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  • Affreux, affreux, affreux

    Chaque jour en France sont commis en moyenne 3 meurtres ou assassinats, 600 cambriolages, plus de 330 vols avec arme à feu, près de 700 vols dans les véhicules et plus de 1110 escroqueries. Pour ne citer que quelques-uns des crimes et délits consignés dans la dernière note de conjoncture du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure.

    De leur côté, les violences sexuelles prennent des proportions dantesques: 123.210 infractions recensées en 2024, soit plus de 330 faits par jour en moyenne. " Entre 2016 et 2024, le nombre de victimes d’un homicide a grimpé de 926 à 1186 (+ 28% "), constate Alain Bauer, le titulaire de la chaire de criminologie du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam). Même si les chiffres 2024 du SSMSI sont encore provisoires, le Pr Bauer alerte sur la dégradation de la situation nationale au plan des violences. " Le pays est passé une nouvelle fois au-dessus de la barre symbolique du millier de morts…

    https://www.lefigaro.fr/actualite-france/3-homicides-par-jour

  • Le bilan de 132 années de présence française en Algérie

    "La France n’a pas colonisé l’Algérie, ELLE L’A FONDÉE"   (Ferhat Abbas, فرحات عباس)(1).

    Monsieur le président de l'Algérie,

    J’en ai assez de supporter les approximations, les contre-vérités, les mensonges grossiers, véhiculés – tant du côté algérien que français – sur nos 132 années de colonisation.  Je reconnais qu’Emmanuel Macron a cherché le bâton  pour se faire battre en déclarant, en février 2017, que la France avait commis un "crime contre l’humanité" en Algérie. Il n’avait pas à aller à Canossa et à faire repentance car, que cela vous plaise ou non, nous ne devons RIEN à votre pays.

    L’eurodéputée Sarah Knafo vous a fortement irrité en déclarant que, dans le cadre de l’aide au développement, nous vous donnerions 800 millions d’euros par an. Ce chiffre est inexact: de 2017 à 2022, nous avons donné 842 millions d’euros à l’Algérie, soit 168,4 millions par an. Et pour cette somme pharaonique nous n’avons droit qu’à des injures, des insultes, des menaces ou du mépris.

    Je suis assez surpris qu’aucun homme politique et aucun journaliste ne fassent le bilan réel de nos 132 ans de colonisation. Je vais donc le faire brièvement (la liste ci-dessous n’est pas exhaustive):

    En matière d’éducation: 800 écoles primaires, 25 lycées, 24 collèges, 1 université (5000 étudiants), et 8 écoles normales. Décollage de la scolarisation des musulmans après la seconde guerre mondiale. 50% en enseignement primaire (dont 37% de filles), 25% en secondaire, 10% en cycle supérieur. Effectifs des écoles primaires en 1961: 109.300 enfants européens scolarisés et 735.000 enfants musulmans (50%).

    28.000 instituteurs.

    Si tous les enfants musulmans avaient été scolarisés, il aurait fallu 25.000 enseignants de plus. Il faut noter que pendant longtemps, vos autorités religieuses ont dénigré l’école laïque, appelée "l’école du diable". La majeure partie des enfants musulmans était cependant scolarisée.

    En matière de santé: Capacité des hôpitaux: 4000 lits en 1871,  5000 en  1913,  24.000 en 1953. En 1961: 10.000 lits dans le secteur privé et 38.000 dans le secteur public, comprenant: 1 hôpital de 2000 lits (Alger), 2 hôpitaux de 1000 lits, 112 hôpitaux polyvalents, 14 établissements spécialisés, 9 cliniques privées et un Institut Pasteur à Alger. 1950 médecins civils aidés par 700 médecins militaires, soit un médecin pour 3700 habitants, ce qui est un résultat honorable. 17.000.000 actes médicaux délivrés en 1959 (3).

    En matière d’agriculture (chiffres de 1950): 13.000.000 hectares cultivés, dont 75% appartenant aux musulmans, dont 200.000 hectares  irrigués. 5.000.000 d’ovins et 3.000.000 de caprins, dont 90% sont la propriété des musulmans. 3.000.000 d’ânes, bovins et chevaux. 11.000.000 de quintaux annuels de blé produits, 8.000.000 d’orge, 1.000.000 d’avoine, 450.000 hectares de vignes, 40.000 hectares  de culture maraîchère et fruitière, 20.000 hectares  de tabac,  12.000 hectares de betterave, coton, liège et alfa.

    Industrie agro-alimentaire: Conserveries de poissons, légumes, brasseries, jus de fruits et distilleries (apéritifs). 1 institut agricole à Maison-Carrée. 5 autres écoles dans le pays.

    Communications terrestres: 54.000 km de routes nationales et départementales, 24.000 km de pistes sahariennes. 34 routes nationales pour 156.000 véhicules en circulation (en 1959). 4420 km de voies ferrées, et 747 km à voie étroite.  77 locomotives diéso-électriques, 25 autorails, 41 locos-tracteurs pour les gares, 91 locomotives à vapeur (pour voie étroite), 31 motrices électriques. 500 wagons de voyageurs (dont 60 inox pour voie normale et 33 inox pour voie étroite) et  10.000 wagons pour le fret.

