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sociéte - Page 2

  • 43 milliards d’euros: déficit commercial record au premier semestre

    Le Premier ministre François Bayrou a récemment décrit une accumulation de la dette de la France qui augmente de 5.000 euros "chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit" . Il évoque aussi le chiffre astronomique de 100 milliards d’euros de charge de la dette en 2029 si rien n’est fait pour enrayer le phénomène.

    Un autre chiffre est tout aussi alarmant, celui du déficit de notre commerce extérieur: la différence entre nos importations et nos exportations a été de 43 milliards d’euros pour le premier semestre, soit 4,5 milliards de plus que la même période de l’année dernière.

    Ce déficit s’explique d’abord par la baisse de la facture énergétique: nous avons exporté moins d’électricité, et comme les prix de l’énergie ont reculé, nous y avons moins gagné au change. Le secteur aéronautique a également plombé notre déficit commercial avec, notamment, moins de ventes d’avions. Airbus a eu du mal à tenir les cadences de livraison d’appareils à ses clients internationaux.

    Parallèlement, nous avons importé plus de médicaments, essentiellement en provenance de Chine. Signe de notre perte de souveraineté dans ce secteur, les importations de produits pharmaceutiques ont atteint un record historique: les importations de produits pharmaceutiques depuis Pékin ont plus que doublé en valeur à 1 milliard 100 millions entre janvier et juin de cette année contre 500 millions au premier semestre 2024.

    Les surtaxes douanières annoncées par Donald Trump n’étaient pas entrées en vigueur pour le calcul du déficit rendu public par les douanes ce 7 août. Ce qui inquiète le gouvernement car ces surtaxes qui sont entrées en vigueur ce 1er août vont plomber encore davantage nos exportations, et donc alourdir notre déficit commercial.

    Dans un entretien au journal Le Monde du jeudi 7 août, le ministre du Commerce extérieur, Laurent Saint-Martin, parle d’un " vrai signal d’alerte ". Le tissu productif français est malade: coût du travail trop cher, fiscalité pénalisante, lourdeurs administratives… Les politiques de gauche menées depuis des décennies, qui consistent à toujours plus taxer l’outil productif sont directement responsables de cette autre faillite.

     

    Henri Dubost

     

  • Juges français: que la honte soit sur vous pour l'éternité!

    Pierre-Olivier Kleitz: le soldat que la République française a laissé mourir

    Le 18 mai 2024, dans une cellule de la prison de Fresnes, un homme s’est pendu. Il s’appelait Pierre-Olivier Kleitz.

    33 ans. Infirmier militaire décoré. Huit années de service au Mali, au Tchad, au sein de la Croix-Rouge et du SAMU militaire. Un soldat qui avait soigné, sauvé, parfois sous le feu. Mais pour la justice française, il n’était plus qu’un dossier à instruire, un suspect à enfermer. Et pour l’État, il ne méritait même pas la vigilance élémentaire qui aurait pu lui sauver la vie.

    L’incident au Tchad: la légitime défense reconnue… puis ignorée

    Septembre 2023. En mission au Tchad, Pierre-Olivier Kleitz est agressé dans le camp français de Faya-Largeau par un soldat tchadien armé d’un scalpel, puis de ciseaux. L’attaque est confirmée sur place par les autorités locales. Le militaire français tire pour se défendre. L’agresseur meurt. Au Tchad, l’affaire est classée sans suite.

    L’acte est reconnu comme relevant de la légitime défense. Pierre-Olivier rentre en France libre.

    Mais quelques mois plus tard, la justice française rouvre le dossier. Le 26 avril 2024, il est interpellé à son domicile comme un criminel. Le 14 mai, il est placé en détention provisoire pour homicide volontaire. La raison? Une réinterprétation des faits par le parquet.

    Selon le parquet chargé de l’enquête, les blessures du Français, bénignes, auraient pu "être auto-infligées" car ils n’ont trouvé "aucune trace de sang, et seul le profil génétique du mis en examen a été retrouvé sur le scalpel". En outre, "le défunt tchadien a manifestement été victime de tirs mortels dans le dos et alors qu’il se dirigeait vers la sortie".

    Pierre-Olivier Kleitz souffrait de stress post-traumatique sévère, diagnostiqué après ses missions au Mali. Des experts psychiatres avaient alerté sur la nécessité d’un suivi médical et sur le danger que représentait un enfermement.

     Malgré cela, il est incarcéré à Fresnes, seul dans une cellule non sécurisée, sans surveillance renforcée, alors même qu’un des motifs invoqués pour justifier sa détention était… de "le protéger de lui-même".

    Le 16 mai, il appelle son père: " Papa, sors-moi de là… c’est l’enfer ". Deux jours plus tard, on le retrouve pendu.

