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  • Sept Français sur dix ne veulent déjà plus du Cornu!

    Bon petit diable ou Satan l’habite? Les Ultramarins ont eu affaire à lui quand il était un bleu outre-mer, de juillet 2020 à mai 2022. Un dilettante. Un amateur. Un glandeur. Un touriste qu’on avait casé là pour lui faire voir du pays aux frais de la Princesse Poilofesse. Macronescu décidait et ses administrateurs coloniaux habillaient de vivats les élections.

    Les dossiers brûlants comme le référendum en Nouvelle-Calédonie, la loi de programmation pour Mayotte et les émeutes aux Antilles, Cornu s’en tamponnait le coquillard. Aucun problème ne reste sans solution, il finit toujours par se régler tout seul si on cesse de s’en occuper. Philosophie de fonctionnaire. Son seul acte volontariste fut le limogeage d’un gouverneur colonial pour le punir d’avoir échoué à piquer de force les cannibales des îles.

    Du jour où ce cornu est arrivé en 2017 dans les bagages du paltoquet, on lui a trouvé d’emblée une gueule de faux jeton. Bon pour le rôle du félon, mi-traître mi-loufiat, dans les films de cape et d’épée… Brichel qui veille au casting pour son garçonnet, l’a adopté de suite. Au point qu’il avait gagné le surnom de chouchou de la reine mère, longtemps avant son installation à Matignon.

    Dans le règne animal, il serait un triocéros appelé aussi caméléon cornu

    La bestiole a tout l’air de s’être échappée de Jurassic Park. Un tricératops en modèle réduit. Mais pas de panique! Ce petit saurien ne mesure que trente centimètres du bout du nez à celui de la queue. Il porte trois cornes sur la tête chez les garçons, contre une seulement chez les filles. Un dimorphisme sexuel inéquitable et scandaleux dont la Sardine du ruisseau a promis de s’occuper, toutes affaires cessantes.

    À son aptitude au mimétisme, commune à l’espèce, le caméléon cornu ajoute la capacité de changer complétement de peau, trois fois par an. Donc, depuis 2017, si je sais encore compter, ça lui fait 24 enveloppes différentes. Sans compter celles qui passent dessous la table.

    Son pandémonium de figurines est encore plus riche que les coulisses de son mentor adepte des déguisements délirants à la Village People: aviateur, sous-marinier, pompier, égoutier, footballeur, sorcier en Océanie, grand féticheur en Afrique et mamamouchi chez les Turco-Mongols.

    Les changements de couleur du caméléon Cornu donnent le tournis. Avant 2017, il cherchait sa voie. Celle qui permet de gagner gros sans trop se fouler la rate. Cacique UMP élu avec les voix des socialauds (ça c’est banal!) il se surpasse après avoir fait la rencontre de sa vie avec Macronescu l’imposteur, le magicien des faux semblants, l’escamoteur des bulletins de vote, auquel il va s’efforcer de ressembler, en commençant par se doter d’une biographie bidonnée.

    Ses hagiographes payés par le gouvernement en font un cerveau brillant promis à un grand destin.

    Quand la brosse à reluire médiatique est en marche, rien ne l’arrête. De même qu’elle a fait d’une animatrice de kermesses scolaires une agrégée de lettres, elle pare le Cornu du titre d’éminent juriste. Alors qu’il n’a jamais terminé ses études de droit, après un bac social qui était déjà le dépotoir des cancres, de mon temps.

    Son cursus médiocre n’a rien de rédhibitoire sur les tréteaux de l’État spectacle, où la servilité à l’égard des hiérarques, les opinions fractionnées à géométrie variable et le bagout au culot pour distraire les foules hallucinées remplacent les compétences, la culture, la probité et le sens de l’intérêt général. La génération Macron a produit une flopée de clones du dictateur, frimeurs, culottés et égotistes. Cornu courtisan déférent et flagorneur de nature, avait tous les atouts pour complaire au tyran.

    Aujourd’hui, selon un sondage Odoxa-Backbone, sept Français sur dix ne lui font pas confiance pour diriger le gouvernement et prendre des décisions difficiles dans l’intérêt de la France. Sans prononcer le mot dette. C’est un tabou. En parler porte malheur. Personne ne veut servir de mérou grillé aux futures agapes!

