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Humain? - Page 256

  • Message transféré --------

    Sujet :     TR: A gauche les emplois fictifs ils ne connaissent pas

    *Il y en a eu.......des poursuites judiciaires !!!!!!!!*

    *Les Pilleurs d'Etat crient ' haro sur le baudet ! '*

    *Salaires fictifs, détournements de fonds, abus de biens sociaux, escroqueries, captations d'héritages, faux et usages de faux... tout est bon pour les socialistes qui, pour cacher leurs malversations permanentes, hurlent avec toute la presse de gauche : " haro sur le baudet... Fillon " !*

    Une députée PS, Sylvie Andrieux (photo ci contre) condamnée à 4 ans de prison pour détournement de fonds publics et qui siège toujours à l'Assemblée avec son bracelet électronique'

    un élu ayant détourné 20 millions d'euros qui n'est condamné qu'à 20.000 euros d'amende avec sursis' des dizaines de parlementaires qui s'achètent un appartement avec l'indemnité représentative de frais de mandat (IRFM), laquelle n'est ni déclarable ni justifiable'

    Après "/*Délits d'élus ' 400 politiques aux prises avec la justice*/" paru en 2014,*Philippe Pascot*a publié en mai un nouveau livre, "* Pilleurs d'Etat *", dans lequel il dénonce tout le système des abus et des privilèges inouïs dont bénéficie la " mafia " des politiques, que ces pratiques soient légales ou illégales'*Ancien adjoint au maire Manuel Valls à Evry*, ancien conseiller régional, il milite désormais pour la transparence de l'exercice de la vie politique.

    La liste de ces délits d'élus est impossible à établir de façon exhaustive.. Néanmoins il est plus qu'évident que dans le hit-parade se trouve une majorité de socialistes, à l'instar de MM. Michel Vauzelle et Michel Delabarre, nommés " préfets " (fictifs) par François Mitterrand pour encaisser la paye... et la retraite sur le dos des contribuables !

    *Emplois fictifs '.. pour des préfets fictifs !*

    Les emplois fictifs ne datent pas d'hier et certains, n'ont suscité aucun commentaire de la Presse servile ! A l'instar de ces " politiques " nommés préfets pour bénéficier d'avantages liés à la fonction' sans jamais en avoir exercé la moindre compétence.

    Parmi ces préfets fantômes, figurent deux stars de la politique, les députés et anciens ministres de François Mitterrand, Michel Vauzelle, alors âgé de 66 ans, et Michel Delebarre, alors âgé de 65 ans. Tous deux indiquent, sur le site informatique de l'Assemblée nationale, la même profession : préfet. Pourtant, le premier est avocat de profession et le second cadre supérieur de collectivités locales. En fait, ces deux grands notables locaux du Parti socialiste qui n'ont jamais exercé les fonctions de préfet avaient été nommés à ce titre, de manière discrétionnaire, par le président François Mitterrand, en 1985 pour le premier et en 1983 pour le second. Quel intérêt de nommer un préfet fantôme ' C'est un joli cadeau' financier, facile à comprendre. Le 28 avril 2011, Michel Delebarre a fait valoir ses droits à la retraite de préfet, à l'âge de 65 ans, tout comme l'avait fait le 15 août 2010 Michel Vauzelle. Cela permet à ces deux caciques du PS de toucher aujourd'hui une pension mensuelle de 4.000 ' brut, qui vient s'ajouter à leurs indemnités de parlementaires et d'élus locaux : soit 15.124 ' brut (Michel Delebarre) et 9.760 ' brut (Michel Vauzelle). Sans compter pour chacun une indemnité (forfaitaire) représentative de frais de mandat de député de 6000 ' net. Et cela, en toute discrétion.

    Et ce n'est là qu'une infime partie des abus de la caste socialiste sur le dos des " finances publiques " et donc de tous les contribuables !

    *Rappelez vous....*

    *Jean-Christophe Mitterrand*, fils aîné de l'ancien président de la République, le surnommé " Monsieur Afrique " qui a été pendant plusieurs années salarié (fictif) d'une fondation suisse, financée par Elf : le CRES ou Centre de Recherches Entreprises et Sociétés... avec un salaire de 30.000 Francs/mois...

    En 1993 et 1994, Jean-Christophe Mitterrand a été mis en examen par la justice française dans le cadre de l'affaire des ventes d'armes à l'Angola. Il était suspecté d'avoir mis ses relations politiques au service de Pierre Falcone pour vendre des armes russes au gouvernement angolais du président José Eduardo dos Santos. Il sera relaxé de cette accusation par la cour en octobre 2009.

    Le 22 décembre 2000, Jean-Christophe Mitterrand est écroué à la prison de la Santé par le juge Philippe Courroye pour complicité de trafic d'armes, trafic d'influence par une personne investie d'une mission de service public, recel d'abus de biens sociaux, recel d'abus de confiance et trafic d'influence aggravé. Il est suspecté d'avoir reçu illégalement d'importantes sommes d'argent pour faciliter la vente d'armes en 1993 et 1994 au gouvernement angolais. Il reconnaît avoir perçu une rémunération de 1,8 million de dollars (13 millions de francs) de la Brenco sur un compte en Suisse, mais nie toute participation à un trafic d'armes.

