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occitanie - Page 205

  • Discrimination anti-vieux!

    Je dirai même plus! RACISME ANTI-VIEUX!

     Source

     

    Pour payer ses impôts par ordinateur, il faut  au minimum:

    un ordi, une connexion qui marche, les connaissances du fonctionnement du PC et d'internet et du site des impôts.

    Beaucoup de patience car ce n'est pas toujours très simple

    Des connaissances en comptabilité etc...

    Éventuellement un réparateur de PC pas cher!

    De l'électricité

    Deux mains et pas d'arthrose ou rhumatisme!

    voir clair (avoir des lunettes et être bien corrigée, par ex ),

    Un système nerveux en bon état (pas de parkinson, de séquelles d'AVC etc.)

    Un cerveau “jeune“ et l'envie de se servir d'un PC  (certaines personnes brillantes mais artistiques n'ont pas le gout de cela)

    Il n'y a pas que Geneviève 89 ans qui ne pourra pas payer par informatique….

  • Pôôôôvres ponctionnaires! ils vont être HUMILIES!

    Au Conseil régional d'Île-de-France, il faudra désormais travailler 35 heures par semaine

    Les 1900 agents qui travaillent au siège de la région Île-de-France devront travailler 1607 heures par an contre 1568 actuellement. Une augmentation du temps de travail qui met fin à un système dérogatoire.

    Au siège de la région Île-de-France, c'est un vote qui fait grincer des dents. Et pourtant, il ne fait que rétablir une durée légale du travail. Le Conseil régional a adopté, vendredi 24 novembre, en séance plénière, un texte qui augmente le temps de travail de ses agents au 1er janvier 2018. Pour l'instant, les fonctionnaires - du siège - travaillent 1568 heures par an, mais ils passeront à 1607 heures (soit 35 heures par semaine) l'année prochaine. Soit une augmentation de 39 heures de travail au total.

    Ce chiffre n'a pas été choisi au hasard: il correspond aux nombres d'heures légales à effectuer par an pour les fonctionnaires territoriaux soit...35 heures par semaine. Par ce vote, la région Île-de-France met fin à un système dérogatoire mais légal qui date de 2001, et s'aligne sur une préconisation du rapport rendu en mai 2016 par Philippe Laurent, maire (UDI) de Sceaux et président du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale à Annick Girardin, alors ministre de la Fonction publique.

    Rogner sur les congés

    "La région se devait de passer aux 35 heures, souligne au Figaro la vice-présidente (LR) Marie-Caroline Ciuntu, en charge de l'administration et des lycées en Ile-de-France. Nous sommes dans un contexte où il est normal de faire attention à nos frais de fonctionnement, et que les agents participent à l'effort."

    Concrètement, pour les 1900 fonctionnaires concernés, cela représente 5 jours de congé en moins sur un total de 53 par an. En parallèle, il est aussi prévu de réduire le nombre de jours accordés pour les autorisations d'absences exceptionnelles. "Cela représente au total une trentaine de journées supprimées", rapporte la CGT, contactée par Le Figaro.

    Escrocs de l'intelligence humaine!

    De son côté, Marie-Caroline Ciuntu nuance: "Les syndicats oublient de préciser que parallèlement (NDLR: aux jours de congé supprimés) nous avons ouvert plus largement ces autorisations. Ainsi, par exemple, autrefois pour le mariage d'un agent, il lui était accordé 8 jours, c'est désormais 5. Mais dans le même temps, on a par exemple reconnu l'existence des familles recomposées."

    Le vote de vendredi dernier désole la CGT qui pourfend la remise en cause "d'un accord tout à fait légal". "C'est afficher une volonté d'en découdre avec les agents", poursuit le syndicat. Et la CGT de rappeler qu'au siège "une cinquantaine de postes sont supprimés chaque année, en plus de départs à la retraite non remplacés."

    Toutefois, tous les fonctionnaires territoriaux d'Île-de-France ne sont pas concernés par la mesure.  BIEN DOMMAGE! Le Conseil régional a pris en compte la pénibilité du travail des 8500 agents techniques des lycées. "Cette pénibilité tient aux horaires, aux charges physiques, à l'exposition parfois à des produits dangereux, ou encore à l'explosion des effectifs dans les lycées qui n'a pas été anticipée lors de la précédente mandature", appuie la vice-présidente Ciuntu. Satisfait de cette prise en compte, à la CGT, on confie toute de même: "Madame Pécresse a reconnu la pénibilité pour ces agents (NDLR: les agents techniques des lycées), car en réalité il y avait des menaces de grèves dans les cantines."