    En plus de ça, 75 % de nos chers compatriotes pensent que Fripounette devra se passer de ses services dans les mois à venir. Sans doute contraint et forcé par une motion de censure. En toute hypothèse, 79 % des socialauds, 67 % des écolos, 87 % des LFI et 80 % des RN ont une mauvaise opinion de lui est espèrent le voir dégager fissa. Seul un groupuscule de centristes et de résidus du macronisme l’absolvent. Sans illusions. Mais parce qu’ils ont les pieds en plein dedans.

    LES ZIGZAGS DU ZIGUE

    La France a failli être privée de ce grand homme d’État qui voulait devenir curé! Il s’en est épanché chez Halla Salami qui buvait du petit lait le 26 octobre 2024, au cours de l’émission racoleuse "Quelle époque!".

    Son patron, prince de la perversité sous toutes ses formes, a sûrement apprécié le cheminement sinueux qui a mené son protégé de l’enseignement catholique traditionnel à un séminaire de bénédictins, où des moines expriment virilement leur fraternité tactile, front contre front, avec papouilles et accolades. Des mauvaises langues affirment que le cornu tiendrait son homophobie d’une homosexualité mal assumée.

    Sa caméléonite lui a permis de s’affirmer, sans sourciller, gaulliste séguiniste tout en étant européiste. Contre le mariage des personnes de même sexe avant de changer d’avis. Opposé au voile islamique qu’il a fini par admettre. Et contre la procréation médicalement assistée avant de virer à nouveau de bord en 2019. Tout à fait le style du pleutre qui se range du côté de celui qui gueule le plus fort. Et Macronescu adore ce genre de personnage malléable à sa botte.

    Sorti de l’ombre par Fillon qui en a fait son plus jeune conseiller ministériel en 2005, il devient dirigeant national des LR en 2015. Promu directeur adjoint de la campagne présidentielle de Fillon en 2016, il trahit sans vergogne son bienfaiteur et offre ses services à Macronescu dès le 2 mars 2017 quand il sent que les carottes sont cuites.

    Très curieusement, l’implacable parquet national financier abandonnera les poursuites contre le Cornu, accusé de prise illégale d’intérêts car il intervenait dans des décisions concernant la société des autoroutes Paris-Normandie qui le rémunérait en même temps comme administrateur.

    C’est comme pour Alexis Kohler, ancien secrétaire général de l’Élysée qui intervenait dans des marchés maritimes au profit d’un consortium d’armateurs où sa famille est actionnaire. Pas de lézard, mon canard. Juste un vague vice de forme dont on discute encore.

    En Macronie, le proximité du pouvoir protège des tribulations judiciaires réservées au vulgum pecus, avec circonstances aggravantes si ce sont des opposants. L’exemple le plus flagrant en est donné par Marine et les assistants parlementaires RN assaisonnés pour des faits identiques à ceux qui ont valu à Bayrou le mérou et à ses assistants médusés la grande clémence des juges.

    Ministre de quelque chose sans interruption depuis 2017, ce Cornu n’a rien de martial. Silhouette endomorphe, épaules tombantes, faciès gras, mou et veule, manières apprêtées. Il occupe pourtant depuis mai 2022 le strapontin de ministre de la Guerre. Poutine doit en trembler de frousse!

    Nommé à ce poste à 35 ans, il est le plus jeune ministre des Armées depuis la Révolution française. Mais il n’a jamais porté l’uniforme, n’a jamais participé activement à des manœuvres, n’a jamais commandé des hommes au combat et s’est encore moins impliqué sur le terrain en Afrique, en Ukraine ou ailleurs.

    Il aurait pu au moins se faire nommer général de soldats de plomb par faveur du prince, comme Benalla s’est retrouvé colonel de la garde impériale, histoire d’en jeter plein la tronche aux blaireaux…

    Quant à ses conseillers, ce sont des culottes de peau étoilées qui se répandent en niaiseries cacochymes sur les plateaux des télés sous tutelle.

    Pourtant, cet ectoplasme, entre cornes du Diable et partenaires volages, devrait seconder Macronescu, lequel n’a pas la moindre formation militaire non plus, le jour prochain où la France déclarera la guerre à la Russie, afin de stopper le processus d’élection présidentielle prévu en 2027.

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com/

  • Les "animalistes" veulent interdire les salons d’animaux

    image générée avec une I.A. par moi

    Comme il est rituel maintenant, des associations dites "animalistes", c’est-à-dire qui défendent les "droits des animaux", s’opposent à la tenue des salons animaliers, notamment des chiens et des chats.

