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Humain? - Page 31

  • Horreur, malheur!

    Un locataire: j'ai honte de la France… oui, moi aussi

    Effondrement partiel d’un immeuble à Lyon : les habitants, interdits d’accès, ont vu leurs appartements squattés et cambriolés (MàJ)

    Depuis 70 jours, l’immeuble au 178 route de Genas, dans le 3e, est amputé d’un mur porteur. Et durant tout ce temps, les habitants, interdits d’accès, ont vu leurs appartements cambriolés au moins quatre fois. Une situation pénible, qui dure.

    Le 22 février dernier, la vie des habitants de tout un immeuble a basculé. Au 178 route de Genas, à la frontière du 3e  arrondissement de Lyon et Villeurbanne, un pan de mur s’est effondré et la vie s’est arrêtée sur une petite zone désormais inaccessible de la route, mais aussi du jardin associé à la propriété attenante. Pourtant, l’incident n’a fait que deux blessés légers, mais la situation, liée à un arrêté de péril n’a pas évolué pour les locataires et les propriétaires depuis 70 jours.

    Quentin habite, ou plutôt habitait au 1er  étage. Il n’était pas présent lors de l’effondrement. " Depuis, je me suis débrouillé par moi-même " explique-t-il. Ma chance, c’est que j’avais, avec moi, mes papiers et ma carte bleue. Car…

    (…) Le Progrès

    16/04/2022

    Le mardi 22 février 2022, vers 15h30, les sapeurs-pompiers de Lyon sont intervenus après l’effondrement d’un immeuble d’habitation de deux étages route de Genas, dans le 3e arrondissement de Lyon.

    Léa*, qui vivait seule dans un appartement qu’elle loue dans cet immeuble depuis bientôt deux ans, est, depuis le 22 février, relogée chez des amis. En plus d’avoir été forcée de quitter cet immeuble à moitié effondré, elle déplore avoir subi des pillages et des squats.

    Un arrêté de péril imminent a été déposé sur cet immeuble, dont un pan s’est effondré. Concrètement, même si certains appartements comme celui de Léa n’ont pas été touchés, les risques de nouveaux effondrements ne sont pas écartés. Il est donc interdit de venir récupérer ses affaires.

    "On n’a pas le droit de rentrer", déplore Léa. "Ils vont mettre des portes anti-intrusion, mais maintenant, c’est trop tard. Il fallait faire ça avant! C’est triste. On a tout perdu. Nous, on respecte les règles et au final, on vient nous dépouiller". 

    (…)

    J’ai peur que ça retourne contre nous alors qu’on est victime : si ça s’écroule sur les pilleurs ou les squatteurs, ce sont les propriétaires qui sont responsables. Ce n’est pas normal, c’est à la Métropole et à la Ville de Lyon de sécuriser l’immeuble. C’est le monde à l’envers.

    Léa, victime de l’effondrement de l’immeuble route de Genas, à Lyon

    Cinq logements ont été cambriolés de la même manière. "Ils ont touché le jackpot, ils se sont bien servis. C’est un truc de dingue. On est suivis par des psychologues, on n’arrive plus à dormir, on fait des cauchemars. J’ai honte de la France“.

    "On n’a aucun soutien"

    Selon Léa, " la mairie et la métropole ne nous appellent pas, on n’a aucun soutien. Ils proposent des relogements provisoires, mais je n’y suis pas“ : ils m’avaient trouvé un hôtel résidence, mais avec mon travail, ce n’est pas possible, c’est trop loin". 

    (…)

    On vit un cauchemar. On se fout de notre gueule. On ne va pas se laisser faire. On est encore sous le choc, tous, et le mot est faible. Ils nous ont brisé nos vies. Rien n’a été fait, il faut agir. On a vraiment tout perdu. C’est très violent psychologiquement. Si on n’est pas fort mentalement on se fout en l’air.

    (…) Actu.fr

  • Parlez français, non de d….!!

    Franglais, dialecte des banlieues et mots creux: 3 menaces pour la langue française

    Nous sommes profondément attachés à la grandeur et à l’influence de la France dans le monde dont une des composantes majeures réside dans une Défense nationale puissante et crédible.

    Mais la défense de notre langue en est un des facteurs non moins essentiels et vitaux non seulement pour tenir notre rang international mais également afin de maintenir la cohésion nationale au sein d’une communauté d’appartenance.

    De nos jours en effet, la langue française est aux abois. Elle est attaquée simultanément par trois menaces dont les effets délétères se cumulent et dilapident notre patrimoine linguistique.

    L’usage intempestif du " franglais"

    L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    L’usage intempestif du "franglais"

    Il est démontré par l’Académie française en 2021. Pour illustrer ce constat, un exemple concret a été choisi : il s’agit de la création de la nouvelle carte d’identité nationale (CNI). Cette récente version bilingue (traduite in extenso en anglais), entre en contradiction avec la Constitution, la loi Toubon de 1994 qui stipule que toute inscription ou annonce destinée à l’information du public doit être formulée en langue française, et surtout la vérité.

