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sante - Page 44

  • Les voyages forment la jeunesse, déforment les valises et vous rendent gaga!

    Psychologie: Quand les voyages rendent fous

    Si vous partez cet été, méfiez-vous des syndromes de Stendhal, de Paris, de Jérusalem, indien, insulaire…

    Il n’y a pas que les coups de soleil et les piqûres d’insectes qui peuvent vous gâcher les vacances. Les médecins reçoivent régulièrement des patients touchés par des syndromes directement liés au voyage, alors que ceux-ci n’avaient aucun antécédent psychiatrique. Dans ce cas, le voyage est considéré comme pathogène. Le meilleur remède étant le rapatriement. Régis Airault, ancien psychiatre installé en Inde, auteur de plusieurs livres sur le sujet, fait le tour des différents syndromes du voyageur.

    Syndrome indien: Il touche spécifiquement les Européens portés vers l’Orient. Une fois sur place, notamment en Inde, le choc culturel est trop violent et se traduit par l’apparition de symptômes délirants. Le psychiatre évoque le cas d’une "jeune fille à qui on a confié un bébé quasiment mort dans les bras. Elle n’y était pas préparée."

    Ou d’une personne, prise d’hallucinations, qui avait décidé de quitter le pays à la nage, "pour rejoindre ses parents". Beaucoup ont aussi le sentiment d’être persécutés, suivis. A l’origine, les troubles ont été mis sur le compte de prise de drogues. Mais les médecins ont très vite mis en évidence un "déformatage" de la personnalité justifiant un suivi psychiatrique.

    Syndrome de Jérusalem: Il s’agit d’un épisode psychotique aigu déclenché par un séjour dans la ville sainte. "Portées par une recherche mystique, les personnes partent dans un trip d’identification au Christ", observe Régis Airault. Les croyants se sentent alors investis d’une mission évangélique en se prenant pour le Messie. L’importante charge émotionnelle ressentie lors de ces pèlerinages explique l’apparition du délire.

    Syndrome de Stendhal: Cette fois, c’est au contact d’œuvres d’art que les sujets vacillent. La ville de Florence connaît de nombreux cas de visiteurs anormalement exaltés, pris de vertiges face à la beauté des œuvres, comme Stendhal l’a décrit lors de sa visite de l’église de Santa Croce. "Il y a une perte de contrôle, mais il ne faut pas en avoir peur. Sauf s’il devient vraiment fou. Là, les amis ont plutôt intérêt à les raccompagner et raccourcir le voyage", prévient le spécialiste.

    Syndrome de Paris: Ou plus précisément syndrome des Japonais à Paris puisque cette population est spécifiquement ciblée. Leur idée préconçue de la capitale -modèle de ville romantique comme dans Amélie Poulain- vole en éclat dès qu’ils posent un pied dans un métro bondé et puant. Derrière leurs masques antipollution, ils déchantent et sombrent dans un mal-être qui peut aller jusqu’à la dépression. Désormais, certains guides touristiques déconseillent certains quartiers qui ne correspondent pas au fantasme culturel des Japonais.

    Syndrome insulaire: Les papayes fraîches et les colliers de fleurs s’accompagnent parfois d’un sentiment d‘enferment chez ceux qui rêvent d’une escapade, parfois d’une expatriation, sur une île. "A Mayotte, j’ai récemment dû rapatrier dix personnes, confrontée à leurs limites, témoigne Régis Airault. On est dans le fantasme mais au bout d’un moment il y a une réalité qui est différente." Rattrapés par l’ennui, le climat, les personnes sombrent alors dans la déprime.

    Syndrome d’Ulysse: Il en fallait bien un qui touche les voyageurs épargnés sur place. Voilà le syndrome qui touche les personnes une fois rentrées chez elles. Généralement d’anciens expatriés. Ils connaissent des difficultés de réadaptation à leur culture d’origine. Déconnectés, ils ne reconnaissent plus les lieux qui leur étaient familiers.

  • L'avenir prometteur du déchiffrage de la pensée

     

    Isabelle Laffont, professeur au département de médecine physique et de réadaptation au CHU de Montpellier, explique en quoi le décodage du signal cérébral peut s'avérer d'une grande aide, notamment pour la rééducation des personnes paralysées.