    Le 11 janvier 2001, Jean-Christophe Mitterrand est libéré contre le versement d'une petite caution de 770 000 euros (5 millions de francs), que sa mère Danielle Mitterrand s'est chargée de réunir " auprès de la famille et auprès d'amis " en qualifiant la somme de " rançon déshonorante ".

    La procédure ayant été annulée par manque de plainte du ministre de la Défense, seul habilité à saisir la justice, Jean-Christophe Mitterrand est remis en examen, pour complicité de trafic d'armes par les juges Philippe Courroye et Isabelle Prévost-Desprez.

    Le 17 octobre 2001, Jean-Christophe Mitterrand est de nouveau mis en examen pour recel d'abus de biens sociaux par le juge Courroye. Il est accusé d'avoir bénéficié d'un virement de 300 000 dollars effectué par la Brenco, correspondant, selon son avocat, à des " prestations de conseil à M. Falcone ". La veille, il avait déposé une plainte pour faux en écriture publique contre le juge Courroye, concernant une ordonnance rédigée en juillet 2000 par le magistrat.

    En 2004, selon une expertise financière remise en mai au juge Philippe Courroye chargé de l'affaire, 2,2 millions d'euros (14,3 millions de francs) ont été virés par Pierre Falcone sur un compte suisse appartenant à Jean-Christophe Mitterrand qui en a retiré 1,7 million d'euros (11,5 millions de francs) en espèces pour les transférer sur celui de sa société de pêcherie d'Iwik Investissement en Mauritanie. Jean-Christophe Mitterrand a déclaré avoir été consultant auprès de Pierre Falcone, mais, concluent les auteurs du rapport, n'a pu expliquer la nature exacte des missions qui lui étaient confiées et qui pourraient justifier des rémunérations d'une telle importance.

    mais aussi et encore... depuis les années 80'

    *Monnate, Emmanuelli, Laignel, Pezet, Sanmarco... L'affaire Urba*

    19 avril 1989 : début de l'affaire. A Marseille, les policiers découvrent, au siège de la société Urba (dirigée par Gérard Monate, un ancien syndicaliste policier), des documents du directeur administratif établissant un financement occulte du Parti socialiste.

    1990 : une dalle de béton s'effondre sur un chantier de construction. Deux salariés de l'entreprise Heulin trouvent la mort.

    8 janvier 1991 : un juge d'instruction du Mans, Thierry Jean-Pierre, enquête sur l'accident. Il interroge un ancien responsable socialiste qui passe aux aveux : le système, qui a fonctionné de 1973 à 1990, reposait sur la facturation de prestations fictives à des clients qui bénéficiaient par ailleurs de contreparties sous forme de marchés communaux ou autres. L'argent était reversé au PS.

    Avril 1991 : le juge Jean-Pierre perquisitionne au siège parisien de la société Urba.

    Janvier 1992 : fait sans précédent : le nouveau juge d'instruction, Renaud Van Ruymbecke, perquisitionne le siège du PS.

    Septembre 1992 : président de l'Assemblée nationale, Henri Emmanuelli est inculpé de " recel et de complicité de trafic d'influence " à propos de fonds récoltés dans la Sarthe par la SAGES, filiale d'Urba. Une poursuite qui s'explique par les anciennes responsabilités de l'homme politique : à l'époque des faits, il était le trésorier du PS.

    Statuant sur le volet marseillais de l'affaire Urba, la chambre d'accusation de la cour d'appel de Lyon a ordonné vendredi le renvoi en correctionnelle d'Henri Emmanuelli et d'André Laignel, en qualité d'anciens trésoriers du Parti socialiste pour "complicité de trafic d'influence", parmi les 50 personnes prévenues dans ce dossier. Au total, 50 personnes se retrouveront devant le tribunal correctionnel: élus, responsables des bureaux d'études Urba, chefs d'entreprises. Au côté d'Henri Emmanuelli et André Laignel, parmi les prévenus les plus connus figurent Michel Pezet et Philippe Sanmarco, anciens députés socialistes des Bouches-du-Rhône, Gérard Monate, ex-PDG des bureaux d'études Urba et Joseph Delcroix connu pour ses cahiers, saisis par l'inspecteur Gaudino, décrivant tout le système. La chambre d'accusation a prononcé huit non-lieux au bénéfice de dirigeants de sociétés satellites d'Urba et de dirigeants de sociétés. Les chefs de prévention varient selon leurs fonctions: les quatre responsables d'Urba sont poursuivis pour trafic d'influence, les 10 élus pour complicité de trafic d'influence et les 36 chefs d'entreprises pour corruption active.  L'instruction concerne la période allant du 11 mars 1988 à avril 1989, date à laquelle l'inspecteur Antoine Gaudino a effectué la perquisition dévoilant l'affaire.

    A la suite de ses découvertes et après son éviction de la police, l'inspecteur Gaudino avait publié un livre sur ce dossier intitulé l'Enquête impossible.

