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  • Il n'y aura pas de réchauffement climatique! Préparez-vous à un hiver 2016-2017 très froid!

    2015 : début du refroidissement climatique ?

    Alors que le réchauffement climatique marque une pause depuis les années 2000, dont les causes ne sont pas encore élucidées, certains climatologues envisagent même l'amorce d'une baisse entre 2015 et 2020. La planète risquerait-elle de renouer avec les rigueurs climatiques du 18ème siècle? Décryptage avec notre météorologue Régis Crépet.

    Non, le réchauffement climatique n’est pas aussi évident que cela pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire, voire même comme certains climatologues (1) l’envisagent de l’amorce d’une baisse à l’horizon 2020 - 2030. Il en va de la climatologie comme de la "pause fiscale" ou de "l'inversion de la courbe du chômage": on peut interpréter les chiffres de différentes manières et en tirer diverses conclusions.

    Le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre (les GES). C'est un raisonnement qui peut s’entendre mais qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le GIEC se base principalement sur la corrélation des courbes d'augmentation du taux de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis le début du XXème siècle et la hausse simultanée des températures planétaires pour se persuader du lien de cause à effet.

    Plus généralement il est admis dans la communauté scientifique que le réchauffement climatique "a été exacerbé par l'effet de serre d'origine anthropique", tout en reconnaissant que ce réchauffement ait pu avoir aussi une origine cyclique naturelle.

    Le réchauffement climatique est en pause depuis 1998

    Comment expliquer que le réchauffement climatique global est en "pause" depuis 1998 alors que les émissions de gaz à effet de serre poursuivent leur inexorable augmentation? En effet, selon les dernières données du RSS satellite data il n’y avait plus, en ce mois de septembre 2014, de réchauffement climatique global depuis exactement 17 ans et 9 mois.

    Si les années les plus chaudes depuis le XXe siècle sont observées durant la décennie 2000 - 2010, cela s’explique par la phase de plateau haut avec des températures planétaires qui restent à peu près au même niveau. Cela reste certes un niveau très élevé, mais un niveau qui n’augmente plus.

    La grande question qui se pose aux scientifiques est de savoir ce qui a pu entraîner cette pause non prévue par les modèles climatiques qui servent de base aux rapports du GIEC. La deuxième question est de savoir ce qui va ensuite se produire : la hausse des températures mondiales va t'elle reprendre ou au contraire la courbe va t'elle entamer une lente baisse? Cette deuxième hypothèse est désormais abordée comme une possibilité. Elle pose la question du rôle précis du taux de CO2 émis dans l’atmosphère car les émissions de gaz à effet de serre sont considérées comme responsables du réchauffement climatique contemporain, en particulier le CO² dont le taux de concentration dans l’atmosphère atteint des valeurs records. Le GIEC avait déclaré à ce sujet que le CO² était "le thermostat de la planète". Alors que ces niveaux de CO² poursuivent leur hausse, comment expliquer la stagnation actuelle des températures?

    Refroidissement global en perspective?

    Pour expliquer cette pause dans le réchauffement climatique, de nombreuses hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un infime pourcentage du rayonnement solaire ou encore la baisse d'activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. "N'oublions pas la variabilité naturelle du climat qui a toujours fonctionné par cycles bien avant notre ère contemporaine", rappelle Régis Crépet, météorologue à METEO CONSULT. "D'autres paramètres comme l'assombrissement global (augmentation des aérosols dans la haute atmosphère liée à la pollution atmosphérique) peuvent aussi tirer les températures vers le bas, à l'image du volcanisme", précise le météorologue.

    Ces paramètres auraient donc pour conséquence d'amoindrir "temporairement" les effets du réchauffement climatique avant la reprise de la hausse, c'est en tout cas la version officielle émise dans les conclusions du GIEC.

    Cependant, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d'interprétation de cause à effet depuis le début? Si le réchauffement climatique n'était en définitive qu'un cycle naturel tel que la planète en a connu sans cesse et bien avant notre époque industrielle? Rappelons, à cet égard, qu'il faisait aussi chaud au Moyen-Age avant une baisse drastique des températures entre le 16ème et le 19ème siècle.

    A ce sujet, Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l'orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique.

