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Nutrition - Page 10

  • Boire un petit coup, c'est agréable!

    L’alcootest intelligent et connecté

    Dans les pays ayant institué une alcoolémie "zéro" au volant, un grand progrès dans la prévention vient d’être franchi par un groupe d’étudiants de l’Institut de Technologie de Cintalapa dans le Chiapas au Mexique. Il fallait y penser et ils l’ont fait: des détecteurs d’alcool sur le volant des voitures qui, en cas de réponse positive, neutralisent le démarreur de la voiture ! Plus besoin d’alcootest. Puisqu’on transpire de l’alcool et que la technologie de détection existait, il suffisait de réunir plusieurs petites astuces pour arriver à ce gadget inattendu et d’une redoutable efficacité: si on a bu un verre de bière, c’est bon, la voiture ne peut pas démarrer.

    Naturellement ce genre de progrès technologique ne peut s’appliquer que dans les pays où la tolérance zéro est appliquée sévèrement, comme par exemple en Suède ou au Japon. Les statistiques mexicaines indiquent que 77000 accidents dus à l’excès d’alcool au volant sont répertoriés chaque année, soit 4 accidents chaque heure. Autant dire que le gouvernement a immédiatement encouragé ce projet.

    Des détecteurs se trouvent sur le volant, le levier de vitesse et le dossier du siège du conducteur. L’installation électronique analysant les signaux des détecteurs comporte une géolocalisation et une application pour téléphones mobiles qui peut envoyer un signal à la famille ou à des amis en indiquant la position du véhicule ainsi immobilisé. Quelqu’un peut alors "venir au secours" du conducteur…

    Une start-up vient d’être créée avec l’appui du gouvernement de l’État du Chiapas pour le développement commercial de cet ingénieux système qui a aussi l’avantage d’être simple et peu coûteux, n’importe qui peut l’installer lui-même.

    En quelque sorte un système d’alarme dédié à la détection d’alcool à utiliser sans modération.

     

  • La nutrigénétique, avenir de la nutrition

    Qu'est-ce que la nutrigénétique ? Une discipline naissante mais prometteuse qui pourrait bien un jour amener à reconsidérer les recommandations alimentaires pour les adapter au mieux aux besoins de chacun de nous.

    Comment faire pour rester en bonne santé?

    Règle numéro 1: adopter une alimentation équilibrée. Surveiller ses apports en vitamines et minéraux pour éviter les carences et être sûr de ne pas manquer de nutriments essentiels au bon fonctionnement de son organisme.

    La naissance de la médecine prédictive

    La nutrigénétique est issue de ce qu’on appelle la médecine préventive, un concept édicté par le prix Nobel de médecine Jean Dausset en 1980 : " Depuis des siècles, la médecine a essayé de traiter et aujourd'hui son but ultime est de prévenir plutôt que de guérir. Mais pour prévenir, il est nécessaire de prédire ; c'est pourquoi la médecine prédictive, première étape de la médecine préventive, est née ".

    Problème: l’alimentation optimale n’est pas la même pour tout le monde. Le régime alimentaire qui convient à votre voisin n’est pas forcément adapté à votre organisme. Parce que nous n’avons pas tous le même profil génétique, nous n’avons pas tous le même métabolisme ni les mêmes besoins alimentaires. Tel est le principe de la nutrigénétique. LaNutrition.fr vous fait découvrir cette spécialité innovante et vous présente trois maladies que la nutrigénétique peut contribuer à prévenir : les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose et l’hypercholestérolémie.

    Prévenir pour mieux guérir

    " Nous sommes tous le résultat d’interactions entre gènes et environnement, explique le docteur Helena Baranova, organisatrice en France du premier diplôme inter-universitaire de Médecine Prédictive. Le but est d’adapter au mieux l’environnement de chacun aux susceptibilités génétiques qu’il y a derrière ". Ça tombe bien : le programme international de séquençage du génome humain s’est achevé avec succès en 2003 et a permis d’identifier près de 30 000 gènes. " En connaissant votre profil génétique, vous pouvez découvrir les particularité métaboliques de votre organisme et adapter votre environnement et donc votre alimentation en conséquence, explique la spécialiste. C’est de la prévention intelligente ".