    Le montant total des fausses factures transitant par les cabinets d'études Urba s'élève à 9,4 millions uniquement pour les marchés marseillais ! Condamné pour complicité dans l'affaire Urba, Emmanuelli a également été mis en examen en 1998 dans le cadre de l'affaire Destrade de financement illégal du Parti socialiste.

    A noter également qu'Henri Emmanuelli, comme Jack Lang et Maitre Lombard... furent inquiétés dans l'affaire de captation d'héritage de l'Héritière Suzanne de Canson en 1987. Une affaire sordide démélée par le juge toulonnais Jean-Pierre Bernard et qui, in fine, se traduisit par le dépouillement de la milliardaire décédée... au profit d'officines du Parti Socialiste !

    *Gérard Colé et les emplois fictifs d'Air France !*

    L´affaire des emplois fictifs d´Air France débusquée par un juge d´instruction de Nanterre, en juin 1995, au siège de la compagnie aérienne. Enquêtant sur les fiches de paye de Gérard Colé, ex-conseiller à l´Elysée payé par Air France par un salaire fictif (28.000 F par mois), le juge découvre une série d´autres cas identiques. Parmi eux, Michel Vauzelle (toujours lui), alors porte-parole du président de la République.

    Le magistrat, qui n´est saisi que du cas de*Gérard Colé*, communique les autres dossiers au parquet de Nanterre et suggère l´ouverture d´enquêtes distinctes.

    "/Premier enterrement/", constate Maître Baduel.

    > > > > En avril 1996, cet avocat pugnace décide d´alerter le parquet de Paris./" Un an plus tard, raconte-t-il, je recevais un avis de classement

    indiquant que le parquet saisissait la Cour des comptes. /

    /J´attends toujours "/, poursuit-il.

    Gérard Colé, ami de Jacques Séguéla et de Jacques Pilhan fut récompensé par Tonton qui le fit Président du Loto en 1989 et de la Française des Jeux !

    Il faudra attendre 1994 et 1995 pour qu'enfin la Justice s'intéresse à son cas.

    Il sera mis en examen pour abus de biens sociaux, ingérence, faux en écritures, et obstacle aux vérifications des commissaires aux comptes. Au cours d'une instruction pénale qui s'étalera sur 6 années les chefs d'inculpation s'effondreront les uns après les autres et Gérard Colé ne sera condamné qu'en 2001 à une amende ridicule .

    *En 2011 : le sénateur Pastor et ses fausses factures*

    Le sénateur Jean-Marc Pastor (PS) est accusé de " notes de frais frauduleuses et fausses factures " le 27 juin 2011 après avoir transmis à la trésorerie du Sénat deux factures de restaurant émises dans le Tarn, son département, pour un montant total de 2492 '. Médiapart révèle l'histoire et Pastor pour éviter le clash, produit un faux communiqué de Gérard Larcher, alors Président du Sénat, avant de se rétracter et de rembourser l'intégralité des sommes extorquées.

    et puis, sans oublier ...

     

    *Pierre Mauroy*, Premier secrétaire du PS décédé le 7 juin 2013 (mais aussi Sénateur) fut condamné à 20 000 ' d'amende " avec sursis " pour abus de confiance et devra rembourser 19 654 ' à la suite d'une condamnation en 2011 pour " emplois fictifs ".

    *Jean-Paul Huchon*(PS), alors président de la Région Ile de France, a été condamné pour prise illégale d'intérêt sur marchés publics en 2007, condamnation confirmée en appel en 2008 et en 2011 par le Conseil d'Etat.

    *Harlem Désir*(n°2 du PS Député européen) condamné en 1998 à 18 mois de sursis et 30 000 F d'amende pour recel d'abus de confiance. De novembre 1986 à octobre 1987, il a reçu un*_salaire fictif mensuel de 10 500 francs_*de l'Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants, basée à Lille. L'actuel n° 2 du Parti socialiste occupait alors la présidence de SOS-Racisme

    *Bertrand Delanoë*, condamné en 2010 pour atteinte au droit du travail, a financé avec l'argent du contribuable une bonne trentaine de postes de permanents CGT, planqués dans une des mutuelles de la ville : la MCVPAP !

    *Jean-Christophe Cambadelis*, premier secrétaire du PS, a été condamné en 2006, alors qu'il était député PS de Paris, pour recel d'abus de confiance... à 6 mois de prison avec sursis et à 20 000 ' d'amende, dans*_l'affaire des emplois fictifs de la MNEF_*.

    Il avait été rémunéré par la mutuelle proche du PS entre 1991 et 1995, à hauteur de*620 500 francs*au titre d'une activité fictive de conseil.

    *Jérôme Cahuzac et ses comptes cachés*

    Le pompon en matière de fraude fiscale et de fuite de capitaux cachés... revient assurément à Jérôme Cahuzac,  ministre délégué chargé du Budget auprès du ministre de l'Économie et des Finances, au sein des gouvernements Ayrault, (du 16 mai 2012 au 19 mars 2013)...

    Malgré de nombreux dénis mensongers, il fut obligé de démissionner après les graves accusations de fraude fiscale qui pesaient sur lui. Face au scandale... Il fut ensuite exclu du PS et du renoncer à retrouver un mandat de député. Le 8 décembre 2016, il fut condamné à trois ans d'emprisonnement ferme et cinq ans d'inéligibilité pour " fraude fiscale " et " blanchiment de fraude fiscale " dans l'affaire de ses comptes cachés en Suisse et à Singapour.