    Al Gore et ses 6 mètres d'élévation du niveau de la mer: réalité 1,7 mm par an (2)

    Face à ces interrogations auxquelles on n'a pas de réponse, des climatologues vont plus loin dans leurs extrapolations. Ainsi l'élévation du niveau des océans, stigmatisée par Al Gore en 2006 ("Une vérité qui dérange"), devait atteindre 6 mètres à l'horizon 2100 or les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l'élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle, et serait proche de 13 millièmes de millimètre par an depuis 2001.

    En outre, cette élévation aurait été très inégale avec un maximum entre 1850 et 1900 puis ensuite entre 1930 et 1960 et enfin depuis 1990. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (scénario du GIEC) à l’horizon 2100. Le géologue et physicien suédois Nils-Axel Mörner affirme même "qu’il n’y a pas eu de réelle augmentation depuis 50 ans", et que "s’il y a une élévation au cours de ce siècle, elle restera proche de 10 cm".

    Le très sérieux Met Office britannique avait rendu public l'année dernière trois gros rapports expliquant la fameuse pause du réchauffement climatique et proposant des modélisations climatiques selon lesquelles les températures commenceraient à baisser dans la prochaine décennie 2020 : ainsi en 2030, les températures planétaires ne seraient que de +0,4°C supérieures à la moyenne de référence 1880 – 2013, contre +0,65°C en 2013. Selon la NOAA-GISS, cette hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.

    Des scientifiques américains, dont le très connu Anthony Watts, anticipent même la poursuite de cette baisse qui pourrait atteindre son niveau le plus froid en 2100, à peu près au même niveau qu'à la fin du 19ème siècle. Rien de catastrophique mais un retour aux hivers rudes et à l'avancée des glaciers. Avant d'en arriver là, nos climats tempérés retrouveraient des hivers similaires à ceux des années 1960 entre 2020 et 2030.

    2015 ou 2016: années charnières?

    Dans cette perspective, l'année 2016 pourrait jouer le rôle de charnière après 17 ans de stabilité et avant l'amorce possible d'une baisse des températures planétaires dans la décennie 2020 – 2030 (Met Office). A l'heure actuelle, on constate la reprise de l'extension des glaces de l'Arctique (plus de 1,6 millions de km² regagnés depuis 2012, année du minimum historique avec 2007) (3) tandis que la surface des banquises de l'Antarctique n'a jamais été aussi immense depuis le début des mesures des satellites en 1979, avec une extension  record de plus de 20 millions de km². Là aussi des scientifiques (4) attribuent cette nouvelle extension au réchauffement climatique en raison des vents plus violents qui auraient tendance à accumuler davantage de glace flottante autour du continent Antarctique. Constatons tout de même que l'Antarctique a aussi battu ses records de froid pendant l'hiver austral qui vient de s'écouler.

    Si cette amorce de refroidissement se confirmait, qui aura le courage de le dire en fin d’année 2015  alors que se tiendra à Paris la conférence mondiale sur le climat, une conférence qui souhaite parler surtout de réchauffement ?

    Notes et références :

    (1) Au sujet de l’activité solaire, responsable d’un refroidissement climatique : Journal of Geophysical Research ; voir aussi  Advances in Space Research.

    (2) S. Jevrejeva ((Permanent Service for Mean Sea Level) et Church J.A., N.J. White (2006), (A 20th century acceleration in global sea-level rise).

    (3) NSIDC, National Snow and Ice Data Center.

    (4) Jan Lieser et Tony Worby du Centre de recherche coopératif sur le climat et les écosystèmes de l’Antarctique (CRC).

     

  • Avoir très très peur pour l'avenir de l'homme...

    Cerveau humain, intelligence artificielle et robotique

    Pourquoi les cerveaux humains détiennent la clé d'une intelligence artificielle plus élevée.

    Comprendre l'"évolution interne" permanente du cerveau (et nous aider ainsi à nous adapter et à apprendre des compétences complexes comme la maîtrise du langage) pourrait un jour mener à des robots plus intelligents.

     Pourquoi les êtres humains sont-ils capables d'apprendre des langues complexes si jeunes? Et pourquoi la solution à un "problème faisant appel à la perspicacité" (comme le fait de connecter neuf points sur une grille rectangulaire avec quatre lignes droites contiguës sans relever le crayon) traverse-t-elle soudainement votre esprit à votre réveil le lendemain?

