Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

sociéte - Page 322

  • Comment des journalistes, payés par vos impôts, vous manipulent...

    Ce qui se cache derrière… une femme en niqab et une touriste (Màj: " les pires dérives du journalisme ")

    [...] C’est une vidéo qui en a choqué plus d’un. Dans une séquence diffusée sur le site de Franceinfo vendredi 16 septembre, on assiste à un dialogue entre une femme qui porte le niqab " depuis 20 ans " et une touriste sur la Promenade des Anglais à Nice. Stéphanie Lécuyer, la femme voilée, vient déposer une gerbe de fleurs en hommage aux victimes de l’attentat du 14 juillet. "Vous avez pas l’impression de faire un peu de la provoc’?", lui lance une passante. "Non, absolument pas madame", lui répond Stéphanie Lécuyer. La journaliste à l’origine du reportage s’explique auprès de "l’Obs".

    La femme en niqab argumente, doucement et poliment: "A un moment donné, il faut s’arrêter et discuter. Je pense que la meilleure des choses, ça va être le dialogue" . La touriste toulousaine, qui s’est assise à côté de Stéphanie Lécuyer, dos à la mer, acquiesce mais s’interroge: " Mon père était musulman, ma mère était juive ashkénaze. On nous a appris à respecter les religions, et surtout à ne pas provoquer, c’est-à-dire la kippa, on mettait pas… "Apaisée au fil de la conversation, elle finit par accepter le choix de Stéphanie Lécuyer: "Je suis contente pour vous, si c’est votre idée, si c’est votre vie…", lui souffle-t-elle.

    En somme, 3 minutes d’échange et de compréhension mutuelle. Trop beau pour être vrai? C’est ce que pensent certains, qui dénoncent une vidéo mise en scène. C’est notamment le cas de Françoise Laborde, membre du Haut conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes, qui s’est longuement épanchée sur Facebook: "Ce reportage [...] résume les pires dérives du journalisme: l’info spectacle, la manipulation de la vérité, la fabrication de toutes pièces d’une histoire qui n’existerait pas sans le journaliste. Ce genre de reportage emprunte aux codes de la télé-réalité pour la fabriquer artificiellement", écrit-elle.

    "Qu’a à voir le journalisme avec ça? Qu’est-ce que c’est que cette nouvelle façon de fabriquer l’information? [...] Les journalistes ont-ils oublié toute mesure et tout esprit critique? Qu’est-ce que c’est que ces journalistes qui se prennent au mieux pour des animateurs sociaux-culturels au pire pour des militants de la burqa?", ajoute-t-elle. Visiblement remontée, elle parle encore sur Twitter de "journalisme de connivence et de sensationnalisme" et dit à la JRI (journaliste reporter d’images) du reportage: " Vous devez aiguiser votre sens critique pas votre angélisme“.

    Françoise Laborde n’est pas la seule à avoir vu rouge. Outre plusieurs internautes, Gilles Clavreul, le directeur de la Dilcra (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme), s’est également insurgé dans un post publié sur Facebook. " Je ne crois pas que la redevance audiovisuelle ait pour vocation de permettre que les paroles de haine et les impostures obscurantistes soient reçues en majesté, sans recul critique ni travail journalistique", explique-t-il.

    Contactée par "L’Obs", la journaliste de France Télévisions Emmanuelle Lagarde, qui est à l’origine de la vidéo, explique comment s’est déroulé le tournage. "Nous sommes descendus à Nice pour suivre Rachid Nekkaz, auquel nous consacrons un reportage. Il s’y rendait pour payer une amende au Trésor public pour le compte de Stéphanie Lécuyer. C’est en relation avec l’actualité, puisque le gouvernement prépare un amendement qui vise à sanctionner les personnes qui payent les amendes des femmes en niqab, présenté les 3 et 4 octobre devant le Sénat“.

    Cet homme d’affaires algérien, qui a pris position sur divers sujets, s’est notamment fait connaître pour avoir créé un fonds de " défense de la liberté et de la laïcité " d’un million d’euros à la suite de la loi d’octobre 2010 interdisant "une tenue destinée à la dissimulation du visage dans un espace public". Il se charge de payer à la place des femmes portant un niqab les amendes qu’elles doivent régler du fait de cette interdiction. " Je suis un musulman laïc, opposé au niqab. Ce que je défends, c’est la liberté pour les femmes de le porter ou non", expliquait-il à l’époque à Rue89. Rachid Nekkaz est revenu récemment sur le devant de la scène en ressortant sa casquette de défenseur des libertés dans le contexte du débat autour de l’interdiction du burkini. [...]

