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  • LE CHIFFRE DU JOUR

    15 150

    Soit le nombre de policiers blessés en 2023, selon les statistiques du ministère de l’Intérieur.

    Une augmentation de 4,1 % par rapport à l’année précédente.

    La première cause des blessures, plus de 40 par jour en moyenne, est l’agression par un tiers.

    Neuf policiers ont perdu la vie en service.

  • NOEL!, NOEL!  GRANDE  ESPERANCE!

    … et mer… aux laïcards!!!
    Au fait, déboulonneurs compulsifs et décadents de statues: du fait que Chéri-Bibi a fêté Hanouka, la fête juive des lumières, (contraire à la laïcité, selon la loi républicaine: vous devriez dire selon vos directives mentales de malades débiles et islamo-collabos)

    JE VOUS ORDONNE DE DEBOULONNER  L'ELYSEE!!!!!
    Pas deux poids, deux mesures! C'est la loi de 1905!

    Ceci dit, je n'ai absolument rien contre la religion juive ni Israël… si je n'avais été enrôlée, par ma mère, dans la catholique, si j'avais eu le choix, j'aurais préféré la religion juive, cela est sûr et certain… mais, bon, c'est trop tard maintenant. Je garde tout de même le sens du sacré, de la beauté des cathédrales et du travail de nos ancêtres qui ont mis toute leur âme dans la construction de ces magnifiques et extraordinaires vaisseaux de pierre en l'honneur du petit enfant de la crèche. Josyane JOYCE

    Si la France peut revendiquer 2000 ans d’histoire depuis Vercingétorix luttant contre l’envahisseur romain, elle peut aussi s’enorgueillir de ses 1500 ans de chrétienté depuis Clovis, premier roi barbare baptisé chrétien autour de l’an 498.

    Une chrétienté naturelle qui ne posait aucun problème à la Fille aînée de l’Église jusqu’à ce qu’une immigration musulmane de masse ne vienne contester nos racines chrétiennes au nom de la laïcité.

    “Interdire aux cloches de sonner, détruire ensuite les églises, briser les calvaires, cacher les statues, travailler le dimanche, et à Noël, et Pâques, et ne plus prononcer le nom de ces fêtes, ne plus dire "battre sa coulpe" ni "avoir voix au chapitre"… Débaptiser villes et villages portant un nom de saint…, c’est le rêve de nos laïcards intégristes.

    Notre héritage chrétien appartient au patrimoine culturel et à l’histoire de France. Ceux qui veulent effacer nos racines chrétiennes au nom de la laïcité, sont en réalité les fossoyeurs de notre civilisation millénaire.

    A tous et toutes, JOYEUX NOËL!

  • Autre important avertissement: rougeole!

    Poitiers : plusieurs cas de rougeole font craindre un début d'épidémie

    Depuis le 1er janvier 2018, le vaccin contre la rougeole fait partie des huit vaccins (auparavant recommandés) devenant obligatoires pour les moins de deux ans (coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole (ROR), hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C).

    Depuis le 1er janvier 2018, le vaccin contre la rougeole fait partie des huit vaccins (auparavant recommandés) devenant obligatoires pour les moins de deux ans (coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole (ROR), hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C.

    Dix cas de rougeole ont été enregistrés au CHU de Poitiers (86) depuis le week-end dernier. Ils font suite à une série de cas enregistrés à Bordeaux (33) dès le mois de novembre.

    Depuis vendredi, dix cas de rougeole ont été diagnostiqués au CHU de Poitiers, dont un enfant. Plusieurs ont nécessité une hospitalisation.

    Ce matin, trois patients étaient toujours hospitalisés.

    Au centre hospitalier de Poitiers, ce matin, on invitait les usagers des Urgences à "prendre un masque" et d'effectuer "des frictions avec une solution hydro-alcoolique".

    Ces différents cas font craindre, selon l'ARS, une extension du début de l'épidémie débutée en novembre dernier à Bordeaux.

    La Gironde et la Vienne touchées

    Dans une alerte sanitaire diffusée le 22 janvier, relayée sur Internet par certaines communes, l'Agence régionale de la Santé (ARS) explique que la Gironde et la Vienne sont, pour l'instant, les deux départements les plus particulièrement touchés en Nouvelle Aquitaine.