    Cela a été encore le cas lors du salon Univers du chiot organisé à Fontainebleau les 23-24 août (Le Parisien, 23 août 2025), lors du salon du chiot à Nantes les mêmes jours (Ouest-France, 12 août 2025), comme cela avait été le cas lors du salon Animal Expo au Parc Floral de Paris en septembre de l’année dernière (Le Parisien, 16 septembre 2024), lors du salon du chiot à Vannes les 8-9 février de cette année (Ouest-France, 6 février 2025) ou encore lors de celui de Chantilly les 2-3 août (Le Parisien, 3 août 2025), la liste n’étant évidemment pas exhaustive.

    Si nous ne doutons pas que ces réactions partent, au moins pour quelques-unes, de bons sentiments, il ne faut pas être naïfs pour autant, les "intentions" et l’idéologie sous-jacente étant claires.

    LES ANIMALISTES VEULENT EFFACER LES FRONTIERES JURIDIQUES ENTRE LES ETRES HUMAINS ET LES ANIMAUX

    L’association Projet animaux zoopolis (PAZ) s’indigne que ces salons fassent du "business sur l’élevage des chiens", alors que "les animaux ne sont pas des marchandises ni des attractions à exhiber dans un salon" et qu’il y a tant d’abandons dans notre pays.

    Le Parti animaliste a déploré que le salon de Nantes, "comme tant d’autres, encourage l’achat impulsif".

    La correspondante locale dudit parti a même osé: "Notre objectif est clair: mettre fin à ces foires animalières qui déshumanisent (sic) l’animal et le réduisent à un objet de transaction". Le Parti animaliste exige donc l’interdiction législative des salons de chiots sur l’ensemble du territoire.

    Il faut rappeler que, depuis 2014, la vente des chiens et des chats dans les animaleries est interdite; qu’un "certificat d’engagement et de connaissance" doit être signé avant tout achat d’animal de compagnie depuis 2022; que les animaux sont juridiquement des "êtres sensibles" depuis une modification du code civil, mais qu’ils ne sont pas dotés de la personnalité juridique car il ne s’agit pas d’êtres humains.

    La volonté limpide des animalistes, et plus largement des écologistes extrémistes ou autres "antispécistes", est d’effacer les frontières juridiques entre les êtres humains et les êtres "non-humains", avant sans doute de les effacer entre les êtres vivants et les êtres "non-vivants".

    Il s’agit, sur fond de bons sentiments et d’une comparaison implicite et plus qu’hasardeuse avec l’esclavage, d’une perversion de l’humanisme qui caractérise la civilisation occidentale.

    Il n’est dès lors guère surprenant que le Groupe communiste et citoyen de Paris se soit exprimé en février dernier "contre la marchandisation des animaux"…

    Jean-Philippe Feldman

  • Panique à l'Elysée!

    Trump s’attaque à Soros… Macron tremble et hait encore davantage Donald!

    … et la secousse arrive jusqu’à Paris!

    Donald Trump a ouvertement réclamé l’inculpation de George Soros et de son fils Alexander sous le RICO Act (1) pour leur rôle dans le financement et l’orchestration des mouvements violents aux États-Unis. Il a carrément écrit sur Truth Social: " Nous ne laisserons plus ces fous déchirer l’Amérique, sans lui donner la moindre chance de “RESPIRATION” et d’être LIBRE. Soros et sa bande de psychopathes ont causé de graves dommages à notre pays! ".

    Les médias américains et européens républicains ou patriotes témoignent depuis des années que l’Open Society Foundations de George Soros distribue des subventions à des causes considérées comme progressistes, finance des manifestations, notamment celles qui ont lutté contre les troupes déployées par l’administration de Donald Trump à Washington. Le même Soros aurait financé la campagne de Kamela Harris (85 millions de dollars…). Trump répète depuis un an que, lors de son procès pénal à New York l’année dernière, le procureur Alvin Bragg avait été soutenu par Soros.

    Elon Musk a également déclaré qu’il était "grand temps de prendre des mesures directes contre Soros", il l’avait déjà accusé d’être responsable des manifestations devant les concessionnaires Tesla au plus fort de son mandat au Doge.

    Soros qui a financé les manifs contre Trump, Soros financier de la LDH, du CCIF, Soros grand financier et organisateur de l’invasion migratoire en Europe…

    Nigel Farage a carrément accusé les parlementaires européens d’être corrompus par Soros!

    Et là où ça devient explosif: Alexander Soros est un soutien affiché d’Emmanuel Macron. Ce n’est pas une rumeur, c’est documenté: le fils Soros a ses entrées à l’Élysée et se vante de ses relais en Europe.

    Thierry MARIANI l’avait déjà dénoncé en 2021. 