    Balayer les idées reçues

    La génétique représente un outil extraordinaire dans le concept de prévention personnalisée, à condition de l’appréhender correctement. " Il est indispensable de différencier la génétique utilisée dans le cadre de la médecine prédictive des idées reçues que les gens ont sur cette discipline ", souligne le docteur Baranova. Selon la chercheuse les analyses génétiques sont souvent synonymes de maladie dans l’esprit du public. " Il faut absolument distinguer la logique des maladies monogéniques de celle de la prévention personnalisée. " Une maladie monogénique est une maladie liée à un seul gène. C’est par exemple le cas de la mucoviscidose : si vous êtes porteurs des deux copies du gène de cette maladie, alors vous serez forcément atteint de mucoviscidose. " Mais en prévention l’approche est totalement différente. Pour commencer on ne travaille pas sur des gènes isolés mais sur des combinaisons de gènes dont il faut systématiquement analyser les interactions. Par ailleurs nous travaillons sur des maladies induites par l’environnement, ce qui explique qu’on ne parle pas de risque absolu ou de diagnostic. On parle plutôt de tests prédictifs et de risque relatifs donc toujours modulable. D’ailleurs en consultation nous essayons de bannir les termes de "risque" et de "prédisposition" que les patients peuvent trop facilement percevoir comme une fatalité“.

    Cet outil génétique est indissociable d’une analyse du mode de vie du patient et de son environnement. "D’ailleurs le fait de détecter un gène de sensibilité à une maladie chez un patient ne veut absolument pas dire que ce dernier va développer la maladie", précise la spécialiste. Ça signifie juste que c’est une possibilité, mais si on en tient compte dans une prise en charge personnalisée et globale, on peut adapter l’environnement de façon à éviter parfois que cette maladie ne se déclare".

     

  • Chapeau!

    Un spray d’ADN pourrait révolutionner la traçabilité des aliments

    "Un spray d’ADN pourrait révolutionner la traçabilité des aliments", source James Andrews du 17 novembre 2014 dans Food Safety News.

    Cela ressemble à quelque chose tout droit sorti de la science fiction agricole: une solution liquide contenant des morceaux uniques d’ADN qui sont pulvérisés sur un aliment afin d’identifier facilement les informations sur l’endroit d’où il vient et comment il a été produit dans le cas d’une éclosion ou d’un rappel.

    DNATrek, une start-up de Bay Area, espère révolutionner l’industrie de la traçabilité des aliments avec un "code-barres" ADN qui peut être ajouté aux fruits et aux légumes par une pulvérisation de liquide ou de cire. La société affirme que le traceur est inodore, insipide et ne pose aucun risque pour la sécurité des aliments.

    DNATrekSprayLe fondateur et PDG Anthony Zografos a entendu parler de la technologie de la traçabilité avec de l’ADN mise au point au Lawrence Livermore National Laboratory comme un outil de biodéfense grâce à une subvention du ministère américain de la défense. Zografos y a vu une occasion d’appliquer cette technologie à l’industrie de la sécurité des aliments pour tracer plus rapidement les éclosions et les rappels – une entreprise très difficile avec la technologie actuelle, a-t-il dit.

    "En raison de la façon dont la traçabilité des aliments est mise en place, les enquêtes de retraçage sont très souvent peu concluantes ou prennent des semaines ou plus pour être réalisées ", a dit Zografos à Food Safety News. " Sans être en mesure de comprendre le problème, les entreprises alimentaires émettent généralement des rappels massifs, coûteux et réflexes."

    La technologie fonctionne en prenant des petits bouts d’ADN synthétique ou du matériel génétique d’organismes non retrouvés dans les produits alimentaires – des organismes provenant des algues et de la mer – et on ajoute ces extraits avec des traces de sucre dans une solution pulvérisable qui va directement sur les fruits et les légumes. Si un problème se pose avec le produit, l’ADN sur la surface écouvillonnée peut être identifié en 15 minutes.

    L’avantage d’avoir un code-barres avec de l’ADN directement sur les fruits et les légumes frais est de réduire de manière significative que des informations de traçabilité soient perdues. Très souvent, les caisses utilisées pour le transport de produits frais sont jetées bien avant qu’on résolve le problème avec les produits, et ces caisses avaient des informations de traçabilité.

    La technologie permet aussi de multiples couches de pulvérisation. Le producteur peut vaporiser à la ferme, le transformateur peut vaporiser dans son centre de tri, et la société de transport peut pulvériser quand il est en route pour livrer un magasin.

    Chaque code à barres comporte deux parties. La première partie est un code fixe unique de la société de manutention des aliments attribué par DNATrek.

    La deuxième partie est un code configurable que les entreprises alimentaires mettent sur les aliments concernant les paramètres qu’ils souhaitent suivre. Elles peuvent utiliser un code unique pour identifier le champ dans lequel le produit a été cultivé, la date de la récolte, l’équipe de la cueillette, les machines qui ont été utilisées ou de toute autre mesure qu’ils veulent suivre.

    Plus une société est précise avec ses codes d’identification, plus elle peut identifier les problèmes de sécurité des aliments qui pourraient survenir avec leurs fruits et légumes.