    Communications maritimes: 23 ports aménagés dont Alger (4.000.000 de tonnes de fret et 450.000 passagers/an), Oran (2.000.000 de tonnes de fret et 250.000 passagers/an), Arzew: port gazier, et Bougie: port pétrolier. Nombreux ports de pêche de Nemours à La Calle.

    Communications aériennes: 3 grands aéroports: Alger, Oran et Constantine. 1.000.000 de voyageurs/an. L’aéroport d’Alger Maison-Blanche était, en 1959, le deuxième aéroport de France.

    De nombreux petits aérodromes, sans compter les bases militaires créées à partir de 1955 comme Boufarik, grosse base d’hélicoptères, ou Aïn-Arnat. Une compagnie aérienne, "Air Algérie", créée en 1945 (6 Caravelles en 1960). 53 aéro-clubs et 460 avions privés.

    Communications téléphoniques, radio/TV, bureaux de poste: 6 câbles sous-marins. 2 câbles souterrains au Sahara. 4 voies radioélectriques, 1 faisceau hertzien et 4 au Sahara. Outre les stations radio existant depuis les années 20, création d’une station TV à Cap-Matifou en 1954 avec des relais dans toute l’Algérie. 15 centraux téléphoniques, 120.000 postes téléphoniques. 818 bureaux de poste (recette principale, annexe ou agence). 600 agences ou annexes postales dans le bled.

    Activités minières: Mines de plomb et de zinc, à Sidi-Kamber au nord de Constantine. De marbre à Filfila dans le constantinois et Le Chenoua dans l’algérois. Mines de fer à El-Hallia (constantinois), Zaccar (algérois), Ouenza au sud de Bône. Mine de houille à Kenadza près de Colomb-Béchar. Mines de  phosphate de chaux à Tébessa et Sétif. 3 usines de production chimique à Bône, Maison-Carrée et La Sénia.

    Métallurgie: Environ 3000 établissements, dont beaucoup de petits ateliers; en gros 25.000 salariés. Quelques usines spécialisées telles que: l’acier laminé à La Sénia, tréfilerie de cuivre-alu à Alger. Construction de bâtiments à ossature métallique à Constantine (Ets Duplan). Articles ménagers alu à Bône. Emballages de fer blanc et fûts au Gué de Constantine à Alger. Wagons de chemin de fer à Bône. Électrodes de soudure, Air Liquide à Alger. Fabrication de pylônes électriques à Maison-Carrée et Rouïba. Assemblage de camions Berliet à Rouïba. Aciérie à Bône, achevée en 1961.

    Bâtiment: 3 cimenteries à Pointe Pescade et Rivet et St Lucien-La Cado. 43 briqueteries-tuileries.

    Habitat urbain et rural: Dans les années 50, l’office HBM (Habitations à Bon Marché) construit des logements à Bab-El-Oued, Le Ruisseau, Le Clos Salembier, Diar-es-Saâda et Mahcoul. De grandes cités nouvelles voient le jour à Oran, Constantine, Philippeville, Bône, Sétif, Bougie, Blida, Tlemcen, Mostaganem et Bel-Abbés. À la veille de l’indépendance, le pays possède 274 stades, dont 5 à Oran. Entre 1959 et 1962, il s’est construit 50 à 60.000 logements urbains et 80 à 90.000 ruraux par an destinés aux musulmans.

    Energie: Il y avait 11 compagnies d’électricité en Algérie au début du 20ème siècle. L’ensemble a été  nationalisé, sous le sigle EGA, en 1947. En 1950, on comptait 25 centrales thermiques, dont 6 grosses installées sur les quais d’Oran, Alger et Bône, 27 barrages hydro-électriques, petits, moyens et gros, certains étaient polyvalents (irrigations des terres et alimentation d’eau des villes et villages). 21.800 km de lignes à haute tension (150 et 60 kva), 250.000.000 de kwh produits en 1940, 1.000.000.000  en 1961.

    Mais le plus beau fleuron de NOTRE Algérie française reste indéniablement la découverte et la mise en valeur des hydrocarbures au Sahara par les ingénieurs de la "Société Nationale de Recherche Pétrolière en Algérie" (en partenariat avec "Total"), dans les années 50. En 1959, la production de pétrole était de 1.200.000 tonnes et 9.000.000 en 1962. En 1972, lorsque les compagnies pétrolières françaises quitteront le Sahara, il y a 250 puits de pétrole forés. Elles ont construit le premier pipe-line Hassi-Messaoud – Bougie,  trouvé du gaz naturel à Hassi R’mel, construit un gazoduc Hassi R’mel – Arzew, une raffinerie à Hassi-Messaoud puis à Alger, enfin, une usine de liquéfaction de gaz à Arzew…

    Pardon pour cette longue et fastidieuse liste mais elle me semblait nécessaire, pour que, comme Emmanuel Macron, vous arrêtiez de raconter n’importe quoi sur l’œuvre française en Algérie.

    Je tiens aussi à dire un mot sur d’autres mensonges véhiculés par les médias, algériens et français.