    En effet, cette carte n’est pas un passeport de voyage. Si l’on entre aux USA, on a besoin d’un passeport, pas de la CNI. En outre, avec la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne, il n’y a pas de raison de privilégier l’anglais.

    Que le gouvernement établisse une carte bilingue en choisissant l’anglais, c’est le signe d’un aveu terrifiant : au fond, le français ne compte plus. D’ailleurs, le gouvernement lui-même explique, toute honte bue, qu’il est préférable que ce document soit en anglais car le français ne serait plus compris !

    C’est la démonstration d’une démission coupable qui rejoint dans sa tragique ampleur le déni de notre Histoire et la politique de repentance affichés par nos gouvernants.

    Cette démission tend à reléguer notre langue nationale au statut d’un parler local, d’un dialecte tribal.

    Cependant, le monde francophone s’insurge de cette situation et sonne l’alarme. Cette indignation grandissante souligne l’aberration que constitue cette abdication institutionnelle. Nous assistons à l’invasion générale du vocabulaire scientifique, de la culture, de la communication, de l’information par des anglicismes.

    L’anglicisation s’est généralisée et s’est accélérée durant les cinq dernières années. Il y a désormais une lame de fond qui est en train de subvertir le français. La diffusion des anglicismes s’est encore amplifiée avec la crise sanitaire Covid ( par exemple l’emploi répété, à l’envi, de "cluster "  au lieu de " foyer ").

    Néanmoins, cette propagation des anglicismes se heurte à l’exaspération croissante des Français.

    Ces derniers ne veulent pas du franglais, ils croient en la valeur de leur langue. Les stratégies de communication ne portent pas.

    Les gens ne comprennent pas les messages qu’on leur impose ni pourquoi ce sabir se substitue au français.

    Cela montre une fracture entre une frange privilégiée des élites représentant le haut du panier national sensé être inventif et productif et le reste de la société , invité à penser que l’ascenseur social passe par l’adoption d’un jargon débilitant qui confine désormais aux tics de langage.

    Il s’ensuit pour la population française le risque d’un double clivage linguistique: SOCIAL d’une part, le fossé se creusant entre les publics suivant qu’ils sont imprégnés ou non des nouveaux codes de langage. Le ton badin, parfois futile devenu la règle en matière de communication institutionnelle , prête le flanc à un rejet fréquent , né d’une perplexité et souvent d’une incompréhension des destinataires pouvant aller jusqu’à un sentiment d’exclusion: "être  people-minded  est notre raison d’être" et GéNéRATIONNEL d’autre part, les plus jeunes étant particulièrement réceptifs aux usages numériques et mieux à même de les assimiler, mais d’autant plus exposés au risque d’être cantonnés à un vocabulaire approximatif et n’avoir qu’une très faible maîtrise de la langue.

    En utilisant largement un vocabulaire anglais (cf annexes) incompris d’une grande partie du public, les services en ligne contribuent à alimenter la défiance qu’on a vu se développer ces dernières années vis à vis des différentes autorités, qu’elles relèvent des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, mais également de l’administration , du monde politique , de la sphère économique et dans le domaine de la santé.

    – L’émergence corrosive d’un dialecte des banlieues

    A l’oreille, on comprend bien qu’il s’agit désormais d’un parlé " dur ", hostile, forgé dans l’exclusion ou le repli communautaire.

    Avec l’émergence de réseaux terroristes au cœur même de notre Nation, un phénomène de division, de dilution affecte notre population.

    Il s’agit du repli d’une partie des "citoyens" vers un quant- à- soi géographique, socio-économique et religieux intégriste.

    Cette fragmentation va bien au-delà de ce qu’il est convenu d’appeler les différences ou la diversité. Cet émiettement tribal passe par un langage spécifique dont on mesure l’importance et la portée dès que des troubles éclatent dans les banlieues et quartiers de nos villes.

    Cette fracture linguistique véhiculée par un langage de combat n’a plus rien de comparable avec ce qui existait il y a encore quelques années à l’époque des fantaisies du verlan, de l’accent beur ou des mille facettes de l’argot des cités sublimé par la plume gouleyante d’un Frédéric Dard, d’un Alphonse Boudard ou encore d’un Michel Audiard.

    La fracture constatée dépasse le problème de l’école ou celui des cités. Rien n’est plus dangereux que cette lente dislocation à l’œuvre dans les tréfonds démocratiques, dont l’apparition d’un idiome appauvri et verrouillé, d’un patois dissident au sein de la ville, est le symptôme le plus corrosif.

    Quand les mots eux-mêmes se décomposent, quand la parole elle-même se délite, c’est que rôde en effet un péril majeur.

    Parmi les produits empoisonnés de cette dissidence, il faut désigner désormais le djihadisme.

    L’inflation de mots creux et d’expressions passe-partout

    On disait il y a quelques années encore: " il parle comme un livre"

    La formule s’est inversée et aujourd’hui, on dira plutôt " il écrit comme il parle". Comme notre façon actuelle de nous exprimer, celle de la publicité, des médias, du monde politique est atteinte profondément par une contamination de mots sans signification, d’expressions vides de sens, notre langage est devenu singulièrement indigent.

