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Humain? - Page 255

  • Les costumes de Fillon? pipi de chat

    Certains proches d’Emmanuel Macron tirent la sonnette d’alarme. D'après eux, les prix des vête­ments et acces­soires de luxe de Brigitte Macron finiraient par porter atteinte à l’image du candi­dat.

    S’il fait les beaux jours de la presse fémi­nine, le goût  de Brigitte Macron pour les vêtements de luxe n’est pas appré­cié de tous. Comme le révèlent Caroline Derrien et Candice Nedelec dans Les Macron, dont certains extraits sont publiés dans Gala cette semaine, certains proches du candi­dat à la présiden­tielle seraient inquiets. Selon eux, les prix exorbitants des tenues de son épouse pour­raient porter atteinte à son image en pleine campagne électorale.

    Brigitte Macron se justifie dans ce livre,  publié le 8 mars chez Fayard, en déclarant: "Différentes maisons me proposent des vêtements chaque semaine. Et pour les soirées de gala, je trouve cela sympa de montrer ce qu’est la création française".

    Belle excuse! pourquoi ne pas afficher dans le dos le nom du couturier?

    Anne Sinclair ne l’entend pas non plus de la même oreille. Dans son livre Chronique d’une France bles­sée, l’ex-compagne de Dominique Strauss-Kahn rapporte elle aussi des propos qu’elle aurait entendus au sujet du style vestimentaire de l’ancienne professeur de philosophie: " N'ayant pas été à la cérémonie pour Michel Rocard aux Invalides, je veux me faire confirmer ce qu'on m'a rapporté: Brigitte Macron (…) est arrivée dans une tenue trop habillée, avec des stilettos qui, sur les pavés de la cour d'honneur (…) avaient davantage un air de Fashion Week que de recueillement devant le leader de gauche disparu peut-on lire. 

    Des remarques auxquelles Brigitte Macron ne semble guère prêter attention. Aperçue au dîner du Crif, le 22 février dernier, l’épouse du leader du mouvement En Marche! a une fois de plus été remarquée pour son sens du style.

    Macron-pognon des autres, bien entendu!

     

  • Salir? Mentir? il en reste toujours quelque chose

    L’ÉDITO D’YVES DE KERDREL

    Fillon dans la lessiveuse. Avec une journée d’avance sur le calendrier prévu, François Fillon a été mis en examen ce matin. Et les juges, dont on connaît le parti pris et le manque de sens de la mesure, n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère, puisqu’ils accusent le champion de la droite de détournement de fonds publics, recel et complicité d’abus de biens sociaux et manquement aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. En même temps, tous les jours apportent de nouvelles révélations plus ou moins sordides qui relèvent de la seule vie privée de l’ancien Premier ministre. S’il y a encore quelqu’un en France qui doute d’un complot, il doit être bien seul. Malgré tout, la cote de François Fillon dans les sondages reste fermement accrochée à 20 % – au même niveau que Jacques Chirac en 1995. Ce qui reste rassurant pour tous ceux qui souhaitent en finir avec le socialisme de François Hollande et d’Emmanuel Macron.

  • Que font les parents?

    Où sont donc les parents des émeutiers mineurs du lycée Suger, d’Aulnay, ou Bobigny?

    Après deux nuits d’émeutes à Bobigny, Saint-Denis et Aulnay, on peut se demander où sont les parents des " jeunes " concernés…

    " Échauffourée " selon Le Parisien, " incidents " pour Libération, une présidente de région qui s’apprête à " porter plainte ", " seuil symbolique " franchi d’après Le Monde, une ministre de l’Éducation Nationale et un premier ministre indiquant que le gouvernement fera preuve de " la plus grande fermeté ", des dégâts évalués à plus de 70 000 euros, 54" jeunes " mis en garde à vue dont une quarantaine de lycéens mineurs… Scènes de la vie ordinaire en République française.