    Votre pays compte 45 millions d’habitants et la moitié de cette population a moins de 25 ans. Ces jeunes apprennent très tôt à détester la France car on leur raconte – primo – que tout le peuple algérien s’est levé "comme un seul homme" contre le colonisateur honni et – secundo – que l’Algérie a vaincu la France, ce qui est totalement faux.

    En 1958, avant le "Plan Challe" l’ALN (4) disposait de 20 à 25.000 combattants et autant d’auxiliaires. En février 1962, juste avant les Accords d’Evian, elle aura moins de 4000 réguliers et 10.000 moussebilines; dans le même temps, les effectifs  des  musulmans servant  aux côtés de l’Armée française passeront de 30.000 à… 260.000 hommes. Et certains osent encore écrire que "tous les Algériens étaient derrière le FLN…".

    Foutaise!

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes. L’ALN de l’extérieur, "l’Armée des frontières" qui n’a pas combattu mais qui défilera fièrement au moment de l’indépendance,  compte 15.000 hommes en Tunisie et 6500 hommes au Maroc. La moitié n’est même pas armée, ne sait pas se battre et n’a pas envie d’affronter les paras, la Légion étrangère ou les "commandos de chasse".

    S’il y eut cinq fois plus de musulmans à combattre dans les rangs de l’Armée française que dans ceux de l’ALN, les victimes musulmanes du FLN furent également cinq fois plus nombreuses que les européennes, de 1954 à 1962. Le FLN, en plus de purges internes, n’a pas fait de cadeau à ses opposants.

    Parlons des règlements de compte au sein même du FLN ou à l’égard de factions rivales: rien qu’en métropole, les rivalités entre le FLN et le MNA de Messali Hadj feront près de 4000 morts chez les Nord-Africains, 400 dans la population française, et plus de 6000 blessés.

    Disons un mot également du bilan chiffré de cette guerre. La France annonce 30.000 soldats morts en Algérie (dont un tiers par accidents). Ce chiffre est faux! Le nombre de soldats français tués en Algérie, entre 1954 et 1962, est de 24.500, c’est largement suffisant! 

    250 ou 260.000 musulmans et européens ont été massacrés par le FLN, dont plus de la moitié après l’indépendance (5). Du côté du FLN, officiellement, les pertes seraient de 155.000 hommes: 141.000 tués au combat, 2000 tués par les armées tunisienne ou marocaine, 15 à 20.000 victimes de purges internes, mais Bouteflika, votre prédécesseur, réclamait à la France un tribut de "plus d’un million de morts", rien que ça! Mais comment pourrait-on le croire?

    Ferhat Abbas révèle, dans Autopsie d’une guerre, cette remarque du psychiatre gauchiste Frantz Fanon: "Un colonel leur réglera, un jour leur compte (aux dirigeants du FLN). C’est le colonel Boumédiène. Pour lui, le goût du pouvoir et du commandement relève de la pathologie…".

    Il faut savoir, en effet, que deux  mois à peine après la signature des Accords d’Evian, le Conseil de la Révolution, réuni à Tripoli du 28 mai au 7 juin, vit s’affronter les négociateurs d’Evian et l’état-major de Boumédiène, qui n’avait pas voulu prendre part aux pourparlers afin de pouvoir contester les modalités du cessez-le-feu.

    Excédés par les remontrances de ce militaire qui ne s’était pas battu, Ben Khedda et d’autres membres du GPRA quittèrent Tripoli pour Tunis. Boumédiène en profita pour faire adopter un " procès-verbal de carence "condamnant le GPRA. Le 30 juin, veille du référendum, le GPRA dégradait Boumédiène et ses adjoints. Ce dernier répliqua aussitôt: le 22 juillet, il formait avec Ben Bella un "bureau politique" du FLN et décidait de marcher sur Alger avec son "Armée des frontières" devenue, pour la circonstance, "Armée Nationale Populaire".

    Cette marche coûtera plusieurs milliers de morts. Sur le passage des troupes, la population scandait: "7 ans, ça suffit!". Le lieutenant Khaled Nezzar  écrira plus tard qu’il n’avait jamais vu "autant d’acharnement dans les combats, pas même durant la guerre de libération".

    La conclusion de cette dérive catastrophique, on la trouve dans le titre des mémoires de Mohamed Bessaoud: "Heureux les martyrs qui n’ont rien vu".

    Pour conclure, en plus des citations en en-tête de cet article, je vous invite, monsieur Tebboune, à méditer les propos tenus par des musulmans favorables à l’indépendance de l’Algérie. Citons en premier l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal  que vous détenez en prison illégalement. Il a écrit:

    "En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un paradis lumineux.

    Seul l’amour pouvait oser pareil défi… Quarante ans est un temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants…".

    C’est également lui qui écrivait  avec lucidité: "Trente ans après l’indépendance, nous voilà ruinés, avec plus de nostalgiques que le pays comptait d’habitants et plus de rapetoux qu’il n’abritait de colons. Beaucoup d’Algériens regrettent le départ des "Pieds noirs". S’ils étaient restés, nous aurions peut-être évité cette tragédie…". 