    INSIGHT, un projet révolutionnaire financé par l'UE mené par un des pionniers de la biologie évolutionnaire théorique, est parvenu à mieux comprendre comment nous résolvons exactement les problèmes, en examinant la façon dont les idées dans nos cerveaux pourraient évoluer au cours de nos vies. Les résultats pourraient avoir des implications au niveau de la programmation d'un système robotique de résolution des problèmes qui pense par lui-même et enrichir nos connaissances sur le mode de développement du langage humain.

    "La résolution illimitée de problèmes par l'homme et l'apprentissage sans limite sont de loin supérieurs aux résultats obtenus actuellement avec les machines", explique le professeur Eörs Szathmáry, directeur du Parmenides Centre for the Conceptual Foundations of Science à la fondation Parmenides de Munich, en Allemagne et professeur de biologie à l'université Eötvös à Budapest, en Hongrie. "Ces robots manquent notamment d'algorithmes adéquats permettant de résoudre des problèmes faisant appel à la perspicacité dans divers contextes, ce qui est au cœur de la compréhension humaine."

    Par perspicacité nous entendons la capacité par laquelle nous, humains, pouvons créer de nouvelles représentations plus utiles d'un problème, afin d'autoriser des solutions autres que celles apportées par la "force brute",et guider des actions futures. Cela nous permet de traiter de façon très créative des problèmes sortant de l'ordinaire, chose que l'intelligence artificielle a du mal à faire.

    Par exemple, pendant plusieurs années l'expérience et le jeu nous apprennent à marcher, parler et socialiser, alors que le développement d'idées complexes, qui élargissent les connaissances comme la théorie d'Einstein sur la relativité, peut prendre une décennie, voire plus. Souvent une solution inattendue ("eureka") peut surgir sans avertissement préalable, suggérant que le traitement inconscient joue un rôle crucial dans la perspicacité.

    L'évolution de la pensée

    "Les similarités profondes entre la pensée et l'évolution nous conduisent à supposer que des adaptations cognitives (accomplies par la sélection naturelle 'neuronale') ont lieu en temps réel dans les réseaux neuronaux du cerveau humain au cours de la vie", explique Szathmáry. "Nous appelons ce processus la neurodynamique darwinienne“.

    Le projet INSIGHT a fourni des preuves visant à soutenir cette théorie en utilisant des simulations informatiques, des robots, des examens de cultures cellulaires et des expériences de psychologie humaine et de neuro-imagerie. Par exemple, des neurones murins ont été stimulés pour apprendre les modèles temporels d'activité, qui ont été enregistrés et ensuite reproduits sur un réseau naïf pour voir si les informations apprises pourraient être copiées. Les robots ont été nourris d'algorithmes de sélection naturelle conçus pour créer une exploration autonome créative illimitée, et ont été testés pour voir s'ils pouvaient, en effet, créer leur propre objectif.

    "Contrairement à la sélection artificielle, qui dit 'voilà ta fonction, 'c'est à partir de là que tu dois évoluer', nous avons trouvé qu'un robot pouvait développer son propre jeu", explique Szathmáry“. À terme, ces robots pourraient générer leurs propres valeurs et désirs, et en un sens, avoir leur raisonnement propre."Afin de tester cette hypothèse, le projet a mis au point une nouvelle boîte à outils robotique évolutionnaire, appelée Robogen, qui permet à quiconque possédant un ordinateur de créer des corps et cerveaux de robots dans des simulations fondées sur la physique, d'imprimer en 3D des parties évoluées du corps, d'assembler le robot entier et d'observer son comportement dans le monde réel. Le projet a également fait des progrès en cartographiant la façon dont la dynamique darwinienne du cerveau est importante pour le traitement du langage.

    Les implications de ces recherches sont importantes. Une tournure intéressante pourrait être que les processus évolutionnaires qui ont lieu au niveau cérébral pourraient être encore plus puissants qu'à l'état sauvage, étant donné qu'ils sont modifiés et guidés par l'apprentissage. Alors qu'une grande partie de ces hypothèses reste spéculative (et qu'une amélioration des modèles est requise), le projet INSIGHT a commencé à donner corps à une théorie qui pourrait un jour conduire à des machines capables d'apprendre par elles-mêmes, à une traduction plus intelligente du langage et révolutionner l'enseignement et la résolution de problèmes.

