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Blog - Page 112

  • ATTENTION A LA MAGIE DU CALENDRIER DU FACTEUR!

    L'image qui figure sur votre almanach du facteur -que vous choisissez pour l'année suivante- affectera cette année-là en positif ou négatif.

    Lisez pour ce faire toutes mes notes sur mon blog de mon site pro:

    www.josyanejoyce.com

     

    GRAND DANGER POUR CEUX QUI FIGURENT SUR LE CALENDRIER!!!

    Il est très facile désormais de se faire imprimer ou de le faire sur son imprimante, le calendrier que l'on souhaite avoir avec les images de son petit-fils, par exemple. Je ne sais pas trop ce que ce genre de choses peut donner concernant l'avenir de la personne qui le reçoit. 

    Mais, CONCERNANT LES PETITS-ENFANTS ou AUTRES MEMBRES de la famille dont on met la photo sur le calendrier,

    UN TRÈS GRAVE DANGER MENACE! qu'il est important de connaître.

     

    Vous le saurez en lisant ma note: La magie du calendrier – 4 que je ferai paraître bientôt sur mon blog du site

    www.josyanejoyce.com

     

  • Syndicat des étudiants de gauchiasse: plus intolérant et sectariste que lui, tu meurs!

    Université de Strasbourg: l’UNEF, alliée aux étudiants musulmans, (ndlr: berk!) dénonce la probable élection d’un universitaire également prêtre catholique

    La question ne s’est encore jamais posée. Le président d’une université française peut-il être prêtre? Cette situation inédite se profile en Alsace, où Michel Deneken, professeur de théologie et par ailleurs prêtre catholique, a toutes les chances d’être élu, mardi 13 décembre, à la tête de l’université de Strasbourg. Dans la communauté universitaire, cette situation fait débat.

    Pour l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), qui s’est associée aux Etudiants musulmans de France pour décrocher l’un des six sièges étudiants, "une personne qui prête allégeance à l’Etat et au Vatican, ce n’est pas possible pour l’image de l’université publique ", estime Colin Jude, à la tête de l’UNEF Strasbourg.

     " La candidature d’un prêtre et théologien à la présidence de l’université de Strasbourg suscite nos plus vives réserves", a alerté le Syndicat national de l’enseignement supérieur (Snesup- FSU), vendredi 9 décembre, à l’occasion du 111e anniversaire de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat. Il dénonce une " entorse supplémentaire au principe républicain de la neutralité des services publics ".

    Légalement, rien n’empêche cette élection. L’Alsace se trouve dans un contexte particulier du fait de son histoire: cas unique en France, l’université publique a conservé en son sein les facultés de théologie, protestante et catholique, en 1919, lors de son retour dans le giron français. Le professeur de théologie Michel Deneken a donc, comme ses homologues des autres disciplines, la possibilité de prétendre aux divers postes de gouvernance, dont celui de président.

    Quant aux principes de laïcité et de neutralité des agents des services publics, ils n’interdisent pas de confier des fonctions à des membres du clergé, d’après un avis du Conseil d’Etat de 1972, relève Nicolas Cadène, rapporteur général de l’Observatoire de la laïcité. Ce que confirme une étude du Conseil d’Etat de 2013, qui précise que l’accès d’un agent au statut d’ecclésiastique ne permet pas son exclusion pour ce seul motif. [...]

    Chez les élus étudiants aussi, le sujet divise. Leur vote sera crucial car les résultats des élections de novembre au conseil d’administration, chargé d’élire le futur président, ont été serrés. [..;]

    Le Monde

    BON A SAVOIR;

    Sachez que tous les responsables de ce syndicat et le même "etudiants" se retrouvent à la fin de leurs études se présentant sur les listes électorales de la gauchiasse

    N'est-ce pas Cambabélis, le menteur sur ses diplômes!

  • LA MAGIE DU CALENDRIER - 2

    Nous sommes en février 1994 et nous quittons Toulouse. Il faut dire que nous habitons un appartement au 4e étage sans ascenseur. Comme ma fille est atteinte de myopathie inflammatoire depuis plus de deux ans, et qu'elle ne peut monter les escaliers, il me faut la “monter“ sur le dos, comme je peux.

    C'est difficile: à cause de la cortisone qu'on lui fait avaler à hautes doses pour lutter contre l'inflammation, elle est passée de 54 à 86 kg.

    La suite dans mon blog:

    http://www.josyanejoyce.com/blog/index.html

  • La maladie n'est pas un vilain défaut: juste la faute à "pas de chance!".

    Une journée de merde.