    Cet avis est partagé par la journaliste algérienne Malika Boussouf qui écrit: "Si les Pieds noirs n’étaient pas partis en masse, l’Algérie ne serait peut-être pas dans l’état désastreux dans lequel elle se trouve".

    Donnons la parole à Bachir Ben Yamed, directeur de l’hebdomadaire  Jeune Afrique:

     "A son indépendance, nul pays extérieur au monde occidental, Japon et Afrique du Sud exceptés, ne disposait d’une infrastructure aussi développée que celle de l’Algérie…".

    Jugement identique chez Ferhat Abbas, cité plus haut, quand il déclare: "L’œuvre  de la France est admirable! Si la France était restée vingt ans de plus elle aurait fait de l’Algérie l’équivalent d’un pays européen".

    Il devait ajouter sur le tard: "La France a commis un crime: elle a livré le peuple algérien aux tueurs et aux assassins".  

    C’est aussi l’écrivain Belkacem Ibazizen qui déclare: "La scolarisation française en Algérie a fait faire aux Arabes un bond de mille ans". Et Abderramane Fares de surenchérir: "S’il est, en Algérie,  un domaine où l’effort de la France ne se discute pas, c’est bien celui de l’enseignement. On doit dire que l’école a été un succès… Les vieux maîtres, les premiers instituteurs, ont apporté toute leur foi pédagogique, et leur influence a été extrêmement heureuse".

    Boualem Sansal parle de "tragédie", Bacir Ben Yamed  et Aït Hamed de  faute" et de "crime".  Est-il besoin d’en rajouter?

    La France a TOUT donné à l’Algérie qui a connu un essor considérable, rendant riche et fertile une terre inculte. Alors de grâce, monsieur Tebboune, arrêtez de raconter que le peuple algérien a subi pendant 132 ans un colonialisme tortionnaire et brutal.

    Nous sommes, vous et moi, de la même génération – vous êtes né en 1945 et moi en 1949 – vous savez pertinemment que ce que vous dites est faux, mais vos attaques virulentes contre la France masquent l’incapacité des dirigeants algériens à sortir le pays du marasme. L’Algérie est (était?) un pays riche grâce aux hydrocarbures découverts par la France, mais ce pays ne décolle pas à cause de l’incompétence et de la corruption endémique qui gangrènent les hautes sphères de son administration et du pouvoir.

    Plus de 60 ans après son accession à l’indépendance, l’Algérie exporte massivement chez nous une jeunesse qui nous déteste mais qui, plutôt que de crever de faim dans son pays, vient chercher les subsides que nous lui allouons sans compter. Il serait temps que l’on arrête d’engraisser des ingrats!

    Comme beaucoup de Français – de plus en plus nombreux! – je pense qu’il faudrait dénoncer les accords iniques de 1968 et refuser dorénavant les visas d’entrée aux ressortissants algériens. Il faudrait aussi refouler les Algériens qui occupent et encombrent nos prisons (à hauteur de 30% des détenus, me dit-on) et cesser toutes subventions ou aides au développement à l’Algérie.

    Je vous dis ça, monsieur le président de l'Algérie, sans la moindre haine, sans la moindre rancœur, sans la moindre animosité. Vous ne manquez jamais une occasion de critiquer, de dénigrer ou de menacer la France. Je voudrais simplement que mon pays fasse preuve, enfin, de lucidité et pratique la… réciprocité.

    Eric de Verdelhan

     

    1)-  Fondateur de l’Union Démocratique du Manifeste Algérien (UDMA), rallié au Front de Libération Nationale (FLN) durant la guerre d’Algérie, président du premier Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA) de 1958 à 1961.

    2)- L’un des chefs historiques du FLN algérien

    3)- Source: Guy Augusti, médecin en Algérie

    4)- ALN: Armée de Libération Nationale, le bras armé du FLN

    5)- "Les mensonges de la guerre d’Algérie" de Jacques Demougin; Cide; 2005 et "Autopsie de la guerre d’Algérie" de Philippe Tripier; France-Empire; 1972

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • Activité grippale à un niveau d'intensité exceptionnellement élevé à l'hôpital

     poursuite de la diminution des indicateurs de la bronchiolite ; activité du covid 19 toujours à un niveau bas

    En France, en semaine 1 de 2025 (30 décembre 2024 au 5 janvier 2025) l'activité liée aux infections respiratoires aiguës était en augmentation en médecine de ville et à l'hôpital dans toutes les classes d'âge excepté chez les moins de 15 ans. Cette hausse était principalement portée par l'activité grippale.

    1.Grippe saisonnière

    Dans l'Hexagone, l'épidémie de grippe s'accentuait en S01.

    En ville, l'augmentation de l'activité était moins importante par rapport aux deux semaines précédentes probablement en lien avec la période de congés [la part des syndromes grippaux dans les actes médicaux SOS médecin était de 20,3% (+2,1 point par rapport à la S52/2024) ; taux de consultations tous âges confondus pour syndrome grippal était estimé à 352 pour 100 000 habitants vs 218 en S52]. Le niveau d'activité demeurait à un niveau élevé chez les 65 ans et plus.