    "Je conçois que des personnes puissent être dérangées par la vidéo, c’est normal que ça suscite un débat, mais pour une fois, on a une discussion de femme à femme sur le niqab", note Emmanuelle Lagarde. "Quand on voit une femme en niqab dans la rue, on se demande pourquoi elle fait ça. Là, la touriste est allée lui demander directement. Je me suis dit que ce serait bien qu’il n’y ait pas que moi qui entende ce dialogue, qui est quelque chose de rare. "Même si elle concède que la caméra biaise parfois les situations: "Peut-être qu’elles seraient tombées moins d’accord". [...] (NDLR: ha ça c'est sûr!)

    Nouvel Obs

  • Charlemagne... Jules Ferry, au secours, ils sont devenus fous!

    Des enfants de CM1 punis : leurs parents ont refusé qu’ils apprennent une sourate du coran

    Publié le 29 janvier 2013 - par Caroline Alamachère A l’école primaire privée Notre-Dame de St Mihiel dans la Meuse, on exige des élèves de CM1 qu’ils apprennent par cœur un verset du coran dans le cadre d’un cours sur l’islam.

    Outrées et inquiètes, deux mamans se sont alarmées de ce que leurs enfants d’une même classe devaient apprendre les rudiments d’une idéologie totalitaire qui se rend de plus en plus imposante, de plus en plus visible et de plus en plus dangereuse dans le monde entier.

    L’une des deux mamans a fait part à l’équipe enseignante de sa désapprobation. Lors du cours suivant, les élèves ont été soumis à un contrôle sur les éléments constituant une mosquée. La seconde mère d’élève a à son tour protesté sur les cours donnés et mis un mot dans le carnet de correspondance dont l’usage est précisément réservé à cet effet.

    On se serait alors attendu à un échange civilisé de petits mots, comme le veut l’usage, entre un parent et l’enseignant de son enfant, que chacun expose ses arguments et son point de vue en adultes responsables, organise un rendez-vous pour dialoguer et résoudre le problème. Mais la maîtresse ne l’a semble-t-il pas entendu de cette oreille et, en guise de vengeance, de rétorsion pour l’exemple au cas où d’autres auraient eu l’envie de l’éclairer sur les « bienfaits » du sacro-saint dogme, a préféré très courageusement s’en prendre à l’élève qu’elle a envoyé dans le bureau de la directrice. Suite à cela la maman protestataire a elle-même été convoquée pour subir une mesure disciplinaire et être réprimandée comme on l’aurait fait d’une élève insolente et désobéissante. La directrice les a fort aimablement encouragés elle et son fils à quitter l’école si elle n’était pas contente, et si elle persistait à refuser qu’on distille les préceptes coraniques dans les veines et le cerveau de son enfant.

    Le fascisme islamique n’a même plus besoin des musulmans pour propager son virus, le corps enseignant fait preuve d’un zèle ostensible et remarquable pour contaminer des centaines de milliers d’enfants par une gigantesque PMA (Propagande Musulmane Accélérée).

    Voilà.

    Nos enfants sont utilisés, endoctrinés par le système scolaire, qu’il soit public ou privé. Et les parents qui entendent garder un droit de regard légitime sur « l’enseignement » dispensé à leur enfant sont contraints au silence, par la menace à la répudiation pendant que l’enfant, lui, est puni en raison d’un désaccord entre adultes censés donner l’exemple. C’est très grave.

    Nos enfants sont jetés au plus tôt dans les rouages d’une machine monstrueuse destinée à leur broyer le cerveau, à leur inculquer des choses qui ne relèvent certainement pas de l’instruction mais du plus pur prosélytisme. Et gare à qui ose contester le système. La dictature est à nos portes avec les petits soldats rouges de l’Education Nationale et de l’enseignement privé au garde à vous, prêts à éliminer la tête qui dépasse, à l’envoyer dans la chambre 101 pour la rééduquer.

    Il y a non assistance à personne en danger.

    Cette école de St Mihiel ne déroge donc pas à la règle, sa directrice et son équipe, en parfaits petits soldats du système obligent des petits à ingurgiter des versets coraniques, à se familiariser à une idéologie qui n’a rien à envier au nazisme. Et chacun se tait, se soumet, regarde ailleurs, tandis que dans ce coin de France on écrase dans un étau de silence et de chantage des mamans et leur enfant.

    Caroline Alamachère

    ECOLE PRIVEE NOTRE DAME

    Enseignement catholique de Lorraine

    7 rue des Ecoles – 
55300   SAINT MIHIEL

    Tél. : 03-29-89-05-56

    Fax : 03-29-90-93-08

    E-mail : c.lainet@scolalor.net

    Chef d’établissement : Mme LAINET Christelle

    http://ripostelaique.com/des-enfants-de-cm1-punis-leurs-parents-ont-refuse-quils-apprennent-une-sourate-du-coran.html

     

  • Les babyphones sont-ils nocifs pour le cerveau des bébés?