    Un tir de mortier en guise de récréation

    Lycée Suger. Saint-Denis, 93. Mardi 7 mars 2017. Un tir de mortier éclate. Le lycée polyvalent accueille 1300 élèves. Des incendies démarrent dans les toilettes, de l’essence est déversée dans un escalier, des " jeunes " attaquent le lycée. Tirs de fumigènes et de cocktails Molotov. Évacuation. Bataille rangée entre " jeunes " et policiers. Projectiles et barres de fer contre Flash-Ball et gaz lacrymo. Une centaine de " jeunes " prend la direction du centre-ville de Saint-Denis. Cette nuée hostile détruit le mobilier urbain, agresse des policiers et s’attaque aux autres lycées de la commune du 93. Le " 9-3 ". Devenue habituelle, l’expression indique bien que ce département est hors de la République. N’est-ce pas là que l’on rencontre des bars interdits aux femmes ou que des terroristes en fuite viennent se cacher? Une flambée de violences, un début d’émeute. Des élèves ont peur, d’autres sont " euphoriques " disent les enseignants. Pour certains " jeunes " lycéens de 15 à 19 ans, c’est la fête. Beaucoup se contentent de filmer et de diffuser sur les réseaux sociaux. On accuse la police de violences. Sur Youtube. Ces " jeunes " sont des victimes affirme une mère.

    Les institutions de la République sans cesse visées

    Une mère en colère ne comprend pas pourquoi son fils a été " ramassé " par la police et emmené au commissariat " alors qu’il était sous la responsabilité de l’Éducation Nationale". Sur les 54 " jeunes " gardés à vue, 8 sont déférés devant un juge pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, attroupement armé et rébellion. Ils sont tous mineurs. Scène de la vie ordinaire : des " jeunes ", surtout ne caractériser aucune origine sociale, géographique ou ethnique, mènent une opération de guérilla urbaine. Contre les institutions de la République.  On ne compte plus les occurrences de ces violences. Des émeutes du même genre ont déjà eu lieu à Saint-Denis mi-février aux abords de la basilique. La presse étrangère, éberluée, observe la rue française et parle de scènes de " guerre civile ". Ces violences ne concernent pas seulement la France. Mais ici, elles sont devenues des scènes de la vie ordinaire. Quotidienne. Comparer le Saint-Denis nocturne contemporain à ce que Saint-Denis symbolise n’est pas anodin. Saint-Denis et Suger, grandeur de la France d’hier. Il y a entre les deux toute la distance séparant la civilisation et la barbarie. Cela doit être dit sans tabou.

    "Ils sont où les parents?"

    La civilisation repose sur l’autorité. " Ils sont où les parents?", se demandait sur France Inter, le 15 février dernier, une jeune femme issue de l’immigration. Après deux nuits d’émeutes à Bobigny, Saint-Denis et Aulnay. La jeune femme évoquait les centaines de " jeunes " incendiaires s’attaquant aux forces de l’ordre. En effet : " Ils sont où les parents?. La perte de l’autorité, depuis longtemps signalée par des intellectuels comme Finkielkraut, est la principale cause de ces violences. Autorité des parents. Autorité de l’école. Autorité de la République. Difficile, l’autorité, dira-t-on, quand on envisage de pénaliser la fessée. Quand une claque à un élève est une maltraitance, parfois " raciste ". On parle de légaliser le cannabis, d’interdire fessées et claques, de multiplier les salles de shoot… La République a le devoir d’imposer son autorité. Aux familles, d’abord. En responsabilisant les parents. Responsabilisation qui passe par la sanction financière. Les familles ont le devoir d’empêcher leurs adolescents de passer la nuit dehors. Que des " jeunes " de CM2 ou de 6e traînent la nuit est irresponsable. Ces "jeunes" doivent être à leur place : chez eux. Cette responsabilité incombe aux familles. Elles doivent rétablir l’ordre dans leurs appartements. La République a le devoir de mettre des mots sur le réel : les " jeunes " issus de l’immigration qui mettent le bordel dans les rues et les lycées doivent être rappelés à l’ordre et punis. Les familles concernées sont minoritaires et connues des services. Elles doivent être sanctionnées.

    Où est la limite?

