Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

occitanie - Page 256

  • Où sont passés les sans-culottes révolutionnaires de 1789?

    Béthune (62): un lycéen et sa mère roués de coups par 4 hommes devant 200 témoins impassibles

    Quatre hommes s’en sont violemment pris à un lycéen et sa mère, jeudi à la sortie des cours, devant le lycée Blaringhem. Sortis de la voiture, ils ont été roués de coups sous le regard de témoins qui n’ont pas réagi.

    Fabienne et son fils Hugo, 16 ans, ont encore du mal à raconter l’agression dont ils ont été victimes jeudi. Ce jour-là, à 16 h, Fabienne va rechercher son fils à la sortie du lycée Blaringhem. Pendant qu’elle l’attend, quatre hommes âgés de 20 à 30 ans sont à la grille et interpellent les élèves pour retrouver deux lycéens.

    Quand Hugo arrive, le quatuor le course sans qu’il comprenne ce qu’il lui veut. Il se réfugie dans la voiture de sa mère mais "les quatre sont arrivés en courant, raconte Hugo. Ils ont ouvert les portières et ont commencé à nous frapper". [...]

    La scène, extrêmement violente, se déroule devant de nombreux témoins restés sans réaction. Seul Hugo s’est battu pour défendre sa mère, aidé par Marvin, un copain de 15 ans qui a, lui aussi, essuyé les coups et les menaces du quatuor: " J’vais vous planter si vous allez au commissariat!". Ce qui écœure la famille, c’est l’inaction des témoins: "Marvin est le seul à être intervenu sur les 200 personnes qui étaient là!" déplorent-ils, dénonçant la passivité des chauffeurs de bus, parents présents… La police? Elle n’a été alertée que 45 minutes après l’agression…

    Cette agression a laissé des marques sur les victimes: Fabienne doit passer une radio de l’épaule, des examens pour s’assurer que sa prothèse de hanche n’a pas bougé et a un œdème au tibia. Elle s’est vue notifier 10 jours d’ITT. Hugo doit, lui, passer une IRM du genou, une radio de la mâchoire et est blessé au nez (10 jours d’ITT) comme Marvin qui a le nez cassé, des contusions et un hématome à l’œil. [...]

    La Voix du Nord

     

  • FORTE INDIGNATION!!!

    Pour honorer sa mémoire, une place qui porte son nom  a été inaugurée cet après-midi, à Marseille, par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve. Mais ce dernier, sous l’autorité – comme il le souligne si souvent lui-même – du premier ministre et du président de la République, s’est rendu coupable d’une grave indignité :

    Ni la veuve du policier, Ingrid Brinsolaro, ni sa fille May n’ont été invitées à la cérémonie !

    Pas plus qu’à la messe qui a été dite en l’honneur du policier dans la cathédrale de Marseille !

    Leur avocat s’est indigné. L’Express a rapporté ses propos :

    " Ma cliente a été informée hier [mercredi] en fin de journée, par un journaliste, qu’allait être inaugurée une place Franck Brinsolaro à Marseille. Elle n’a reçu aucune invitation à ce titre, ni pour sa fille, qui est quand même pupille de la Nation! J’ai appris, du même coup, qu’une messe à la mémoire de Franck Brinsolaro avait eu lieu le 31 octobre dernier dans la Cathédrale de Marseille, en présence de l’archevêque de Marseille. Ni Madame Ingrid Brinsolaro ni sa fille May n’ont été associées à ces cérémonies ! C’est indigne, au regard de cet enfant qui ne connaît pas son père" .

    "C’est très important qu’une ville aussi grande que celle de Marseille rende un tel hommage. C’est très beau et c’est très honorable, nous ne le contestons pas. Mais ne pas associer l’épouse et la fille de Franck Brinsolaro, les deux personnes qui étaient les plus importantes dans sa vie, dans ses dernières heures, c’est quand même assez triste. Vous savez, Ingrid Brinsolaro mène plusieurs combats. Celui, déjà, d’affronter la mort de son mari.

    Celui, ensuite, de poursuivre l’éducation de ses enfants. Et puis nous avons une procédure [une plainte déposée en janvier 2016 pour homicide volontaire aggravé par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité, ndlr] pour tenter d’obtenir des réponses à des questions qu’elle n’a pas.