    Dès lors, il se satisfait de formules imprécises employées à tout bout de champ et souvent délibérément puisées dans le vocabulaire économique.

    Prenons quelques exemples :

    Le verbe "impacter " dérivé à tort du mot "impact" est utilisé très souvent pour relater des évènements de nature différente plus ou moins importants :

    "La consommation est impactée par la hausse des prix

    La pollution impacte la planète

    La guerre en Ukraine va impacter l’élection présidentielle "

    Alors que notre langue propose dans ces exemples là: freiner, ralentir, influencer, influer, agir, peser, menacer, mettre en péril… qui apportent des nuances et des précisions qui enrichissent la compréhension des idées émises.

    Demain, nous sourirons qu’on ait pu discourir avec sérieux:

    De notre "capital" santé, de notre "capital" beauté, de notre "investissement" conjugal, des "dividendes" affectifs .

    Ou encore du concept de "déficit" mis à toutes les sauces du verbiage cher aux journalistes :

    " Déficit" démocratique, "déficit" social, "déficit" visuel, "déficit" de popularité, "déficit" d’image.

    Demain, nous sourirons ou peut- être nous pleurerons que les Chefs d’Etat, qui se sont succédé depuis trente ans, aient pu dire, redire, se contredire, proclamer :

    " e crois à l’inversion de la courbe de chômage"

    " la priorité des priorités est (selon l’humeur ou la pression des évènements): la sécurité, le chômage, l’hôpital, les retraites, la taille des allumettes, le pouvoir d’achat, le prix du timbre-poste , l’école, l’industrie, l’agriculture …… "

    "Nous sommes à la croisée des chemins ", phrase qui peut être suivie ou précédée de "le bout du tunnel est en vue".

    " Cette réforme d’ampleur sera la crème de toutes les batailles":

    La sécurité sociale, le conditionnement des couche-culottes, la mise en place des 35 heures, la remise en cause des 35 heures, la prochaine loi de programmation militaire sanctuarisée…

    Ces expressions passe-partout composées de mots forts en apparence sont les symboles d’une langue désincarnée, d’un langage convenu et rigide destiné à dénaturer la vérité.

    Elles ont perdu par, l’usage d’une absurde répétition contredite par les faits, leur substance au fil du temps et sont devenues les vecteurs futiles de messages désormais inaudibles.

    En 1967, Maurice Genevoix, qui depuis de nombreuses années, défend sur tous les fronts la langue française, conscient de la menace que représente la déliquescence de tout langage écrivait :

    " Le langage n’est pas neutre. Né d’une culture, expression d’une culture, si par malheur il dégénère, il agit sur les structures mentales qu’il affaiblit sournoisement. Si ce processus devait encore s’aggraver, la langue ne dirait plus, elle cacherait, elle déroberait.

    Les mots devenus tabous, feraient peur. Ils cesseraient alors de signifier, ils voileraient, ils trahiraient.

    Ils deviendraient des moyens d’intimidation, des instruments d’un terrorisme au service d’intentions moins innocentes, peut-être qu’il n’y paraît ".

    Face à cette évolution préoccupante de notre langue,

    L’Académie française peut ainsi conclure :

    "La communication actuelle est caractérisée par une dégradation qu’il est essentiel de ne pas considérer comme une fatalité.

    Il est de la responsabilité mais aussi de l’intérêt de ceux qui disposent des canaux d’information et de diffusion de veiller à redonner à la communication institutionnelle la qualité et l’efficacité que l’ensemble des publics est en droit d’attendre.

    Il s’agit avant tout d’une question de volonté générale étayée par la prise de conscience de la Gravité et de l’Urgence de la Situation ".

    Daniel Péré

    10 avril 2022

    Sources : Rapport Académie Française 2021

    Le Figaro (Mme Carrère d’Encausse) janvier 2022

    Ouest-France Articles des 30 septembre 2011, 27 septembre 2021,

    17 février 2022, 19 mars 2022

    Sud-ouest Article 10 avril 2016

    Biographie M.Genevoix de A.Luneau et J. Tassin 2019

    Prochainement un article qui prouve que la pauvreté du langage nous a fait descendre au niveau du QI.

  • C'est eux qui le disent!!!

    Les 270 maladies rares recensées en Algérie sont largement dues à la consanguinité

    Abordant la question ce mardi, le président de l’Association des maladies rares et de l’autisme, Mouloud Moutchou, a révélé que plus de 270 maladies rares ont été recensées en Algérie, tout en expliquant que la consanguinité demeure la raison de bon nombre d’entre elles.

    Intervenant sur les ondes de la radio nationale ce mardi, M. Moutchou a expliqué que les wilayas qui comptaient le plus de cas étaient celles de Tizi Ouzou, Bejaia, Ghardaia et Jijel, où les mariages consanguins sont légion. Ainsi, 35% des cas recensés dans ces wilayas sont directement dus aux mariages consanguins, a-t-il ajouté.