     

  • Le poème, étudié en 1960...

    Un chat, nommé Rodilardus (2),
            Faisait de rats telle déconfiture
                Que l'on n'en voyait presque plus,
    Tant il en avait mis dedans la sépulture.
    Le peu qu'il en restait, n'osant quitter son trou
    Ne trouvait à manger que le quart de son soû (3),
    Et Rodilard passait, chez la gent misérable,
                Non pour un chat, mais pour un diable.
                Or, un jour qu'au haut et au loin
                Le galand alla chercher femme,
    Pendant tout le sabbat (4) qu'il fit avec sa dame,
    Le demeurant des rats tint chapitre en un coin
                Sur la nécessité (5) présente.
    Dès l'abord, leur doyen, personne fort prudente,
    Opina qu'il fallait, et plus tôt que plus tard,
    Attacher un grelot au cou de Rodilard ;
                Qu'ainsi, quand il irait en guerre,
    De sa marche avertis, ils s'enfuiraient sous terre ;
                Qu'il n'y savait que ce moyen.
    Chacun fut de l'avis de Monsieur le Doyen :
    Chose (6) ne leur parut à tous plus salutaire.
    La difficulté fut d'attacher le grelot.
    L'un dit : « Je n'y vas (7) point, je ne suis pas si sot, »
    L'autre : « Je ne saurais. » Si bien que sans rien faire
                On se quitta. J'ai maints chapitres vus,
                Qui pour néant se sont ainsi tenus ;
    Chapitres, non de rats, mais chapitres de moines,
                Voire chapitres de chanoines.
     

     

               Ne faut-il que (8) délibérer,
                La cour en conseillers foisonne;
               Est-il besoin (9) d'exécuter,
                L'on ne rencontre plus personne.

     

  • Je reçois sans cesse ce courriel: qu'attendent les Français pour faire une pétition et qu'on leur fasse plus que très peur?

    Il faudrait faire 1 SEULE PÉTITION car je vois souvent que pour un même sujet, il y a de nombreuses pétition qui se contrarient au lieu d'aider...

     

    Puisque les politiciens FRANÇAIS prennent toujours l'Allemagne en exemple et que nos hommes politiques nous parlent sans cesse du modèle allemand,

    Voici QUELQUES PRÉCISIONS

     

    France

    Allemagne

     

     

     

    Gouvernement1 Président de la République

    + 1 Premier Ministre

    + 25 Ministres

    + 9 Secrétaires d'état

    TOTAL :36

     

     

     

     

    1 Chancelier(e)

     

    + 8 ministres

     

    TOTAL : 9

     

    Coût d'un ministre

    FRANCE

    17 millions d'Euros par an

     

     

    ALLEMAGNE

    3 millions d'Euros par an

     

                         

     le soir après le" boulot" : En France

    A Paris, le 1er Ministre se détend dans son logis de fonction(310m²) à Matignon tandis que ses collègues regagnent en limousines les hôtels particuliers que la République met généreusement à leur disposition

    ________________________________________________________________________

    Allemagne

    Angela MERCKEL rentre dans son appartement, dont elle paie le loyer, les factures d'eau et d'électricité. Comme chacun de ses 8 ministres

     

    Personnel FRANCE

    906 personnes travaillent à la Présidence de la République

    Allemagne

    A peu près 300 personnes en Allemagne

    Parc auto FRANCE

    Élysée : 121 véhicules

    Allemagne

    Chancellerie : 37 véhicules

    Déplacements FRANCE

    1 «AirbusA330-200

    2 « Falcon7X -

    2 « Falcon900

    2 « Falcon 50 

    3 Hélicoptères Super Puma

    Allemagne

    Systématiquement en train ou sur des lignes aériennes régulières

    Indemnité FRANCE

    Président de la République: 21 026 € NET

    Allemagne

    Angela MERKEL: 15 830 EUR Brut - (Attn: Salaire soumis à l'impôt)

    Budget FRANCE

    Élysée culmine à 113 000 000 €

    Allemagne

    Chancellerie: 36 400 000 €

    Avec 500 000 élus de toutes sortes en FRANCE!…

    Notre déficit NATIONAL provient de notre infrastructure électorale, politicarde type "mille feuilles" au niveau des "Collectivités locales"

    Inter- Régions Pôles -Inter Pôles- - Région / Départements/ Cantons/inter communes/ !