    UNE FAMILLE EN QUETE DE VERITE

    Depuis ce drame, ses parents se battent. Christine Elion et Michel Kleitz ont déposé plainte contre X pour homicide involontaire et mise en danger de la vie d’autrui. Ils demandent la saisine de l’Inspection générale de la justice. Ils ont écrit aux ministères, sollicité des rendez-vous. Le ministère des Armées a exprimé son soutien. La Justice, elle, n’a rien répondu.

    Le silence, comme un second abandon.

    L’avocat de la famille, Me Patrick Ramaël, dénonce des "dysfonctionnements graves" et un processus judiciaire opaque. Il souligne qu’après un refus initial de placement en détention, le juge est revenu sur sa décision en changeant le motif.

    Ce drame illustre, une fois encore, un phénomène que trop de familles connaissent: la justice française se montre implacable envers ceux qui servent le pays, tout en se montrant étrangement clémente envers des délinquants multirécidivistes ou des criminels importés par l’immigration de masse.

    Dans nos prisons, certains purgent leur peine comme dans un "centre de vacances"; d’autres, comme Pierre-Olivier Kleitz, y trouvent la mort.

    Ce n’est pas un simple fait divers. C’est un scandale d’État. Un soldat loyal est mort, non sur un champ de bataille, mais dans une cellule française, abandonné par ceux qu’il avait protégés. Sa mémoire impose que la lumière soit faite. Et que cesse cette justice à deux vitesses qui broie les siens et relâche les pires.

     

    Yann Vallerie

     

    Crédit photo: DR (photo d’illustration)

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  • Automobile, vente forcée et obligation d’asservissement

    Il fut un temps où les constructeurs automobiles proposaient différentes versions d’un même modèle, avec souvent des sigles classiques: GL, GR, GRD, etc. Le client pouvait ainsi choisir une motorisation et un ensemble de finitions selon ses besoins, désirs et budget. D’autres options séparées étaient aussi disponibles.

    Avec le choix des couleurs, chacun pouvait ainsi avoir la voiture correspondant le mieux à son idée personnelle. De plus, on pouvait facilement entretenir ou réparer les voitures de ce temps-là en accédant commodément aux différents organes. Des connaissances et un outillage appropriés étaient suffisants. Ce monde automobile classique et raisonnable a pris fin avec le siècle dernier.

    Aujourd’hui les voitures n’ont plus grand-chose à voir avec celles de cette époque révolue. L’Union européenne a investi l’automobile comme toutes les choses de notre vie courante. Quand on ouvre le capot moteur d’une voiture de maintenant, on ne voit qu’une multitude de carters et de bouchons. Pas question de réparer soi-même quoi que ce soit ou presque.

    L’entretien doit se limiter au nettoyage, quand la préfecture ne l’interdit pas. On ne choisit plus beaucoup de versions ou d’options, tant les normes européennes ont imposé d’accessoires qui, en d’autres temps, auraient figuré dans un catalogue au libre choix du client. Cela sans s’attarder à propos des voitures électriques, subventionnées et objet d’une propagande politique n’ayant rien à voir avec l’écologie, nos préférences ou notre intérêt national, sur lesquelles il y aurait beaucoup à dire.

    Rien que pour l’année 2025, l’Union européenne a imposé cinquante accessoires aux voitures vendues en Europe. Parmi ceux qu’elle nous impose figurent au moins trois éléments dangereux: l’airbag, le régulateur de vitesse et l’assistance au freinage.

    On ne peut pas se débarrasser des airbags, trop dangereux à démonter et objets du contrôle technique. J’ai vu personnellement un conducteur ayant dû aller à l’hôpital parce que son airbag s’est déclenché lors d’un freinage brutal sans accident, collision ou choc, ses deux poignets ayant été brûlés. Actuellement on rappelle d’urgence, en pleines vacances, les voitures équipées d’une certaine marque d’airbag ayant déjà occasionné des accidents avec morts et blessés.

    Le régulateur de vitesse a lui aussi déjà causé des accidents mortels, en déclenchant une accélération intempestive au moment où il fallait freiner. On a notamment vu le cas d’une automobiliste dont la voiture a accéléré brutalement en arrivant à un péage d’autoroute.

    On peut ou non utiliser le régulateur de vitesse. Personnellement je ne m’en sers jamais.

    Il sert de prétexte aux obsédés obtus de la Sécurité routière pour justifier les contrôles radars pointilleux, même dans des endroits non réputés accidentogènes.

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  • Au secours, la France se réchaufferait plus vite que le reste de la planète!

    Agnès Pannier-Runacher l’affirme. La ministresse de l’escrologie n’a que 51 ans. Et déjà le cerveau bien ramolli. À cause de la canicule ou du sucre en poudre comme la plupart des sinistres et des crétins macronards-progressistes, Son patron Fripounette donne le mauvais exemple. Comme lui, elle parle beaucoup pour dire n’importe quoi.