    Qu’un lycée soit attaqué n’est pas anodin. Les " jeunes " s’en prennent au lieu du savoir. Le lycée Suger est un lycée polyvalent, associant lycée général, technologique et professionnel. Des lycées conçus comme "outils de mixité sociale". Il sera intéressant de connaître le parcours des " jeunes " en question, tant scolaire qu’ethnique. L’idée peut sembler généreuse : créer des passerelles entre les filières. C’est pourtant mettre la charrue avant les bœufs. L’école ne recommencera pas à jouer son rôle tant que les adolescents ne seront pas réellement encadrés. À commencer par le savoir de base : lire, écrire, compter. Savoir écrire une phrase correcte. Et tant que la notion de limite ne leur sera pas de nouveau imposée. Les adolescents multiplient les incivilités car ces bases ne le sont plus. La limite. Ce qui faisait, jusqu’à une époque récente, que tout jeune savait comment on s’adresse à un adulte, à un représentant du savoir ou de la République en particulier, comment on se comporte en collectivité, où jeter ses canettes et autres papiers de kebab. Tant que le minimum du vivre en commun ne sera plus acquis, aucun prétendu " vivre-ensemble " ne risque d’être possible.

    Où est passée la langue?

    Dans les vidéos des événements, filmés avec des smartphones, on entend distinctement de jeunes filles ricaner, s’amuser de ce qu’elles voient dans un vocabulaire qui dit beaucoup de l’état de l’école : " téma, téma… (…) Wesh, ya la chaleur du feu, y sont passés en balles, wesh. Y zont couru wesh ". Le ton est rigolard, l’excitation perceptible. Cela résume la perte de toute autorité, à commencer par celle du langage et de la culture. Passer une heure dans la cour de récréation d’un collège du " 9-3 " suffit pour entendre que la langue française n’y est plus parlée. Plutôt un sabir déculturé. Et nombre de langues étrangères. La culture dominante n’est pas la culture française mais celle des banlieues multiculturelles, du rap, des casquettes et du shit. L’État a le devoir de rétablir l’ordre républicain et l’ordre de la culture française au sein des établissements scolaires. Une remise en ordre qui passe par la transmission de ce qui fait nation et communauté française : une culture, des valeurs et une langue commune.

    Dire les mots qui fâchent sans tabous

    Dans la France contemporaine, des parents majoritairement issus de l’immigration ne contrôlent pas leurs enfants, ces derniers n’obéissent plus à leurs professeurs, pas plus aux forces de l’ordre. Ces " jeunes ", que l’on se refuse à nommer autrement par déni du réel, ont perdu tout sens de la limite, dans tous les aspects du quotidien, plus préoccupés de shit et de " nique la France " que d’autre chose. Ces " jeunes " n’apprennent rien, ne travaillent pas, refusent toute notion d’effort et sont persuadés, " wesh, téma ", d’être dans le vrai. Pourquoi? Le problème est politique. Au lieu d’inscrire ces " jeunes " dans une culture et une civilisation enracinées, on leur répète combien ils sont victimes, combien ils ont raison de " niquer la France ", combien il est excusable, après les souffrances dont furent victimes leurs ancêtres et dont la France serait coupable, qu’ils crachent à la figure de leurs enseignants, disent " ferme ta gueule " à un professeur quand il commence un cours sur les Hébreux ou attaquent des policiers à coup de barres de fer. Une époque viendra où des comptes seront demandés aux hommes et aux femmes politiques directement responsables de la situation actuelle, situation d’une gravité sans égale, unique à l’échelle des pays développés, et directement issue de l’idéologie libérale libertaire au pouvoir depuis quarante ans. Pour ladite idéologie, l’avenir est dans le communautarisme tandis que l’autorité serait par nature une forme d’oppression. Ce n’est pas seulement une conception politique, c’est une faute.

     

    http://www.causeur.fr/saint-denis-heurts-lycee-suger-violence-

  • Histoire belge: Prions, mes bien chers frères!

    Un déséquilibré détruit les pompes funèbres puis sort son tapis de prières et s’installe dessus

    Mais cela n’inquiète absolument pas  le procureur. Ce n’est pas un djihadiste c’est un Français converti à l’islam comme c’est son droit le plus strict.

