Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

occitanie - Page 183

  • A Toulouse on dit: …conne comme la lune!

    Après les pansements, Rokhaya Diallo s’attaque au fond de teint, aux oreillettes, aux collants couleur chair et au CAP coiffure racistes; aux robes de mariées???? aux roses blanches?????

    J'ai supprimé l'écriture inclusive dans ce texte: je vais pas tomber dans la conn... de ces filles débiles! SVP: plus d'insultes à l'intelligence humaine!

    "Quelques personnes m’ont signalé l’existence de pansements conçus pour des peaux sombres: ces pansements existent aux Etats-Unis, pays éminemment capitaliste où les besoins des minorités sont pris en compte par les industries tout simplement parce qu’ils rapportent de l’argent. Mais en France je n’en ai jamais vus de mes yeux. Il est possible de s’en procurer mais il faut les commander sur Internet quand il suffit a d’autres de se rendre au supermarché du coin. Ces détails qui peuvent sembler anodins, sont en réalité la source de nombreux tracas pour les personnes dont l’apparence ne correspond pas à la norme dominante.

    "Il n’y a pas que les sparadraps qui sont inadaptés aux personnes noires. Il y a le maquillage, les shampoings, les oreillettes sur les plateaux télé, les collants couleur " nude (hein?) ", les lunettes…"

    En France, le CAP de coiffure ne forme pas les diplomées au soin des cheveux crépus. Ce diplôme pourtant délivré par l’Etat, censé être celui de tous les Français-e ne tient pas compte des besoins d’une part non négligeable de la population. Comme si cette population n’existait pas. (quand on est en France, on se démerde… ma pauvre fille! y'a plein de salon maintenant pour des couil… de ton genre… la France, c'est pour les vrais Français: que ça te plaise ou pas… et si ça te plait pas, retourne sur ton baobab!)

    Cette omission se traduit de manière très concrète dans le quotidien de ces personnes. Elles sont contraintes de fréquenter des salons de coiffure concentrés dans certains quartiers (quand elles ont la chance de vivre dans de grandes villes et en particulier à Paris), de solliciter les services de coiffeuses à domicile ou de se rendre dans les quelques salons haut de gamme réservés à celles et ceux qui en ont les moyens. Dans tous les cas, le choix est réduit et le coût amplifié. Lorsque pour la première fois de ma vie mes cheveux crépus ont été coiffés correctement dans un salon de coiffure confortable, j’avais 35 ans! Il m’a fallu des années pour rencontrer Nicole Pembrook, (vas-y la pub pour la pouffe qui te resemble!) une coiffeuse capable de me proposer une véritable coiffure, imaginée pour mes cheveux crépus. Or Nicole est une Afro-Américaine qui une fois installée à Paris n’en est pas revenue de l’état désolant des cheveux des femmes noires qu’elle croisait dans la rue. (les produits anti-frisages, y'a un peu longtemps que ça existe en France!!!)

    Dans la même logique, le fait de ne pas pouvoir trouver facilement des produits cosmétiques adaptés à sa carnation ou à son type de cheveux est un casse-tête pour beaucoup d’entre nous. Certains grands groupes comme Garnier ou L’Oreal ont lancé leurs propres gammes (dont certaines proposent curieusement un même produit pour cheveux frisés et défrisés comme si les besoins étaient indifférents.). C’est une belle avancée, mais cela ne règle pas le problème du peu de choix et de l’accessibilité de ces produits qui devraient être disponibles dans n’importe quelle pharmacie ou supermarché ce qui est loin d’être le cas. (…) (menteuse, ça fait des tas d'années qu'on en trouve… t'a qu'a chercher, hé grosse andouille!)

    www.buzzfeed.com

     

  • Cette gauchiasse qui en fait trop!!!!

    73 ans après le 8 mai 1945, nous sommes tous juifs

    Nous sommes tous juifs, parce que l’Holocauste hante notre histoire et nous impose un devoir de mémoire à l’égard de ses victimes. C’est pourquoi il faut éviter les analogies politiques douteuses qui servent les intérêts politiques du moment.

    Par Drieu Godefridi.

    En cette période de mémoire de l’assassinat de six millions de Juifs par les criminels nazis et leurs suppôts, il est utile de réfléchir à notre rapport comme Européens à cette abomination qui fait partie intégrante de notre histoire, pour en tirer quelques leçons actuelles.