    Le décodage du signal cérébral, qui s'apparente à un vrai "déchiffrage du cerveau", consiste à enregistrer l'activité émise par le cerveau pour en comprendre le fonctionnement et pour éventuellement utiliser cet enregistrement dans un but thérapeutique. On peut ainsi enregistrer l'activité électrique, qui correspond à l'activité des cellules nerveuses, ou les modifications de la circulation sanguine locale (par l'intermédiaire des modifications de la température à la surface du cerveau ou du crâne), qui reflètent indirectement le fonctionnement de certaines zones du cerveau.

    La précision de ces enregistrements est telle qu'il est possible de déterminer très finement les parties du cerveau en fonctionnement lorsqu'une personne réalise une tâche motrice, comme bouger les doigts par exemple, ou réalise une tâche cognitive, comme penser à certaines parties de son corps ou imaginer qu'elle bouge un de ses membres. Ces enregistrements peuvent se faire grâce à des électrodes implantées dans le cerveau, on parle alors d'interface cérébrale "invasive", ou grâce à un casque équipé d'électrodes, l'interface cérébrale dite "non invasive".

    Ces techniques de décodage du signal cérébral ont bénéficié des progrès considérables réalisés ces dix dernières années dans le champ des technologies, avec l'élaboration de capteurs de plus en plus sophistiqués. Elles ont également bénéficié des progrès dans le domaine du traitement du signal, des neurosciences et de la médecine. Le signal cérébral ainsi décodé peut être utilisé pour piloter divers appareils destinés à suppléer une fonction perdue dans les suites d'un accident ou d'une maladie.

    Après des affections neurologiques par exemple, certaines personnes peuvent être dans l'impossibilité de parler et de bouger, alors que leurs fonctions intellectuelles sont préservées. C'est le cas dans le Locked-In Syndrome ou "syndrome d'enfermement", qui fait le plus souvent suite à un accident vasculaire cérébral (AVC). Dans ces situations, l'interface cérébrale peut permettre à la personne de communiquer à nouveau en sélectionnant sur un écran des lettres pour composer un mot, puis une phrase. Ces systèmes sont encore très lents actuellement et les utilisateurs ne peuvent pas saisir plus de 2 à 3 lettres par mi­nute en moyenne. Ils sont également peu disponibles en France mais déjà commercialisés dans d'autres pays d'Europe. Les indications sont rares puisque, fort heureusement, la majorité des patients ayant une maladie neurologique gardent des capacités motrices minimales leur permettant de communiquer de façon plus simple. Ce "pilotage de l'ordinateur à la pensée" reste toutefois très prometteur pour les personnes les plus gravement atteintes.

    De la même façon, ces outils peuvent permettre à des personnes complètement paralysées (tétraplégiques, par exemple) de piloter un fauteuil roulant électrique et de retrouver ainsi des possibilités d'action sur leur environnement. Dans ces situations, l'interface cérébrale détecte le signal cérébral émis par la personne lorsqu'elle pense à sa main droite (pour tourner à droite), à sa main gauche (pour tourner à gauche) ou à ses pieds (pour faire avancer le fauteuil). Ces dispositifs sont encore très expérimentaux et ne sont pas commercialisés en France à ce jour.

    Enfin, le fait de contrôler un curseur à l'écran par la pensée peut permettre de diriger le mouvement d'un bras robotisé par l'intermédiaire d'un écran d'ordinateur. Dans ce cas, les mouvements du bras sont en grande partie automatiques mais la personne peut déclencher la mise en mouvement du robot et contrôler partiellement ses mouvements afin, par exemple, de saisir un objet. Ces applications sont également très expérimentales.

    Savoir enregistrer et décoder l'activité cérébrale ouvre des possibilités très prometteuses en rééducation. Il est actuellement possible d'apprendre à une personne à contrôler son activité cérébrale pour "rééduquer" certaines cellules nerveuses et "ré-entraîner" des zones de son cerveau touchées, par exemple, par un accident vasculaire. Les expérimentations dans ce domaine ont commencé il y a moins de trois ans dans plusieurs pays du monde. Les indications de ce type de rééducation sont encore mal connues et la réelle efficacité de ces méthodes est en cours d'évaluation. Mais elles suscitent beaucoup d'espoir dans le champ de la médecine physique et de réadaptation et de la neurologie.

    Ces outils permettent également d'explorer la conscience de personnes non communicantes, à l'instar de ­celles qui se trouvent plongées dans le coma, et dont on ignorait jusqu'à présent le niveau de conscience. Dans ce cas, le principe est de réaliser une stimulation cognitive de l'individu et d'enregistrer la réponse sous la forme d'un signal cérébral qui peut nous renseigner sur la compréhension de la personne et sur ses capacités à établir une forme de communication.