     

     

     

     Catégorie: Portables

     

     

  • C'est comme le canada dry!...


    http://www.bvoltaire.fr/nicolasgauthier/christiane-taubira-nest-pas-simone-veil-qui-veut,282159

     


    article bien écrit

     

     

  • Monsieur et Mme Clinton ont une fondation.... très généreuse à leur égard

    Moralité: on est si bien servi que par soi-même

     

    http://institutdeslibertes.org/11482-2/

  • Le blog d'un cardiologue.

    Grange Blanche (cardiologue)

    Le blog d'un cardiologue.

    Aujourd’hui, je suis tombé sur cet article de Ouest-France, au titre accrocheur. Cet article est remarquable car il est cité (je présume donc endossé) par la très vénérable Fédération Française de Cardiologie:

    On y voit une femme qui souffre et un titre frappant: Infarctus; les femmes ont 40% de risque d’être mal diagnostiquées.

    40% By Jove!!! Je me précipite sur ma souris et je tombe sur cet article.

    Le chapeau de l’article dit déjà quelque chose de différent:

    Les personnes âgées de plus de 80 ans et les femmes atteintes d’un infarctus sont souvent victimes de mauvais diagnostic. Par rapport aux hommes, le risque d’être mal diagnostiquées augmente de 40 % chez les femmes.

    Il ne s’agit donc pas d’un risque de 40% de mauvais diagnostic d’infarctus chez la femme, mais d’un sur-risque de 40% par rapport aux hommes. Je me dis que j’aimerais bien voir la source, et très opportunément, l’article donne un lien direct (ce qui est rare et remarquable): Impact of initial hospital diagnosis on mortality for acute myocardial infarction: A national cohort study. Je chipote un peu, mais cette étude n’a pas été publiée dans l’assez prestigieux EHJ mais dans une de ses sous-éditions.

    Un peu comme si un journaliste se vantait d’avoir publié un article dans Ouest-France, alors qu’il n’a eu qu’un entrefilet dans Ouest-France édition Plouézec.

    L’erreur sur les 40% est déjà grave, mais le reste est pas mal non plus.

    En fait, la population étudiée comporte 66.8% d’hommes et 33.2% de femmes. Pas de raz de marée féminin, donc. L’erreur de diagnostic initial, sur l’ensemble de la population, hommes et femmes compris, est de 29.9%. C’est beaucoup, mais nous sommes très loin des 40% du titre, et surtout, il n’existe pas de discrimination sexuelle bien nette dans l’erreur diagnostique. Vous allez me dire que c’est clairement marqué dans l’article de Ouest-France:

    Ce qui est déjà rigolo, c’est qu’on attend 3 facteurs, et seuls 2 sont cités. on sent que le journaliste a eu le doigt qui a bavé sur le ctrl+C. 

    Ces fameux 3 facteurs viennent de là: 

    Pas de statistiques, on ne connait ni la significativité, ni l’intensité du lien entre être une femme et avoir un diagnostic erroné à admission. Sur l’ensemble de l’article, je ne trouve que deux mentions de « female » et une de « women ». Donc pas vraiment un article intéressé par la discrimination liée au fait d’être une femme…

    Si on lit le résumé de l’article scientifique, qui met en exergue les points forts du papier, à aucun moment le fait d’être une femme n’est cité, ne serait que comme donnée démographique, et encore moins comme facteur pronostic. La lecture de l’article le confirme, la soi-disant importante discrimination sexuelle du diagnostic d’infarctus n’apparaît que de façon très éparse, et sans aucune analyse statistique bien convainquante.

    Ce qui n’a pas empêché le rédacteur de la dépêche d’en faire un brulot digne de la pasionaria.

    Et encore, Ouest-France (et tous les médias français) ont eu une certaine retenue, contrairement aux medias britanniques qui rapportant exactement la même étude arrivent à 41, 50, voire 59% de sur-risque lié au sexe féminin:

    Alors quoi?

    La lecture de l’article de Ouest-France, endossé par la FFC, comparé à l’article scientifique original m’a fait toucher du doigt quelques points intéressants:

    • Le rédacteur de la dépêche d’agence reprise par Ouest-France est soit d’une mauvaise foi énorme, soit il comprend encore moins que moi les biostatistiques.
    • La presse écrite se meurt et elle le mérite largement car faire ctrl+C-ctrl+V devant un écran toute la journée n’est pas du journalisme. Un minimum de vérification auprès des gens qui savent (je ne me comprends pas dedans) aurait pu être fait.
    • Défendre une cause juste, la reconnaissance des maladies cardio-vasculaires chez la femme en est une, n’excuse aucunement une torture des données digne du pire laboratoire pharmaceutique (pas de nom).
    • La presse britannique, pour faire bonne mesure et par chauvinisme a rajouté 10% de sur-risque féminin en plus par rapport à la notre. C’est dire la qualité des dépêches d’agences qui ont rapporté les résultats de ce papier. 

    J’ai hâte d’arriver à l’an prochain pour savoir quelle pauvre étude scientifique va être malmenée pour le cœur des femmes.  

    Source: