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société - Page 3

  • Notre véritable ennemi est le mondialisme

    De 622 à 1700, l’Occident chrétien a résisté victorieusement à la poussée et aux assauts de l’islam et a précipité l’engourdissement de l’agresseur. Les souverains européens se sont unis à maintes reprises pour refouler et chasser les envahisseurs musulmans. Ils manifestèrent la volonté politique de s’opposer à l’islam et de maintenir le christianisme.

    La Révolution de 1789 change la donne. Le pouvoir passe à la haute bourgeoisie et à la haute finance apatride. Après la période de léthargie musulmane et la colonisation, à partir de 1945, les dirigeants européens accompagnent et favorisent la politique d’islamisation en terre occidentale.

    L’Europe, elle-même otage du terrorisme, introduit sur son territoire les tribunaux et la finance conformes à la charia. Elle fait voter des lois draconiennes contre le racisme, la xénophobie, l’incitation à la haine.

    En France, l’anticléricalisme, né sous la IIIe République, et qui unissait alors les républicains divisés, a toujours montré une profonde aversion envers le christianisme, en particulier le catholicisme. Les gauchistes anticléricaux souhaitent la disparition du catholicisme. Ils accueillent l’islam avec ferveur, sans voir de contradiction. L’islam est pour eux un moyen d’éliminer le christianisme, de se débarrasser d’un intrus encombrant et honDans ce contexte d’immigration de masse et d’islamisation, la guerre civile menace, une guerre sauvage, sanglante et meurtrière entre d’une part les musulmans aidés par les traîtres gauchistes, et d’autre part, les patriotes et identitaires. Quelle serait l’issue de cette guerre? Les gouvernants redoutent-ils cette confrontation? Ou bien au contraire la souhaitent-ils? La guerre ne permettrait-elle pas d’étouffer et d’éteindre les échecs de Macron et de sa bande de gangsters? De réduire la population? D’établir une Europe supranationale et une armée européenne? D’instaurer un gouvernement mondial? De réaliser tous les rêves mondialistes?

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  • La mort du débat?

    Charlie Kirk croyait à la puissance de l'argumentation. Son assassinat signe-t-il l'échec de sa démarche, ou est-il au contraire la rançon de son succès?

    Par Laurent Dandrieu

    C’est tout le paradoxe de la mort de Charlie Kirk: son assassin a manifestement cru tuer un fasciste et éliminer un danger pour la liberté d’expression, mais il lui a ôté la vie au moment précis où l’influenceur trumpiste était engagé dans un débat contradictoire avec un jeune progressiste.

    Bien que soutien fervent de Donald Trump, Charlie Kirk occupait une position particulière dans la galaxie Maga: alors que le président américain et la plupart de ses soutiens ne brillent pas, pour employer une litote, par le respect de leurs adversaires et leur sens du dialogue, Kirk, lui, avait fondé tout son activisme politique sur l’argumentation, sur ce qu’on appelait au Moyen Âge la disputatio, le débat oral et public où deux contradicteurs défendent chacun leur point de vue; exercice où l’exceptionnelle puissance dialectique du jeune homme de 31 ans et sa vaste culture lui donnaient l’avantage.

        Sa joie était manifestement sincère quand l’un de ses contradicteurs était obligé de reconnaître qu’il avait raison.

    Mais Charlie Kirk ne cherchait pas à imposer ses idées, seulement à convaincre. Et sa joie était manifestement sincère quand l’un de ses contradicteurs était obligé de reconnaître qu’il avait raison. Comme l’a souligné l’un de ses proches, sa réaction alors n’était pas “Je vous l’avais bien dit” mais “Bienvenue!”.

    LA POLITIQUE COMME UNE RECONQUETE

    La mort de Charlie Kirk pose moins la question de la violence en politique, qui a toujours existé – même si les assassinats politiques visent habituellement davantage des leaders en position de pouvoir que des débatteurs -, que celle de la possibilité d’un débat politique civilisé, qui respecte l’adversaire et ne le considère pas comme un ennemi irréductible, à combattre à tout jamais.