    Né trente ans après la Seconde guerre mondiale, j’ai toujours éprouvé une forte réticence à l’égard d’un certain discours consistant à nous présenter, en tant qu’Européens, comme co-responsables de ce crime contre l’humanité.

    Cette idée de co-responsabilité repose sur des mythes qui sont précisément ceux qui fondent l’antisémitisme, savoir la responsabilité collective et la responsabilité collective à travers les âges.

    Ce sont les mêmes billevesées que soutenaient les auteurs tâchant d’imputer aux Juifs contemporains la co-responsabilité de la mort du Christ et autre fait historique. Jean-Paul Sartre a démontré tout cela dans sa Question juive, même s’il n’en a pas tiré les conséquences qui s’imposaient.

    Nous sommes responsables de nos actes

    Nous ne sommes responsables que de nos actes, et non des crimes de nos ancêtres. Mais nous ne sommes pas non plus des créatures abstraites, jaillies directement du sein de la Terre. Nous sommes les héritiers d’une civilisation et d’une histoire, que l’on tient à juste titre pour l’une des plus fabuleuses de mémoire d’homme.

    Or, c’est précisément dans le cœur de cette civilisation qu’est née l’abomination national-socialiste : ne nous voilà pas de retour au point initial, celui d’une sorte de co-responsabilité à l’égard de crimes qui ont précédé notre naissance ?

    Je ne le crois pas. Car ce n’est pas la civilisation occidentale qui est l’auteur de ce crime, pas même la culture allemande. Ce sont des idées et des idéologies précises, qui furent développées et formulées bien avant que Hitler et ses sbires n’accèdent au pouvoir. (Cette généalogie intellectuelle est retracée dans La passion de l’égalité — essai sur la civilisation socialiste).

    Les nazis étaient socialistes et nationalistes

    Hitler et les théoriciens nationaux-socialistes étaient, idéologiquement parlant, des socialistes au sens strict — ils ne se sont pas revendiqués du socialisme par hasard ! — dont la plupart des catégories étaient d’ailleurs marxiennes ; leur spécificité étant de marier ce socialisme au nationalisme racial.

    Ce n’est pas l’individu et la liberté qu’exaltaient les nationaux-socialistes allemands, c’est la communauté, la solidarité, l’égalité réelle : la solidarité raciale que proclamait Hitler dans un discours infect de 1920 (infect parce que porteur d’une haine virulente et si manifeste qu’elle annonçait nettement tout ce qui allait suivre).

    Nous avons le devoir de nous souvenir de quelle source intellectuelle les crimes nazis sont nés. Les crimes politiques ne naissent pas de la malveillance d’un esprit : ils sont la résultante de la mise en pratique d’idées fausses.

    Dans le cas de l’Holocauste, ces idées sont le national-socialisme qui, en exaltant le collectif de la race, réduit l’individu au statut d’utilité, de rouage, de variable disponible ; d’ennemi mortel quand il relève d’un autre groupe ou qu’il cultive sa propre individualité (le bourgeois, qu’Hitler exécrait autant que Marx, souvent dans les mêmes termes !). Loin d’être le fruit maudit de la civilisation occidentale, le national-socialisme en est la négation absolue, en valeurs comme en théorie.

    Éviter les analogies douteuses

    Nous avons le devoir de respecter la singularité de ces crimes, en nous préservant d’analogies douteuses. Quand, de nos jours, une certaine gauche qualifie de rafles des opérations de police visant à contrôler des personnes en séjour illégal sur le territoire européen, elle convoque de façon perfide les fantômes du passé.

    Car s’il est vrai qu’historiquement le mot rafle existait avant les Nazis et Vichy, il ne l’est pas moins que les rafles de Juifs par les Nazis ont si cruellement stigmatisé notre histoire que toute utilisation du mot “rafle”, en français, mobilise nécessairement le spectre sordide de ce régime.

    Cet amalgame fait injure à nos forces de l’ordre — assimilées du fait même à des SS, à ces Einsatzgruppen avides de meurtre qui écumaient les campagnes — il est une injure aux enfants, aux hommes et aux femmes gazés par les nazis, abattus d’une balle dans la nuque, torturés, néantisés dans leur humanité parce que Juifs. Le but, l’objet même, de la rafle nazie était le meurtre.