    Les applications "grand public" de l'interface cérébrale commencent à voir le jour et il existe quelques jeux commercialisés qui utilisent le signal cérébral pour agir soit sur un objet, soit sur un jeu vidéo. Ces applications ludiques concerneront bien évidemment aussi les personnes handicapées privées de motricité.

    À terme, l'utilisation du signal cérébral devrait se généraliser, avec des applications dans le champ de la médecine et dans le champ du grand public. La mise au point d'interfaces cerveau-machine, de plus en plus sophistiquées et accessibles, ouvre des perspectives très intéressantes, en particulier dans le domaine de la rééducation, de la compensation des fonctions perdues et du loisir.

  • Quelle société solidaire en France pour aujourd'hui?

    l’avis « radicalement défavorable » de la commission accessibilité du CNCPH sur les ordonnances (destinés à modifier la loi de 2005 sur la partie accessibilité et reporter de fait l’échéance de 2015), avis qui devait être présenté jeudi 10 juillet en plénière du CNCPH. Néanmoins, je rappelle que l’avis n'est que consultatif, et que sans mobilisation de notre part, je doute fort que cela soit suffisant.

    Je vous invite à lire cet avis dans son intégralité, car vous pourrez ainsi mesurer à quel point le gouvernement s'attaque à la loi de 2005 et nous fait revenir des années en arrière. Et c'est bien pire que ce qui était annoncé dans les réunio

    Allons-nous laisser passer ce recul historique sans réagir ?

    Ne venons pas pleurer plus tard, alors QUE notre liberté d’aller et venir est gravement remise en cause et que nous sommes trop peu à manifester concrètement notre colère !

    C’est pourquoi des membres du Conseil APF de région Midi-Pyrénées et d’autres associations proposent de renouveler l'opération péage gratuit le samedi 26 juillet au péage du Palays, au sud de Toulouse, dans le sens de Montpellier, Carcassonne vers Toulouse. Avec d'autres associations du CIAH 31, et les associations de personnes à mobilité réduite. Et tous ceux qui voudront participer.

    Pour cela, il faut être une cinquantaine, et je vous propose donc de vous inscrire sur le Doodle suivant si vous êtes prêts à participer, en nous indiquant l’horaire qui vous convient le mieux :

     http://doodle.com/iup9aqy2eswtyups

     

    Il est encore temps de manifester notre colère, car les ordonnances ne seront promulguées qu’à la fin de l’été selon la ministre Neuville, et  le CAPFR de Midi-Pyrénées encourage les autres départements et régions à se mobiliser au cours de l'été, mais cela ne peut évidemment dépendre d'une seule personne ou de quelques-unes.

     

    Les seuls combats victorieux sont ceux que l'on mène…. Et ceux qui baissent les bras ont déjà perdu.

    Solidairement.

    Merci de rediffuser largement à vos contacts

     Voir la précédente opération le 2 juillet à Muret (31) : http://dd31.blogs.apf.asso.fr/archive/2014/07/04/accessibilite-handi-et-pmr-en-colere-operation-peage-gratuit-71308.html

     

    Le tract : http://dd31.blogs.apf.asso.fr/archive/2014/07/01/accessibilite-colere-operation-peage-gratuit-a-muret-2-juill-71168.html

     

    Odile MAURIN

     

    Représentante Départementale de l'APF en Haute Garonne

     

    Membre du conseil APF de région Midi-Pyrénées

     

    APF (Association des Paralysés de France)

     60 chemin du commandant Joël Le Goff - 31100 TOULOUSE 

     Tél : 06 68 96 93 56 (11h à 21h uniquement)

     Mail : odile.maurin@apf31.fr - cd.31@apf.asso.fr

     Blog : http://dd31.blogs.apf.asso.fr

    association membre du CIAH31 (Collectif InterAssociatif Handicaps du 31) : http://v2.handi-social.fr/ciah31.html

     et du collectif  Ni Pauvre Ni Soumis midi pyrénées : http://nipauvrenisoumis.mp.free.fr/

     

    "C’est la faute à l’accessibilité! " : la pensée unique des lobbies et des politiques pour défaire la loi ! Inacceptable car faux : de " vrais gens " racontent ! Alors faites comme eux, n’écoutez pas les lobbies ! Et signez pour dire oui à l’accessibilité !

    Accessibilité : Et pourtant, on ne demande pas la Lune !!!