    Toujours selon la même source, les mariages consanguins sont un facteur de transmission d’îlots de pathogénicité, suite au transfert d’îlots génomiques entre les générations successives.

    L’intervenant n’a pas manqué de déplorer le fait que ces maladies demeurent méconnues en Algérie, tout en estimant que les pouvoirs publics devraient accorder plus d’attention à cette catégorie, d’autant plus que les moyens de diagnostic précoce et les centres de prise en charge psychologiques sont inexistants dans la majorité des régions du pays.

    Pour sensibiliser l’opinion publique, M. Moutchou a tenu à citer certaines de ces maladies recensées en Algérie, parmi lesquelles les troubles de l’immunodéficience primaire monogénique rare, les maladies métaboliques héréditaires (MMH), la sclérodermie systémique, le syndrome de Gougerot Sjögren, les maladies héréditaires du sang, la maladie de Wilson, le syndrome de Rubinstein-Taybi, mais également l’Intoxication rare aux opioïdes.

    Algérie Focus

    Et je ne parle même pas de la sclérose en plaques dont un facteur déterminant est un manque de vitamine D.... voir les vêtements de leurs femmes!

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  • La vérité!

    Pont Neuf: les 2 morts sont de la "diversité", le policier est Réunionnais

    L’interview d’un responsable syndical Alliance-Police nationale réalisée jeudi soir dernier sur BFMTV révèle, d’une part que les deux hommes – tués par un policier – qui, à bord de leur véhicule, ont foncé sur la patrouille dans une intention clairement meurtrière, faisaient partie de la "diversité", et d’autre part que le policier qui a fait feu sur le véhicule pour empêcher le carnage est Réunionnais.

    ***

    Dimanche 24 avril dernier vers 23h45, cinq policiers du "Groupe d’appui de la sécurisation de la Cité", une unité mobile d’intervention et de protection créé après la tuerie survenue à la préfecture de police de Paris en octobre 2019, sont intrigués par une Polo qui fait une marche arrière sur le quai des Orfèvres, à côté du Pont-Neuf. Le véhicule s’arrête sur un passage clouté. Un piéton se présente alors à sa hauteur, discute avec les deux hommes et monte à l’arrière.

    Les policiers, qui sont à pied, décident de procéder à un contrôle. Deux d’entre eux – l’un est équipé d’un fusil d’assaut HK G36 – se placent à quelques mètres à l’avant du véhicule ; deux autres se placent à l’arrière. Une fois ce dispositif habituel mis en place, le chef de la patrouille, une jeune femme, se dirige vers la portière du conducteur.

    Au moment où elle ouvre la portière, l’homme appuie à fond sur l’accélérateur afin de prendre la fuite, traînant la jeune policière sur plusieurs mètres. Les deux policiers stationnés devant le véhicule n’ont eu quant à eux la vie sauve que parce que celui qui était en possession du HK G36 – un jeune policier de 24 ans, 18 mois de police, donc encore stagiaire, jugé exemplaire par sa hiérarchie – a immédiatement fait feu sur le conducteur.

    ***

    Dès le lendemain, le Parquet de Paris le mettait en examen pour " violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans intention de la donner "et" violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique".

     

    Mercredi 27 avril, des magistrats, allant au-delà de la réquisition du Parquet, décidaient de ne pas retenir la légitime défense et tranchaient pour une mise en examen du jeune policier sur la base de l’" homicide volontaire", une qualification passible de 30 ans de réclusion criminelle.

    Pour Me Liénard, avocat du policier, "un policier qui fait usage de son arme administrative pour arrêter un délinquant, ne veut pas le tuer : il veut arrêter une action dangereuse. L’intention homicide n’est pas dans l’état d’esprit du policier quand il ouvre le feu".

    De manière surprenante, l’avocat ne plaide pas lui non plus la légitime défense, ajoutant : " la qualification retenue dans cette affaire devrait être "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Une qualification criminelle quand même passible de quinze ans de réclusion…

    ***

    Au micro de BFMTV, ce jeudi, Yann Maras, responsable départemental adjoint du syndicat Alliance – Police nationale, laisse éclater sa colère et son incompréhension :

    "Ce policier est exemplaire : on doit être fiers d’avoir des policiers comme ça dans nos rangs. Et là, le message qui est envoyé par la justice, c’est que ce serait un meurtrier ! Ce collègue-là, je l’ai rencontré à la sortie du bureau des magistrats (…) Pour nous tous, ça ne fait pas de doute : la légitime défense, elle est là : quand vous avez un véhicule qui fonce sur vous à quelques mètres de vous, le texte de la légitime défense vous autorise à ouvrir le feu (…) Une voiture qui redémarre à vive allure, sept ou huit mètres, c’est quelques secondes, et l’action de feu, c’est [aussi] quelques secondes "

    Le journaleux, putassier à souhait: "Ils [les policiers] n’auraient pas pu se jeter sur le côté ? Parce qu’il y a deux morts, quand même! Tués au volant de la voiture!"