    Les justes

    De même, le fait de qualifier de “justes” les personnes qui hébergent des migrants en situation illégale. Les Justes furent reconnus comme tels par Israël pour avoir caché des Juifs pendant la guerre.

    Ces justes — ils l’étaient, infiniment, et courageux au sens vrai de ce terme ! — quand on les arrêtait, étaient torturés, déportés vers des camps d’extermination, quand ils n’étaient pas exécutés sur place, souvent avec des membres de leur famille. Là encore, la comparaison n’est pas seulement fausse, elle est impardonnable.

    Nous sommes tous Juifs, parce que l’Holocauste hante notre histoire et nous impose un devoir de mémoire à l’égard de ses victimes.

    Contrepoints.org

  • Encore une chance pour la France.....

     Lyon : un migrant clandestin viole sauvagement une dame de 87 ans pendant deux heures avant de piller son appartement

    Grâce à de l’ADN retrouvée sur place, la police a réussi à rapidement identifier un suspect. Il s’agissait d’un individu sans-papier arrivé à Lyon quelques mois auparavant et qui vivait dans la rue. Les forces de l’ordre le connaissaient déjà car il avait réalisé plusieurs cambriolages dans l’agglomération, parfois avec violences.

    L’homme a été repéré lundi après-midi à la Guillotière puis interpellé. En possession d’une bague appartenant à l’octogénaire, il n’a pas vraiment pu nier les faits. D’autant que son ADN matche avec celle retrouvée au domicile de la victime.

    Lors de sa garde à vue, l’individu originaire du Maghreb a tenté de s’en sortir en expliquant être seulement âgé de 16 ans. Puis il a expliqué aux enquêteurs que sa victime était consentante.

    Une version qu’il n’a pas pu tenir face à l’octogénaire lors de leur confrontation. Cette dernière a soutenu son regard, obtenant ainsi des aveux complets du violeur.

    www.lyonmag.com

    Déterminée, la police lyonnaise a réussi à confondre, identifier et retrouver en moins de dix jours un homme sans domicile fixe ni identité claire, suspecté du viol d’une dame âgée de 87 ans, perpétré à l’occasion d’un cambriolage nocturne.

    Les faits se sont produits dans la nuit du dimanche 22 avril dernier. Vers 2 heures du matin, l’homme rentre par effraction dans un domicile, situé dans un immeuble du 9e arrondissement de Lyon. La locataire, seule chez elle, l’entend, se réveille et le surprend. Le malfaiteur s’en prend sans vergogne à l’octogénaire.

    Visage dissimulé par un foulard, ganté, armé d’un couteau, il la viole, sauvagement. La scène dure près de deux heures. En puisant toutes ses forces, la victime parvient à le désarmer.

    Le Progrès

  • Livre

    L'EMBAUMEUR ET LES MORTS

    Olivier Emphoux est embaumeur. Avec l'aide d'Annette Geffroy, il livre des témoignages sur ses expériences professionnelles. Il a déjà sorti plusieurs livres et va partout sur les plateaux et médias pour en faire la promotion.

    Je n'ai lu AUCUN de ses livres. Je veux juste réagir sur son assertion: “je ne suis pas voyant“ (le voyant prédit l'avenir, monsieur) “ni médium“ (les médiums seraient une catégorie “élite“ dans la voyance… bobard des tireurs et tireuses de cartes).

    Explication très précise:

    Un médium, regardez sur le dictionnaire: c'est un intermédiaire, (entre les morts et les vivants?) c'est aussi la taille des vêtements, en angliche s'entend!!! Malgré les publicités d'escrocs qui s'affirment “médium“ parce que “cela fait bien“ dans le CV, un médium n'est pas un ou une voyante. Un médium est la personne qui fait l'intermédiaire entre les morts et qui donnent de leurs nouvelles aux vivants. Au début du siècle dernier, on appelait ainsi les spirites (ceux qui faisaient “tourner les tables“).

    Il fut un temps, au début de ma carrière, où les médiums étaient flores à Toulouse, ma ville, et sans doute, un peu partout en France. Il s'agissait de personnes de la profession qui affirmaient être en contact avec les morts de votre entourage. J'en ai rencontré un qui me décrivit ma grand-mère. C'était un portrait qui convenait à toutes les grand-mères de France et de Navarre mais pas à la mienne (paternelle s'entend) qui était totalement atypique). Depuis, ma religion est faite concernant ces crétin-es!

