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  • La France vit son crépuscule

    Les peines infligées à Marine Le Pen, à d’autres cadres du Rassemblement national et au Rassemblement national lui-même sont le résultat d’une politisation croissante de la justice en France, du deux poids deux mesures qui découle de cette politisation, d’une volonté d’abattre le Rassemblement national et d’éviter qu’il accède au pouvoir, et même si une procédure d’appel conduit à un nouveau procès en 2026, le résultat peut être similaire. Même s’il ne l’est pas, il restera une salissure et des moyens de l’utiliser, et il est absolument vraisemblable que Marine Le Pen ne sera jamais élue à la présidence de la République. Il en va de même pour Jordan Bardella. La présidence en 2027 reviendra sans doute à un homme médiocre qui gérera le déclin. Édouard Philippe?

    Ce qui se passe n’est que la suite du processus qui a permis d’éliminer François Fillon de la vie politique et d’installer Macron pour une décennie à la tête de la France, avec les superbes résultats que l’on sait.

    Le traitement présentement réservé à Nicolas Sarkozy fait partie du processus (je n’ai jamais voté Sarkozy, mais ce qu’on lui fait subir est répugnant et indigne). Le traitement réservé à Éric Zemmour (deux condamnations en une semaine pour des motifs dignes de ceux utilisés dans une " démocratie populaire " d’Europe de l’Est avant 1991) fait aussi partie du processus.

    La justice française tout entière fait partie du processus. C’est une justice de classe, une justice politique, une justice de gauche au service de la gauche qui condamne selon l’appartenance politique et, de plus en plus souvent, selon l’appartenance religieuse ou ethnique.

    L’état de l’information en France ne peut être dissocié du processus. Très peu de grands médias s’écartent d’une pensée unique qui prévaut dans quasiment tous les domaines: la politique étrangère, l’économie, l’environnement, la gestion du pays. CNews, Europe1, les médias du groupe Bolloré offrent un discours différent. Ils sont pour cela dans le viseur des gardiens de l’ordre installé, et ont tout intérêt à être prudents. La mise à mort de C8 a indiqué ce qui peut se produire encore et a été un avertissement à tous les médias qui sont sous la coupe de l’Arcom. Des médias de moindre audience tiennent aussi des discours différents, TV Libertés, Radio Courtoisie, Ligne droite, Sud Radio pour une partie de ses programmes. Cela permet de dire que la liberté de parole dans le secteur audiovisuel existe encore, mais dès lors que les neuf dixièmes de l’information dans ce secteur relève de la pensée unique, cela signifie que la liberté de parole dans le secteur audiovisuel existe, oui, à dose infinitésimale. Et dans la presse écrite, c’est la même chose. La différence entre ce qu’on peut lire dans Le Figaro et dans Libération lorsqu’il s’agit des États-Unis ou d’Israël est très mince.

    Qui tient l’information tient la direction politique du pays, et sous des apparences de pluralisme préservé, l’information est largement tenue.

    L’état économique de la France est effroyable. La France est le pays le plus taxé et le plus réglementé du monde développé, et s’ajoutent les décisions monstrueuses prises au nom du dérèglement climatique anthropique qui n’existe pas. Les économistes qui osent dire la vérité sur le sujet existent, mais sont peu invités dans les grands médias, et avoir choisi, ce qu’a fait Macron, un ministre de l’Économie socialiste, Éric Lombard, l’homme qui dit que les entreprises françaises, qui font peu de profits, doivent faire moins de profits encore, n’arrange strictement rien.

    Tous les indicateurs économiques pour la France sont au rouge vif, ce qui devrait être un signal d’alarme, mais le gouvernement bancal et hétéroclite que Macron a donné à la France par une manœuvre sordide (les Français ont hélas consenti à la manœuvre) est incapable de voir un signal d’alarme et pratique l’aveuglement. Seul Bruno Retailleau semble compétent au sein de ce pathétique bateau ivre, et on peut se demander souvent pourquoi il ne quitte pas le bateau.

    Mais l’économie n’est qu’un détail, car la violence est là, partout ou presque. Les égorgements au couteau sont si nombreux qu’on ne les compte plus. Il en va de même pour les viols sur la voie publique. Il est impossible de nommer ce qui se passe et d’évoquer la religion des criminels sans risquer de se retrouver au tribunal et peut-être en prison.

    L’immigration musulmane qui ne s’intègre pas se poursuit, et nul ne cherche à l’arrêter car ceux qui pourraient l’arrêter ne gouvernent pas et ne gouverneront jamais: ils seront privés de victoire, oui. Et il se trouvera toujours des gens, lobotomisés par les grands médias, pour dire qu’ils doivent être privés de victoire.

    Je pourrais ajouter ce qui concerne la politique étrangère, et parler de Macron qui prend la pose destructrice du guerrier face à la Russie alors que la France n’a plus d’armée digne de ce nom, mais se couche devant l’Algérie et se rend en Égypte pour demander à Israël un cessez-le-feu et tenter de sauver le Hamas. Quel odieux personnage!