    Yann Maras: "Il y a un drame derrière tout ça. Maintenant, les morts, il aurait pu être de l’autre côté si mon collègue n’avait pas fait feu. Aujourd’hui, il a sauvé sa vie et celle de ses collègues [NdA: rappelons que la jeune policière aurait pu être traînée sur plusieurs centaines de mètres, comme l’a été cette jeune femme en juillet 2020 dans le 5ème arrondissement de Paris]. Ils auraient été clairement écrasés par le véhicule (…) "

    Le journaliste: "Pourquoi le magistrat n’a pas retenu l’hypothèse que vous nous expliquez [mais] celle de l’homicide volontaire?"

    Yann Maras: " C’est une très bonne question. Il va falloir poser la question à la magistrature. Parce que nous, on ne la comprend pas, cette décision-là!"

    Le journaliste: "Peut-être que la magistrature a des éléments que vous n’avez pas. Pourquoi ne pas faire confiance à la justice? Quand l’enquête sera achevée, ça peut se terminer par un non-lieu… "

    Yann Maras: "Mais dans ce cas-là, pourquoi prendre cette qualification et aller au-delà des réquisitions du Parquet, la qualification [pour homicide involontaire] était largement… [NdA: le représentant syndical est interrompu par le journaliste]"

    Le journaliste: "Ça ne veut pas dire condamnation, cette qualification [NdA:" homicide volontaire"]

    Yann Maras: Non bien sûr, elle peut varier à la hausse comme à la baisse. Mais pourquoi avoir pris la qualification la plus haute? "

    ***

    Et le délégué d’Alliance-Police nationale de préciser:

    "Nous, aujourd’hui, on espère juste une chose dans tout ça, c’est qu’on n’essaie pas d’acheter une certaine paix sociale avec une décision comme celle-ci "

    Le journaliste: " C’est pour calmer les choses que… ? "

    Yann Maras: " e ne l’espère pas, je vous le dis encore une fois. Mon collègue, tout l’équipage et même sa hiérarchie qui sont intervenus ce soir-là, tout le monde pense qu’il a juste " fait le job" comme on dit "

    ***

    Le journaliste: "Dans votre tract, vous dites que votre collègue est victime du système judiciaire"

    Yann Maras: " Bien sûr ! Regardez: aujourd’hui, on est en train de discuter sur un plateau-télé… [NdA: Yann Maras est de nouveau interrompu par le journaliste]"

    Le journaliste, toujours putassier à souhait: "Parce que les victimes, ce sont les deux morts qui étaient au volant! "

    Yann Maras: "Aujourd’hui, j’ai un collègue qui est poursuivi…. [NdA: Yann Maras est encore une fois interrompu par le journaliste] "

    Le journaliste : "Il est en liberté, il est toujours policier… "

    Yann Maras: " Il est toujours policier sous contrôle judiciaire très très contraignant : il n’a pas le droit de résider à Paris, il n’a pas le droit de porter une arme, il n’a pas le droit d’être en contact avec le public. C’est un jeune fonctionnaire, qui vient de l’Île de la Réunion, qui est tout seul, qui n’a pas le droit de prendre contact avec son service, il n’a même pas le droit de rentrer dans Paris! Il est seul face à tout ça. Je pense que ce dont on ne se rend pas bien compte, c’est que le choc psychologique que, lui, a eu. Il n’a pas décidé de faire feu pour tuer. Il a fait feu pour stopper le véhicule. Aujourd’hui, les fonctionnaires qui l’accompagnent, toute sa hiérarchie, tout le monde lui a dit : " Tu as fait ton travail, mon garçon ! Tu as fait ton travail : tu as sauvé la vie de tes collègues, et la tienne ! "

    ***

    Il y a un mois, ce jeune policier s’est illustré par un acte héroïque : il n’a pas hésité à se jeter dans les eaux glaciales de la Seine pour aller sauver une femme qui tentait de se suicider. Alors qu’elle était au milieu du fleuve, il est allé la chercher et l’a ramenée au bord, il lui a donc sauvé la vie. C’est cet homme qui est aujourd’hui traîné dans la boue par un quarteron de magistrats kollabos. La France est décidément bien malade de sa magistrature de gauche.

    ***

    Henri Dubost

  • Le gauchisme? Une imposture, une sinistre farce!

    Hier ces grandes consciences politiques, ces "mutins de Panurge", nous chantaient "combattons" quand nous n’avions en France aucun dictateur à combattre et aujourd’hui c’est "courage, fuyons Le gauchisme? Une imposture, une sinistre farce!
    Hier ces grandes consciences politiques, ces " mutins de Panurge ", nous chantaient "combattons" quand nous n’avions en France aucun dictateur à combattre et aujourd’hui c’est "courage, fuyons" quand le pouvoir en place est chaque jour plus menaçant. Ah, ils ont fière allure nos "rebellocrates"!

    Dans les "m’as-tu-vu" ridicules, obsédés par leur apparence, leur image commerciale, il y a un bel exemple:

    Bernard Lavilliers qui, se trouvant par hasard assis dans un avion à coté de Salvatore Adamo et passant en sa compagnie un excellent voyage, lui demande à l’arrivée de ne pas sortir à ses cotés, obnubilé par son image de baroudeur d’opérette. Il ne participe pas aux Enfoirés car il "n’aime pas l’assistanat". Lui, en cas de besoin, "prendra un flingue et braquera une banque"! Oui, vous avez bien lu, il se croit sur un plateau de cinéma! C’est ce que devrait faire Bernadette 86 ans et ses six-cents euros de retraite, au lieu de fouiller dans les poubelles de supermarchés pour pouvoir manger! Ce qui n’empêche pas Nanard-le-guignol de déclarer en 2021: "Les politiciens sont hors sol".
    Se soucier de la misère à l’autre bout du monde est une noble cause et ne prend que le temps d’écrire une chanson rémunératrice, mais le désespoir de Lucienne et de Raymond, prisonniers de banlieues pourries et dangereuses, n’a aucune importance.

    Bien entendu tout cela n’est que du vent, du bidon, du toc, de la façade. Cet artiste engagé (dans quoi ?) est celui qui s’exprime toujours sur les plateaux de télévisions en penchant la tête du coté de son gros anneau. Les apparences, toujours les apparences. Des soignants, des pompiers, des milliers de salariés courageux sont jetés à la rue par un covidiste en chef hystérique. Des gens acclamés et applaudis hier sont bannis aujourd’hui. Rien à dénoncer à ce propos Bernard? Non, trop risqué, pas rentable! Et tes gros muscles alors, c’est pour la scène, la galerie? Le président est "agaçant", mais "personne ne s’en rend compte" dit-il. Seules les manières de Macron le dérangent, mais pas l’immense souffrance d’une partie des Français qu’il provoque. Mais qui est hors-sol Nanard? La France et son peuple, ce n’est pas ton niveau, car toi tu entends "le cœur du monde battre de plus en plus fort". Au passage je te signale que cette phrase ne veut rien dire, mais elle épatera ton public car le vide est votre "matière". C’est ça, la gauche!

    Renaud, fils d’enseignants, prolo pour l’image commerciale, les pochettes de disques et l’alimentation du compte en banque, bobo dans le privé, s’est imaginé en Gainsbourg, le ridicule ne tuant – c’est bien dommage – personne. Gainsbourg-Gainsbarre est devenu Renaud-Renard, toute honte bue. Vit-il en HLM blême? J’en doute. Se déplace-t-il sur une mobylette? J’ai du mal à y croire. Le "Putain de camion" de Nice ne t’a rien inspiré Renaud? Simplement la recette de ta prestation niçoise reversée aux victimes, mais aucune prise de position politique sur ce sujet de fond qui demande un courage que tu n’as jamais eu et que tu n’auras jamais.

    "Miss Maggie" n’est plus là, c’est dommage car elle se trouvait de l’autre coté de la Manche, aucun risque donc. Le matamore en cuir sur-mesure préfère maintenant l’éborgneur du petit peuple en gilets jaunes, l’arracheur de mains prolétariennes pour qui il a appelé à voter en 2017. Aucune chanson à écrire sur le sujet, Renaud, et sur celui qui permet cette violence inouie? Tu aurais pu écrire "Mister Manu" si tu "en avais". Non, rien de rien, non cela ne rapporte rien! Oui, c’est vrai, une chansonnette médiocre, le minimum syndical quoi, mise en scène dans une vidéo ridicule et s’en prenant au "connard de virus" mais pas à celui pour qui il a voté et qui l’a exploité politiquement. Au passage, un coup de griffe à Trump, destiné à rassurer ceux qui pourraient le soupçonner de vouloir abandonner le bord politique de collabos auquel il a toujours appartenu. Petite promotion de la laideur, aussi, en exhibant une partie de son vieux corps bedonnant recouvert de tatouages. Tu es répugnant Renaud, comme les musiciens qui t’accompagnent et, je te rassure, toujours de gauche. En France "les cons sont légion", tu as raison, Renaud, comme toi ils votent Macron. Tu étais un jeune rebelle de plateaux de télévision et d’émissions de variété, tu es devenu un vieux larbin du système.

    Alain Souchon, le gentil garçon, annonce par un coup de gueule qu’il quitte Paris, capitale devenue invivable, sans s’étendre sur le sujet. Dire que la gauche, en l’occurrence la Dingo, détruit tout ce dont elle a la charge est au dessus de ses forces et surtout en contradiction avec son idéologie bornée, mondialiste et multiculturelle. Peu importe, il en a largement les moyens. Le peuple de France a du, il y a déjà vingt ans, fuir les banlieues avec les moyens du bord mais il s’en est d’autant moins aperçu qu’il n’en avait rien à faire. Mais où est donc cette "Foule sentimentale" si fructueuse, Alain? Elle ne l’est plus, sentimentale, à moins qu’elle ne soit plus…rentable?