    La fin d'un système dérogatoire

    Cette augmentation, n'est en réalité qu'un rattrapage du taux légal. En effet, depuis la mise en place de l'Aménagement et de la réduction du temps de travail dans la fonction publique (ARTT) en 2000, la durée du travail dans la fonction publique a été portée à 1607 heures par an (ce qui équivaut à 35 heures par semaine). Un chiffre que beaucoup d'administrations territoriales ont contourné grâce à une loi du 3 janvier 2001 qui a permis de conserver des systèmes anciens de fonctionnement.

    Le siège de la région Île-de-France doit quitter Paris début 2018 pour Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Les agents seront-ils davantage contrôlés dans le bâtiment flambant neuf? Y aura-t-il, par exemple, un système de badgeuse? "Le système de badges n'est pas envisagé, coupe Marie-Caroline Ciuntu. Nous souhaitons promouvoir la confiance et la responsabilisation des agents".

    La confiance???? avec des ponctionnaires?

    saintdikalisés jusqu'aux oreilles????? avec les poils du tchoul qui leur sert de canne?

     

     

  • BIEN ENVOYE! Une opinion d'Hamid Zanaz,

    journaliste et essayiste algérien résidant en France.

    " Monsieur, la France n’est pas un pays raciste. Dire le contraire est un mensonge, une connerie. Alors taisez-vous.

    Je suis de culture islamique et universelle, algérien résidant en France depuis plus d’une vingtaine d’années. En vous lisant et en vous écoutant depuis un certain temps sur le sujet de l’islam et des musulmans en France, je me demande, Monsieur Plenel (1), si nous vivons dans le même pays !

    Dans vos articles, dans vos livres, dans vos interventions sur les plateaux de télévision, vous ne cessez de nous présenter, nous les Arabes, les Kabyles, les croyants, les non-croyants, avec éloquence et malice, comme des victimes passives d’un racisme inhérent à la société française. Nous sommes, selon vos analyses, des citoyens de seconde zone, rejetés, discriminés. Non seulement par une majorité de Français, mais par la République française elle-même !

    Permettez-moi, Monsieur l’avocat autoproclamé des pauvres "musulmans", de vous dire que sous l’apparence de votre analyse complexe et de votre indignation scénarisée, vous n’annoncez que des balivernes. N’est-il pas irresponsable et idiot de lancer des mensonges que les faits démentent tous les jours?

    Les Arabes et les musulmans ne vivent pas dans un ghetto en France, ils ne sont pas les juifs du passé comme vous le dites avec légèreté, et sans mesurer les dégâts que pourrait provoquer ce discours calamiteux. Par la vulgarisation du ridicule mot de l’islamophobie, vous avez créé une guerre civile dans l’âme de chaque jeune issu de l’émigration. Depuis des années vous adressez des messages dangereux et irresponsables aux jeunes issus de l’émigration: la France ne veut pas de vous, la France n’aime pas votre religion, la France ne vous considère pas comme des Français à part entière, vous êtes discriminés à l’embauche, la France vous refuse le logement, la France a exploité vos parents, le colonialisme a massacré vos grands-parents, la France refuse de reconnaître ses crimes en Afrique du Nord, etc.

    Comment voulez-vous, après toute cette incitation insidieuse à la haine, que certains de ces jeunes ne prennent pas les armes contre leur propre pays sali par votre discours mensonger?

    Ce discours essentialiste est responsable de l’islamisation des quartiers car vous avez poussé les jeunes dans les bras des Frères musulmans de l’Union des organisations islamiques de France, les amis de votre ami Tarik Ramadan.

    Monsieur, la France n’est pas un pays raciste, dire le contraire est un mensonge, une connerie ni moins ni plus. Et c’est un étranger de culture islamique qui vous le rappelle! Sachez, Monsieur le défenseur d’une cause fictive, que je ne me reconnais absolument pas dans votre discours de victimisation, alors que je ne vous ai rien demandé. Ne me défendez pas, je n’ai pas besoin de vous ni d’aucun autre tuteur. Le temps du paternalisme est révolu.