    "Il faut s’adapter au réchauffement climatique. Un enfant qui naît aujourd’hui en France, dans un pays qui se réchauffe plus vite que le reste de la planète, c’est pas de chance, c’est géographique, il vivra dans un monde à + 4 degrés quand il aura 75 ans, en 2100".

    On a oublié de lui expliquer qu’un dôme de chaleur est un phénomène récurrent qui disparaît en même temps que s’effondre l’anticyclone qui l’a provoqué. Toutes les zones de la terre peuvent être touchées. Et l’ont été à toutes les époques. L’analyse des isotopes d’oxygène retenus dans les glaciers, la cyclo-stratigraphie des sédiments marins carbonés et la dendrochronologie (cernes des arbres même fossiles) confirment.

    Les calories surnuméraires accumulées sur l’hexagone ne s’arrêteront pas à la frontière comme les radiations du Tcherno débile. Et la France ne se transformera pas en cocotte minute. Sauf dans les délires des astrologues de l’État profond et des bouffons des médias rampants.

    Et même si c’était vrai, ce serait bénéfique! Comme au temps des dinosaures où une faune et une flore d’une diversité inouïe se sont développées. Avec très peu de calottes polaires et un niveau de CO2 pouvant atteindre une valeur de 10.000 ppm (partie par million ou 106) soit 25 fois la concentration actuelle.

    Énarque, la Panière aurait le niveau d’ingénieur, mais elle a oublié les lois de la thermodynamique.

    Si vous avez perdu vos cours de physique de seconde, je vous rappelle le grand principe trouvé par le sadique Carnot, inventeur de l’eau tiède en 1824: Tout est affaire d’échanges. Comme dans les clubs libertins. La chaleur va réchauffer le froid, le froid va refroidir le chaud. Les soufflants d’air en altitude et les courants marins jouent le rôle de thermostat planétaire.

    La Panière a adopté sans réfléchir les extravagances des écolo-réchauffistes-catastrophistes. Qu’on ne peut plus qualifier de mensonges climatiques, tellement elle sont hénaurmes! Ce sont des crises d’agitation avec logorrhée agressive, et des troubles paniques avec perte de contrôle et comportements délirants. Des pathologies typiques des gauchistes verdâtres, qui relèvent de la psychiatrie. D’ailleurs y a-t-il encore un écolo ou un LFI qui n’ait pas le cerveau endommagé à force de bouffer et de fumer de l’herbe,

    Il y a une canicule en ce moment en France, Comme il y en a toujours eu en été.

    Qu’à cela ne tienne, ce n’est parce que la France se réchauffe plus vite que le reste du globe.

    Avec ses 550.000 km2 de superficie, contre 510 millions pour l’ensemble de notre sphère vagabonde, terres et mers inclus, soit un ratio de l’ordre de 1‰ (un pour mille) la Francarabia ne caracole pas en tête des zones sinistrées. La planète a moins perdu la boule que nos dirigeants.

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  • L’avenir est-il vraiment à la bagnole électrique?

    "Le réchauffement climatique est une invention défendue par les Nations Unies pour créer un nouvel ordre mondial autoritaire…".                 

    (Maurice Newman, homme politique australien(2000)).

    "La climatologie est un art divinatoire visant à déduire du comportement humain l’avenir climatique de la terre, dans l’idée de prescrire à chacun des actions de pénitence".

    (Benoît Rittaud,"Le mythe climatique". (2012)).

    Depuis que les "Khmers verts" ont conquis plusieurs grandes villes, l’automobiliste et le motard sont invités à y rouler à…30 km/heure, soit en gros la vitesse de pointe d’un vélo électrique. On voit d’ailleurs de plus en plus de bécanes électriques, chevauchées par des "Bobos" casqués car cette engeance imbécile adhère comme un seul homme (1), sans esprit de rébellion, à la moindre ineptie, à condition que ce soit "bon pour la planète".

    Le panurgisme – la servilité moutonnière – est un des nombreux maux de notre époque décadente. Et c’est un mal qui fera, soyez-en certains, beaucoup de casse humaine et de dégâts sur notre économie déjà bien malade!

    Les écolos et leurs complices (2) sont taraudés, obsédés, par l’idée de faire disparaitre le moteur à explosion. Ils avancent une date proche: 2035 et même avant, si possible. Et ils ne veulent plus de moteurs hybrides. L’avenir est au moteur électrique: CQFD, c’est une évidence (3)!