    Francis Cabrel, combien t’a rapporté "Saïd et Mohamed"? Combien t’ont rapporté toutes tes dénonciations musicales? Tu ne veux pas nous le dire? Et combien te rapporterait une chanson dont je t’offre le titre: "Christiane et Jean-Paul" salariés smicards vivant chacun de leur coté dans leur voiture déglinguée été comme hiver? Tu aurais pu écrire aussi "Mauranne et Laura" égorgées et éventrées à Marseille mais cela demande du courage et ne rapporterait rien, tu le sais, sinon un bannissement de ce showbiz puant d’égoïsme, de conformisme, et surtout de lâcheté. Tu as raison, tu lui ressemble.

    Maxime Le Forestier est "Né quelque part" en France, pays devenu dangereux et dictatorial. Albert aussi est "né quelque part" à Bondy dont il a été chassé car "mangeur de porc ". Monique "née quelque part" à Trappes a réussi à échapper à une attaque au couteau, mais c’est banal. Tiens Maxime, toi, l’admirateur de Brassens, tu as chanté avec talent, comme d’habitude, et avec ta guitare magnifiquement jouée, comme il se doit, " Tant qu’il y aura des Pyrénées ". Qu’as-tu à dire de la macronie, de sa violence, qu’as-tu a dire de l’état de la France et de la terrible souffrance de son peuple, rien? Serais-tu, maintenant toi aussi un artiste "dégagé"? Le maître Brassens -que je mets personnellement au dessus de tous- semble avoir écrit cette chanson pour toi. N’aurais-tu pas cette vague impression? J’ai le sentiment qu’il a écrit aussi pour d’autres, suivez mon regard: "Je, tu, il, elle, nous, vous, ils, tout le monde le suit docile, il y a peu de chances qu’on détrône le roi des cons". Et ça ne rime ni avec Pompidou ni avec De Gaulle!

    Voilà pour les lopettes d’hier, il y en a beaucoup d’autres.
    Les chanteurs d’aujourd’hui sont dignes de leurs devanciers, ils sont de la même " trempe ", du même tonneau, artificiels, superficiels, lâches et moutonniers. Ils n’ont plus rien à dénoncer, à combattre, juste une chose à défendre: leurs situations privilégiées. La dictature est là alors, on baisse la tête et on collabore. Oubliés les mains arrachées, les yeux crevés, les salariés jetés à la rue, les humiliations, les insultes, les restrictions de libertés, l’obligation déguisée de s’injecter une saloperie dans le corps, malgré le code de Nuremberg. Une collaboration active, honteuse, dégueulasse, puisqu’ils sont allés jusqu’à appeler à voter Macron.

    Thomas Dutronc, fils de son père et aussi fils de sa mère, astrologue pour les benêts, a appelé à voter pour celui qu’il devrait haïr, s’il avait la moindre conscience. "L’opportuniste" était-elle aussi une chanson prémonitoire, fiston à son papa? Se ranger dans le camp de celui qui cogne n’est pas très glorieux, n’est-ce pas! Ton père a chanté "Merde in France". A l’évidence ces effluves probablement agréables pour toi ont guidé ta prise de position.

    Lulu Gainsbourg qui n’est pas digne d’être le fils de son père, soutient celui qui considère les chômeurs comme des fainéants refusant de traverser la rue pour trouver un emploi, lui, né avec une cuillère d’argent dans la bouche. "Ceux qui ne sont rien", "les sous-citoyens", les non vaccinés "qu’on emmerde", il n’en a rien à cirer, le rejeton. Le monde des salariés, des ouvriers, ce n’est pas son monde.

    Matthieu Chedid, autre lavette et miauleur professionnel, fils de… oui, d’accord. Sais-tu qu’il n’y a pas de culture française, Matthieu, comme l’affirme ton président chéri, Moumoute 1er, qui ne sera jamais le mien? S’il n’y a pas de culture française, c’est quoi ton monde, le néant? Quoique … quand on écoute sur Youtube ton hommage à Christophe avec "Les mots bleus", nous n’en sommes pas loin … du néant!

    Davy Sardou -que des grands noms- et ses collègues sont, entre autres, les hommes d’aujourd’hui qui ont appelé à faire barrage à Marine Le Pen. Des hommes d’aujourd’hui qui ont eu peur de maman-chats! La France est foutue. "Ne m’appelez plus jamais France" mais Frankistan. Sois rassuré, Davy, c’est pour demain. Un futur proche dans lequel la peau de tous ceux de ton monde arrogant, suffisant, subventionné et couard ne vaudra plus grand chose et ce ne sera que justice. A moins que vous ne vous aplatissiez, que vous ne courbiez l’échine, que vous ne vous soumettiez bref, que seule votre incommensurable lâcheté guide, une fois de plus, votre conduite.