    *Et la liste ne s'arrête pas là...*

     (voir sur Internet)

    *KUCHEIDA JEAN-PIERRE *(Député-maire PS) le soutien de Hollande, mis en examen dans UNE AFFAIRE DE CORRUPTION PEUT ÊTRE DE GRAND AMPLEUR AU SEIN DE LA FÉDÉRATION PS DU PAS DE CALAIS Condamné le 21 mai 2013 à 30 000 ' d'amende dans une affaire d'ABUS DE BIENS SOCIAUX. Nouvelle mise en examen EN JANVIER 2014 pour corruption et recel d'abus de biens sociaux.

    *NAVARRO ROBERT*(Cadre PS) dans l'équipe de campagne de François Hollande, objet d'une plainte du PS pour enrichissement personnel et ABUS DE CONFIANCE EN 2012, pour des frais personnels et des pizzas entre 2008 et 2010 pour 42.000 ' ...Soutien de François Hollande à la primaire socialiste, il intègre son équipe de campagne durant l'été 2011.

    *DOUCET PHILIPPE *député PS du Val d'Oise et ancien maire d'Argenteuil (3e ville d'Ile-de-France), qui a ruiné la ville en un mandat et qui fait l'objet d'une enquête du Parquet national financier pour FAVORITISME, TRAFIC D'INFLUENCE ET DÉTOURNEMENT DE FONDS PUBLICS

    *DESTRADE JEAN-PIERRE*(Conseiller Général PS) Condamné en 2005 à 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 10.000 euros d'amende dans une affaire d'ESCROQUERIE ET TRAFIC D'INFLUENCE, une peine couverte par sa détention provisoire

    *TEULADE RENÉ*sénateur-maire PS d'Argentat (Corrèze), avait été condamné en juin 2011 à 18 mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de Paris. En octobre 2012, Hollande lui avait rendu hommage lors du Congrès de la Mutualité Française :"Je salue les présidents qui ont marqué l'histoire de votre organisation. René Teulade auquel je suis lié par une fidélité corrézienne (....)

    *ABDI MOHAMED*conseiller spécial de Fadela Amara, la secrétaire d'État chargée de la politique de la Ville, a été condamné par la Cour de cassation à la mi-octobre à 18 mois de prison dont douze avec sursis pour escroquerie

    *ANDRIEUX SYLVIE*(Député PS) condamnée aujourd'hui à 3 ans de prison dont deux avec sursis, à 100.000 euros d'amende et à 5 ans d'inéligibilité. complicité d'escroquerie et détournement de fonds publics.

    *ANNETTE GILBERT*(PS) Actuel Maire de Saint-Denis de la Réunion, ancien Député,condamné en 1996 à 200 000 francs d'amende, cinq ans de privation de ses droits civiques et trente mois de prison dont douze avec sursis pour CORRUPTION DANS DES PROCÉDURES DE MARCHÉS PUBLICS À LA VILLE DE SAINT-DENIS

    *BATHO DELPHINE*la nouvelle Ministre délégué à la Justice, refuse toujours de quitter, son logement du parc social de Paris alors qu'elle encaisse 22.650 euros par mois selon LE MONDE, et même après en avoir été "priée" par le Maire de Paris de dégager les lieux

    *BERNARDINI FRANÇOIS*(Maire PS) condamné en 2002 pour une ingérence, détournement de fonds publics, abus de confiance et abus de biens sociaux. à 18 mois de prison avec sursis, 400 000F d'amende et cinq ans d'inéligibilité.

    *CIOT JEAN-DAVID*le premier secrétaire fédéral et collaborateur de Guérini, mis en cause pour recel de détournement de fonds publics.

    *DALONGEVILLE GÉRARD*(Maire PS) condamné faux en écriture et usage de faux, détournements de fonds publics, favoritisme et recel de favoritisme

    etc, etc....

    *Il faudrait plusieurs tomes pour arriver au bout de cette longue liste de " Ripoux " socialistes, payés avec l'argent des contribuables !*

    *Et sans doute un seul tome pour traiter des " pilleurs de deniers publics " que sont Jack Lang et Laurent Fabius.*

     

  • La retraite d'un sénateur?

    La retraite d’un sénateur au terme d’un seul mandat de 6 ans: 1 932 euros bruts par mois

    On croyait tout savoir du manque d'exemplarité des 348 sénateurs et de leurs privilèges monarchiques: 6 000 euros mensuels de frais "remboursés" sans justificatif, super-retraites, absentéisme endémique... L'auteur révèle les privilèges fiscaux que se sont octroyés légalement ces princes de la République et le vaste système de triche qui permet à une partie d'entre eux, les "intouchables", de ne rien faire ou presque... Extrait de "Le Sénat - Un Paradis pour des parlementaires fantômes", d'Yvan Stefanovitch, aux éditions du Rocher 2/2

    Dans Enquête sur les super-privilégiés de la République, nous avions publié l’étude du régime de retraite des sénateurs par l’association Sauvegarde Retraites, qui entend promouvoir l’équité entre la retraite des salariés du privé et celle des autres actifs (fonctionnaires, ressortissants des régimes spéciaux…). Ce travail soulignait le " rendement hors norme " du régime du Sénat: compte tenu de l’espérance de vie et de son âge de départ en retraite (67,5 ans), un sénateur " moyen " percevra, avant son décès, 4,90 euros de pension pour chaque euro cotisé pendant sa carrière – contre 1 euro de pension environ pour un salarié du privé et 2 pour un fonctionnaire.