    La différence avec l'infrastructure de l'Allemagne, au même niveau est de: 130 Milliards d'euros récurrents!

    VOUS AVEZ BIEN ENTENDU! 130 Milliards d'euros! UNE PAILLE!

    Vous vous rendez compte!

    VOUS AVEZ BIEN LU! 130 Milliards!

    Comment se fait il que personne ne réagisse?

    Les gens de gauche eux mêmes l'ont dit comme Attali , comme Rocard , Jospin.. et tous les économistes ...

    On ampute aujourd'hui des postes clés pour gagner 3 milliards par ci par là (Retraites, allocations familiales...)

    On augmente les Impôts, la TVA , les radars, les PV , l'EDF , la taxe d'habitation, foncière, la CSG, la taxe TV .......

    Bientôt les voitures Diesel, le tabac etc..

    Pendant ce temps-là, les politiques "pavanent" avec les indemnités , les cumuls de mandats, les frais de fonctionnement France et Europe les retraites indexées , doublées, acquises dès qu'on est à un poste clé pendant deux mois etc...

    Reformons notre structure régionale / départementale / intercommunale / cantonale / communale

    Arrêtons toute cette gabegie dans les communes: (X piscines, terrains de foot, salles communales, social puissance X...dépenses soi disant pour l'environnement, augmentation des taxes de l'eau, EDF ....)

    Au lieu de taxer les retraités ayant travaillé plus de 37 à 40 heures et plus par semaine et cotisé pendant plus de 40 ans.

    savez-vous que?

    Les communautés de commune, insidieusement, ont créée une taxe supplémentaire:

    "inter communauté" qui , sur vos feuilles d'impôts locaux, vient se rajouter a la commune, au département, a la région!

    Les conseillers généraux et les maisons du conseil général (qui fleurissent un peu partout avec 150 ou 200 fonctionnaires a chaque fois)

    Les conseillers régionaux et les hôtels de région et ce n'est pas tout!

    "Rhône alpes", est en train de se créer une nouvelle structure :

    Le pole métropolitain regroupant les communautés de communes de Lyon, vienne, saint Etienne et Bourgoin. Et compte tenu de leur gestion désastreuse ces gens vont nous dire bientôt qu'il n'y pas d'autre solution que de sérieusement augmenter les impôts pour s'en sortir!

    Qu'ils soient de droite ou de gauche, ils ne se mangent pas entre eux!

    A l'heure où Mario Monti renonce à son salaire et qu'on nous annonce qu'en Russie il n'y a qu'une centaine de députés.

    Quel homme politique, de gauche comme de droite, aura le courage de l'admettre et surtout de se battre pour le faire changer?

    C'est peut-être le plan de rigueur que l'on va nous annoncer un jour. Je ne sais pas si les chiffres sont bons, mais pour le principe, puisqu'on supprime 1 fonctionnaire sur 2, voire 2 sur 3, on devrait alors supprimer 1 sénateur sur 2 et 1 député sur 2 en effet!

    À l'heure où la situation financière est telle que l'on cherche en hauts lieux désespérément de l'argent et que l'on va encore s'acharner sur le peuple pour le faire payer et en trouver, une réflexion s'impose!

    Sachant en plus ce qui suit: États-Unis: 300 millions d'habitants, 100 sénateurs et 435 représentants (total 535),

    France: 60 millions d'habitants, 350 sénateurs et 577 députés, total 927).

    Ne pensez-vous pas, que nous pourrions, sans être méchant et perturber en quoi que ce soit le "bon" fonctionnement de notre beau pays, carrément supprimer ... la bagatelle de 200 sénateurs et 142 députés ?

    Je vous laisse le soin de calculer au plus juste, mais il me semble qu'à la louche cela ferait:

    6.000 EUR x 342 = 2.052.000 par mois et donc 24.624.000 € par an!

    et je ne compte pas ceux que la loi DEBRE continue à payer ENCORE après avoir été battus...

    À défaut on pourrait au moins envisager de baisser leur salaire, non?

    577 députés, 350 sénateurs,

    38 ministres et secrétaires d'état, si on leur baissait leur salaire de 1.000 EUR chaque mois, on ferait 950.000 € d'économie par mois.