    "Musulmans", dites-vous? Les musulmans sont-ils tous musulmans, Monsieur l’intellectuel? Les musulmans sont-ils musulmans à perpétuité? Je ne vous permets pas de me désigner par une partie de moi-même, supposée ou réelle! Comme j’ai le devoir de vous dire qu’au moment où les intellectuels dans le monde dit "arabe" luttent avec courage et travaillent pour l’avènement d’une culture post-islamique, vous encouragez ici l’obscurantisme et ses promoteurs tels que Tarik Ramadan.

    Comme tous ceux que vous appelez faussement arabes et musulmans, de France et de Navarre, je suis majeur et vacciné. Ne parlez pas à ma place ! Merci.

     (1) Auteur du livre-plaidoyer "Pour les musulmans" (2014), Edwy Plenel est cofondateur du site d’investigation et d’opinion Mediapart. Il a été récemment la cible de "Charlie Hebdo". Le périodique satirique l’a caricaturé en une sous la forme des singes de la sagesse qui se couvrent la bouche, les oreilles et les yeux pour ne pas voir. Une allusion aux liens de l’homme de presse avec l’islamologue Tariq Ramadan, ciblé par plusieurs dénonciations d’agressions sexuelles voire de viols (dans le cadre du #balancetonporc). En réponse, Plenel a déclaré que cette une fait partie d’une "campagne générale de guerre aux musulmans". Des propos considérés comme un appel au meurtre par la rédaction de l’hebdo.

    http://www.lalibre.be/debats/opinions

  • Où vont vos sous?

    A quoi servent les délégués interministériels, de plus en plus nombreux sous Macron?

    Quasi inconnus du grand public, les délégués interministériels sont de plus en plus nombreux depuis l'élection d'Emmanuel Macron...

    Voici quatre délégués interministériels nommés par le gouvernement ces quatre derniers mois.

    • En quatre mois, quatre délégués interministériels ont été nommés par le gouvernement.
    • Ces délégués, rattachés à plusieurs ministères, ont des missions très différentes et dépendent des moyens alloués par les ministres.
    • Ils permettent au gouvernement d'afficher son volontarisme sur certains sujets, sans surcoût budgétaire.

    Et de quatre! Le gouvernement a nommé ce mercredi un délégué interministériel à la transformation publique, Thomas Cazenave. En à peine quatre mois, Emmanuel Macron et Edouard Philippe ont nommé une déléguée interministérielle à l’aide aux victimes en août, un délégué interministériel aux Jeux olympiques et un autre pour la reconstruction des îles de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin en septembre. Ils ont créé deux autres délégations interministérielles: l’une à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes a été mise sur pied le 23 octobre dernier, et l’autre aux  restructurations d'entreprises. Deux délégués seront donc désignés sous peu.

    La nomination de Thomas Cazenave (qui travaillait jusqu’à présent dans un cabinet ministériel à Bercy) gonfle un peu plus les rangs d’un gouvernement que le candidat Emmanuel Macron avait promis d’être " très ramassé, avec 15 membres maximum ", mais qui en compte actuellement 29 (dont 19 ministres et 10 secrétaires d’Etat). Si les délégués interministériels ne figurent pas officiellement dans l’organigramme gouvernemental, ils sont rattachés à Matignon. Mais à quoi servent-ils précisément et avec quels moyens travaillent-ils?

    Des missions variées… et des placards

    Les missions sont aussi variées que le nombre de délégations interministérielles : 25 en tout ont déjà été créées selon le Journal officiel, pour gérer des crises (" à la grippe aviaire " ou " à la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim ") ou des missions aux intitulés parfois abscons ("aux normes", "à la Méditerranée"). Certaines perdurent dans le temps, comme la délégation interministérielle à la sécurité routière (DISR, créée en 1972), d’autres moins, comme celle à la langue française pour la cohésion sociale. "Certains postes sont de vrais placards", siffle un habitué des cabinets ministériels.

    Difficile d’en dire autant pour les postes de délégués interministériels créés sous ce quinquennat. Jean Castex, élu Les Républicains dans les Pyrénées orientales, doit veiller à ce que tout soit prêt à temps pour les jeux Olympiques et Paralympiques 2024 et à faire le lien entre l’Etat et le Comité d’organisation des jeux. Le haut fonctionnaire Philippe Gustin s’est vu confier la reconstruction à St-Martin et St-Barthélémy. Et la magistrate Elisabeth Pelsez a récupéré l’aide aux victimes, qui était confiée à un secrétariat d’Etat sous le quinquennat précédent.

    L’esprit start-up au gouvernement?