    "Je n’ose penser que ces "oublis" sont en lien avec les questions que pose Ingrid Brinsolaro à la justice et au ministère de l’Intérieur depuis des mois. Elle ne se sent clairement pas soutenue par les autorités. Au moment de la mort de son mari, elle a eu des réactions, légitimes, qui étaient de chercher à comprendre. Je crois que le fait de chercher à comprendre dérangeait. Ensuite, le fait qu’elle ne soit pas idiote, et qu’elle soit très précise dérangeait encore plus.

    Elle a été obligée de déposer une plainte, alors que peut-être que si nous avions eu des réunions avec le ministère de l’Intérieur, nous ne serions pas obligés de le faire. Mais ce qu’on oublie, c’est qu’elle ne fait pas ce combat pour elle-même. Elle le fait pour sa fille, qui dans 15 ou 20 ans voudra savoir".

    C’est donc bien parce que cette veuve a osé demander des comptes à l’Etat que le pouvoir socialiste s’est conduit de la sorte ! François Hollande, le plus grand commémorateur des présidents de la V ème République, le plus assidu chantre de la repentance pleurnicharde, partage avec Bernard Cazeneuve l’indignité de cet acte mesquin et impardonnable dirigé contre une famille innocente durement touchée par l’assassinat de leur chef de famille.

    Il faudra sûrement attendre un prochain livre intitulé peut-être "Ce qu’un président ne devrait pas faire" pour que Hollande puisse nous expliquer sa décision …

    http://www.je-suis-stupide-j-ai-vote-hollande.fr/blog/indignes

    Je plussoie sur celui qui a écrit ce texte dans son blog (je n'ai pas voté Hollande, moi!)

    JE DIS QU'IL FAUT QU'HOLLANDE, UNE FOIS BALAYE PAR LES ÉLECTIONS,

    SOIT MIS EN TAULE POUR FORFAITURES DIVERSES

    ET AUSSI AVARIÉES QUE LUI!

     

  • Savez-vous que les " migrants " ont plus de droits et de libertés que vous? Même celle d’enfreindre la loi

    J’ai trouvé sur Internet la charte de fonctionnement des CAO (Centres d’Accueil et d’Orientation) et le communiqué de presse qui s’y rapporte:

    http://www.logement.gouv.fr/IMG/pdf/20160801_centre_d_accueil.pdf

    "Cette charte édicte des règles claires de fonctionnement et décrit les principales prestations délivrées aux migrants sans-abri qui y sont accueillis".

    La charte est sur le site du GISTI (désolé, je n’ai pas trouvé mieux ; aucun site gouvernemental ne semble la mettre en ligne étonnamment): http://www.gisti.org/IMG/pdf/min_int_logement_2016-07_charte_fonctionnement_cao.pdf

    Je ne sais pas si elle est à jour, puisqu’elle date de trois mois désormais.

    Rien ne me permet de penser, à sa lecture, que les CAO sont chargés d’identifier les migrants pour qu’ils puissent être reconnus en cas d’infraction pénale et punis en conséquence… ou même que ceux qui seraient interdits de territoire en raison d’une condamnation judiciaire en France puissent être identifiés. On peut donc se demander si les migrants ne vont pas se trouver dans une situation plus favorable que le citoyen lambda à cet égard, enserré dans le fichage administratif et les réseaux de collègues, voisins, connaissances, etc.

    Le document est ambigu: il est question de l’identification des migrants volontaires pendant les maraudes, ce qui ne signifie pas cependant qu’ils feront l’objet d’un document relatif à leur identité. Il s’agit simplement de distinguer, de visu, les volontaires et ceux qui ne veulent pas aller en CAO. J’ai cru comprendre en effet qu’un migrant peut se faire loup solitaire, totalement clandestin, sans que cela entraîne la moindre réaction des pouvoirs publics…

    Il est question dans ces documents des prestations, donc des droits, mais bien peu des devoirs, notamment d’un devoir de donner tous les éléments permettant d’établir l’identité du migrant et de contribuer à faciliter son identification à des fins de surveillance ou de répression, notamment grâce à des photos.