    Un ex-sénateur ayant effectué un unique mandat de six ans empoche 1 932 euros de retraite mensuelle bruts. Soit, explique Sauvegarde Retraites, " 30% de plus que la retraite moyenne d’un salarié du privé après une carrière complète ". Seule condition, presque toujours remplie: avoir cotisé double, comme tout sénateur en a la possibilité pendant ses quinze premières années dans la " maison " (480  euros de cotisation "  salariale  " par mois). Cette cotisation double est aujourd’hui interdite. La réversion (retraite de veuf et veuve d’élus) est aussi bien plus favorable que dans le régime général, soit un taux de " réversion " de 66 % de la pension d’un sénateur contre 50 % dans la fonction publique et 54 % dans le privé. Enfin, " les plus vernis étaient les sénateurs issus de la fonction publique (39 % de l’Hémicycle) ", écrit Sauvegarde Retraites. Ils pouvaient continuer à cotiser 7,85  % du salaire qu’ils auraient touché dans leur administration d’origine, l’État ajoutant 60,14 % comme pour tous ses agents. Au final, ils cumulaient donc retraite pleine de fonctionnaire et retraite de sénateur, sans plafond. Aujourd’hui, c’est également interdit depuis quelques années.

    La pension mensuelle moyenne nette de retraite d’un sénateur, hors les 10 % de majorations pour enfants, était en juin 2015 d’environ 4 512 euros. L’âge auquel les sénateurs peuvent prétendre au versement de leur retraite est passé progressivement de 60 ans, pour ceux nés avant 1951, à 62 ans, pour les autres nés à compter de 1955. La durée de la cotisation a été relevée à 41 ans.

    Cette apparente générosité n’empêche pas la caisse des sénateurs d’afficher une belle santé financière. Et ce, malgré la mauvaise situation démographique de ses ressortissants: 1,7 pensionné pour 1 cotisant (contre 1 retraité pour 1,4 actif dans le régime général). Par quel miracle? Un soutien massif des contribuables? Pas vraiment: la cotisation " employeur ", versée par le Sénat, représente 2,4 fois la cotisation " salariale " des sénateurs. C’est plus que dans le privé mais nettement moins que dans la fonction publique ou tout autre régime spécial (pour les députés, le contribuable verse 7 fois plus que les élus eux-mêmes !).

    http://www.atlantico.fr/decryptage/retraite-senateur-au-terme-seul-mandat-6-ans-1-932-euros-bruts-mois-senat-paradis-pour-parlementaires-fantomes-yvan-stefanovitch-2717960.html#olHlOFb7RoErAUoY.99

  • Si vous êtes à Paris: voilà pourquoi vous devez être au Trocadéro!

    Une campagne écœurante, des médias abjects et... 101 traîtres. (Plus de 150, désormais)

    N'ayons pas peur des mots: Je suis absolument scandalisé, écœuré et révolté par la tournure que prend cette machination contre François Fillon, ulcéré de voir avec quelle facilité déconcertante les gens se laissent manipuler par les médias et quelques politiciens, révulsé par la lâcheté de ceux qui l'abandonnent.

    Parce qu'enfin, de quoi parle-t-on? François Fillon n'a pas commis de meurtre, il a juste employé, moyennant rémunération, son épouse et deux de ses enfants. Absolument rien d'illégal et jusqu'à preuve du contraire, il est présumé innocent. Rien d'illégal, mieux une situation qui était connue de tous ceux qui pouvaient avoir la curiosité de s'intéresser à ce genre de chose.

    En Juillet 2014, le journal Mediapart sortira la liste exhaustive des députés qui emploient des membres de leur famille. Pensez-vous que cela, à l'époque, ait révolté qui que ce soit? Non. Il faudra deux ans et demi de plus pour que Le Canard sorte opportunément "l'affaire" de manière si tendancieuse que le lynchage et la machine à donner des baffes se mirent en route au quart de tour. Il est vrai qu'entre ces deux parutions, Fillon s'était porté candidat, remportait haut la main la primaire de la droite et du centre et devenait, de l'avis général, le très probable successeur de Présiflan. Il est vrai qu'entre temps, un produit marketing parfaitement élaboré, Emmanuel Macron, devenait le chouchou des médias (plus de 36 couvertures de magazines en 2 ans) et que parmi ces nombreux médias, la plupart est aux mains de personnages qui lui ont apporté officiellement soutien et financement.