    Alors, tout va bien. Pourquoi tant de déséquilibrés sont-ils musulmans ?

    Réponse dans le livre de Wafa Sultan: http://resistancerepublicaine.eu/2016/11/10/livre-choc-de-wafa-sultan-edite-par-rl-lislam-fabrique-de-desequilibres/

    L’histoire se passe en Belgique mais aurait pu se passer n’importe où en Europe…

    Stupeur cette nuit à Sclayn: un Français converti à l’Islam fonce dans la vitrine des pompes funèbres Warzée, sort de sa voiture et se couche sur un tapis de prières

    "On a vécu un truc de fous… ": telles sont les paroles du propriétaire des Pompes funèbres Warzée, à Sclayn, après l’incroyable nuit qui a vu la devanture de son entreprise démolie dans d’étranges circonstances.

    Rédaction en ligne

    "On a vécu un truc de fous… ": telles sont les paroles du propriétaire des Pompes funèbres Warzée, à Sclayn, après l’incroyable nuit qui a vu la devanture de son entreprise démolie dans d’étranges circonstances.

    Les faits ont eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi.

    Au volant de sa voiture, un Français (" Radicalisé ", nous informe le patron de l’entreprise) fonce dans la vitrine des pompes funèbres Warzée.

    Après le crash (voulu ou non), l’homme est sorti de sa voiture avec un tapis de prières et s’est couché dessus. "Il aurait crié à la gloire d’Allah, en disant que l’islam vaincrait l’Europe", selon un des administrateurs du funérarium.

    Forces de l’ordre et ambulance sont arrivées sur place peu après. L’homme, blessé, a été amené à l’hôpital.

    Les dégâts dans l’entreprise de pompes funèbres, dans laquelle reposait cette nuit-là le corps d’un défunt, sont semble-t-il importants.

    Aucun détail n’a encore été communiqué quant à l’identité et les motivations de l’individu.

    "C’est surtout un déséquilibré!"

    Au niveau du Parquet de Namur, on confirme les faits tout en les relativisant. " Nous ne sommes pas du tout dans une situation de terrorisme, dans la recherche d’un djihadiste", réagit le Procureur de Namur Vincent Macq. " Il s’agit bien d’un sujet français de la région de Givet, converti à l’Islam comme c’est son droit le plus strict. Mais il s’agit surtout d’une personne dont l’état mental est plus que préoccupant. Honnêtement, ce n’est pas un djihadiste, mais un déséquilibré“.

    L’homme était d’ailleurs suivi en France pour avoir tenu des propos inquiétants. " Mais les Français le connaissaient aussi surtout comme quelqu’un qui a un problème mental important. " L’attaque du funérarium de Sclayn (Andenne) ne ferait donc pas partie d’un plan terroriste. "L’acte interpelle!", reprend le procureur namurois. " Mais ce n’est pas un acte rationnel. Les médecins qui s’occupent de lui considéreraient même que sa place est davantage en psychiatrie qu’aux urgences.

    Circulez, y'a rien à voir!

     

  • Selon qu'il fasse partie ou non de la gauchiasse.... il sera traité CQFD

    L’Inspection générale des finances soupçonne Macron d’un délit de favoritisme (Màj: Le Parquet national financier n’ouvre pas d’enquête)

    Le "Canard Enchaîné" affirme que des soupçons de favoritisme entourent l’organisation d’une soirée à Las Vegas, en 2016, alors qu’Emmanuel Macron était ministre de l’Économie.

    L’Inspection générale des finances (IGF) soupçonne un délit de favoritisme concernant l’organisation d’une soirée à Las Vegas en 2016, où Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, avait rencontré des entrepreneurs français, affirme Le Canard enchaîné dans son édition de mercredi.

    Le 6 janvier 2016, en plein Consumer Electronics Show (CES) de Las Vegas, aux États-Unis, grand-messe mondiale de l’innovation technologique, Emmanuel Macron avait été ovationné par plus de 500 personnalités et dirigeants de start-up français.