    Les coups ne cessent de pleuvoir sur l’obligation de mise en accessibilité de la cité et le délai de 2015 instaurés par la loi “handicap” du 11 février 2005. Des coups plus ou moins directs mais dont le sens ne trompe pas : celui d’une remise en cause pure et simple de cette obligation, en s’attaquant à la fois au délai et aux normes. Des coups portés par les lobbies " anti-accessibilité " que sont les fédérations et associations de professionnels de l’immobilier, du tourisme, de commerçants, d’architectes, de maires…

    Des coups basés sur des idées fausses : "Trop cher ", " trop tard", " trop compliqué", "mpossible ", au point d’en faire la pensée unique !

    Sus à " l’intégrisme normatif " !?

    Une pensée unique  acceptée et reprise par le gouvernement et les parlementaires qui ne cessent depuis plusieurs mois de pointer du doigt, dans leurs déclarations et divers rapports, les difficultés et contraintes techniques et financières que représente la mise aux normes d’accessibilité. Des normes jugées si excessives que messieurs Alain Lambert et Jean-Claude Boulard n’ont pas hésité à les qualifier dans leur rapport sur les normes d’ " intégrisme normatif " !

    Indifférence… ou incompétence ?

    Aujourd’hui, il est donc intégriste de défendre l’accessibilité… Ces mêmes personnes expliquent que "(…) personne n’ose ouvrir le débat de peur d’être accusé d’indifférence à l’égard des demandes légitimes des personnes handicapées. "

    Ah mais si, ouvrons le débat ! Le sujet n’est pas l’indifférence mais plutôt celui de l’incompétence !

    Face à cette pluie d’attaques répétées contre l’accessibilité fondées sur des arguments fallacieux, il était plus que temps de montrer que des " vrais gens " issus de ces catégories professionnelles ont réussi à rendre leur commerce, leur hôtel, leur transport, leur mairie… accessibles.

    L’accessibilité, c’est possible, et ce n’est pas que l’APF qui le dit !

    Alors faites comme toutes ces personnes rencontrées dans la France entière : n’écoutez pas les lobbies !

    Ne laissez pas les idées fausses défaire la loi. Dites non à la pensée unique et oui à l’accessibilité !

    http://www.necoutezpasleslobbies.org/je-signe/

     

    Liberté, Egalité, Fraternité??????

  • Contraception : Découvrez la pilule télécommandée du futur

     

    Fini le calvaire de la prise à heure fixe et avec elle, le risque d'oublier qui concerne tant de femmes utilisant ce contraceptif quelque peu contraignant. Une nouvelle pilule pourrait bien voir le jour prochainement et fonctionnerait comme un implant sous-cutané que l'on peut activer et désactiver à la demande.

    Si les grossesses en cas d'oubli de pilule un jour restent rares, ces instants tête-en-l'air n'en sont pas moins facteurs de stress et de panique. Faut-il sauter un jour, doubler la prochaine prise, prendre une pilule du lendemain, s'abstenir de tout rapport sexuel ? Autant de question qui traversent l'esprit de l'oublieuse et font de ce moyen de contraception une chose bien plus compliquée qu'elle ne le devrait. Mais peut-être que le temps des rappels sur le portable et des frayeurs pourrait bientôt toucher à sa fin. Un nouveau contraceptif intégrant le dosage et le principe de la pilule ainsi que la simplicité et la durée de vie de l'implant ou du stérilet est actuellement à l'étude et, s'il s'avère efficace, pourrait être commercialisé dans les années à venir.

    Ce contraceptif révolutionnaire prendrait la forme d'une puce de 20 mm qui serait implantée sous la peau (dans le bras, les fesses ou le ventre) et pourvue d'une batterie de très faible courant électrique qui permettrait de délivrer chaque jour 30 microgrammes de lévonorgestrel, une hormone de synthèse déjà utilisée dans plusieurs contraceptifs. Elle serait protégée dans un petit réservoir pouvant contenir l'équivalent de 16 ans de traitement, soit le double de certains stérilets longue durée. Mais le véritable plus de cette pilule nouvelle génération réside dans le fait qu'elle pourra être activée ou éteinte quand on le veut, grâce à une télécommande. Ainsi, une femme désirant être enceinte pourra la désactiver puis la remettre en marche après son accouchement. Développé dans les laboratoires du prestigieux MIT (Massachussetts Institute of Technology) et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui encourage les nouveaux moyens de contraception comme le préservatif du futur Galactic Cap, pourrait être soumis à des tests pré-cliniques dès 2015 puis distribué sur le marché 3 ans plus tard s'ils sont concluants.