    Alors il est vrai que François Fillon, dans cette affaire, aura plutôt mal assuré sa défense et commis des erreurs de langage qu'il paie cher aujourd'hui. Je ne lui tiens pas rigueur pour sa sortie sur de Gaulle visant Sarkozy, une pique on ne peut plus classique pendant une campagne électorale. Je ne lui en veux pas non plus lorsqu'il déclara que si il était mis en examen il renoncerait. Cette éventualité était pour lui, comme pour énormément de gens, tellement improbable qu'il ne pouvait donner d'autre réponse à la question que lui posa un journaliste perfide. Aucun de ses "amis" politiques ne pouvaient imaginer que pour cette histoire Fillon pourrait être éventuellement mis en examen, alors comme un seul homme ils rangèrent tous derrière lui. A la gamelle!

    Mais la machine à détruire Fillon continua son œuvre. Et rétroactivement, les propos de Fillon lui explosent en pleine tronche. Pour le plus grand bonheur des médias, du camp Macron et de ceux que je qualifie aujourd'hui de lâches et de traîtres, ceux qui l'abandonnent honteusement aujourd'hui.

    Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, ils ne sont pas si nombreux? 101 à l'instant. Mais 101 noms qui comptent dans le landernau politique. Alors, on met en scène outrageusement ces déjections défections, le journal Libération en tenant un décompte en temps réel, BFM et France 2 itou. Et tout est fait pour que l'on fasse croire au lambda que l'affaire est entendue, que Fillon est foutu. Un sondage IFOP le donne à 23,9%, juste derrière MLP et 4 points devant Macron, le sondage est occulté par tous les médias. Un autre sondage le donne 3ème à 19 % - ce qui compte tenu du lynchage est une belle performance - et tous les médias en font état, Ruth Elkrief constatant non sans quelque malice que Fillon "aura beaucoup de mal à continuer".

    Et toujours ces médias qui constatent que Fillon "est plus que jamais dans la tourmente et lâché de toutes parts" mais qui occultent que celui-ci continue d'engranger de très nombreux parrainages, 738 au 1 mars, 1 155 aujourd'hui, soit 417 de plus depuis la fameuse déclaration de Fillon du 1er mars. Selon BFM, Alain Juppé "engrangerait" les parrainages... Il en a un et un seul aujourd'hui!

    Et encore ces médias qui passent quasiment sous silence les protestations de dizaines de magistrats et de juristes qui sont scandalisés par la façon avec laquelle l'enquête est conduite et qui préfèrent donner la parole au syndicat de la magistrature ou au président d'Anticor!

    Et revenons à ces lâches qui se cherchent une autre gamelle. Ils reprochent à Fillon de ne pas respecter sa parole et sont prêts à soutenir maintenant un homme qui a été par le passé condamné. Ils lui reprochent de vouloir faire de la manifestation de dimanche une marche contre la justice. Bande d'hypocrites dont les propos sont montés en épingle par les médias, ces mêmes médias qui oublient de dire que c'est le président des Républicains, Bernard Accoyer qui est à la manœuvre en envoyant SMS et emails aux adhérents des messages les conviant à cette manifestations; j'en ai reçu 3 depuis le début de l'après midi! Ces 101 lâches, jouant les vierges effarouchées, foulent au pied, en faisant défection, les résultats de la primaire, la présomption d'innocence et, tant qu'à faire, oublient que Fillon bénéficie de l'immunité parlementaire, immunité constitutionnelle prévue justement pour éviter ce genre de situation. 101 lâches sur 230 000 adhérents à jour de leur cotisation.

    Tout aura été fait et superbement fait pour que Fillon ne puisse pas se présenter et, mieux encore, pour que la droite se divise. Sachant que, comme la gauche, quand il s'agit de se diviser dans l'adversité au lieu de se rassembler, nos politiciens sont champions du monde.

    François Fillon, en acceptant que se tienne cette manifestation, a pris un risque énorme: Si elle est un succès, ce sera tout bénef. Si c'est un échec - gageons que les médias s'emploieront à la faire passer comme tel - il est définitivement cuit.

     

    C'est bien pour cela qu'il faut se mobiliser en masse et y aller.

    Non seulement pour la mettre profond (oups!) aux 101 lâches du jour, aux médias mais aussi aux trop nombreux Français qui sans chercher à savoir se font manipuler dans les grandes largeurs.

    Je ne sais quelle sera l'issue de toute cette histoire mais j'ai une certitude: cette campagne présidentielle laissera un goût très amer, du dégoût. Voilà qui n'est vraiment pas bon pour la démocratie.

    Au fait, qui a donc la responsabilité de préserver la démocratie et siffler la fin de la récré quand celle-ci est en danger?... Je vous laisse deviner.

    Folie passagère 3468.

    http://corto74.blogspot.fr/2017/03/une-campagne-ecurante-des-medias.html

  • Ce gros trou dans le programme économique d’Emmanuel Macron

    Une partie de la presse accueille le programme économique d'Emmanuel Macron de manière flatteuse. À y regarder de plus près, il y manque l'essentiel.

    Les preuves de l’inimitié qui lie la gauche à l’économie en général et aux réalités quotidiennes en particulier sont légion. Mais en ces temps d’élection présidentielle, avec le risque toujours plus fort de voir un(e) Président(e) élu(e) sur un programme économique étatique, il est utile de les décortiquer. Ainsi en est-il du programme économique d’Emmanuel Macron, que l’Obs s’empresse de présenter, avec comme introduction flatteuse et un peu rapide: " fini le flou ".