    Pour avoir plus de 30 ans d'expérience dans la profession mortuaire et parce qu'il respecte les morts qui lui “passent“ entre ses mains, cet embaumeur à fini par “sentir“ des “choses“ venant des décédés. C'était obligatoire. Explication plus loin.

    Cependant, là où le bat me blesse, c'est qu'il se permet de dire haut et fort: la vie après la mort existe. Faux. J'ai déjà parlé de ma théorie (au début de ma carrière, intuitive, puis, scientifiquement prouvée depuis): nos souvenirs, sensations, idées, impressions ne s'inscrivent pas dans notre cerveau mais dans une sorte de “sac“ invisible, qui nous suit en permanence et dans lequel s'entasse, à chaque seconde, tous les éléments de notre vie quotidienne. Ce sac invisible que j'appelle “sac mémoriel“ est relié à notre être organique par une corde invisible mais vibratoire, tout comme est le sac l'est.

    Quand nous mourrons, ce lien met un jour ou deux pour se détacher de nous et rejoindre le continuum de l'Inconscient collectif. Parfois, ce sac (invisible toujours, je rappelle) peut rester à proximité du décédé: c'est ce “sentiment là“ que nous pouvons ressentir. Tous. De façon plus ou moins consciente. Notamment en cas de décès brutal et imprévisible de l'être aimé.

    Et ce monsieur Emphoux qui est au contact permanent des morts, a fini par ressentir ces vibrations invisibles et les percevoir -de façon plus forte- que la majorité des gens s'entend. Mais, les défunts ne lui sont pas connus: il n'a donc aucune relation d'amitié ou tendresse familiale avec ces personnes. Ho! je suis persuadée qu'avec son “émotion“ compassionnelle d'humain (ce monsieur à l'air d'être quelqu'un de raisonnable et d'amical“ il “sent“ bien des “choses venant“ des personnes défuntes.

    Mais, cela s'arrête là. Il ne pourra jamais raconter la vie de ces gens. Seul-e une voyante de mon style fait de la rétrocognition et raconte des bribes de la vie du décédé. Je suis persuadée que cet embaumeur “ressent“ des choses, qu'il peut -même- voir des phénomènes se produire. Dont la lévitation d'un corps, un jour. Je pense que c'est dû simplement à la puissante “télépsychie“ du décédé: c'est depuis le “sac mémoriel“ que lui parvient de fortes vibrations qui peuvent interférer avec son instant présent. Et lui donner l'impression forte que le décédé lui passe un message.

    Pour affirmer que la vie après la mort existe, il devrait pouvoir nous raconter 10 ou 20 000 anecdotes très précises et détaillées (puisque c'est le nombre de défunts -la fourchette varie selon les interviewes qu'il donne, mais c'est un détail) dont il s'est occupé. Il n'y a aucune raison pour que certains morts “parlent“ et d'autres pas. Et puis, pourquoi seulement à lui et pas à leur famille.

    Ce n'est pas parce qu'il a lu ou écouté des conférences et autres vidéos d'un anesthésiste toulousain qui va partout -avec toute une smala de perturbé-es de la cervelle- et qui s'appuie sur ses études longues et “scientifiques“ pour monter une sorte de secte de "croyants au retour des morts" qu'il doit se mettre à leur diapason et affirmer haut et fort que la vie existe après la mort.

    Arrêtez -TOUS- vos affirmations qui ne sont pas scientifiquement prouvées!

    https://youtu.be/ZRQyLMxq-Z4

     

     

  • Incroyable et même phénoménal!

    Une chercheuse fait l'incroyable découverte d'extraits de la Bible effacés d'un manuscrit coranique datant du VIIIe siècle 

    Éléonore Cellard est chercheuse au Collège de France, auteur d’une thèse intitulée "la transmission manuscrite du Coran", un sujet de recherche lui conférant un statut de spécialiste en la matière. C’est justement pendant qu’elle étudiait un fragment manuscrit du Coran datant du VIIIe siècle qu’elle a fait une surprenante découverte : la présence d’un palimpseste, c’est-à-dire de phrases effacées d’un manuscrit, puis recouvertes de nouvelles en remplacement.