    En revanche, à l'hôpital on observait encore une forte augmentation des indicateurs dans toutes les classes d'âges excepté chez les 5-14 ans. La part des hospitalisations pour grippe/syndrome grippal parmi les hospitalisations toutes causes se situait à un niveau d'intensité exceptionnellement élevé par comparaison aux saisons antérieures. Les 65 ans et plus représentaient 69% des hospitalisations après passage aux urgences pour grippe/syndrome grippal. Depuis la semaine 40, 318 cas de grippe, ont été signalés par les services de réanimation participant à la surveillance (non exhaustif) ; 79% de ces malades pour lesquels l'information était connue n'étaient pas vaccinés contre la grippe.

    Dans les établissements médicaux-sociaux, le nombre de cas groupés attribués à la grippe continuait d'augmenter.

    De plus la part des décès avec une mention de grippe parmi les décès certifiés électroniquement était encore en forte hausse (6,0% en S01 vs 3,9% en S52).

    En semaine 01, les taux de positivité des prélèvements réalisés en ville par les laboratoires de biologie médicale, en médecine de ville chez les patients consultant pour IRA et en milieu hospitalier étaient respectivement de 33,2% (-1,6 points par rapport à la SE52), 42,6% (-11,7 pt) et 23,1% (+1 pt). Le virus A(H1N1)pdm09 restait le plus souvent détecté mais les virus B/Victoria et A(H3N2) circulaient également de façon active. Les analyses de caractérisation des virus indiquaient que les souches virales A(H1N1)pdm09 et B/Victoria circulant actuellement en France sont apparentées aux souches présentes dans les vaccins grippe 2024-25.

    Dans l’Hexagone, en semaine 01, toutes les régions étaient en épidémie, y compris la Corse. En Outre-mer, la Guadeloupe et la Martinique étaient en épidémie en S52. La Guyane et Mayotte étaient en pré-épidémie.

    1. Bronchiolite

    En S01, une diminution des indicateurs syndromiques de la bronchiolite était observée en ville et à l'hôpital pour la troisième semaine consécutive confirmant le passage du pic épidémique survenu en S50 dans l'Hexagone.

    L'épidémie continuait à suivre une dynamique similaire à celles des épidémies précédant la pandémie de COVID-19, avec une intensité inférieure à celles des épidémies antérieures pour les nourrissons les plus jeunes sur les indicateurs hospitaliers.

    Chez les enfants de moins de deux ans, les bronchiolites représentent respectivement 6,3% (-0,7 point par rapport à la S52) des actes médicaux SOS Médecins, 11,7% (-0,5 pts) des passages aux urgences et 26,8% (-1,1 pts) des hospitalisations après passage aux urgences.

    Le taux de positivité du VRS (virus respiratoire syncytial ) diminuait en médecine de ville comme à l'hôpital.

    Dans l'Hexagone, onze régions restaient en épidémie. L’Île-de-France passait en post-épidémie en S52 et la Corse restait en pré-épidémie. Dans les DROMs, Mayotte était en épidémie depuis S49, la Guadeloupe et la Martinique depuis S43 et la Guyane en épidémie depuis fin juillet (S31). La Réunion était revenue à un niveau de base en S01.

    La campagne d'immunisation passive des nouveau-nés contre les infections à VRS est en cours. Deux stratégies sont possibles : soit la vaccination de la femme enceinte pour protéger le nouveau-né ou le nourrisson de moins de 6 mois soit l'immunisation des nourrissons par un anticorps monoclonal.

    1. Covid 19

    Les indicateurs syndromiques du covid 19 restaient globalement stables en ville et à l'hôpital par rapport à la semaine précédente et à des niveaux bas.

    Les taux de positivité pour SARS-CoV-2 diminuaient légèrement en médecine (0,8% soit -1,4 point par rapport à la SE52) et laboratoires de ville (4,1% soit -1,2 point) et il restait stable à l'hôpital en S01 (4,4% soit -0,1 points). Une diminution de l’indicateur de suivi du SARS-CoV-2 dans les eaux usées était observée (-10,6%).

    Le nombre de nouveaux épisodes d’IRA dans les établissements médico-sociaux (EMS) augmentait en S51 et S52, une tendance portée principalement par l'augmentation des nombres d'épisodes liés à la grippe et, dans une moindre mesure, au VRS. Ces données ne sont pas encore consolidées.

    La vaccination reste le meilleur moyen de se protéger contre la grippe et à la COVID-19, en particulier des formes graves de ces maladies.

    Il est essentiel de recommander la vaccination à toutes les personnes éligibles, afin de les protéger et de protéger leur entourage : les personnes âgées de 65 ans et plus ; les personnes âgées de plus de 6 mois, atteintes de comorbidités ayant un risque élevé de forme grave de la maladie ; les personnes immunodéprimées; les femmes enceintes ; les résidents en établissement de soins de suite ou dans les établissement médico-sociaux quel que soit leur âge, ainsi que les personnes vivant dans l’entourage ou en contacts réguliers avec des personnes immunodéprimées ou vulnérables aux formes graves de l’infection, y compris les professionnels de santé.