    Alors voilà:

    1/ recevoir une patiente en surpoids,

    2/ échouer à prendre sa tension avec un brassard standard,

    3/ prendre un brassard adapté qu’on vient d’acheter,

    4/la voir pleurer,

    5/se sentir gêné,

    6/entendre "c’est pas vous, c’est ce qui y a écrit sur votre brassard".

    Comment j’explique à ma patiente pourquoi même un stupide brassard lui exprime ENCORE ce que TOUTE la société lui matraque DÉJÀ depuis l’enfance?

    Des crachats en maternelle au type qui la montre du doigt dans la rue à ses potes en se marrant (et tout le reste, brimades, et injures, et hontes, et railleries, et vexations terribles, que nous n’imaginons pas, que nous ne POUVONS pas imaginer pour la simple et bonne raison que nous ne sommes pas ELLE et ne le serons jamais), tu as été la goutte d’eau qui fait déborder le vase, petit brassard.

    Alors MERCI Spengler, mais ma patiente SAIT qu’elle est obèse, mais moi, à cause de toi, j’ai humilié une patiente pour rien.

    Voilà.

    PS: anticipons les grincheux qui vont me rentrer dedans immanquablement, voulez-vous? OUI, je sais que l’obésité est dans certains cas une maladie, et OUI, je sais qu’il ne faut pas cacher la maladie à un malade. Ici, je pointe l’inadéquation entre un objet aussi " inoffensif " qu’un brassard tensionnel et le renvoi -inattendu pour cette patiente- à une représentation douloureuse de sa maladie (le renvoi de ma malade à sa maladie, pour simplifier).

    Elle SAIT qu’elle est malade. Elle le sait déjà TROP.

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    Une bonne journée.

    Publié le 12 décembre 2016 par Baptiste Beaulieu.

    Samedi, je publiais ça sur mon blog:

    UNE JOURNÉE DE MERDE

     (En bref, je racontais que comment la mention "obèse" sur un brassard de la marque Spengler avait fait pleurer une patiente).

    Je viens de recevoir le message suivant de Spengler:

    << En réponse votre post en date du 10/12/16 à propos des brassards Spengler marqués "obèse"

    Comme certains l’ont déjà dit dans les commentaires, effectivement le mot " obèse " est un terme médical que l’on retrouve dans les enseignements en études de médecine.

    Et lorsque les médecins passent commande, ils utilisent ce terme également.

    Nous comprenons que depuis un grand nombre d’années, ce terme est sorti du contexte médical et a été utilisé de manière très vulgarisée et peut légitimement être vécu comme une insulte.

    Nous sommes fabricants français de tensiomètres depuis 1907. Nous fournissons de nombreuses institutions comme les pompiers, les hôpitaux, Médecins du monde… qui utilisent nos produits comme le docteur Beaulieu lui-même car tous en reconnaissent la qualité historique.

    Ayant pris connaissance ce matin de ce post, nous venons de stopper la chaîne de fabrication du brassard portant cette mention.

    Nous sommes dans l’obligation de vérifier auprès des instances réglementaires qui veillent à la qualité de nos produits et aux normes la possibilité de faire disparaître cette mention reconnue dans le monde médical.

    Nous ne manquerons pas de vous tenir informés sous ce post ainsi que sur notre page facebook. >>

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    Je pense que je n’aurais JAMAIS écrit ce billet de blog sans vos différents témoignages que je reçois depuis quatre ans maintenant, notamment sur la grossophobie. Alors MERCI.

    Enfin, je précise que je ne suis pas ici pour recevoir des cookies, faire du bad-buzz ou jeter l’opprobre sur une entreprise qui fournit du matériel de qualité et du boulot à des gens. Je ne suis pas un moralisateur et je ne porte pas les SJW dans mon cœur (je vous laisse découvrir ce terme sur Google).

     Je suis juste un type qui n’aime pas voir pleurer sa patiente pour rien (elle SAIT qu’elle est obèse: vous, moi, la société, le cinéma, l’humour, l’Univers lui disent et lui répètent depuis l’enfance.)

    La marque Spengler est connue de tous les médecins pour la qualité et la durabilité de leurs produits.

    Je les remercie de leur réactivité.

    Baptiste.

    Nota: nous faisons tous des erreurs. Il faut apprendre à vivre avec et les aimer.

    http://www.alorsvoila.com/une-bonne-journee

     

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  • LA MAGIE DU CALENDRIER

    C'était deux jours avant Noël. Le facteur était chez nous pour proposer ses calendriers. Nous sommes en l'année bénie de 1971. (Non: je ne deviens pas grenouille de bénitier: Bénie par le fait qu'on était bien tranquille chez nous encore, en France dans les seventies).