    La rougeole peut nécessiter une hospitalisation et entraîner des complications neurologiques graves pouvant aller jusqu'au décès (ARS)

    Plus de 100 cas ont été recensés depuis novembre 2017, précise l'alerte, dont 32 ont nécessité une hospitalisation.

      https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/vienne/poitiers/poitiers-plusieurs-cas-rougeole-font-craindre-debut-epidemie-1407287.html

  • Il n'y aura pas de réchauffement climatique! Préparez-vous à un hiver 2016-2017 très froid!

    2015 : début du refroidissement climatique ?

    Alors que le réchauffement climatique marque une pause depuis les années 2000, dont les causes ne sont pas encore élucidées, certains climatologues envisagent même l'amorce d'une baisse entre 2015 et 2020. La planète risquerait-elle de renouer avec les rigueurs climatiques du 18ème siècle? Décryptage avec notre météorologue Régis Crépet.

    Non, le réchauffement climatique n’est pas aussi évident que cela pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire, voire même comme certains climatologues (1) l’envisagent de l’amorce d’une baisse à l’horizon 2020 - 2030. Il en va de la climatologie comme de la "pause fiscale" ou de "l'inversion de la courbe du chômage": on peut interpréter les chiffres de différentes manières et en tirer diverses conclusions.

    Le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre (les GES). C'est un raisonnement qui peut s’entendre mais qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le GIEC se base principalement sur la corrélation des courbes d'augmentation du taux de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis le début du XXème siècle et la hausse simultanée des températures planétaires pour se persuader du lien de cause à effet.

    Plus généralement il est admis dans la communauté scientifique que le réchauffement climatique "a été exacerbé par l'effet de serre d'origine anthropique", tout en reconnaissant que ce réchauffement ait pu avoir aussi une origine cyclique naturelle.

    Le réchauffement climatique est en pause depuis 1998

    Comment expliquer que le réchauffement climatique global est en "pause" depuis 1998 alors que les émissions de gaz à effet de serre poursuivent leur inexorable augmentation? En effet, selon les dernières données du RSS satellite data il n’y avait plus, en ce mois de septembre 2014, de réchauffement climatique global depuis exactement 17 ans et 9 mois.

    Si les années les plus chaudes depuis le XXe siècle sont observées durant la décennie 2000 - 2010, cela s’explique par la phase de plateau haut avec des températures planétaires qui restent à peu près au même niveau. Cela reste certes un niveau très élevé, mais un niveau qui n’augmente plus.

    La grande question qui se pose aux scientifiques est de savoir ce qui a pu entraîner cette pause non prévue par les modèles climatiques qui servent de base aux rapports du GIEC. La deuxième question est de savoir ce qui va ensuite se produire : la hausse des températures mondiales va t'elle reprendre ou au contraire la courbe va t'elle entamer une lente baisse? Cette deuxième hypothèse est désormais abordée comme une possibilité. Elle pose la question du rôle précis du taux de CO2 émis dans l’atmosphère car les émissions de gaz à effet de serre sont considérées comme responsables du réchauffement climatique contemporain, en particulier le CO² dont le taux de concentration dans l’atmosphère atteint des valeurs records. Le GIEC avait déclaré à ce sujet que le CO² était "le thermostat de la planète". Alors que ces niveaux de CO² poursuivent leur hausse, comment expliquer la stagnation actuelle des températures?

    Refroidissement global en perspective?

    Pour expliquer cette pause dans le réchauffement climatique, de nombreuses hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un infime pourcentage du rayonnement solaire ou encore la baisse d'activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. "N'oublions pas la variabilité naturelle du climat qui a toujours fonctionné par cycles bien avant notre ère contemporaine", rappelle Régis Crépet, météorologue à METEO CONSULT. "D'autres paramètres comme l'assombrissement global (augmentation des aérosols dans la haute atmosphère liée à la pollution atmosphérique) peuvent aussi tirer les températures vers le bas, à l'image du volcanisme", précise le météorologue.

    Ces paramètres auraient donc pour conséquence d'amoindrir "temporairement" les effets du réchauffement climatique avant la reprise de la hausse, c'est en tout cas la version officielle émise dans les conclusions du GIEC.

    Cependant, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d'interprétation de cause à effet depuis le début? Si le réchauffement climatique n'était en définitive qu'un cycle naturel tel que la planète en a connu sans cesse et bien avant notre époque industrielle? Rappelons, à cet égard, qu'il faisait aussi chaud au Moyen-Age avant une baisse drastique des températures entre le 16ème et le 19ème siècle.