    Dans le contexte des regroupements durant les fêtes de fin d’année, et en complément des vaccinations et des traitements préventifs existants, l’adoption des gestes barrières reste indispensable pour se protéger de l’ensemble des maladies de l’hiver :

        lavage des mains,

        aération régulière des pièces,

        port du masque en cas de symptômes (fièvre, mal de gorge ou toux), dans les lieux fréquentés et en présence de personnes fragiles.

    Source : Santé publique France

     

  • Une interview pour rien

    Soporifique. Bayrou, c’est Macron en plus vieux et en moins antipathique. Le même discours usé jusqu’à la corde, éculé, et son lot de phrases creuses.

    Le 19 décembre au soir, le Premier ministre a accordé son premier entretien télévisé, sur France 2, après avoir reçu dans la journée les chefs des différentes forces politiques, hormis le RN et LFI. S’il a abordé la question du budget, dont il espère une adoption "mi-février", et le drame humanitaire à Mayotte, dont il souhaite la reconstruction d’ici "deux ans", c’est la composition du gouvernement qui était au cœur de l’entretien.

    La constitution du gouvernement, c’est pour quand?

    "Dans le week-end", a-t-il indiqué dans un premier temps, avant de s’octroyer un délai supplémentaire: "Avant Noël".

    Le Béarnais, dans un numéro d’équilibriste particulièrement précaire, doit s’assurer de la non-censure à sa gauche comme à sa droite, pour que son gouvernement ne tombe pas trop vite. François Bayrou prétend qu’il peut contenter tout le monde, oubliant que vouloir concilier des projets politiques antagonistes est chimérique.

    Il fait donc un pas vers la gauche, promettant de ne pas recourir au 49.3 pour faire passer en force le prochain budget, "sauf blocage absolu de l’Assemblée", s’est-il empressé de préciser. Et sur les autres textes, un 49.3 est-il envisageable? "Sauf catastrophe énorme", indique le Premier ministre d’un ton un peu moins assuré.

    À force d’édicter autant de conditions, le 49.3 finira bien par être dégainé un jour ou l’autre. Autre signal envoyé sur sa gauche? Il dit "croire" à une alternative concernant la retraite à 64 ans et est ouvert au débat sur ce sujet, "une porte ouverte de bonne foi", selon lui.

    Une porte que la gauche pourrait bien lui claquer au nez, Olivier Faure indiquant "ne pas avoir trouvé de raison de ne pas censurer" le prochain gouvernement.

    Quelques signaux sont également envoyés à la droite. Il souhaite que Bruno Retailleau reste à l’Intérieur, fait part de sa volonté de "faire des économies" et de présenter début 2025 un "plan de rééquilibrage de nos finances publiques".

    "Nous ne pouvons pas nous en sortir si nous ne sommes pas ensemble", a-t-il plaidé, demandant le "soutien de la droite républicaine" et de la "gauche démocratique et de gouvernement".

    Le macronisme chimiquement pur, en somme!

    Comme ci cette doctrine n’avait pas déjà fait la preuve de son inefficacité.

    LE CHIFFRE DU JOUR: 66%

    C’est le pourcentage de Français jugeant négativement les débuts de François Bayrou comme Premier ministre, selon un sondage Odoxa publié le 19 décembre par le Figaro. Alors qu’il est entré à Matignon avec 42% d’opinions favorables, les récentes polémiques --comme sa présence au conseil municipal de Pau, alors que Mayotte est victime d’une catastrophe naturelle, ou sa proposition de rétablir le cumul des mandats, rejetée par 71% des Français — érodent sa cote de popularité.

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  • Un phénomène surnaturel à Notre-Dame de Salette?

    RAPPEL DES FAITS

    En ce dimanche 8 décembre 2024 qui est le jour de la fête de l’Immaculée Conception, un groupe de femmes chrétiennes traditionalistes prient le chapelet devant la statue de la Vierge Marie. Cette statue est sur la place pavée en forme de rotonde devant l’entrée de la cathédrale de Notre-Dame de la Salette.

    Ce sanctuaire de la chrétienté au-dessus de la commune de Corps en Isère est à une altitude de 1769 mètres. La température était de -2° Celsius et il neigeait abondamment quand un phénomène étrange se produisit à 10h39. Une larme coula au coin de l’œil droit et gagna la joue de la statue. Dès l’apparition de ce phénomène étrange, une personne présente filma la scène entre 10h39 et 11h06. Confer vidéo sur YouTube.

    RAPPORT CLINIQUE DE LA VIDÉO

    A 10h44, la larme de couleur sombre descend à la commissure de la lèvre. A 10h49, quand elle atteint le menton, elle prend une coloration blanche sous l’effet du gel. Il n’y a rien d’anormal car la température est de -2° Celsius, dois-je le rappeler aux sceptiques.

    Autre phénomène étrange, deux coulées blanches sous les narines de la statue semblent indiquer un écoulement nasal comme si la statue était victime d’une rhinorrhée.