    Sachant que la pilule est de plus en plus délaissée chez les femmes, à cause des contraintes qu'elle implique mais aussi des récents scandales sanitaires autour des pilules de 3ème génération, au profit d'autres moyens comme le stérilet, l'implant, ou même des méthodes plus traditionnelles, ce système pourrait également représenter une alternative séduisante. Reste la question de la télécommande, qu'il ne faudra pas égarer, ou laisser à portée de mains malintentionnées !

    futurologie,société,santé,femme,fille,mec

     

     

     

     

     

    NDLR: quand je pense que beaucoup de femmes et filles refusent que leur gosse soient vaccinés et qu'elles accepteraient avec grande joie ce truc électronique qui donne de l'électromagnétisme et bouzille les cellules du corps!

  • Chaque jour, en France, des dégueulasses vous prennent la tête

    Pourquoi c'est important

    Nous nous mobilisons une nouvelle fois contre la mort programmée de l'Unité spécifique d'Oncologie Pédiatrique individualisée de l'hôpital Raymond Poincaré de Garches (92380) AP HP

     Depuis plus de trente années, le Docteur Nicole Delèpine et son équipe pratiquent une médecine individualisée et humaine, pointue utilisant les traitements éprouvés efficaces, quand ils existent, sans les délaisser pour des essais thérapeutiques dont les résultats à long termene seront connus que plus tard et donc incertains.

     Nous avons le droit de profiter des progrès de la médecine de ces trente dernières années et pas seulement d'être le cobaye pour les prochaines décennies.Nous acceptons les essais lorsqu'aucune solution sérieuse n'existe pour nos Cancers

     Nous ne sommes pas un simple numéro, mais un patient que l'on écoute et auquel on donne les moyens de vaincre le Cancer en connaissance de cause, c'est à dire des possibilités fournies par des schémas de traitement connus ou par les essais cliniques proposés. C'est à nous de choisir !

     Le 6 novembre 2006, l'Unité a été transférée de l' hôpital Avicenne d à l'hôpital Raymond Poincaré de Garches, suite à la signature en 2004 d'un protocole d'accord entre l'AP HP, le Ministère de la Santé et l'Unité du Docteur Delèpine, affirmant sa pérénnité.

     Malheureusement à ce jour le protocole n'est plus respecté, les locaux, moyens matériel et humains sont petit à petit grignotés. Sa fermeture régulièrement annoncée déstabilise le personnel harcelé par l'encadrement pour pallier aux restriction de postes.

     Pour que nos enfants puissent continuer à être suivis par cette Unité qui n'existe "nulle part ailleurs" nous vous interpellons une nouvelle fois. Pour que les autres puissent profiter des chimiothérapies adaptées à leur âge évitant des amputations comme cela a encore été le cas pour trois patients le mois écoulé.

     Ou iront-ils ?

     Mme la Ministre

     Nous sommes sur que le sort d'enfants cancéreux ne vous laissera pas indifférente. Nous espérons vous rencontrer en personne rapidement. Respectueusement

     

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/La_perennite_de_lUnite_dOncologie_Pediatrique_de_Lenny_Beatrice_James_et_les_autres_SAUVONS_LUNITE/?kBwQFab

     

    Figurez-vous que j'ai avalé du Méthotexate pendant 5 ans et demi... j'ai bien sûr, connu le prix: c'est un produit pas cher du tout; je crois me souvenir, moins de 10 euros par mois...il existe depuis plus de 20 ans.... en plus de soigner les cancers du sang de l'enfant, il aide contre les inflammations diverses (comme celle qui me frappe depuis 2005).. bon d'accord, cela n'a eu aucun effet sur moi.. quoique... on ne peut jamais rien dire... mais, ma maladie est incurable à ce jour... et je suis encore là, quand même!

    et, si ces foutus protocoles ne servaient qu'à faire engraisser les labo qui testent sur les enfants des produits qui les tuent plus qu'ils ne les guérissent?...

    allez signer la pétition! trop de protocoles contraints n'est pas de la bonne science!

    quand aux sympathiques collègues qui parlent de couloir de la mort pour son service et au juge des affaires familiales (qui voulait retirer l'enfant à sa mère pour non assistance à personne en danger)

    http://madame.lefigaro.fr/societe/nicole-delepine-guerre-declaree-070714-891823

    c'est pour le moins dégueulasse! et le mot n'est pas assez fort!

  • Stats Juin 2014

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