    A ce sujet, Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l'orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique.

    Al Gore et ses 6 mètres d'élévation du niveau de la mer: réalité 1,7 mm par an (2)

    Face à ces interrogations auxquelles on n'a pas de réponse, des climatologues vont plus loin dans leurs extrapolations. Ainsi l'élévation du niveau des océans, stigmatisée par Al Gore en 2006 ("Une vérité qui dérange"), devait atteindre 6 mètres à l'horizon 2100 or les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l'élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle, et serait proche de 13 millièmes de millimètre par an depuis 2001.

    En outre, cette élévation aurait été très inégale avec un maximum entre 1850 et 1900 puis ensuite entre 1930 et 1960 et enfin depuis 1990. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (scénario du GIEC) à l’horizon 2100. Le géologue et physicien suédois Nils-Axel Mörner affirme même "qu’il n’y a pas eu de réelle augmentation depuis 50 ans", et que "s’il y a une élévation au cours de ce siècle, elle restera proche de 10 cm".

    Le très sérieux Met Office britannique avait rendu public l'année dernière trois gros rapports expliquant la fameuse pause du réchauffement climatique et proposant des modélisations climatiques selon lesquelles les températures commenceraient à baisser dans la prochaine décennie 2020 : ainsi en 2030, les températures planétaires ne seraient que de +0,4°C supérieures à la moyenne de référence 1880 – 2013, contre +0,65°C en 2013. Selon la NOAA-GISS, cette hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.

    Des scientifiques américains, dont le très connu Anthony Watts, anticipent même la poursuite de cette baisse qui pourrait atteindre son niveau le plus froid en 2100, à peu près au même niveau qu'à la fin du 19ème siècle. Rien de catastrophique mais un retour aux hivers rudes et à l'avancée des glaciers. Avant d'en arriver là, nos climats tempérés retrouveraient des hivers similaires à ceux des années 1960 entre 2020 et 2030.

    2015 ou 2016: années charnières?

    Dans cette perspective, l'année 2016 pourrait jouer le rôle de charnière après 17 ans de stabilité et avant l'amorce possible d'une baisse des températures planétaires dans la décennie 2020 – 2030 (Met Office). A l'heure actuelle, on constate la reprise de l'extension des glaces de l'Arctique (plus de 1,6 millions de km² regagnés depuis 2012, année du minimum historique avec 2007) (3) tandis que la surface des banquises de l'Antarctique n'a jamais été aussi immense depuis le début des mesures des satellites en 1979, avec une extension  record de plus de 20 millions de km². Là aussi des scientifiques (4) attribuent cette nouvelle extension au réchauffement climatique en raison des vents plus violents qui auraient tendance à accumuler davantage de glace flottante autour du continent Antarctique. Constatons tout de même que l'Antarctique a aussi battu ses records de froid pendant l'hiver austral qui vient de s'écouler.

    Si cette amorce de refroidissement se confirmait, qui aura le courage de le dire en fin d’année 2015  alors que se tiendra à Paris la conférence mondiale sur le climat, une conférence qui souhaite parler surtout de réchauffement ?

    Notes et références :

    (1) Au sujet de l’activité solaire, responsable d’un refroidissement climatique : Journal of Geophysical Research ; voir aussi  Advances in Space Research.

    (2) S. Jevrejeva ((Permanent Service for Mean Sea Level) et Church J.A., N.J. White (2006), (A 20th century acceleration in global sea-level rise).

    (3) NSIDC, National Snow and Ice Data Center.

    (4) Jan Lieser et Tony Worby du Centre de recherche coopératif sur le climat et les écosystèmes de l’Antarctique (CRC).

     

  • Avoir très très peur pour l'avenir de l'homme...

    Cerveau humain, intelligence artificielle et robotique

    Pourquoi les cerveaux humains détiennent la clé d'une intelligence artificielle plus élevée.

    Comprendre l'"évolution interne" permanente du cerveau (et nous aider ainsi à nous adapter et à apprendre des compétences complexes comme la maîtrise du langage) pourrait un jour mener à des robots plus intelligents.

     Pourquoi les êtres humains sont-ils capables d'apprendre des langues complexes si jeunes? Et pourquoi la solution à un "problème faisant appel à la perspicacité" (comme le fait de connecter neuf points sur une grille rectangulaire avec quatre lignes droites contiguës sans relever le crayon) traverse-t-elle soudainement votre esprit à votre réveil le lendemain?