    950.000 € X 12 = 11.400.000 € par an !

    Tout ça? ... et OUI !!

    Plus de 11 millions d'euros par an économisés sans toucher à la TVA, sans toucher aux Retraites!

     

  • PARLONS PEU, PARLONS BIEN: Réforme de l'orthographe: l'Académie française réagit enfin

    L'institution vient de mettre en ligne sur son site un communiqué de mise au point suite aux polémiques sur la réforme de l'orthographe applicable à partir de la prochaine rentrée scolaire.

    Dans un communiqué, l'institution tient à mettre les choses au point concernant la réforme tant décriée qui doit être appliquée à la prochaine rentrée scolaire. Elle insiste notamment sur le fait qu'elle n'est pas à l'origine de ce changement.

    L'Académie française passe à l'offensive. L'institution vient de mettre en ligne sur son site un communiqué de mise au point suite aux polémiques sur la réforme de l'orthographe applicable à partir de la prochaine rentrée scolaire. Une réforme décidée il y a plus de vingt-six ans! Plusieurs points sont soulevés après que le ministère de l'Éducation nationale a publié son propre communiqué soulignant que l'Académie avait accepté toutes les "rectifications" en 1990. En premier lieu, la vénérable institution a tenu à souligner qu'elle n'est pas à l'origine de la réforme de l'orthographe. Ensuite, pour elle, il s'agissait surtout de débattre. Enfin, le communiqué dit bien que la Compagnie est opposée à toute simplification de l'orthographe. Voici les principaux points.

    • Pas à l'origine de la réforme

    "L'Académie française tient tout d'abord à rappeler qu'elle n'est pas à l'origine de ce qui est désigné sous le nom de “réforme de l'orthographe”, dont la presse se fait l'écho depuis quelques jours, et qui devrait être appliquée dans les programmes scolaires à compter de la prochaine rentrée".

    • Une invitation à la mesure et à la prudence

    "Le texte auquel il est fait allusion émane du Conseil supérieur de la langue française: il a été publié dans les “Documents administratifs” du Journal officiel le 6 décembre 1990. Étant donné la mission de défense et d'illustration de la langue française assignée à l'Académie par son fondateur, il était naturel que Maurice Druon, Secrétaire perpétuel à cette date, fût étroitement associé à la préparation de ce rapport. Alors qu'elle ne disposait pas encore du texte du rapport, l'Académie, dans sa séance du 3 mai 1990, a été informée des idées directrices du projet, dont elle a approuvé l'inspiration et le principe. Dès que le document leur a été communiqué, les membres de l'Académie se sont attachés, dans la séance du 10 janvier 1991, à étudier les dispositions prévues par le Conseil et ont ouvert un large débat sur cette question, où s'est exprimée une grande diversité d'opinion. Au terme de cet échange de vues, l'Académie a assorti son approbation d'une invitation à la mesure et à la prudence dans la mise en œuvre des mesures préconisées, mettant en garde contre toute imposition impérative des recommandations".

    • Opposition à toute simplification de l'orthographe

    "La Compagnie a rappelé à cette occasion son attachement au principe selon lequel doivent être exclues toute réforme et même toute simplification de l'orthographe. Ce principe est conforme à sa position constante: hostile à toute réforme visant à modifier autoritairement l'usage, l'Académie n'a jamais été pour autant fermée à des ajustements appelés par les évolutions de la langue, et que les différentes éditions de son Dictionnaire se sont attachées à refléter".

    • 2000 mots sur 59.000 entrées

    "C'est bien improprement que le terme de “réforme” est employé pour désigner les “rectifications” orthographiques proposées par le Conseil supérieur, qui ont été approuvées par l'Académie, et qu'elle a choisi de mentionner dans la neuvième édition de son Dictionnaire, en tenant compte pour chaque cas des évolutions réelles de l'usage. Il convient d'observer que ces ajustements ne concernent que quelque 2000 mots (soit 3 à 4% du lexique français) - la neuvième édition du Dictionnaire de l'Académie, en cours de publication, comptera environ 59.000 entrées".