    Et Résistance républicaine évidemment…

    2021

    Enorme scandale, Macron reçoit le fils Soros à l’Elysée, pour recevoir sa prochaine feuille de route?

    Novembre 2023:

    Quel sale coup Macron nous prépare-t-il avec le fils Soros qu’il a reçu une fois de plus?

    Que dire du rôle actif des Soros dans l’énorme scandale Covid qui a rapporté des milliards à Pfizer and co et a permis de supprimer la liberté des peuples, comme une espèce de grande répétition générale? 

    Confinement général et vaccination obligatoire: c’est la feuille de route imposée à l’Autriche par Soros?

    Tiens, tiens… Confinement des non vaccinés juste après la visite du fils Soros en Autriche!!!!

    Encore plus révélateur: Nathalie Loiseau, eurodéputé macroniste, est membre active du réseau “Soros Europe”. Autrement dit, les petites mains françaises de Macron participent à la même toile mondialiste qui agit dans l’ombre à Washington, Bruxelles et Paris.

    Quand Trump dit: " Nous surveillons Soros et son groupe de psychopathes ", cela veut dire que les ramifications européennes ne seront pas épargnées.

    Macron le sait: si Soros tombe, tout son réseau d’influence s’effondre avec lui.

    C’est donc la panique à l’Élysée.

    Christine Tasin

     

    Le Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act est une loi fédérale des États-Unis qui prévoit des sanctions pénales étendues et une cause d’action civile pour les délits commis dans le cadre des activités d’une organisation criminelle. Cette loi fédérale américaine est généralement utilisée pour lutter contre le crime organisé. C’est donc une accusation très grave que lance Trump contre Soros.

     

  • Le pédagogisme, grand responsable de l’effondrement de l’école

    image générée par moi avec une I.A.

    La pédagogie désigne l’art de l’éducation, les méthodes et pratiques d’enseignement pour transmettre un savoir, des connaissances, un savoir-faire, des capacités, un savoir-être, des attitudes. Et en effet, la pédagogie est un art.

    Le terme pédagogisme désigne un ensemble de méthodes d’enseignement scolaire qui s’appuient sur les conceptions du constructivisme.

    Le but est de faciliter la construction par l’élève lui-même de ses savoirs et d’améliorer ainsi ses propres stratégies d’apprentissage.

    Le rôle de l’enseignant ne serait plus de transmettre des savoirs déjà constitués, mais surtout de mettre en oeuvre une pédagogie permettant à l’élève de mieux s’approprier les savoirs en les reliant à des expériences vécues et à d’autres savoirs.

    Le terme pédagogisme est utilisé aussi pour critiquer l’approche traditionnelle. Ses tenants agissent uniquement au motif de l’épanouissement de l’enfant, font oeuvre d’éducation. Ils renoncent aux méthodes classiques qui consistaient à lui enseigner directement des savoirs.

    D’un point de vue de l’historique, ces préceptes pédagogiques qui imprègnent le système éducatif prennent leurs racines au XIXe siècle.

    Les pédagogues dits " progressistes " sont inspirés par Jean-Jacques Rousseau et par les travaux de psychologues et de comportementalistes américains.

    Ils partent du principe que la transmission des connaissances par le professeur n’est que la reproduction de schémas archaïques qui enferment l’élève.

    L’élève doit être "créateur de son savoir", et le pédagogue un "accompagnateur".

    Le rôle de l’école n’est plus de transmettre des savoirs, mais des "savoir-faire" et des "savoir-être". Cette idéologie triomphe aux Etats-Unis dès les années 1930.

    En 1960, dans La Crise de la culture, Hannah Arendt en dénonce les effets pervers sur le système éducatif américain.

    Peu importe, il s’impose en France en se colorant d’une teinte politique, et en plusieurs étapes. Dans les années 1960, les thèses de Pierre Bourdieu décrivent l’école comme lieu de transmission de la culture dominante et comme lieu de reproduction des inégalités.

    Ces thèses achèvent de convaincre la majorité des enseignants et nombre de politiques d’adapter l’école d’une part, aux "nouveaux publics" drainés par la massification du système, version de gauche, d’autre part, aux évolutions du monde en mouvement, version de droite.

    Mai 1968 remet complétement en cause l’idée d’autorité. On commence à saper la possibilité même de transmission.

    En 1975, la Loi Haby sur le collège unique a des effets délétères pour les enseignements disciplinaires.

    Les années 1970 et 1980 voient se multiplier les postes en sciences de l’éducation dans les universités.

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  • Comment trouver son médecin traitant?

    Selon une récente étude, près d’un médecin sur deux n’accepte plus de nouveaux patients en ville. Une décision que les généralistes justifient par le fait qu’ils ont déjà un grand nombre de patients et qu’ils ne pourraient pas les suivre correctement s’ils en acceptaient davantage.

    Les professionnels qui préparent leur départ en retraite limitent également leur patientèle. Une situation qui rend difficile le fait de trouver un médecin traitant quand on n’a pas de médecin de famille, ou suite à un déménagement.

    La surcharge de travail dont ils sont victimes incite des nombreux professionnels de santé à ne plus accepter de nouveaux patients. Un choix qui compromet l’accès à un médecin traitant et à un bon suivi de santé pour les malades.

    UN MEDECIN GENERALISTE A-T-IL LE DROIT DE NE PLUS PRENDRE DE NOUVEAUX PATIENTS?

    Face au refus d’un médecin généraliste de prendre un nouveau patient, même en cas de maladie, on peut se poser la question de la légalité de ce choix. En France, la loi autorise un médecin à refuser d’accepter de nouveaux patients et à refuser d’être le médecin traitant d’un malade.

    Le seul cas où un praticien est obligé de délivrer des soins est celui de l’urgence. Dans un cadre de médecine de ville classique, il est donc tout à fait légitime pour un docteur de ne plus prendre de nouveaux patients.

    CONSEILS POUR TROUVER UN MEDECIN QUI PREND DE NOUVEAUX PATIENTS

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, il existe plusieurs solutions. La première consiste à faire une recherche sur le site de la caisse d’assurance maladie "ameli". Ce site recense tous les médecins généralistes par secteur.

    La plate-forme Doctolib peut aussi aider à trouver les médecins qui prennent de nouveaux patients. Au moment de lancer une recherche, il suffit de sélectionner ce critère dans les filtres.

    COMMENT FAIRE QUAND ON N’A PAS DE MEDECIN TRAITANT?

    Avoir un médecin traitant permet de bénéficier d’un remboursement des consultations à 70% par l’assurance-maladie. C’est aussi l’assurance d’être mieux soigné pour le patient qui a un interlocuteur de confiance qui connaît bien son dossier de santé. Le médecin traitant est d’autant plus utile en cas d’urgence, ou face à des maladies comme la Covid-19 qui nécessite un suivi soigneux.

    Les patients qui ne parviennent pas à trouver de médecin traitant malgré leurs recherches peuvent saisir le conciliateur de l’assurance-maladie. Ce professionnel a pour rôle d’aider les malades à trouver un médecin traitant généraliste, afin qu’aucun assuré ne reste sans solution pour prendre soin de sa santé.

     

    Le conciliateur ne peut pas forcer un médecin à devenir le médecin traitant d’un patient, mais il peut tenter une médiation pour inciter ceux qui ont refusé de revenir sur leur décision.

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, la meilleure solution est d’utiliser un site comme Doctolib pour rechercher les généralistes disponibles près de chez soi. En cas de problème, le conciliateur de l’assurance-maladie peut également aider les assurés à trouver un généraliste référent.

  • La politique de Macron est-elle dictée par la rue arabe?

    L’actualité ne cesse de nous prouver que le cancer antisémite se propage à grande vitesse en France et en Europe. Il n’est plus possible pour les Juifs de France de vivre en sécurité, ou tout simplement de vivre sans subir des insultes, des menaces et des discriminations, dignes des pires dictatures qui persécutent leurs minorités.

    Ici, c’est un gérant de parc de loisirs qui refuse d’accueillir 150 mineurs israéliens en vacances, "pour convenances personnelles".

    Là, on diffuse des vidéos montrant des familles juives dans un parc d’attractions, en les agrémentant de slogans antisémites qui n’ont rien à envier au nazisme.

    Être juif en France en 2025, c’est porter sur son dos le poids écrasant du conflit israélo-palestinien, totalement instrumentalisé par la rue musulmane et une bonne partie de la gauche. Il est évident que Macron n’est pas étranger à cette aggravation de l’antisémitisme, qui avait pratiquement disparu dans notre pays, pour finalement renaître avec l’immigration de masse de populations arabo-musulmanes.

    En 1960, les communautés juive et arabe étaient d’un poids équivalent, environ 500 à 600.000 personnes. Aujourd’hui, notre pays compte plus de dix musulmans pour un juif dans sa population.

    On peut se demander pourquoi le CRIF a pu laisser la situation se dégrader à ce point. Sans doute a-t-il été aveuglé par son combat permanent contre le FN de JMLP depuis 40 ans. Car défendre l’immigration par peur d’être accusé de marcher sur les plate-bandes du FN, durant des décennies, cela mène là où nous en sommes: un antisémitisme musulman omniprésent, que l’État se montre incapable de combattre.

    Toute occasion est bonne pour les ennemis d’Israël, qu’ils soient musulmans ou farouches défenseurs de la cause palestinienne, pour crier "Free Palestine" ou pour planter un drapeau palestinien sur un toit, en distillant la haine des Juifs.

    La France est encore le pays qui accueille la deuxième plus importante communauté juive après celle des États-Unis. Mais pour combien de temps?

    Chassés du 9-3 depuis plus de vingt ans, dans une indifférence aussi odieuse que criminelle de la part de l’État, les familles juives voient leur quotidien se dégrader de jour en jour, la France ne leur offrant plus aucun havre de paix et de sécurité.

    Dans une lettre ouverte à l’ambassadeur de France en Israël, lequel justifie la reconnaissance d’un État palestinien souhaitée par Macron, le diplomate israélien Freddy Eytam écrit:

     

    "Vous évoquez " l’ampleur de la tragédie à Gaza et l’urgence de mettre fin à la crise humanitaire à Gaza. Une situation qui alimente le terrorisme et l’antisémitisme dans le monde entier.

    Nous sommes convaincus du contraire: c’est la reconnaissance de l’État palestinien qui renforce les islamistes et provoque des vagues de haine contre les communautés juives. "

    Freddy Eytam a raison.

    Reconnaître un État palestinien virtuel, sans frontières ni gouvernement, alors que la guerre à Gaza se poursuit et que des otages israéliens sont toujours captifs, est totalement irresponsable et ne fait qu’attiser les braises antisémites.

    Car à qui confier cet État palestinien?

    Au Hamas, entité terroriste qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007 en jetant les combattants du Fatah du haut des toits et en chassant Mahmoud Abbas vers la Cisjordanie?

    À l’Autorité palestinienne, dont la Charte de 1968 est un clone de celle du Hamas, qui prévoit de chasser Israël de la Palestine? La Charte de l’AP, ce sont 33 articles sur la libération de la Palestine par la force. Et c’est la négation de l’histoire du peuple juif, présent en Terre sainte depuis 3000 ans.

    Avant de reconnaître un État palestinien, il serait bon que Macron comprenne que cet État ne verra jamais le jour aussi longtemps que 28 États musulmans persisteront à ne pas reconnaître l’État hébreu. Sans parler des multiples organisations islamistes qui veulent rayer Israël de la carte.

    Mais voici la Charte de cette Autorité palestinienne qu’on dit modérée!

    https://www.axl.cefan.ulaval.ca/asie/palestine-charte1968.htm#:~:text=Le%20peuple%20arabe%20palestinien%20revendique,en%20tutelle%20et%20de%20satellisation.&text=Le%20peuple%20palestinien%20d%C3%A9tient%20le,et%20de%20recouvrer%20sa%20patrie

    LISEZ ET VOUS SAUREZ!

    Voilà qui a le mérite d’être clair. Pour le Fatah que l’Occident juge "modéré" et donc très fréquentable, libérer la Palestine, ce n’est pas la partager avec Israël, c’est chasser les Juifs de leur terre historique.

    Chacun sait que la politique étrangère de Macron est en partie guidée par la rue arabe, de plus en plus présente, mais si cette politique de soumission doit se traduire par la disparition de la communauté juive de France, ce sera une tache indélébile dans l’histoire de notre nation.

    Il serait grand temps que Macron comprenne qu’il est urgent de pacifier notre pays qui glisse inexorablement vers le chaos, au lieu de s’investir dans des conflits qui ne sont pas les nôtres ou de faire de l’ingérence dans la politique de certains pays souverains.

    C’est la France qu’il faut protéger de la menace intérieure, pas l’Ukraine.

    Si la communauté juive de France fuit notre pays comme elle a quitté le 9-3, ce sera la fin de la patrie des Droits de l’homme et de ses valeurs humanistes, dont nos élites se gargarisent à longueur de temps. Des valeurs que nos politiques revendiquent haut et fort mais sans avoir le courage de les défendre.

    C’est une France libanisée que Macron nous léguera en partant et certainement pas la start-up nation ayant dix ans d’avance qu’il prétend bâtir.

     

    Jacques Guillemain