    Sans doute l’Obs se force-t-il de parler chiffres, car il s’agit de son candidat fétiche. Mais tout de même, dans ce programme, ne manque-t-il pas justement l’essentiel? Est-ce l’Obs qui n’y attache aucune importance? Ou est-ce le candidat qui n’en parle pas? Quoi qu’il en soit, ce déséquilibre est encore une fois symptomatique du pathos de la gauche française (les Gracques exceptés)…

    Des économies chiffrées mais sans aucun détail sur les moyens d’y parvenir

    S’engager à réduire la dépense publique de 3 points de PIB en cinq ans, soit 60 milliards d’euros d’économies (" par rapport à la hausse naturelle des dépenses " n’oublie-t-il pas toutefois d’ajouter) c’est formidable, et c’est sans doute un minimum.

    Mais le plus important n’est-il pas la façon de s’y prendre? Comment en effet réduire le train de vie faramineux et asphyxiant de l’État sans générer du chômage supplémentaire, des émeutes de fonctionnaires dans la rue, voire une chute de la qualité des services publics? Emmanuel Macron qui ne souhaitait pas citer, ni même s’engager, sur des chiffres consent à le faire.

    Mais là n’est pas la difficulté. Chacun sait que le diable se cache dans les détails. Et des détails de cette ampleur-là méritent un peu plus qu’une profession de foi, fût-elle agrémentée de nombres. Par quel miracle l’un des membres d’un gouvernement qui n’a vraiment pas brillé par ses économies (hausse des impôts concomitante à une hausse de la dette sans qu’aucun résultat économique ne s’améliore par ailleurs !) pourrait-il sauver de telles sommes? Les citoyens sont en droit d’exiger de telles explications.

    Une baisse de la fiscalité mais sans aucun détail sur les moyens de la compenser

    Il en est exactement de même sur les engagements du candidat Macron quant à la baisse de la fiscalité. La précision des données chiffrées qu’il nous sert (fiscalité sur les entreprises qui passerait de 33,3% à 25%, volume de la baisse des impôts sur les ménages de 10 milliards, etc.) n’a d’égal que le vide absolu concernant la façon dont ces baisses seront absorbées et/ou compensées par l’État. Compte tenu de la situation de l’Hexagone, maintenir un pareil flou sur de telles promesses est tout simplement indécent.

    Aucun changement en matière de social

    Il y a certes un progrès puisque le candidat Macron, en lieu et place d’ajouter au concert de promesses en tout genre, s’engage seulement à maintenir la protection sociale existante. Mais tout de même, celle-ci n’est-elle pas devenue ruineuse? Le spectre de la faillite de la Sécurité sociale ne serait-il qu’une affabulation d’esprits mal tournés? Le fait que la France représente 15% des transferts sociaux de la planète mais seulement 3,5% de son industrie et 1% de sa population ne mériterait-il pas qu’une large part du programme économique se consacre à la façon d’assurer dans le temps un écart aussi vertigineux?

    Or, là non plus, le candidat n’entre pas dans les détails et se cantonne aux aspects positifs de ses engagements. Encore une fois, faire plaisir avec des promesses ne constitue pas une preuve de respect des citoyens. Il s’agit maintenant de proposer une politique, en toute transparence, afin d’interrompre autant que faire se peut le déclin économique de notre pays.

    Éducation et gouvernance par-dessus la jambe

    L’Obs ou le candidat Macron ne s’étalent pas sur ces deux domaines, à croire que cela n’est pas important. Le recul régulier et solide de la France dans les classements internationaux de type PISA, les problèmes relatés un peu partout concernant le vrai niveau des élèves sur les fondamentaux, la pénurie de certaines formations professionnelles, tout cela ne mérite-t-il pas la meilleure attention?

    Et quid de la relance de notre compétitivité économique?

    Aucun chapitre n’est consacré à ce domaine (et ce n’est semble-t-il pas la faute de l’Obs), ce qui est, avouons-le, totalement renversant. Le déclin français ne manque pourtant pas de momentum, et chaque année les comparatifs macro-économiques nous le rappellent, que ce soit en PIB per capita, en nombre de chômeurs, en nombre de citoyens sous le seuil de la grande pauvreté, en parts de marché industriel, etc.

    Dans un pays en sérieuse difficulté, ne pas prévoir ce volet est tout simplement scandaleux. Pourquoi? Parce que c’est le domaine qui permet à lui seul la réalisation de toutes les autres promesses. Sans une amélioration de nos résultats économiques, il nous sera impossible de conserver le même niveau de protection sociale (que nous nous offrons déjà en empruntant !).

    Sans une amélioration de notre compétitivité, nous ne pourrons pas réaliser dans des délais normaux et à un coût non prohibitif les économies sur le train de vie de notre État obèse. Sans une amélioration de notre tissu industriel et de nos positions sur les marchés les plus dynamiques, nous ne pourrons pas briser la spirale négative qui frappe notre nation: échec scolaire, échec professionnel, chômage, précarité et même délinquance…

    La gauche toujours aussi étrangère au monde des entreprises

    C’est tellement risible, c’est tellement grotesque. Et pourtant, c’est tellement vrai: la gauche n’a toujours pas assimilé d’où vient l’argent. Pour elle, le revenu disponible, la richesse, en un mot, le gâteau à se partager est à l’abri de la concurrence internationale, et de la lassitude des entrepreneurs qui prennent des risques pour le gagner (et qui peuvent aller voir ailleurs).