    • L'usage ne saurait être modifié par décret

     "L'Académie a constaté que ces ajustements étaient conformes, dans leurs principes et dans leur effet, à ceux qu'elle a elle-même pratiqués à plusieurs reprises dans la troisième édition du Dictionnaire (1740), la sixième (1835), la septième (1878) et la huitième (1935). En effet, les rectifications proposées ne consistent en aucune manière à simplifier des graphies résultant d'une évolution étymologique ou phonétique, mais visent à mettre fin à une anomalie, à une incohérence, ou, simplement, à une hésitation, et ainsi à permettre l'application sans exceptions inutiles d'une règle simple, à souligner une tendance phonétique ou graphique constatée dans l'usage, ou encore à faciliter la création de mots nouveaux, notamment dans les domaines scientifique et technique, et, de manière générale, à rendre plus aisés l'apprentissage de l'orthographe et sa maîtrise.

    Certaine que l'usage ne saurait être modifié par décret, l'Académie, opposée à toute prescription de caractère obligatoire en matière d'orthographe, a préféré, pour présenter ces modifications limitées et mesurées, suivre la voie de la recommandation: elle a approuvé la résolution selon laquelle, dans tous les cas, les deux graphies - la graphie actuelle et la graphie proposée par le Conseil supérieur - devront être admises. L'Académie a donné son aval à ces recommandations, mais en demandant qu'elles soient soumises à l'épreuve du temps. Concernant la plupart des cas, elle s'en tient, dans la neuvième édition de son Dictionnaire, à présenter la graphie traditionnelle à l'entrée principale, tout en mentionnant la possibilité d'une graphie rectifiée.

    Elle s'est proposée, selon une procédure qu'elle a déjà suivie à plusieurs reprises, de juger à terme des graphies que l'usage, législateur suprême, aura retenues et de confirmer ou infirmer les modifications recommandées".

  • Parfois…. On peut croire au Père Noël….

    Caitlin Duncan, 27 ans, se trouvait près de la gare de Cologne le 31 décembre dernier. Sur le site du New York Times, cette étudiante en neurologie originaire de Seattle raconte aujourd'hui sur le site du New York Times comment elle a perdu son petit ami dans la foule avant de subir des attouchements. Un témoignage relayé par Slate. Seule et désemparée, Caitlin s'est retrouvée encerclée par un groupe de 8 ou 9 jeunes hommes qui ont tenté de lui faire les poches puis de la toucher et de l'embrasser. Comme beaucoup de femmes ce soir-là, elle a demandé à des policiers de l'aider, mais ils semblaient débordés par les événements.

    "J'avais vraiment très peur", se souvient Caitlin. Elle veut à tout prix s'enfuir de là et retrouver son petit ami, allemand, qui a sur lui leurs deux téléphones et son portefeuille. Soudain, au milieu du chaos, un homme qui s'est présenté comme étant Hesham Ahmad Mohammad lui a offert son aide.

    Originaire d'Alep en Syrie, il propose à la jeune femme de lui donner de l'argent pour prendre un taxi jusqu'au domicile des parents de son copain. "La seule adresse que je connaissais", explique Caitlin. Comme ils ne parlent pas bien allemand tous les deux, ils communiquent en anglais. Caitlin demande alors à Hesham et ses amis, eux aussi des réfugiés syriens, de former un cercle protecteur autour d'elle afin de traverser la foule. Elle leur fournit une description de son petit ami et quelques instants plus tard, elle le retrouve enfin, à l'intérieur de la gare. Caitlin en pleure de soulagement.

    Interviewé par le New York Times, Hesham, un ancien instituteur qui a fui la guerre civile en 2014, explique que ses amis et lui ont aussi eu peur lors de la nuit de la Saint-Sylvestre. Pour ce demandeur d'asile, les agresseurs de Cologne sont des "mauvais garçons" qui avaient bu et pris de la marijuana. "Ils ont perdu la tête." Il a peur que les Allemands et les Européens tirent des conclusions rapides sur les migrants. "Toute la journée, aux infos, on entend que les réfugiés sont de mauvaises personnes, qu'ils doivent rentrer chez eux. Ça me rend triste. On sait qu'il y a de mauvaises graines, des personnes mal intentionnées. Mais ceux qui se comportent comme il faut, les gens bien, on n'en entend jamais parler.

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2588215/2016/01/18/A-Cologne-des-refugies-syriens-ont-ete-mes-sauveurs.dhtml