    Il est certes question, dans cette charte, d’établir un règlement comportant des obligations quant à la vie collective, mais on ne peut guère en espérer grand-chose pour la protection de la population en général:

    "Le gestionnaire établit un règlement intérieur de la structure. Ce règlement définit les droits de la personne accueillie et les obligations et devoirs nécessaires au respect des règles collectives".

    Il serait intéressant d’en savoir davantage… il y a sans doute là un argument important à faire valoir, à moins que notre protection dépende du paragraphe suivant:

    "Le gestionnaire participe au pilotage mis en place au niveau local par les autorités administratives pour assurer le suivi de la situation des personnes de manière partagée entre les services de l’État compétents (préfecture, DDCS), l’OFII, les associations menant des actions auprès des personnes hébergées au niveau local et les autres organismes participant le cas échéant à la prise en charge. La place des associations locales de la société civile doit permettre une insertion adaptée dans la vie locale". Mystère…

    Cependant, si le migrant est récalcitrant et ne veut pas être pris en charge, il semble qu’il est "laissé dans la nature" et donc concrètement impossible à identifier. Comment peut-on s’en accommoder?

    Il semblerait normal que le migrant n’ait pas d’autre choix que d’être hébergé dans un lieu déterminé et obligatoire pour lui, et suivi par l’Etat et ses partenaires, sauf à être expulsé, puisque clandestin, s’il enfreint ses obligations. J’ai cru comprendre qu’une telle obligation n’existe pas.

    La charte reconnaît que les migrants sont majoritairement des jeunes hommes isolés:

    "La taille des structures doit être suffisante pour permettre la prise en charge dans des conditions satisfaisantes des migrants, généralement des jeunes hommes isolés, en recherchant un coût à la place le plus proche du coût cible".

    Par ailleurs, la charte fixe à 25 euros par jour le coût par personne hébergée. 750 euros par mois, c’est la retraite de ma grand-mère agricultrice, après une vie de dur labeur qui lui a laissé des séquelles physiques irréparables. Cela correspond aussi à l’indemnité journalière d’un chômeur ayant travaillé au SMIC à plein temps et sans interruption pendant les 3 années prises en considération pour déterminer le montant de l’indemnisation. Dans ces conditions, la moindre des choses serait que le migrant fasse l’objet de mesures d’identification et soit obligé de demeurer sur place, dans le centre, puisque, s’il n’est pas reconnu comme réfugié, il devra faire l’objet d’un arrêté d’expulsion, étant clandestin, et sera susceptible d’assignation à résidence ou de placement en centre de rétention le temps d’organiser son expulsion vers un pays où sa vie n’est pas menacée.

    Il me semble qu’à cet égard, il y a un problème:

    – si on ne peut identifier le pays de destination faute de coopération du migrant ou de preuve certaine, le placement en CRA est limité dans le temps: en gros, deux mois maximum (https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_de_r%C3%A9tention_administrative_en_France#Diff.C3.A9rences_avec_une_prisonet

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/10/24/francais-on-vous-ment-on-peut-expulser-les-migrants-meme-sans-connaitre-leurs-pays-dorigine/) mais j’ai cru comprendre que l’assignation à résidence pourrait prendre le relais pour une durée pratiquement indéterminée (comme il en va actuellement pour les personnes " soupçonnées " de liens avec le terrorisme djihadiste) ;

    – si on peut identifier ce pays mais que pour diverses raisons, il est dangereux (guerre notamment), la CEDH (jurisprudence fondée par la Cour EDH sur l’article 3 de la convention) nous interdit d’expulser le migrant. Là encore, je ne vois pas d’autre solution que des assignations à résidence en attendant que l’expulsion devienne possible.

    Dans ces situations compliquées et vu le nombre de personnes concernées, les assignations à résidence de migrants devraient se multiplier. Or, j’ai l’impression qu’on n’en entend jamais parler…

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/11/01/savez-vous-que-les-migrants-ont-plus-de-droits-et-de-libertes-que-vous-meme-celle-denfreindre-la-loi/

    Lisez les commentaires: édifiants et horrifiants!

  • Des chocolatines à 15 cts d'euro? oui, ça existe!

     

    https://www.facebook.com/jfcope/videos/10154144614752582