    J’aimerais porter un regard positif sur la France, oui, j’aimerais vraiment. J’aimerais trouver quelque part une lueur d’espoir. Je dois constater avec une immense tristesse qu’il n’y en a, pour l’heure, pas une seule.

    Il reste de beaux paysages, un art culinaire. Pas grand-chose d’autre.

    Au cours des neuf années qui se sont écoulées depuis que j’ai quitté la France, je suis revenu à Paris deux fois, une semaine à chaque fois. Je n’ai pu m’empêcher de penser que je revenais dans un pays au crépuscule. Et je suis rentré chez moi, à Las Vegas, avec une infinie tristesse.

    Guy Millière pour Dreuz.info

     

  • 14-Juillet: VIVE  LA  RÉPUBLIQUE  FRANÇAISE!

    VIVE  NOUS!

    La fête nationale française, également appelée 14 Juillet, est la fête nationale et un jour férié en France. Le terme peut s'écrire "14-Juillet" avec trait d'union: La majuscule, c’est capital! disent certains lexicologues…

     

    Elle est instituée par la loi Raspail du 6 juillet 1880 ("La République adopte le 14 Juillet comme jour de fête nationale annuelle"), qui ne mentionne pas quel événement est commémoré: la prise de la Bastille du 14 juillet 1789, symbole de la fin de la monarchie absolue, ou la Fête de la Fédération de 1790, symbole de l'union de la Nation et premier anniversaire de la prise de la Bastille; tous deux étant des symboles de la Révolution française.

     

    Un défilé militaire a lieu chaque 14 juillet sur les Champs-Élysées de Paris. Son départ a lieu généralement à 10 heures juste après le passage de la Patrouille de France et la revue des différents corps armés par le président de la République.

     

    Ces spectacles nocturnes prennent place autour de sites dégagés au sein des villes, comme des esplanades, des parcs ou des cours d'eau. Malgré leur coût parfois élevé, les feux d'artifice sont des spectacles très appréciés de la population. Le feu d'artifice peut être tiré la veille au soir (13 juillet).

     

    De nombreux bals sont organisés dans le pays, notamment des bals musette ou des bals des pompiers. Souvent, le bal a lieu le 13 juillet, veille de jour férié, ce qui permet d'aller travailler le 15 juillet tôt le matin.

     

    La promotion dite "du 14 Juillet" est l'une des deux promotions civiles annuelles dans l'Ordre national de la Légion d'honneur. Et comme certains présidents de la république se poussent du col, des tas de pignoufs étrangers y ont droit… ce qui revient à diminuer le courage et l'honneur des militaires et forces de l'ordre tombés pour la France!

     

    Certaines années, le président de la République accorde une grâce collective à l'occasion de la fête nationale, aux alentours du 14 juillet ce qui permet de "soulager"  les prisons et de remettre des raclures dans la nature.

    Vive la République Française, vive la France!

    VIVE NOUS!

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • Education sexuelle scolaire

    Le programme EVARS promeut la tolérance, la liberté, l’égalité, le rejet des persécutions

    Depuis des années, l’éducation à la sexualité suscite de telles controverses qu’Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale, a concocté une nouvelle mouture.

    Le premier programme d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité, proposé par le ministère de l’Education nationale, a été publié au Journal officiel le 6 février 2025. Sa mise en œuvre est prévue pour la rentrée de septembre 2025. C’est le plan EVARS.

    L’éducation à la sexualité est apparue avec la loi de Martine Aubry du 4 juillet 2001. Le Code de l’éducation indique que "Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles par groupes d’âge homogène".

    L’éducation à la sexualité, créée par la loi n° 2001-588 du 4 juillet 2001, se déploie de manière progressive de l’école maternelle jusqu’aux classes du lycée, à travers une approche globale, positive et bienveillante.

    Le programme EVARS précise ses orientations. Dans ses objectifs comme dans ses démarches, l’éducation à la sexualité permet l’apprentissage du respect de l’intimité corporelle et psychique des élèves, en tenant compte de leur rythme de croissance et de développement, de leurs différences et de leurs singularités. En particulier:

    Egalité de considération et de dignité, égalité entre les femmes et les hommes, lutte contre les discriminations opérées entre les personnes sur le fondement "de leur sexe", "de leur identité de genre", et "de leur orientation sexuelle", prévention des violences sexistes et sexuelles, repérage de l’inceste.

    L’éducation à la sexualité promeut des relations respectueuses et participe au développement de compétences psycho-sociales.

    L’éducation à la sexualité s’ordonne selon trois questions:

    Comment se connaître, vivre et grandir sereinement avec son corps?

    Comment rencontrer les autres, construire avec eux des relations respectueuses et s’y épanouir?

