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Humain? - Page 222

  • Encore plus forte!

    En cadeau, une carte postale inédite sur le net!

     

    En août 2017, je vous annonçais que l'année 2018 serait venteuse, pluvieuse, grêleuse (:-), voire très tempétueuse…. fortement humide toute l'année, quoi! même si pas trop frisquette, heureusement.

    Tenez-vous bien: j'annonce que 2019 sera aussi humide et désagréable que cette année!!!

    Comme je dis toujours: un homme averti en vaut 2 et une femme avertie, en vaut 4… les femmes sont plus débrouillardes, tout le monde sait cela!!!

    Je vous conseille de conserver l'URL de cette note pour pouvoir vérifier….

    Ceci est une première rapide information….

    En fin ou début 2018-2019, je vous donnerai plus de détail, quinzaine par quinzaine.

    35 années de voyance en tant que professionnelle: l'expérience fait ma différence avec les tireuses de cartes!!!!! :-)

     

  • Vous avez voté Macrouille??? et bien, dansez sur les bombes maintenant!

    Loi immigration: expulsion systématique des étrangers condamnés pour crime ou délits graves, l’amendement rejeté par les députés LREM

    .@valerieboyer13 veut rendre automatique l'expulsion d'une personne étrangère "condamnée en dernier ressort soit pour un crime, soit pour un délit constituant un acte de terrorisme".

    Amendement rejeté. https://t.co/uBxO55Qo0Q #LoiAsileImmigration #DirectAN pic.twitter.com/jIp11cNRma

    — LCP (@LCP) April 6, 2018

     

    PIRE

    Valérie Boyer (LR): "Le coût de la prise en charge d’un mineur étranger atteint 50.000 euros par jeune et par an. 1 milliard et demi d’euros par an au total"

    Le coût de la prise en charge d'un mineur étranger au titre de l'aide sociale à l'enfance (ASE) atteint 50.000 euros par jeune et par an. Cette situation ne peut plus durer #PJLAsileImmigration pic.twitter.com/hIwD1CBb6M

        — Valérie Boyer (@valerieboyer13) 6 avril 2018

    sur Twitter

  • Macrouille et merdias ont encore frappé!

    Comme le colonel Beltrame, Mireille Knoll a été égorgée! Macron et les merdias l’ont caché

    http://www.liguedefensejuive.com/mireille-knoll-a-ete-egorgee-2018-04-06.html

    Les salauds, les ordures.

    Politiques et journaleux complices jusqu’au bout pour protéger leurs petits chéris musulmans, pour protéger l’islam.

    Qu’est-ce que ça change, me direz-vous, chacun sait que les assassins sont musulmans…

    Certes.

    Sauf que l’égorgement, plus que la kalasch, plus que la voiture tueuse… renvoie automatiquement et obligatoirement à une pratique barbare qui décuple instinctivement le sentiment d’horreur et concourt donc à montrer l’islam sous son vrai jour. Complètement.

    Et fait encore mieux comprendre le conflit de civilisation, le danger lié à la barbarie mahométane, inhérente à l’islam grâce aux versets coraniques « frappez-les au cou », grâce au beau modèle de Mahomet qui a fait décapiter plusieurs centaines de juifs dans une seule journée…

    Egorgement de l’aïd.

    Egorgements du mouton.

    Egorgements de l’EI.

    L’égorgement, c’est l’islam. L’Aïd c’est la fête de l’égorgement.

    Et de plus en plus de Français commencent à être au courant,  à se poser des questions.

    La malheureuse Mireille Knoll a donc été décapitée et il a fallu une semaine pour l’apprendre, grâce à son fils.

    Imaginez son fils qui a vu les restes de sa mère décapitée…

    Lui, il sait, il a vu, il sait que la montée de l'antisémitisme en France est lié à l’islam c’est pourquoi il conseille aux Juifs de quitter la France.

    Voilà où on en est sous Macron l’ordure, ami de l’islam, fossoyeur de la France.

     

  • Comment on nous berne.... la terreur, les terroristes en liberté en France

    écoutez tout! ça fait peur!

    HONTE A HOLLANDE ET MACRON!

    Faites des provisions de bougies, de nounours, de kleenex, retournez vous agenouiller dans les églises, révisez les paroles de votre Marseillaise!

     

    https://www.tvlibertes.com/2018/03/31/22371/lhebdo-politique-edition-speciale-terrorisme-xavier-raufer-finir-lachete

     

     

  • TOULOUSE-RANGUEIL: La vie des patients y est "mise en danger"

    Une enquête révèle les graves dysfonctionnements du CHU de Toulouse

    Le site d'investigation Médiacités a eu accès à plus de 26.000 fiches d'incident enregistrées par le personnel du CHU de Toulouse de septembre 2013 à mars 2017, révélant de graves dysfonctionnements. Bâtiments inadaptés, incidents techniques, pannes de matériel... les soignants se plaignent de "mettre en danger la vie des patients".

    Pour l'hôpital toulousain, c'est une fuite accablante. Bâtiments inadaptés, incidents techniques, pannes de matériel... Les incidents relatés par le site Médiacités à partir du contenu de 26.173 fiches d'incident internes rédigées et enregistrées par le personnel du CHU entre septembre 2013 et mars 2017 dressent le portrait d'un établissement à la dérive, allant jusqu'à mettre en danger la vie de ses patients. Des documents constitués de témoignages de soignants dénonçant certains dysfonctionnements au quotidien. De l'incident logistique bénin aux anomalies plus graves et inquiétantes.