    La quasi-totalité de la classe politique est à vomir. Les medias d’état, radios et télévisions, gavés d’argent public, ne sont aujourd’hui composés que de caniches aboyant tous la même propagande. Quant aux artistes, mis à part une minuscule minorité (Brigitte Bardot, Nicoletta, Annie Duperey, Véronique Genest, Laurent Voulzy, Jean-Jacques Goldmann, Michel Polnareff, Francis Lalanne, et quelques autres), nous savons maintenant ce qu’ils valent.
    "Les Enfoirés" étaient sans aucun doute une noble cause, malheureusement constituée en quasi-totalité d’enfoirés vénaux, voyant en elle un magnifique support publicitaire.

    Cela fait vingt ans que je ne regarde plus la télévision; je n’irai plus jamais au concert ni au cinéma. Le monde artistique me dégoûte, me répugne et ne mérite qu’un définitif mépris.
    Une partie du peuple de France, abrutie par les médias, manipulée par tous ces politicards pourris jusqu’à la moelle et bouffant tous au même râtelier, hypnotisée par cette méprisable clique de saltimbanques parasites -pléonasme- a voté pour sa disparition. Cette clique n’a aucun scrupule à travestir son égoïsme, son égocentrisme démesuré, en humanisme. L’autre partie de ce peuple, encore lucide, sera livrée à elle-même pour, probablement, le pire.
    Le constat est sans appel: les veaux sont largement majoritaires. Moumoute 1er est ré-élu.

    Bon quinquennat à tous!

    Jim Jeffender

  • Pâtes pour 10 millions de français…

    Macron lui a festoyé à Versailles 

    Comme le faisait Louis XVI, pendant que le bon peuple crevait de faim, Emmanuel Macron festoye à "La Lanterne" à Versailles avec ses courtisans.

    Le président de la République Emmanuel Macron n'est pas rentré à l'Élysée après son discours de victoire, ce dimanche 24 avril. Il a pris la direction de la Lanterne, résidence présidentielle à Versailles, pour fêter sa réélection à la présidence de la République. A " La Lanterne ", Emmanuel Macron s'est mis à l'ombre des rois.

    https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2020-12-18/quest-ce-que-la-lanterne-cette-residence-ou-emmanuel-macron-sest-isole-pour-se-remettre-du-coronavirus-d4b745fc-90f9-456a-bbba-d76b86c77362

    Pendant que 10 millions de français mangeaient des pommes de terre à l'eau ou des pâtes, Emmanuel Macron a fêté sa réélection au pavillon de " la Lanterne " avec le menu suivant:

    Mises en bouche

    Foccacia aux herbes façon pissaladière,
    Pâté croûte de volaille fermière, citron confit et pignons de pin,
    Socca de pois chiche bio de Cucuron façon Tacos.

    Entrée

    Asperge verte de Mallemort, saumon fumé et condiment mimosa.

    Poisson

    Dos de St Pierre rôti, taboulé de courgettes au basilic, fumet crémé au Curry Madras.

    Viande

    Gigot d'agneau de Haute Provence confit, crumble à l'ail des ours, polenta gratinée et jus réduit.

    Dessert

    Comme un calisson, poire et melon, crème légère aux amandes, tuile glace royale.

    Le tout arrosé de grands crus issus des meilleurs vignobles de France.

    Entouré de ses proches, de plusieurs ministres, des dirigeants de LREM, et d'une cohorte de courtisans, Emmanuel Macron a donc partagé un repas copieux et abondant dans une ambiance joyeuse et festive, comme s'il célébrait la victoire de l'équipe de France au Mondial, dans cette ancienne résidence royale.

    Au débit de la Ve République, la Lanterne a d'abord été la résidence des Premiers ministres

    Le pavillon, construit sous Louis XVI, touche le parc du château de Versailles. Le domaine de quatre hectares est situé à tout juste une demi-heure de Paris. Elle a d'abord vu défiler bien des premiers ministres, adeptes du faste caractérisant cette luxueuse demeure, avant de devenir une "résidence présidentielle" depuis 2007. Car Nicolas Sarkozy estimait que ce luxueux domaine lui était plus adapté qu'à " son collaborateur François Fillion".

    En 2017, au soir du premier tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron avait privilégié "La Rotonde" pour festoyer. Nicolas Sarkozy avait lui choisi " le Fouquet's " pour fêter sa réélection aux frais des français en 2007.

    Francis GRUZELLE
    Journaliste et écrivain
    Carte de Presse 55411

    Consulter ces articles pour un complément d'information:

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/elections/pr%C3%A9sidentielle-2022-emmanuel-macron-va-f%C3%AAter-sa-victoire-%C3%A0-la-r%C3%A9sidence-de-la-lanterne-%C3%A0-versailles/ar-AAWxWef?ocid=uxbndlbing

    https://www.sudouest.fr/elections/presidentielle/emmanuel-macron-fete-sa-victoire-a-versailles-a-la-residence-d-etat-de-la-lanterne-10718098.php

     

    Dans la chanson révolutionnaire

    Ha, ça ira, ça ira,

    les aristocrates à la lanterne

    Ha, ça ira, ça ira,

    les aristocrates, on les pendra…

    La lanterne en question n'est pas le château évoqué ci-dessus mais les lanternes qui illuminaient les rues, le soir venu.