    Habitué à subir les sornettes des Hulot, Pompili, Tondelier, Rousseau ou de l’épouvantable Greta Thunberg, je suis prêt à tout entendre: on peut être un franchouillard, climato-sceptique, amoureux des belles mécaniques et faire preuve, de temps en temps, d’ouverture d’esprit. On nous serine que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir, la seule voie pour sauver la planète, et la France s’est engouffrée tête baissée dans le " tout électrique" sans discernement. Nos dirigeants ont enjoint les constructeurs de tout miser sur l’électrique. Bruxelles leur interdit de faire de la publicité pour les voitures qui ne sont pas électriques (ou hybrides), alors même que nous étions devenus leaders en matière de moteurs thermiques. Selon " les Echos" la suppression des motorisations essence ou diesel va tuer 41 000 emplois nets en France dans les années à venir. D’autres médias parlent de 100 à 150 000 emplois appelés à disparaître.

    On va donc encore tuer un secteur industriel sur notre sol; UN DE PLUS! Mais qu’est-ce que ça signifie pour le Français moyen?

    D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes et autoroutes, car les bagnoles électriques les plus performantes ont une autonomie maximale de 500km. Et encore, à condition de ne pas utiliser les phares, le chauffage, les essuie-glace, le dégivrage ou la climatisation. Ensuite, il faut des batteries capables de stocker cette énergie.

    Or, ces batteries sont lourdes, très coûteuses et bourrées de métaux rares. Dans celle de la "Tesla Model S" qui fait rêver les bobos parisiens, il y a plus de 16 kg de nickel..!

    Or, le nickel est rare, très rare, sur cette terre qu’ils prétendent  sauver. Le patron de "Tesla France"  déclarait récemment  que "le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel" ce qui revient à dire, en langue-de-bois, que le nickel est très difficile à trouver.

    Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle Calédonie.  Et son extraction est une vraie galère: on ne le trouve jamais à l’état pur. Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion. Il faut creuser, broyer, cribler, hyrocycloner pour un résultat à peine à la hauteur de nos besoins. Cette extraction entraîne des tonnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps… dans la mer!

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  • Et si on abolissait leurs privilèges?

    "Je ne consentirai jamais à dépouiller mon clergé, ma noblesse… C’est alors que le peuple français pourrait m’accuser d’injustice et de faiblesse. Monsieur l’archevêque, vous vous soumettez aux décrets de la Providence; je crois m’y soumettre en ne me livrant point à cet enthousiasme qui s’est emparé de tous les ordres, mais qui ne fait que glisser sur mon âme. Si la force m’obligeait à sanctionner, alors je céderais, mais alors il n’y aurait plus en France ni monarchie ni monarque".

    Lettre prémonitoire du Roi Louis XVI à l’archevêque de Chartres)

    Mince alors, parti en vadrouille pendant une semaine, j’ai failli rater la célébration de la nuit du 4 août 1789. En réalité, je n’ai rien raté car notre République maçonnique, nourrie aux idéaux des Lumières et qui a fait de la Révolution un marqueur historique, ne fête jamais la nuit du 4 août 1789.

    Il est vrai que, lorsqu’on voit l’arrogance, le train de vie, les privilèges et les passe-droits de nos petits marquis de la politique, il serait malvenu voire incongru de critiquer l’Ancien Régime.

    En ce temps-là, les petits hobereaux de province, souvent pauvres comme Job, respectaient le peuple. De nos jours, Emmanuel Macron voit, dans les gares, "des gens qui ne sont rien" et il dénigre ou insulte son peuple chaque fois qu’il est à l’étranger; ce qu’aucun chef d’État français avant lui n’aurait osé faire. Ce type déteste le vulgum pecus, qui l’a pourtant élu par deux fois.

    Mais faisons un bref rappel de cette fameuse "nuit de 4 août 1789"; une nuit de folie!

    En fait il s’agit d’un vent de panique et d’une surenchère démagogique lors d’une séance nocturne de l’Assemblée Constituante au cours de laquelle fut votée la suppression des privilèges féodaux. Débutée à sept heures du soir, elle allait se prolonger jusqu’à deux heures du matin.

    L’Assemblée Constituante mettait à terre le système féodal. C’était l’abolition pure et simple de tous les droits et privilèges féodaux ainsi que de tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations, à l’initiative du "Club breton", le futur "Club des Jacobins".

    L’Assemblée Constituante élaborait la future Constitution (ainsi que la "Déclaration des droits de l’homme") lorsqu’elle reçut des récits très alarmistes sur les mouvements populaires qui sévissaient un peu partout dans le pays. L’Assemblée envisageait alors deux hypothèses:

    soit réaffirmer les valeurs de la propriété, et donc contrôler la révolte. Solution rejetée, car on avait peur de la colère paysanne.

    Soit instaurer des "bureaux de secours", qui permettraient d’aider les plus pauvres. Mais cette suggestion ne répondait en rien à l’urgence de la situation.

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