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sante - Page 41

  • Médecine digitale : la santé connectée

    Le "quantified Self" ou "auto-quantification" consiste à récolter des données sur soi-même à l’aide de capteurs. Auparavant réservée aux sportifs ou aux personnes souffrant de problèmes de tension ou de diabète, cette pratique s’est élargie ces dernières années grâce, notamment, à la miniaturisation des puces électroniques. Un procédé qui permet de récolter des données en dehors des cabinets médicaux et que certains emploient à titre privé.

    Obtenir des informations sur son métabolisme n'était pas chose facile il y a encore quelque années. Les appareils de mesures, souvent chers et encombrants, se trouvaient uniquement dans des cabinets médicaux et les centres hospitaliers. Une contrainte qui limitait les relevés dans le temps.

    Équipé d'une coque spéciale, votre smartphone peut se transformer en électrocardiogramme. [RTS]

     Mais avec les progrès de la science, les contraintes reculent. On peut désormais récolter une quantité impressionnante de données sur son métabolisme avec de simples bracelets, voir avec son smartphone. Les relevés peuvent se faire en continu, jour et nuit. Un diabétique peut ainsi suivre son taux de sucre à chaque instant et agir en conséquence. La technique intéresse d'autres spécialités du monde médical, comme certains centres d'études de lutte contre l'obésité massive.

    L'engouement pour ces nouveaux outils touche aussi des privés qui veulent en savoir plus sur eux-mêmes. Le nombre de mètres parcourus dans la journée, le nombre de calories absorbées et dépensées, la tension ne sont que quelques exemples des données que l'on peut connaître.

    Mais ces données ne sont pas anodines. Si elles intéressent les milieux scientifiques et certains curieux, elles pourraient aussi être utilisées par des sociétés. Un assureur pourrait ainsi s'en servir pour mieux encadrer les risques guettant ses assurés, ou s'en servir pour sélectionner les bons et mauvais risques et ainsi faire de belles économies…

  • Impressionnante avancée

    Septicémie : une protéine aimantée pour nettoyer le sang

    Pour nettoyer le sang infecté par une maladie, des chercheurs américains ont mis au point un nouveau dispositif "Biospleen", selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale Nature Medicine. Cet appareil est composé de billes magnétiques nanoscopiques (moins d'un millième de millimètre) recouvertes d'une protéine sanguine humaine conçue génétiquement, appelée MBL.

    Cet appareil fonctionne comme la rate. Il élimine du sang les bactéries, les champignons et les toxines, et le réintroduit dans le corps une fois nettoyé.

    Branché à l'extérieur du corps, comme une machine à dialyse, Biospleen a deux canaux pour traiter le sang. La protéine sanguine MBL est utilisée car elle se lie avec les bactéries, les champignons et les agents pathogènes.

    Les bioingénieurs de l'Institut Wyss de Harvard, inventeurs de Biospleen ont testé ce nouveau dispositif sur les rats. Les chercheurs ont infecté le sang des rongeurs avec deux bactéries, le staphylocoque doré et Escherichia coli. Après le filtrage du sang par la machine, 90% des bactéries ont été éliminées du sang.

     "Ce dispositif pourrait un jour être utile dans le traitement de malades atteints d'Ebola dans la mesure où la protéine MBL passe pour être capable de se lier avec le

    le virus à l'origine de cette fièvre hémorragique " explique Donald Ingber, co-auteur de l'étude. "La protéine pourrait également se lier au VIH, le virus du sida, et au virus de Marburg, à l'origine d'une autre fièvre hémorragique, très similaire à Ebola ".

     " Même si les résultats de ces travaux sont concluants, nous avons besoin de réaliser des tests de plus grande ampleur et sur des animaux plus gros pour valider cette expérimentation " conclut Donald Ingber.

     "Mais si cette appareil s'avère aussi efficace et sûr chez l'homme, il pourrait permettre de nettoyer physiquement le sang en enlevant une grande variété d'agents pathogènes ou de toxines", a indiqué à l'AFP Donald Ingber. " Le traitement pourrait être mené avant même que l'agent pathogène n'ait été formellement identifié et que le traitement antibiotique optimal ait été choisi" rajoute-il.

    En effet, les infections du sang touchent 18 millions de personnes dans le monde chaque année avec un pourcentage de décès de 30 à 50%.

     

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  • Intel sort un fauteuil roulant connecté

    Le célèbre physicien théoricien Stephen Hawking va assister Intel dans la création d’un fauteuil roulant connecté. Une innovation qui pourrait changer la vie de nombreux invalides. La semaine dernière, pendant la keynote d’Apple, Intel a annoncé qu’il travaillait sur un projet de chaise roulante intelligente, avec le soutien de Stephen Hawking, connu pour ses travaux concernant les trous noirs, la cosmologie, la gravité quantique et le boson de Higgs.

    Atteint de la maladie de Charcot, il est cloué dans un fauteuil roulant et se passionne depuis toujours pour les nouvelles technologies qui, selon lui, peuvent aider les handicapés là où la maladie ne peut plus rien faire. Le projet de fauteuil roulant connecté s’inscrit dans ce processus : autonome, grâce à la technologie Intel Inside, il pourra se déplacer seul et repérer les éventuels obstacles sur son chemin pour les contourner.

    Le fauteuil est également équipé de capteurs qui transmettent en temps réel les données physiologiques de l’utilisateur au corps médical. Ainsi en cas de malaise ou d’incident, les secours sont alertés et prêts à intervenir.

    Stephen Hawking partagera ses connaissances sur le monde du handicap et ses besoins et testera le fauteuil roulant.