    "Cette opération de séduction, montée dans l’urgence, à la demande expresse du cabinet du ministre, a été confiée au géant Havas par Business France (l’organisme de promotion de la French Tech dépendant de Bercy) sans qu’aucun appel d’offres ait été lancé ", révèle Le Canard Enchaîné.

    100.000 euros "rien que pour l’hôtel“. La commande de la prestation Havas est susceptible de relever du délit de favoritisme ", souligne l’IGF après enquête, peut-on lire dans le journal satirique, qui précise le coût de la soirée: " 381.759 euros, dont 100.000 rien que pour l’hôtel, où la moindre chambre était facturée plus de 300 euros la nuit ".

    Reprenant les conclusions de l’IGF, le "Canard" révèle que Business France ou certains de ses salariés " pourraient être incriminés pour ‘favoritisme’  " et Havas France ou ses dirigeants " au titre de la complicité ou du recel“.

    Les "canards" bien pensants, petits ou grands, enchaînés ou déchaînés, sont bien prompts ces jours-ci à révéler les turpitudes de nos élus. C’est tant mieux et il n’est jamais trop tard pour "bien" faire.

    Cependant il n’aura échappé à personne que ces révélations sont très sélectives

    Si les indiscrétions fuitent de toutes parts lorsqu’elles concernent certaines cibles bien identifiées, elles s’évanouissent curieusement lorsqu’il s’agit des "amis":très grande discrétion sur la déclaration de patrimoine mensongère du candidat Macron

    tout aussi grande discrétion sur la mise en examen du candidat Hamon

     

  • Macron le corrompu favorise les labos Servier, responsables des 2100 décès dus au Mediator

    Servier et Mediator ?

    Un énorme scandale que nous avions présenté et expliqué l’année dernière. A lire ou relire attentivement pour comprendre pourquoi et comment l’industrie pharmaceutique est trop souvent mue par l’argent et non par l’intérêt des patients. Avec l’abominable soutien des politiques.

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/11/01/mediator-laboratoire-condamne-les-ministres-vont-ils-sen-tirer-sans-etre-mis-en-cause/

    Malgré le scandale du Mediator, Servier a toujours pignon sur rue, vend à prix d’or des médicaments qui, pour certains sont d’une efficacité douteuse mais qui lui rapportent gros. Si gros que Servier peut se permettre de payer 80000 euros de frais de déplacement et de restauration à Jean-Jacques Mourad, cardiologue, pour les 60 conférences qu’il a faites entre 2013 et 2016… Je n’ose imaginer ce que le laboratoire a payé pour les dites conférences…

    Or, il se trouve que Jean-Jacques Mourad avait intégré l’équipe Macron.

    Or, il se trouve que Macron avait annoncé l’augmentation de remboursement pour un certain nombre de médicaments contre la pression artérielle, spécialité du laboratoire Servier…

    Or, il se trouve, cerise sur le gâteau, que Jean-Jacques Mourad est le frère de Bernard Mourad, le plus proche conseiller-collaborateur de Macron…

    Ça fait beaucoup, comme confllits d’intérêts. Ça commence à se voir… Alors Jean-Jacques Mourad a démissionné officiellement de l’équipe Macron il y a deux jours. Ce qui n’empêchera pas la collusion d’intérêts de continuer, n’en doutons pas…

    Il est évident que Macron connaît/connaissait parfaitement les liens entre Mourad et Servier. Si L’association Formindep, qui milite pour une information médicale indépendante, n’avait pas donné l’alerte il y a quelques jours, il est évident que les deux Mourad continueraient tranquillement leur travail de lobbying pour Servier auprès de Macron.

    A ce stade, il ne s’agit plus de conflit d’intérêt, mais de corruption. Et le corrompu c’est Macron. Mais au vu des casseroles qui s’accumulent sur le quidam, malgré le religieux silence de la presse de propagande, on s’en doutait…

    Imaginez ce type à la tête de l’Etat…

    De combien de campagnes de vaccination inutiles et nuisibles ne serait-il pas responsable pour assurer des revenus confortables à ses amis ?

    En complément, ce petit rappel :

    http://resistancerepublicaine.eu/2016/02/23/ces-produits-chimiques-vaccins-et-medicaments-qui-nous-tuent/