    Les phrases révélées par Éléonore Cellard sur le manuscrit coranique ne viennent de nul autre qu’un autre livre religieux, à savoir la Bible.

    Le précieux document, vraisemblablement égyptien, et vieux de 13 siècles, a été vendu lors d’une vente aux enchères organisée par Christie’s pour la coquette somme de 597 750 livres sterling, soit environ 678 504 euros, dépassant largement sa valeur initialement estimée, selon le Huff Post.

    Christie’s avait au préalable pris le soin de répondre favorablement à la requête d’Éléonore Cellard, et lui avait fait parvenir des numérisations afin qu’elle puisse étudier le parchemin à son bon vouloir. C’est au cours de ses analyses qu’elle a ainsi pu découvrir des phrases effacées sur le manuscrit, et remplacées par d’autres, une pratique courante à une époque où les supports d’écriture étaient extrêmement rares, et chers. Les textes les plus divers étaient ainsi régulièrement supplantés par d’autres. Néanmoins, ce cas de figure était extrêmement rare en ce qui concerne les textes religieux, au caractère sacré, intouchable.

    On situe l’Hégire, qui marque le début de l’ère musulmane, à l’année 622 de notre calendrier. Le manuscrit étudié par Éléonore Cellard daterait du VIIIe siècle, soit deux siècles après l’Hégire, et donc relativement tôt à l’échelle de la civilisation musulmane. Derrière le texte coranique copte se cachait un passage écrit en sahidique, dialecte dérivé du copte parlé par les Chrétiens égyptiens, issu du Deutéronome, le cinquième livre de la Bible hébraïque. Comme l’a si bien dit au Guardian Éléonore Cellard :

    "Nous avons ici un témoin des interactions culturelles entre les différentes communautés religieuses". Ce qui prouve bien que cette religion débutante ne demandait pas la mort de ceux qui ne la pratiquent pas!

    Christianisme et Islam auraient ainsi été des vases communicants à l’époque de l’émergence de la civilisation musulmane en Égypte. Pourquoi le passage biblique a-t-il exactement été remplacé? D'où et quand provient précisément ce manuscrit? De passionnantes questions gravitent toujours autour de ce parchemin qui n’a pas fini de révéler tous ses secrets, et qui constitue un trésor inestimable pour tous les historiens, pressés de voir les réponses qui en émergeront.

    https://www.demotivateur.fr/article/une-chercheuse-fait-l-incroyable-decouverte-d-extraits-de-la-bible-effaces-d-un-manuscrit-coranique-datant-du-viiie-siecle-13362

     

  • Macrouille un jour… macrouille toujours

    Emmanuel Macron aime briller dans la langue de Shakespeare, même s’il n’en connaît pas toutes les subtilités.

    Emmanuel Macron, pour remercier ses hôtes australiens de leur accueil, a qualifié l’épouse du Premier ministre de "delicious": "Thank you and your delicious wife for your warm welcome", s’est-il exclamé, dans un anglais qui eût été parfait sans l’utilisation d’une épithète qui ne s’emploie guère que pour un plat, ou avec une connotation sexuelle. Le Premier ministre australien est resté impassible. Quelle eût été la réaction de notre Président si, lui retournant le compliment, il avait dit de Brigitte, en français, qu’elle était appétissante ou aguichante?

    La presse et les réseaux sociaux anglophones s’en sont donné à cœur joie, se gaussant de " la bourde merveilleusement délicieuse de Macron“ (" Macron’s slip delightfully delicious"). Le Daily Telegraph le compare à Pépé le Putois (Pepé le Pew), un personnage de dessin animé célèbre aux États-Unis, qui incarne le stéréotype du Français pour les Anglo-Saxons: séducteur, dragueur, tactile, un tantinet pesant, avec une hygiène laissant à désirer.

    Les commentaires qu’on peut lire sur Internet sont tantôt indulgents: on le compare à d’autres présidents, notamment François Hollande, qui ne savait pas aligner trois mots d’anglais; ou l’on juge plus important qu’il ait signé des contrats commerciaux (c’est fou comme les chefs d’État modernes se muent en commis voyageurs!). Tantôt plus sévères: on estime qu’il pourrait aussi exporter la langue française.