  • Avancée de la recherche dans les maladies - 1

    Le mystère des jambes sans repos

    Le syndrome des jambes sans repos, appelé aussi "impatiences", est un trouble neurologique qui cause un besoin irrépressible de bouger les jambes. Fourmillements, picotements, sensations de brûlures provoquent des insomnies chroniques. La vie de celles et ceux qui en sont atteints se transforme en enfer... jusqu'au suicide.

    Activité cérébrale, fréquences cardiaques, tonus musculaire et même ronflements, le patient est passé au crible pendant une nuit d'observation. Les premiers symptômes apparaissent à l'état de veille au moment où on cherche le sommeil. L'endormissement va être retardé par les inconforts dans les jambes. Et une fois endormi, on a la deuxième phase du syndrome.

    De petits mouvements touchent le pied ou la jambe, parfois les deux jambes en même temps, et vont se reproduire à intervalles réguliers. Chaque contraction musculaire augmente le rythme du cœur et l'activité cérébrale du dormeur, et provoque des micro-réveils. A ce rythme-là, le sommeil n'est pas du tout réparateur.

    Les causes? Un manque de fer, des reins insuffisants, des médicaments, etc. Les mouvements périodiques des jambes peuvent même persister chez des gens qui ont une section de la moelle épinière. Et là, on comprend encore moins comment ces mouvements peuvent survenir chez quelqu'un qui est paraplégique. Dans plus de la moitié des cas, on reste avec des causes inconnues.

    Des scientifiques pensent qu'un déficit de dopamine serait responsable du syndrome. La dopamine est un neurotransmetteur, c'est-à-dire un agent de communication entre les neurones à l'intérieur du cerveau, et joue un rôle essentiel dans la locomotion. Le manque de dopamine pourrait agir directement sur le système nerveux central à l'intérieur même de la moelle épinière. Quelques indices indiquent qu'il y aurait comme des pacemakers dans la colonne, qui agiraient pendant la nuit sur les mouvements périodiques des jambes. Cela pourrait signifier qu'il y a des mouvements automatiques de locomotion qui sont éveillés directement par la moelle épinière et non par le cerveau.

    Des médecins ont de la peine à comprendre que ce que disent les patients est réellement organique et que ce n'est pas dans leur tête, ce ne sont pas des désordres psychiatriques. Les patients ne souffrent généralement pas seulement du seul syndrome, ils peuvent aussi souffrir de dépressions. S'il n'y a que le second désordre qui est traité, les symptômes des jambes sans repos ne seront pas traités.

     

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  • " S " l’exosquelette grand public a été exposé à Preventica (Marseille)

    Quel drôle de nom que " S ", enfin si l’on peut dire un nom que celui donné à l’exosquelette grand public commercialisé par la marque EXHAUSS.

    A l’origine, cette entreprise est surtout connue pour ses stabilisateurs de caméras qui soulagent depuis 10 ans les cadreurs professionnels du poids de leurs matériels. Tout s’éclaire bien sur lorsque l’on sait que la lettre " S " fait appel à " Stronger " qui veut dire plus fort!

    Cet exosquelette d’assistance à l’effort permet de rendre à son utilisateur les capacités physiques qu’il n’a pas ou plus. Le but est donc clairement de faciliter la manutention de charges comprises entre 1 et 40 kg.

    Les bras, les rotateurs, les cervicales, le dos et les lombaires de l’utilisateur de " S " ne sont sollicités que pour guider les charges et les outils portés par les exobras.

    La nouveauté du modèle " S "réside toutefois dans la capacité des exobras à adapter automatiquement la force qu’ils doivent déployer en fonction de la charge à manutentionner.

    Cette particularité permet de manipuler la charge comme si elle ne pesait que quelques centaines de grammes !

    Le modèle " S " d’EXHAUSS permettrait donc de prévenir la quasi-totalité des troubles Musculo-Squelettiques et diminuer ainsi la pénibilité du travail.

    Si l’on peut aisément imaginer son utilité en milieu industriel, Exhauss destine également ce modèle au domaine médical afin de faciliter des gestes de précision comme ceux que doivent poser des chirurgiens.

    Ne me demandez pas le prix de ce petit bijou technologique (même si vous pouvez obtenir un essai ou un devis sur le site internet de la société) mais la firme indique que ce modèle " S " est destiné au grand public et à un très large panel d’utilisateurs comme les employés de sociétés de transports express, transports de colis, transports spéciaux, livreurs, plateformes logistiques, aux déménageurs professionnels ou particuliers, des ouvriers d’industries métallurgiques, automobiles, aérospatiales manipulant riveteuses, perforateurs et autre clés pneumatiques, aux ouvriers de chantiers de construction déplaçant sacs de ciment et parpaings…

    Mais avant tout c’est son impact positif sur la diminution des TMS ou troubles Musculo-Squelettiques qui est pointé du doigt surtout lorsque l’on sait que ces TMS constituent le problème de santé au travail le plus courant avec près de 38.000 maladies professionnelles reconnues en 2009 portant à 1,5 milliards d’euros par an le coût des seules TMS lombalgiques pour la sécurité sociale.

    Le modèle S représente donc la nouveauté “mécatronique” d’EXHAUSSa été présenté pour la première fois au salon PREVENTICA de Marseille du 17 au 19 juin 2014.

     

    Exosquelette-modele-S-de-Exhauss-143x143.jpg

     

     

     

     

     

     

  • ATTENTION: TRES IMPORTANT

    Mon blog de cuisine toulousaine va devenir

    cuisine-toulousaine.com

     

    vérifiez: vous ne devez pas ajouter les 3 w devant!