    La rhinorrhée est un écoulement nasal de secrétions claires sans signes inflammatoires. C’est une réaction physiologique par temps froid. En temps normal, le nez fabrique un fluide épais et gluant, le mucus, chargé de filtrer et d’humidifier l’air extérieur. Quand la température baisse au dessous de zéro, les cellules du système immunitaire, les mastocytes, envoient un message au cerveau pour lui signaler de fabriquer davantage de mucus, afin de protéger la muqueuse nasale d’un assèchement et d’éviter que l’air sec n’irrite les poumons.

    A 10h50, deux larmes formant un y au coin de l’œil droit se joignent au niveau de l’orbite. A 10h56, la larme se divise en deux filets distincts et se recompose en un seul sous la commissure de la lèvre.

    A 10h58, un zoom montre la formation d’une larme sur le bord extérieur de l’œil droit. Elle coule sur le maxillaire supérieur. Une petite larme se forme aussi dans le coin de l’œil gauche de la statue. La sécrétion de muqueuse se poursuit sous les deux narines de la statue.

    Un arrêt de la vidéo à 4 minutes et 12 secondes offre une image saisissante du visage de la statue. Confer photo en tête de l’article. Sur le front au dessus de l’oeil droit, deux marques noires forment les lettres J et M. Si la neige abondante couvre la couronne de la statue, aucune coulée d’eau depuis celle-ci ne peut expliquer la présence de ces deux tâches sombres formant ces lettres.

    L’INTERPRÉTATION DE CE PHENOMENE par le journal Actu Grenoble

    Un lien avec la réouverture de la cathédrale de Notre-Dame de Paris ? Un signe pour Marie et la Fête des lumières à Lyon ?

    Nous sommes le dimanche 8 décembre sur la commune de La Salette-Fallavaux, petit village des Alpes qui abrite le célèbre sanctuaire de Notre-Dame-de-la-Salette. Niché à 1800 mètres d’altitude, le site est un lieu de pèlerinage pour les catholiques du monde entier.

    En ce dimanche de décembre, un visiteur va filmer la statue de Notre-Dame avec des "larmes" coulant le long de ses joues. Une vidéo qui va être publiée sur les réseaux sociaux. Il n’en fallait pas plus pour que la toile s’enflamme.

    UNE GOUTTE DUE A LA NEIGE

    Une larme a-t-elle vraiment coulé sur le visage de la statue de Notre-Dame ? Pour en avoir le cœur net, la rédaction d’actu Grenoble a joint l’accueil du sanctuaire.

    Un appel qui n’a pas surpris le personnel de Notre-Dame-de-la-Salette. "Depuis la publication sur les réseaux sociaux le lundi 9 décembre, nous recevons des appels d’Allemagne, du Brésil, du monde entier. Heureusement, je parle allemand", sourit la personne en charge de l’accueil.

    Les gouttes sont dues à un aléa naturel. Maintenant, chaque personne est libre d’interpréter comme elle le souhaite. "On ne valide pas ces informations. L’eau qui coule sur la statue est due à de la neige qui fond," répond le sanctuaire. Effectivement, il neigeait à La Salette-Fallavaux ce dimanche. Une réponse qui décevra peut-être les fidèles, mais qui ne gâche en rien la beauté de la vidéo.

    Source : https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/la-salette

    L’interprétation de la nouvelle Jérusalem, un forum catholique sous la protection de l’archange Saint Michel

    Pourquoi un tel signe en ce jour si particulier? [la fête de l’Immaculée Conception]. Ce n’est pas la première fois que la vierge cherche à nous alerter: à la Salette en 1846, à Fatima en 1917 ou encore à Akita en 1973. Son message est clair, revenir à Dieu, prier, se convertir. A travers ces apparitions multiples, elle n’a cessé de nous alerter des conséquences tragiques du péché et de l’oubli des valeurs spirituelles. Ces larmes résonnent comme un écho puissant des prophéties qu’elle a confié à Fatima, un avertissement urgent face à un monde en perdition.

    Commentaire: seuls les francs-maçons se réjouissent de ce monde en perdition. Ils recherchent le chaos pour instaurer la dictature à travers leur ordre mondial messianique. Nous en avons eu un aperçu avec leur exploitation de l’épidémie du coronavirus en 2020. Si je crains la grande réinitialisation du forum de Davos, je crois que Dieu déjouera in fine leur entreprise satanique. Dieu est plus fort que ces créatures perverses qui se prennent pour les maîtres des horloges.

    Source : https://nouvellejerusalem.forumactif.com

    Mon interprétation des faits

    Malgré une neige qui tombe dru au moment de l’apparition des larmes, aucun flocon de neige ne fond sur le visage de la statue. Avec une température négative de -2°C, la neige glisse et ce d’autant plus facilement que la statue est en bronze. En revanche, la neige s’accumule sur les parties plates : les épaules et la base du cou de la statue. La neige couvre aussi la couronne de la statue.

    Si la température avait été positive, le visage de la statue aurait été criblé de petites gouttelettes formées par les flocons fondant au contact de la statue. "Élémentaire, mon cher Watson! ". Conan Doyle.