    Le monde conservateur américain est aujourd’hui dominé par la notion de “guerre culturelle”, et la politique vécue comme une reconquête à mener sur le terrain abandonné depuis les années 1960 aux contre-cultures, qui se sont ultimement fédérées pour donner naissance au wokisme. Dans cette optique, la politique est souvent vue, de part et d’autre, comme un affrontement à mort entre deux visions anthropologiques irréconciliables.

     

        Le but de la politique n’est pas d’essentialiser l’adversaire en ennemi à vie, mais, sinon toujours, de le convaincre.

    On peut y voir un lointain héritage de la pensée du philosophe allemand Carl Schmitt, qui faisait de la distinction ami-ennemi la clé de voûte de toute pensée et de toute action politiques. Disciple français de Carl Schmitt, Julien Freund avait repris cette réflexion, notant dans sa thèse l’Essence du politique qu’ " il n’y a de politique que là où il y a un ennemi réel ou virtuel ", et que le rêve d’une humanité définitivement réconciliée ne saurait être qu’une utopie; mais il la tempérait en soulignant que cette distinction n’est pas le dernier mot de la politique, dont le but ultime est de la dépasser, toujours provisoirement certes, au nom du bien commun. Le but de la politique n’est pas d’essentialiser l’adversaire en ennemi à vie mais, sinon toujours de le convaincre, du moins de ramener l’antagonisme à un désaccord acceptable.

    UN GOUFFRE ANTHROPOLOGIQUE QUI EMPECHE LE DEBAT

    Reste la question du wokisme. Beaucoup pensent – et l’auteur de ces lignes l’a souvent affirmé – qu’il est vain d’espérer avoir une discussion rationnelle avec des énergumènes à cheveux bleus qui croient, à la façon d’une religion révélée qui n’admettrait ni exégèse ni apologétique, et donc aucun examen critique, que deux et deux font cinq, que les hommes peuvent être enceints et que tout mâle blanc est ontologiquement coupable de racisme et de sexisme; il y aurait entre eux et nous un gouffre anthropologique tel que tout débat deviendrait impossible, comme entre deux espèces venues de deux planètes différentes. CHARLIE KIRK CROYAIT L’INVERSE.

        "Prouvez-moi que j’ai tort", avait l’habitude de dire Charlie Kirk.

    Son slogan, "Prove me wrong" (“Prouvez-moi que j’ai tort”), pourrait aussi s’entendre ainsi: “Prouvez-moi que j’ai tort de croire à la puissance de l’argumentation ”. L’inversion du vote des jeunes électeurs américains, majoritairement passés du camp démocrate au camp républicain entre 2020 et 2024, a été largement portée à son crédit. De ce point de vue, son assassinat, s’il rappelle qu’il y aura toujours des irréductibles qui préfèrent la violence à la raison, est aussi la rançon de l’incroyable succès de sa démarche. Si elle peut, plutôt que de susciter un mimétisme vengeur, faire naître des vocations de débatteurs à sa façon, la mort de Charlie Kirk n’aura pas été vaine.

  • Propagande autour de la sexualité dans l’Éducation nationale: le scandale

    L’extrême centre est une dystopie. Comme dans Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, le ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, veut commencer l’orientation dès le jardin d’enfants. C’est Parcoursup, dès mat’ sup, la maternelle supérieure!

    Comme dans 1984 d’Orwell, il faut endoctriner les enfants avec les dogmes du parti et donc enseigner la sexualité et la théorie du genre dès le plus jeune âge. Claude Meunier-Berthelot, contributrice régulière de Polémia et auteur de Cette révolution scolaire qui tue la France, décrypte ci-dessous la circulaire ministérielle du 4 février 2025 sur l’éducation sexuelle, nouvelle étape de la révolution scolaire qui éloigne chaque jour davantage l’école de sa mission première d’instruction et de transmission au profit d’un gloubi-boulga politiquement correct. Polémia.

    LA CHUTE CONTINUE

    Nous sommes en train de toucher le fond de la perversité éducative avec l’introduction de programmes d’éducation sexuelle à l’école, de la maternelle à l’université! Révolution qui touche aussi bien l’école publique que l’école privée sous contrat.