    INSIGHT, un projet révolutionnaire financé par l'UE mené par un des pionniers de la biologie évolutionnaire théorique, est parvenu à mieux comprendre comment nous résolvons exactement les problèmes, en examinant la façon dont les idées dans nos cerveaux pourraient évoluer au cours de nos vies. Les résultats pourraient avoir des implications au niveau de la programmation d'un système robotique de résolution des problèmes qui pense par lui-même et enrichir nos connaissances sur le mode de développement du langage humain.

    "La résolution illimitée de problèmes par l'homme et l'apprentissage sans limite sont de loin supérieurs aux résultats obtenus actuellement avec les machines", explique le professeur Eörs Szathmáry, directeur du Parmenides Centre for the Conceptual Foundations of Science à la fondation Parmenides de Munich, en Allemagne et professeur de biologie à l'université Eötvös à Budapest, en Hongrie. "Ces robots manquent notamment d'algorithmes adéquats permettant de résoudre des problèmes faisant appel à la perspicacité dans divers contextes, ce qui est au cœur de la compréhension humaine."

    Par perspicacité nous entendons la capacité par laquelle nous, humains, pouvons créer de nouvelles représentations plus utiles d'un problème, afin d'autoriser des solutions autres que celles apportées par la "force brute",et guider des actions futures. Cela nous permet de traiter de façon très créative des problèmes sortant de l'ordinaire, chose que l'intelligence artificielle a du mal à faire.

    Par exemple, pendant plusieurs années l'expérience et le jeu nous apprennent à marcher, parler et socialiser, alors que le développement d'idées complexes, qui élargissent les connaissances comme la théorie d'Einstein sur la relativité, peut prendre une décennie, voire plus. Souvent une solution inattendue ("eureka") peut surgir sans avertissement préalable, suggérant que le traitement inconscient joue un rôle crucial dans la perspicacité.

    L'évolution de la pensée

    "Les similarités profondes entre la pensée et l'évolution nous conduisent à supposer que des adaptations cognitives (accomplies par la sélection naturelle 'neuronale') ont lieu en temps réel dans les réseaux neuronaux du cerveau humain au cours de la vie", explique Szathmáry. "Nous appelons ce processus la neurodynamique darwinienne“.

    Le projet INSIGHT a fourni des preuves visant à soutenir cette théorie en utilisant des simulations informatiques, des robots, des examens de cultures cellulaires et des expériences de psychologie humaine et de neuro-imagerie. Par exemple, des neurones murins ont été stimulés pour apprendre les modèles temporels d'activité, qui ont été enregistrés et ensuite reproduits sur un réseau naïf pour voir si les informations apprises pourraient être copiées. Les robots ont été nourris d'algorithmes de sélection naturelle conçus pour créer une exploration autonome créative illimitée, et ont été testés pour voir s'ils pouvaient, en effet, créer leur propre objectif.

    "Contrairement à la sélection artificielle, qui dit 'voilà ta fonction, 'c'est à partir de là que tu dois évoluer', nous avons trouvé qu'un robot pouvait développer son propre jeu", explique Szathmáry“. À terme, ces robots pourraient générer leurs propres valeurs et désirs, et en un sens, avoir leur raisonnement propre."Afin de tester cette hypothèse, le projet a mis au point une nouvelle boîte à outils robotique évolutionnaire, appelée Robogen, qui permet à quiconque possédant un ordinateur de créer des corps et cerveaux de robots dans des simulations fondées sur la physique, d'imprimer en 3D des parties évoluées du corps, d'assembler le robot entier et d'observer son comportement dans le monde réel. Le projet a également fait des progrès en cartographiant la façon dont la dynamique darwinienne du cerveau est importante pour le traitement du langage.

    Les implications de ces recherches sont importantes. Une tournure intéressante pourrait être que les processus évolutionnaires qui ont lieu au niveau cérébral pourraient être encore plus puissants qu'à l'état sauvage, étant donné qu'ils sont modifiés et guidés par l'apprentissage. Alors qu'une grande partie de ces hypothèses reste spéculative (et qu'une amélioration des modèles est requise), le projet INSIGHT a commencé à donner corps à une théorie qui pourrait un jour conduire à des machines capables d'apprendre par elles-mêmes, à une traduction plus intelligente du langage et révolutionner l'enseignement et la résolution de problèmes.