    La gauche en est encore à une époque où les frontières sont fermées, les choses sont stables, les riches sont riches, les pauvres sont pauvres, et où il n’est que question d’arbitrer, de transférer, de répartir. Mais cette époque du planisme est terminée. La taille du gâteau disponible ne cesse de diminuer. Sans la remise en marche de la compétitivité de nos entreprises, le pays ne pourra que poursuivre son appauvrissement relatif (la planète s’enrichit, pas la France) et constater jour après jour l’implosion de son tissu social.

    Pour quelle raison ne serions-nous pas capables d’engager les réformes ad hoc comme l’ont fait plusieurs pays autour de nous? La Suède, pour prendre l’exemple d’un pays épris de protection sociale et d’équité, ne l’a-t-elle pas fait avec succès?

    De toute évidence, en n’abordant pas les problèmes structurels de l’Hexagone, le programme économique d’Emmanuel Macron se positionne dans la droite ligne social-démocrate française, celle qui nous a tant fait de mal depuis une trentaine d’année par son rejet des solutions libérales. Quant à l’Obs, le fait qu’il commence son article par "fini le flou" est si cruellement révélateur

    Par Claude Robert.

    https://www.contrepoints.org/2017/02/25/282096-gros-trou-programme-economique-demmanuel-macron

  • Et voilà: il suffisait d'attendre un peu et on finit par tout savoir! Famille Théo? des escrocs!

    Theo et sa famille auraient entubé l’Etat français d’un million d’euros entre 2014 et 2016

    Hollande au centre du scandale. Il est beau Minable Premier, au chevet d’une prétendue victime soupçonnée d’avoir entubé l’Etat (les con-nards de con-tribuables) de 678000 euros plus 350000 euros de cotisation sociales non réglées… soit plus d’un million d’euros

    Si l’enquête en cours prouve les soupçons, ils vont avoir l’air fin tous ceux qui prétendent casser et pleurer au nom de ce si brave gars, honnête et tout et tout…

    Les investigations des policiers du SDPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170000 euros par virement, dont 52000 euros sur le seul compte de Théo.

    52000 euros en deux ans, plus de 2000 euros par mois c’est pas mal pour un zozo sans activité…

    Tu m’étonnes qu’il joue au caïd quand les policiers veulent vérifier l’identité de ses copains dealers (lui il n’a pas besoin, il a la cagnotte obligeamment constituée par son frère et le con-tribuable français).

    Faits divers – EXCLUSIF. La famille de Théo au coeur d’une enquête financière

    Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile de France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Mickael Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département…

    S’agit-il d’employés fantômes? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois.

    Bref, une association de plus qui reçoit des sommes folles… sans qu’il y ait de vérification de l’argent donné par l’Etat et les collectivités locales.

    Bref, une association qui a pignon sur rue, qui engraisse une mafia familiale… et ça dure deux ans. Personne, dès la première année, ne vérifie qu’il y a des emplois, un bilan, que l’URSSAF est payé ?

    Vous savez quoi? Inutile de se réjouir. L’affaire sera très vite étouffée pour éviter un ridicule de plus à Hollande. J’en mettrais ma main au feu…

    Vous savez quoi encore ? Il y a des centaines, ou plutôt des milliers d’associations  qui font la même chose dans les " quartiers ". Quartiers paraît-il abandonnés, quartiers auxquels on verse toujours plus d’argent, quartiers où on vous explique que si les habitants sont un peu sur les nerfs, caillassent pompiers et policiers, c’est parce qu’il n’y a pas de moyens.

    Le Parisien

    Jean-Michel Decugis et Stéphane Sellami

    Le Parisien: Selon nos informations, la famille de Théo est au cœur d'une enquête financière. C’est une affaire qui embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. La famille de Théo, et Théo lui-même, se retrouvent au cœur d’une affaire financière. Selon nos informations, une enquête a été ouverte par le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour " suspicion d’abus de confiance et escroquerie " en juin dernier, soit bien avant le viol présumé de Théo lors d’une interpellation brutale, le 2 février dernier, à Aulnay-sous-Bois.

    Cette enquête, confiée au Service départemental de la police judiciaire(SDPJ) de Seine-Saint-Denis ne remet évidemment pas en cause les violences policières présumées subies par Théo.

    Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile de France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Mickael Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département... L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit Contrat aidés.

    S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSSAF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny.

    Selon nos informations, les investigations des policiers du SDPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par " Le Parisien ", Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salariés, dont les membres de sa famille. Il confirme avoir été interdit bancaire, tout comme son frère.

    http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/faits-divers-exclusif-la-famille-de-th%C3%A9o-au-coeur-dune-enqu%C3%AAte-financi%C3%A8re/ar-AAngxaG?li=BBoJIji