    Ceux qui sont censés nous gouverner continuent d’exercer leurs méfaits à la tête des institutions publiques malgré la levée de boucliers émanant notamment d’associations diverses dénonçant cette aberration éducative. Mais ne " baissons pas la garde " face à ce dévoiement organisé de l’Éducation nationale et de ses satellites, car l’avenir de nos enfants, l’avenir de la France en dépend.

    Quelques pépites glanées dans différents établissements scolaires et relevées par l’association SOS Éducation

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  • Propagande autour de la sexualité dans l’Éducation nationale: le scandale

    L’extrême centre est une dystopie. Comme dans Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, le ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, veut commencer l’orientation dès le jardin d’enfants. C’est Parcoursup, dès mat’ sup, la maternelle supérieure!

    Comme dans 1984 d’Orwell, il faut endoctriner les enfants avec les dogmes du parti et donc enseigner la sexualité et la théorie du genre dès le plus jeune âge. Claude Meunier-Berthelot, contributrice régulière de Polémia et auteur de Cette révolution scolaire qui tue la France, décrypte ci-dessous la circulaire ministérielle du 4 février 2025 sur l’éducation sexuelle, nouvelle étape de la révolution scolaire qui éloigne chaque jour davantage l’école de sa mission première d’instruction et de transmission au profit d’un gloubi-boulga politiquement correct. Polémia.

    LA CHUTE CONTINUE

    Nous sommes en train de toucher le fond de la perversité éducative avec l’introduction de programmes d’éducation sexuelle à l’école, de la maternelle à l’université! Révolution qui touche aussi bien l’école publique que l’école privée sous contrat.

    Ceux qui sont censés nous gouverner continuent d’exercer leurs méfaits à la tête des institutions publiques malgré la levée de boucliers émanant notamment d’associations diverses dénonçant cette aberration éducative. Mais ne " baissons pas la garde " face à ce dévoiement organisé de l’Éducation nationale et de ses satellites, car l’avenir de nos enfants, l’avenir de la France en dépend.

    Quelques pépites glanées dans différents établissements scolaires et relevées par l’association SOS Éducation

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  • Nouvelle réglementation sur les armes blanches

    l’État désarme une fois de plus le peuple, pas les délinquants

    Alors que les agressions au couteau se multiplient en France, le gouvernement a choisi de durcir une fois de plus la législation… non pas contre les voyous, mais contre les citoyens ordinaires.

    Un décret du 5 septembre 2025 et un arrêté du 4 juillet 2025 viennent en effet modifier en profondeur la réglementation sur la détention, la vente et le port des armes blanches. Officiellement, il s’agit de "renforcer la sécurité publique". Dans les faits, cette réforme illustre une tendance lourde: restreindre toujours davantage les libertés individuelles, au nom d’une sécurité que l’État n’assure plus.

    Les couteaux “zombie”, les poings américains et les couteaux automatiques désormais interdits

    Depuis septembre 2025, plusieurs armes blanches autrefois en vente libre sont désormais classées en catégorie A1, c’est-à-dire au même niveau juridique que les armes de guerre. Cette classification concerne notamment:

        les couteaux “zombie”, ces lames massives, dentelées et décoratives;

        les poings américains, y compris ceux combinés à une lame ou un dispositif électrique;

        les couteaux papillon (ou balisongs) et couteaux automatiques à ouverture assistée;

        les armes de jet telles que les étoiles de ninja.

    Leur vente, acquisition et détention sont désormais interdites. Les particuliers et commerçants qui en possèdent doivent les remettre à la police ou à la gendarmerie avant le 7 décembre 2025. Passé ce délai, la sanction pourrait être lourde: jusqu’à 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende (on imagine bien les tribunaux déjà engorgés, les policiers sans moyen, venir débarquer à 6 heures du matin pour arrêter un papie " terroriste " possédant chez lui un couteau papillon, puis le faire juger et condamner).