    Comment trouver sa place dans la société, y être libre et responsable?

    L’éducation à la sexualité nécessite un ajustement à l’âge et à la maturité des élèves, et se construit en deux étapes successives: Dans le premier degré, éducation à la vie affective et relationnelle. Dans le second degré, prévention et information, parcours progressif visant l’épanouissement personnel et relationnel, tout en cultivant une réflexion sur les dimensions affectives, sociales et culturelles de la sexualité.

    Les professeurs conçoivent et organisent collégialement la mise en œuvre pédagogique de cette éducation sous le pilotage et avec le soutien des directeurs d’école ou des chefs d’établissement.

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  • Les fonds de pension étrangers dictent la politique énergétique de la France

    Depuis quelques années, des fonds de pension internationaux accentuent leur présence dans les énergies renouvelables en France. Par exemple, CPP Investments (Canada Pension Plan) a acquis 49 % des parts dans Éolien Maritime France, aux côtés d’Enbridge et EDF Renouvelables, finançant trois parcs éoliens offshore (Saint Nazaire, Fécamp, Courseulles sur Mer), pour un investissement initial de 80 M€, avec 120 M€ supplémentaires prévus, et potentiellement plus de 150 M€ de plus sur les projets suivants: cppinvestments.com+10cppinvestments.com+10offshorewind.biz+10.

    À Fécamp, le parc de 497 MW, dont CPP est copropriétaire, fournit de l’électricité à environ 770 000 personnes: cppinvestments.com.

    https://www.pwc.com/gx/en/issues/business-model

    https://www.reuters.com/business/finance/who-owns-frances-debt-why-it-matters-2024-06-26/?utm_source=chatgpt.com

    Ces montants ne sont pas anecdotiques: ce sont des investissements à long terme – avec des attentes de rentabilité via des tarifs garantis, souvent indexés sur des cadres réglementaires incitatifs.

    LES MÊMES FONDS DÉTIENNENT LA DETTE FRANÇAISE.

    Clé du système: ces grands investisseurs ne sont pas seulement actionnaires d’actifs renouvelables, ils sont également créanciers de la France. Environ 50 % de la dette publique française est détenue par des non-résidents, parmi lesquels se trouvent des fonds de pension, des assureurs et des hedge funds .

     

    https://www.reuters.com/business/finance/who-owns-frances-debt-why-it-matters-2024-06-26/?utm_source=chatgpt.com

     

    Banques non françaises, investisseurs institutionnels et hedge funds sont les plus gros porteurs. En période de volatilité politique ou économique, ces acteurs peuvent réduire fortement leurs avoirs, faisant grimper les taux d’intérêt exigés par le marché.

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  • Intoxications alimentaires: le halal, danger pour la France?

    Huit enfants ont été victimes d’intoxications alimentaires dans l’Aisne après avoir consommé des produits vendus par des boucheries halal. Une fillette de 11 ans est même décédée… Deux boucheries halal de Saint-Quentin ont été fermées à titre préventif par la préfecture mais le mal est malheureusement déjà fait. En réaction à ce drame, Jean-Yves Le Gallou a évoqué sur Twitter des éléments essentiels à rappeler sur le halal. Nous vous renvoyons également ci-dessous à plusieurs articles essentiels publiés par Polémia sur cette pratique islamique.

    L’analyse de Jean-Yves Le Gallou sur le danger du halal en 10 points

        L’abattage sans étourdissement est autorisé par dérogation pour respecter les règles religieuses musulmanes.

        Cette pratique tend à se généraliser: sous pression, les cantines scolaires et restaurants d’entreprise proposent de plus en plus du halal. Les Européens, par tolérance, l’acceptent; l’islam, religion intolérante, l’impose à ses fidèles. Résultat: une prime à l’intolérance.

        Les abattoirs doivent ouvrir des filières halal et, pour des raisons économiques, les utilisent aussi pour des animaux destinés au circuit classique.

        Cela concerne surtout poulets, moutons, et bœufs d’entrée de gamme, souvent abattus sans étourdissement. Les Français modestes mangent halal par défaut.

        Conséquences:

            Souffrances prolongées pour l’animal (plusieurs minutes d’agonie).

            Risques sanitaires dus à la contamination par des germes intestinaux.

        Ces faits sont connus, documentés, mais ignorés par les autorités sanitaires et les défenseurs autoproclamés de la cause animale.

        Le Dr de Peretti tente d’alerter, mais son association vigilancehalal.com subit plus de procès qu’elle ne reçoit de subventions.

        Ni le Parlement européen ni l’Assemblée nationale n’ont imposé l’étiquetage précisant le mode d’abattage.

        Cette défiance envers les boucheries traditionnelles profite à certains mouvements " animalistes " financés par les promoteurs de la viande artificielle.

        La boucle est bouclée.

     

    Jean-Yves Le Gallou

    https://www.polemia.com