    Je connais cette statue que j’ai photographiée, le samedi 22 juin 2019, lors d’un pèlerinage organisé par le diocèse de Digne. Confer photo

    Comment expliquer l’apparition de ces larmes et de ces secrétions muqueuses sous les narines de la statue qui miment à la perfection la réaction de notre système immunitaire? Il n’y a pas d’explication pour le commun des mortels.

    Concernant les traces noires formant les lettres J et M sur le front de la statue à l’arrêt de la vidéo à 4 mn 12s, je les interprète comme les initiales de Jésus et de Marie.

    Concernant la date de ce phénomène surnaturel, il intervient le lendemain de la messe carnavalesque dite à Notre-Dame de Paris. Les clercs ont porté des chasubles multicolores qui bafouent le violet, la couleur du temps de l’Avent, préparatoire à la grande fête liturgique de la naissance du Christ.

    Outre cette mascarade, le son des orgues a sonné terriblement faux. Toute l’assemblée était mal à l’aise. Cela a irrité Donald Trump qui a observé Macron pour connaître sa réaction. Contrairement à tout le monde, ce dernier " était aux anges, " une expression quelque peu déplacée depuis sa déclaration du 14 avril 2020 où il s’est mis carrément dans la peau de l’antéchrist.

    Le psychiatre italien Adriano Segatori nous avait avertis de la dangerosité de ce psychopathe dans l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle de 2017. Comme peu de Français s’informent en dehors des canaux officiels déversant la propagande mondialiste, ils en sont les premières victimes.

    Les veaux français sont encore léthargiques malgré l’amoncellement de nuages noirs dans le ciel. Ils ne réagiront que lorsque la douleur deviendra insupportable. Ludovic Malot a comparé cette épreuve à la passion du Christ: "La France sera la première à tomber, mais aussi la première à se relever".

    https://www.kernews.com

    Le vendredi 29 novembre, Emmanuel Macron a déclaré aux ouvriers ayant participé à la reconstruction de la cathédrale: "Le choc de la réouverture sera aussi fort que celui de l’incendie, bien que cela soit un choc d’espérance".  Cet aveu du pompier pyromane est passé inaperçu. Y-a-t-il encore des journalistes en France? J’en doute de plus en plus.

    N’existe-t-il-pas un lien entre la transformation de Notre-Dame de Paris en temple maçonnique par la volonté de Macron et les larmes versées par la statue de Notre-Dame de Salette le lendemain?

    Dans une France athée, la plupart des gens se satisferont de l’explication simpliste du journaliste Ugo Maillard d’Actu Grenoble.

    En revanche, les réactions à l’étranger ne se sont pas fait attendre. Le standard du sanctuaire a été saturé d’appels. Nul doute que les réservations d’étrangers vont affluer pour l’année 2025 dans ce sanctuaire de la chrétienté que les Français boudent.

    "On ne valide pas ces informations. L’eau qui coule sur la statue est due à de la neige qui fond" répond le sanctuaire.

    Pourtant, le journaliste d’actu Grenoble se garde de donner le nom de la source du sanctuaire qui valide son explication oiseuse. Il n’a pas pris non plus la peine de mener une enquête sur place alors que Grenoble est à une heure et demie de route de Notre-Dame de la Salette. S’il avait fait le déplacement, il aurait interrogé le groupe de prière et visionné plusieurs fois avec ces femmes la vidéo en question pour s’assurer de son authenticité.

    Hormis ce journal local, aucun média français ne s’est intéressé à ce phénomène surnaturel qui a été finement analysé par une fidèle ayant fait le pèlerinage à ce sanctuaire. Confer la vidéo ci-dessous:

    En revanche, ce phénomène surnaturel a été relayé aux États-Unis, au Canada et en Italie. Nul doute que d’autres pays chrétiens vont s’y intéresser à leur tour.

    https://www.lalucedimaria.it/la-salette-statua-madonna

    La France occupe une place essentielle dans la chrétienté avec les apparitions mariales à Lourdes, la Salette et le Laus. C’est la raison pour laquelle la franc-maçonnerie s’acharne à la détruire méthodiquement. Le christianisme est le dernier obstacle à l’avènement du gouvernement transatlantique après la disparition des États européens par le traité de Maastricht en 1992.

    Il n’y aura jamais de gouvernement mondial comme le répètent les détracteurs mais un gouvernement transatlantique à cheval sur la moitié de l’Europe. Les Russes n’accepteront jamais d’être les vassaux des Américains. En transposant la fable du loup et du chien de La Fontaine à l’actualité, les loups sont les Russes et les chiens sont les Européens.

    L’abbé Matthieu Salenave était présent lors de ce phénomène surnaturel. Voici son témoignage: "J’ai volontairement choisi de ne pas faire de commentaires. Chacun pourra voir et en tirer des conclusions. Ce qui importe le plus dans cet événement, c’est de voir la tristesse de Notre-Dame devant un monde qui crucifie son Fils et court à la damnation éternelle.

    Que ce message soit naturel ou surnaturel, la conclusion est la même : les hommes doivent cesser d’offenser Dieu et se convertir au plus vite.

    Dont acte!

    Bernard Martoia