    Leur point commun, selon Matignon, est qu'"ils ont à faire travailler et coordonner diverses administrations "dans le but de mener à bien, de façon collégiale, des missions définies par décret. La fiche de poste est en symbiose avec l’esprit start-up affectionné par Emmanuel Macron qui n’aime pas "travailler en silo" mais adore la "transversalité", écrit le journaliste Marc Endeweld*.

    Concrètement, comment travaille-t-on avec plusieurs ministères? Chaque délégation a un référent dans les ministères ou secrétaires d’Etat qui la concerne. Pour la reconstruction de St-Martin et St-Barthélémy, "le champ est très large", souligne Philippe Gustin. " 22 ministères et secrétariat d’Etat étaient autour de la table lors de notre dernière réunion. Il faut trouver sa place, c’est un exercice subtil car il ne faut pas donner l’impression de spolier ou de déresponsabiliser les ministères ", analyse-t-il. S’il reconnaît " parfois quelques lenteurs, du fait de travailler avec autant de ministères ", il n’a " pas le temps d’être frustré ".

    Philippe Gustin enchaîne les allers-retours entre Paris et les Caraïbes, et les nuits blanches, car il doit être joignable à tout moment. Cinq personnes travaillent avec lui sur cette mission " très chaude en termes de rythme ", urgence et décalage horaire obligent. Sur les deux îles, il n’est accompagné que d’un seul collaborateur.

    Un statut "un peu bâtard" (comme Macron?)

    Car l’autre point commun des délégués interministériels est qu’ils n’ont pas de budget propre. Ils ne viennent pas alourdir le budget du gouvernement et se voient alloués des moyens et du personnel par les ministères auxquels ils sont rattachés. " J’ai les mêmes attributions que l’ex-secrétariat général ", souligne Elisabeth Pelsez à Libération. La différence c’est que son poste de déléguée interministérielle permet de ne pas ajouter un secrétariat d’Etat à un gouvernement qui compte déjà 30 membres (Edouard Philippe inclus).

    Comment résumer l’utilité du délégué interministériel? Pour Philippe Gustin, " il est le seul à être dans cette tour de pilotage, c’est-à-dire à voir l’intégralité de la problématique, contrairement à chaque ministère qui voit le sujet par le biais de sa compétence. C’est une mission très concrète, ça n’a rien d’intellectuel ". Au final, ce statut est " un peu bâtard : parfois les journalistes m’appellent 'Monsieur le ministre'. On a un rôle d’assemblier, une certaine autorité, mais elle n’est pas hiérarchique ".

    Dans les jours à venir, l’exécutif devrait désigner le nouveau délégué interministériel aux restructurations d’entreprises. Jean-Pierre Floris, ex-patron de Verallia (l’ancienne filiale emballage de Saint-Gobain), est pressenti pour devenir le " monsieur industrie " du gouvernement.

    * L’ambigu Monsieur Macron (Flammarion, 2015).

  • Comment bien choisir son foie gras?

    Malgré la hausse des prix, nous serons nombreux à avoir envie de foie gras pour Noël.

    Noël, c'est dans un mois! Une question se pose déjà: aurons-nous du foie gras? Avec la grippe aviaire, beaucoup de canards ont été abattus, ce qui fait monter les prix. L’important est de ne pas choisir n’importe lequel:

    Pour bien choisir son foie gras

    Regarder les labels

    Un foie gras IGP (Indication géographique protégée) Canard à foie gras du Sud-Ouest garantit que les canards ont été élevés, abattus et transformés dans la région.

    Le poids

    Une bonne idée pour être sûr d’acheter un foie entier, mais il faut faire attention au poids : en dessous de 500g, il risque d’être sec, au-dessus de 600, il sera trop de gras.

    L’éthique

    Une chose qui a fait renoncer certains d’entre nous au foie gras, c’est la cruauté du traitement infligé aux animaux. Le Label rouge peut être un bon indicateur parce qu’il interdit le gavage en cage. Sinon, il vaut mieux se tourner vers les producteurs qui vendent directement sur internet. Dans tous les cas, si l’éthique est un critère important pour vous, il vaut mieux éviter les supermarchés. Un petit truc : vous pouvez opter pour le foie gras d’oie. Il ne représente que 8% du marché et ne relève donc pas de l’élevage intensif.

    Et vous, quels sont vos petits péchés mignons à Noël?

     

     

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    Les fêtes approchent....

     

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