de la langue française est essentielle. C’est pourquoi Le Figaro, grâce au Bled des 100 fautes à ne plus faire! (Hachette) d’Aurore Ponsonnet, vous propose un tour d’horizon de ces erreurs qui piquent les yeux.
"J’ai été amener à..." ou "j’ai été amené à..."
L’erreur est fréquente et bien trop indiscrète pour passer inaperçue. Imaginez que votre potentiel employeur tombe sur cette faute de conjugaison dans votre lettre de motivation! Selon les experts, vous n’avez que très peu de chances d’être retenu.
Ainsi prenez ce cas: "J’ai été amener à travailler auprès du service d’aide médicale". Il faut écrire: "J’ai été amené à (...)" comme indique la règle: "Dans la voix passive, le sujet subit l’action, il est passif. Le complément d’agent est le véritable acteur, il est introduit par la préposition par".
La voix passive se construit ainsi: sujet "passif" + auxiliaire "être" + participe passé (action subie) + complément d’agent".
(on peut le mettre au féminin, bien sûr: j'ai été amenée: verbe avoir été; “voie passive: késako? on ne me l'a pas enseigné sous ce vocable; conjugaison au participe passé“).
"Tout" ou "tous"?
"Tout mes remerciements pour notre échange de ce matin". Aïe. Elle pique les yeux.
Il faut retenir que lorsque "tout" est un déterminant indéfini (lorsqu’il précède un nom), il varie en genre et en nombre en fonction du nom qu’il détermine. Ainsi faut-il écrire: "Tous mes remerciements", "tous les hommes" ou encore, "toutes les femmes".
"Votre" ou "vôtre"?
"Je me tiens à vôtre disposition pour plus d’informations..." Attention: "vôtre", comme "nôtre", est un pronom possessif. Ainsi, ils remplacent les noms. Exemple: "J’aime beaucoup mon jardin. Aimez-vous le vôtre?" Ici, "le vôtre" se substitue à "jardin".
"Votre" et "notre" sont des déterminants possessifs. "Le déterminant est un mot qui précède le nom et qui précise son genre et son nombre". Le déterminant possessif indique la possession. Exemple: "Notre fille est première de la classe".
(déterminant, késako??? ce n'est pas parce que l'on change le nom que les jeunes écrivent sans faute(s) CQFD).)
"J’ai fait" ou "j’ai fais"?
"Cette erreur donne un a priori négatif, car on sait que le courrier n’a pas été relu. Attention, si une autre faute du même type apparaît, c’est le rejet assuré!", assure Nicolas Vidal, ingénieur responsable de programmes immobiliers dans Le Bled des “100 fautes à ne plus faire!".
En effet, il ne faut pas écrire "J’ai fais preuve d’enthousiasme" mais "j’ai fait preuve d’enthousiasme". Voici la manière dont une phrase au passé composé se construit: auxiliaire "avoir" ou "être" au présent + participe du verbe (action révolue).
"Salut, sa va?" ou "salut, ça va?"
Cela a été prouvé: l’orthographe est une arme de séduction. La maîtriser vous donne plus de chances de rencontrer l’amour de votre vie, notamment sur les sites de rencontre.
Ainsi, ne soyez pas étonnés de l’absence d’une réponse si vous avez envoyé un "salut, sa va?" Le mot "sa" est un adjectif possessif, c’est-à-dire qui marque l’appartenance. "Ça" (ou "cela"), lui, est un pronom démonstratif neutre. Il désigne une chose, une idée. Ainsi faut-il écrire: "Salut, ça va?"
"Y a-t-il?" ou "y’a-t-il"?
Comme le rappellent les sages de l’Académie française sur le site Dire/ Ne pas dire , "l’apostrophe note l’élision d’une voyelle placée en fin de mot devant un autre mot commençant également par une voyelle ou un h muet". Cela permet d’éviter un hiatus.
Exemple: au lieu d’écrire "je aime", on écrit "j’aime" ; "il t’attend" au lieu "il te attend".
En revanche, on évitera d’écrire "y’a-t-il" car ni le y ni le t ne sont des formes qui résultent d’une élision.
Dans ce cas de figure, le t ne renvoie pas au prénom "te", "mais une lettre euphonique que l’on emploie pour éviter un hiatus disgracieux". Ainsi, il faut orthographier: "Y a-t-il".
"L’ami de Pierre" ou "l’ami à Pierre"?
L’erreur se rencontre surtout à l’oral. "C’est l’ami à Julie qui vient me récupérer" est en effet incorrect.
Car, comme le rappelle l’Académie française, "la préposition à marque normalement l’appartenance après un verbe". Exemple: "Cette maison est à notre ami". Il peut être employé avec la même valeur devant un pronom: "Un ami à nous". Ou encore, pour reprendre un possessif: "C’est ma manière à moi".
Mais c’est une faute que de le placer entre deux noms même si cela se faisait dans l’ancienne langue (par archaïsme, on dit encore "une bête à Bon Dieu"). Ainsi faut-il écrire: "l’ami de Julie vient me récupérer".
Bah: et la prononciation? marre et archi-marre d'entendre: quartiers zizolés; je m'appelle tolivier; divers zévariés, territoires zoccupés, personnes zandicapées; Dupont-taignan (cela vous plairez à vous, que l'on matraque votre nom de famille?) etc… etc…
ENFONCEZ VOUS CELA DANS LE CRANE!
Si ce n'est pas écrit, ce n'est pas dit!
Donc, articulez: le son de votre voix s'imprègne dans votre cerveau, à lire ceci:
Rares sont les artisans dans le Vieux Nice qui perpétuent la tradition des palmes tressées. Devant la cathédrale de Nice, il n’a y a plus que deux étals. Ils appartiennent à la même génération, car la technique se transmet de génération en génération.
Motifs traditionnels ou fantaisistes, simples ou élaborés, depuis plus de 80 ans, la famille Vaseli tresse des motifs avec le cœur des palmiers.
[…] La fête des Rameaux marquera alors le début de la semaine sainte. Signe de vitalité, il était autrefois déposé sur les tombes ou exposé dans le foyer.
"Les fidèles portent les rameaux chez eux et se souviennent que dans la vie, il y a lumière et ténèbres, joie, peine et difficultés et que c’est tout cela qui tisse une vie humaine“. Père Michel Angella, Recteur de la cathédrale Sainte-Réparate,
Ne répondant à aucune prescription de l’Église, les rameaux en France présentent une grande variété de végétaux correspondant à la variété des zones climatiques: laurier, olivier, buis, romarin… Si la coutume est respectée, tous ont un point commun: être brûlés au bout d’une année. L’entrée d’un jeune rameau dans sa maison marque le début d’une nouvelle année liturgique.