    DES COMMERÇANTS SOUS SURVEILLANCE PREFECTORALE

    Les magasins non spécialisés devront obtenir une autorisation préfectorale pour vendre certaines armes blanches encore tolérées (poignards, matraques, couteaux à cran d’arrêt).

    Ces armes, désormais classées en catégorie Da, ne pourront être commercialisées qu’après validation administrative, avant le 7 mars 2026. Les boutiques devront également afficher clairement l’interdiction de vente aux mineurs — y compris sur les sites internet — comme les armureries.

    EN CLAIR: même les coutelleries ou boutiques de loisirs devront se soumettre à la même bureaucratie que les vendeurs d’armes à feu.

    Une pénalisation croissante des usages ordinaires

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  • Alarmisme climatique: les 8 étapes de l’hystérie expliquées

    Connaissez-vous les étapes du changement selon John Kotter? Cette théorie managériale s’applique parfaitement à toutes les manœuvres politiques liées au changement climatique. En appliquant son modèle aux décisions de la caste au pouvoir liées à cet alarmisme climatique, vous allez tout comprendre sur ce qu’il se passe actuellement. Ne vous laissez pas berner. Que vous soyez climatosceptique ou fervent croyant du changement climatique, venez le 15 novembre au Forum de la dissidence, où nous discuterons de la question environnementale afin d’éviter un totalitarisme qui menacerait nos libertés individuelles:

    https://my.weezevent.com/forum-alarmisme-climatique.

    PREMIÈRE ETAPE: CRÉER UN SENTIMENT D’URGENCE

    Les acteurs de l’alarmisme ont construit, dès les années 1980, une narration de crise existentielle:

    "L’humanité est en danger", "la planète brûle", "il ne reste que dix ans".

    En stratégie du changement, cette étape vise à provoquer une réaction émotionnelle collective (peur, panique, culpabilité) pour forcer la mobilisation.

        Diffusion d’images de catastrophes naturelles;

        Répétition des échéances ("2020", "2030", "2050");

        Assimilation du scepticisme à une irresponsabilité morale.

    Résultat: un état d’urgence permanent qui justifie l’action politique radicale et empêche le débat contradictoire.

    DEUXIÈME ETAPE: FORMER UNE COALITION DIRIGEANTE

    Les institutions internationales, grandes ONG et leaders politiques se sont unis autour de la cause climatique:

    ONU, GIEC, Union européenne, grandes multinationales, médias, influenceurs "verts"…

    Cette coalition a unifié le discours et marginalisé les voix dissidentes.

    Elle donne au récit climatique une légitimité institutionnelle et morale, s’appuyant sur la science offiCielle et la vertu politique.

    C’est une coalition d’influence, non une coalition démocratique.

    Le pouvoir symbolique et économique s’enracine dans la " bonne cause ".

    TROISIÈME ETAPE: DÉVELOPPER UNE VISION ET UNE STRATEGIE

    Une fois l’urgence et la coalition installées, on formalise une vision du futur:

        Une planète "neutre en carbone";

        Une économie "verte" et "durable";

        Une humanité "responsable" (souvent au prix de restrictions).

    Cette vision s’accompagne d’une stratégie prescriptive:

        Taxation, surveillance énergétique, limitation des libertés, contrôle des comportements individuels.

    Sous couvert de sauver la planète, on structure un projet de transformation sociale et politique global dont la finalité réelle peut être le contrôle plutôt que la protection.

    QUATRIÈME ETAPE: COMMUNIQUER LA VISION DU CHANGEMENT

    La "vision verte" est relayée massivement:

    médias, réseaux sociaux, cinéma, école, publicité, institutions publiques.

    L’image du "sauveur de la planète" devient une norme sociale et morale.

    Les messages sont simples, répétitifs, émotionnels:

    "Chaque geste compte", "Sauvez la Terre", "Il n’y a pas de planète B".

    Les figures médiatiques (Greta Thunberg, Leonardo DiCaprio, etc.) incarnent le récit.

    La répétition constante transforme l’opinion publique en consensus apparent: le doute devient marginalisé, voire interdit.

    L’objectif n’est plus la compréhension, mais la conversion.

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