    Voyez-donc combien cette tradition des facteurs perdure encore de nos jours! J'allais avoir 21 ans et je serai majeure dans huit mois. Pas trop tôt!

     

    La suite dans mon blog:

     

     

    Joyce-voyance sur Facebook

     

     

  • Sales cons et socialaups!

    A Nancy, Valls parle handicap. Sa délégation occupe une place GIG-GIC

    Comment sourit le Premier ministre? Quel hommage rendra-t-il au président qui l’a nommé en mars 2014? Quelles allusions lâchera-t-il à propos de sa propre candidature? Ce vendredi 2 décembre, au lendemain du " renoncement " de François Hollande, Manuel Valls est sous les projecteurs, scruté de toutes parts, " observé à la loupe ", dit Le Monde. Ce jour-là, le locataire de Matignon est " en déplacement " comme on dit d’un responsable national quittant les quartiers cossus de la capitale pour visiter, au choix, un quartier populaire, une ferme expérimentale ou les rues d’une ville moyenne.

    Ce vendredi, c’est à Nancy que le Premier ministre s’est aventuré. Cela peut paraître accessoire au vu de l’importance phénoménale de la pré-campagne présidentielle en cours, mais le " déplacement " porte sur le sort des handicapés, un sujet toujours consensuel au moment de voter des lois et toujours oublié lorsqu’il s’agit de prendre des décisions concrètes. Le Premier ministre est venu à Nancy pour signer des contrats avec les collectivités locales et annoncer des mesures visant à " simplifier la vie quotidienne des personnes en situation de handicap ", comme on dit de nos jours.

    Les travaux se déroulent à la préfecture de Meurthe-et-Moselle, rue Lyautey, une rue assez étroite toute proche de la resplendissante place Stanislas. Le convoi est composé de nombreuses berlines grises ou noires ; pas moins de sept membres du gouvernement accompagnent en effet Manuel Valls, sans compter les présidents des différentes strates su millefeuille territorial. Devant la préfecture, trois voitures occupent des places réservées aux " GIG-GIC ". Ces invalides dont Manuel Valls, à l’intérieur du bâtiment, assure vouloir " simplifier la vie ".

    Paul Didier, étudiant en khâgne à Nancy, aperçoit la scène, prend une photo des véhicules et la diffuse sur Facebook et Twitter. Il interroge également un policier en faction devant le bâtiment. " J’ai été voir un flic pour lui demander si c’était normal. Il m’a répondu: ‘ah non mais oui. On leur a dit, mais c’est des cons’ ", relate l’étudiant sur sa page Facebook.

    Selon le magazine lorrain en ligne Loractu, les emplacements avaient bel et bien été réservés pour le convoi officiel. Pourtant, il s’agit de places destinées, en temps normal, aux personnes à mobilité réduite. Un panonceau gracieusement posé par le Lions club le souligne: " Si tu prends ma place, prends aussi mon handicap ".Didier avait lui aussi constaté la réservation de ces trois places pour la délégation du Premier ministre. Il le déplore. " Il n’y a pas un mec dans la chaîne qui s’est dit que quelque clochait? " s’interroge-t-il, avant de conclure: " ils sont hors-sol".

     

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     "J’en ai pour 5 minutes". Ainsi fonctionne la monarchie républicaine à la française. Sous prétexte que l’on est puissant, on peut s’affranchir des règles. Ce n’est évidemment pas la première fois que des responsables politiques (ou économiques, ou médiatiques), profitent de leur puissance ou de leur notoriété pour stationner en gênant tout le monde. Mais ce type de comportement laisse penser que l’importance supposée excuse tout, qu’un intérêt supérieur balaie toutes les règles, y compris celles de la bienséance. Après tout, si le Premier ministre le peut, pourquoi pas le maire, le président de la Chambre de commerce, et puis pourquoi pas moi. Après tout, j’en ai pour 5 minutes.

    Ceci conforte cette impression d’une société à deux vitesses et confirme, si besoin était, que le stationnement, la circulation, et plus généralement les déplacements, sont toujours considérés comme des sujets accessoires. Sans compter, bien entendu, l’image déplorable de l’action publique qui en résulte. Discourir, annoncer ou promettre a-t-il encore un sens lorsque, confronté à la réalité, on laisse passer un message exactement inverse à celui que l’on souhaiterait diffuser?

     

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    Ceux qui sont sur fauteuil roulant n'en ont pas pour 5 minutes!

    Eux, c'est toute leur vie!

    Bandes de dégueulasses!