    Plus d'une dizaine de ces écrits pointent des dysfonctionnements techniques graves. Par exemple, en juillet 2016, au service de chirurgie faciale de l'établissement: la "pièce à main du moteur" aurait "craché un liquide noir dans la bouche du patient", lors d'une intervention chirurgicale. Le patient a été brûlé aux lèvres et à la joue gauche. L'hôpital se défend en soulignant qu'un "audit" a été réalisé suite à cet incident. Cette même année, des défaillances ont également été observées autour des défibrillateurs. Un cardiologue signale dans une fiche qu'en pleine urgence vitale, un appareil n'a pas reconnu le "signal au moment de choquer le patient". Dans sa note, il précise que le personnel est "fatigué de ce manque de moyens qui met en danger la vie des patients".

    L'état des bâtiments, inadaptés ou vétustes, revient aussi régulièrement dans les doléances des soignants. En janvier 2017, une fiche mentionne un "écart trop important" entre le palier et l'ascenseur provoquant des chutes de patients transportés en brancard. Au service de traumatologie, la porte d'entrée d'un service d'accueil et de soins d'urgence est désignée le 2 mars 2016 comme "défaillante". Conséquence : en hiver, la température ne dépasserait pas 15 degrés. "Les patients sont allongés dans ce hall, sans même une couverture, confie un agent de service au site d'investigation. Un rideau cache-misère a été installé. Avec la force du vent qui s’engouffre dans le hall, il se soulève, allant même jusqu’à recouvrir le premier patient installé. Nous travaillons dans des conditions inacceptables, les patients sont reçus dans des conditions inacceptables pour un hôpital qui se prévaut être le deuxième de France."

    Des pannes d'électricité sont aussi présentées comme "quotidiennes". Le 13 juin 2016, un chirurgien fait état d'un "arrêt des appareils alors que des procédures étaient en cours". Il a ensuite fallu "7 à 8 minutes pour rallumer les machines", faisant courir un "risque vital réel pour les patients", écrit-il. L'hôpital, de son côté, assure qu'un "programme d’investissement technique important a été engagé par le CHU pour améliorer les équipements et sécuriser les installations" depuis ces faits.

    Taux d'activité en hausse, effectifs en baisse

    Le manque de personnel est aussi dénoncé. De très nombreuses notes relèvent des "surcharges de travail" pour un trop petit nombre d'infirmières. "Équipe en sous-effectif ce soir. Nombre de patients dépendants important, mise en danger des patients importante. Ils doivent attendre pendant de longues minutes", alertent des soignants le 12 mars 2016. "Une équipe épuisée physiquement (même pas 5 minutes de pause entre 13h30 et 23h) et moralement (sentiment de travail mal fait et de mettre en danger la vie des patients)", témoigne une autre infirmière du service gynécologie.

    Les retards de "brancardage" ne sont également pas rares. L'un des formulaires évoque notamment le cas d'une patiente nécessitant un scanner en urgence, qui a dû patienter neuf heures avant de pouvoir être prise en charge par un brancardier, faute de personnel disponible.

    Une situation qu'explique la CGT par un taux d'activité du CHU est pleine progression (+4,5% en 2016, +2% en 2017) alors que les effectifs sont en constante diminution. En deux ans, 150 postes auraient été supprimés.

     

    Des conditions difficiles qui ne semblent pas être propres à l'hôpital toulousain. Depuis le mois de janvier, les soignants font entendre leur colère sur les réseaux sociaux par le hashtag #BalanceTonHosto, répertoriant les situations au mieux cocasses, au pire dramatiques, dues au manque de moyens. Dernièrement, certains syndicats ont également voulu attirer l'attention sur la situation des services d'urgences "débordés" de patients, obligeant les soignants à faire dormir certains patients sur des brancards, en plein couloir, faute de lits disponibles.

     

  • Les Chances pour la France....

    Paris: des dizaines de mineurs marocains agressent et sèment la pagaille à Barbès, des femmes disent "ne plus pouvoir se promener librement dans le quartier"

    Pétitions d’habitants et réunion publique: les dizaines de mineurs marocains en errance dans les rues de la Goutte-d’Or depuis plus d’un an semblent hors de contrôle.

    Mais également sur l’insécurité, liée, disent-ils, à la présence depuis des mois, de groupes d’enfants des rues, une soixantaine de mineurs marocains âgés de 14 à 17 ans, toxicomanes pour la plupart, auxquels se sont jointes récemment de très jeunes filles. Les textes ont été remis mardi soir au maire (PS) du XVIIIe, Eric Lejoindre".Il y a trois semaines, deux personnes ont été physiquement agressées, rue Affre, en plein après-midi. Des plaintes ont été déposées. Ce décompte est loin d’être exhaustif, écrivent les habitants. Et nous notons une nette dégradation, marquée par l’apparition de problèmes bien plus graves: Violence cambriolages, prostitution et augmentation du trafic de drogue".

    Quitter la Goutte d’Or dans le 18e arrondissement de Paris, Mireille* n’y aurait jamais songé. Mais après deux agressions en un mois, sur elle et sur sa fille de quinze ans, elle y réfléchit: "la première fois c’était un dimanche soir, j’ai vu trois de ces jeunes sur le trottoir et j’ai senti une menace alors nous avons fait demi-tour, mais juste après l’un d’eux a sauté à la gorge de ma fille, peut-être pour lui prendre son collier; Elle s’est dégagée, s’est mise à pleurer, nous sommes parties en courant. Le lendemain nous avons déposé plainte, mais désormais je ne suis plus tranquille dans la rue, et elle non plus. Elle trouve très injuste de ne plus pouvoir se promener librement dans son quartier".

    Le Parisien / France Bleu