    Zografos a réaffirmé la sécurité du produit et l’distingué du génie génétique.

    "Si vous vous mordez dans une pomme, qui a l’ADN sur elle. Ce n’est pas comme si nous consommions de l’ADN", a-t-il dit.

    "Il n’y a aucune inquiétude scientifique fondée à ce sujet. Nous pouvons extraire l’ADN à partir de rien, et je ne pense pas que quiconque puisse prétendre que les algues soient dangereuses."

    La prochaine étape est de tester l’efficacité et la sécurité avec des essais pilotes sur cinq ou six types de produits, a dit Zografos.

     

    En supposant qu’ils peuvent convaincre l’industrie des produits frais avec leur idée, ils voient une myriade d’autres applications potentielles. L’industrie du vin et des jus de fruits pourraient être les prochains utilisateurs.

    "En fin de compte, cela n’est rien de plus que de l’encre", a déclaré Zografos. "Nous pouvons la mettre sur à peu près tout ce que vous aimez."

    © Food Safety News

  • Après les insectes, la boisson de l'arbre... yankee, of course!

    Un petit coup de baobab?

    L'énergie d'un superfruit - Réveillez vos neurones !

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    Ions et minéraux

    Informations nutritionnelles

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    Matahi puise ses vertus dans le fruit du baobab.

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    Mais, cocorico, c'est:

    Fabriqué en France!!!

     

    matahi.png

  • Le microbiome inexploité des plantes pourrait aider à nourrir des milliard d’habitants.

     

    Source Scientific American.

    Le projet sur le microbiome humain a révélé des dizaines de milliers de milliards de microbes vivants dans et sur les êtres humains. Les scientifiques sont en train de faire un recensement des microbes des plantes – et pas seulement les centaines de milliards retrouvés dans le sol. Des communautés microbiennes distinctes vivent à l’intérieur des racines, des feuilles et des fleurs, et dans l’ensemble, elles ont une diversité génétique estimée être de trois à six ordres plus grande que les plantes hôtes. Ce deuxième génome, tout comme le microbiome humain, fournit à la plante les éléments nutritifs et l’aide à supprimer la maladie. Les scientifiques et les agriculteurs aussi pensent qu’elle représente la prochaine grande chose dans l’agriculture.

    Les travaux ont été publiés dans le numéro de juin 2014 de la revue Ecology Letters.

     

     

  • La bouteille (d'eau) qui se mange

    Ooho : des sphères comestibles pour remplacer les bouteilles d’eau ?

    C’est le site fastcoexist.com qui a relevé l’information. Rodrigo García Gonzalez , Pierre Paslier  et Guillaume Couche, trois designers installés à Londres ont créé Ooho, un emballage surprenant à base d’algues brunes. Leur conception leur a valu de faire partie des 12 lauréats du Lexus Design Award  et sera présentée lors de la Semaine du Design de Milan du 9 au 14 avril.

    La technique utilisée pour créer cet emballage est connue sous le nom de "sphérification". Elle est notamment répandue en cuisine moléculaire pour enfermer des liquides dans des sphères gélatineuses. Cela offre un côté esthétique et surprenant : une fine  pellicule gélifiée enferme un cœur liquide.

    Ces sphères peuvent prendre plusieurs tailles. Elles ont de nombreux avantages par rapport au plastique: elles sont biodégradables (même comestibles!) et leur production ne coûterait que 2 centimes d’euros par unité. En pratique, cette sphère gélatineuse est constituée d'une double membrane qui enferme le liquide, comme la membrane d’un œuf protège le jaune. Pour boire, il suffit de la percer et de mettre sa bouche sur le trou. En bonus : on peut manger l’intégralité de l’emballage !

    La double membrane de Ooho est formée d’alginate de sodium, obtenue par la déminéralisation d’algues brunes, et gélifiant en présence de chlorure de calcium. L'eau est d'abord transformée en glace avant d'être encapsulée, afin de faciliter l'opération. 

    Les sphères Oohos peuvent être personnalisées par les entreprises qui peuvent insérer leur logo comestible entre les deux couches de la membrane sans avoir à ajouter de matière adhésive. Même si les embouteilleurs n’adoptent pas à Ooho, les inventeurs espèrent que les gens essayeront de les faire à la maison. "N'importe qui peut les faire dans sa cuisine, en modifiant ou en adaptant la recette", explique Rodrigo García Gonzalez.

    La bulle a toutefois ses inconvénients: ce n’est pas très hygiénique de manger un emballage qui a traîné dans son sac et il semblerait que les buveurs en mettent un peu partout…  Comment la transporter sans la salir ou sans qu'elle s'abîme? Factcoexists.com rappelle toutefois que d'autres entreprises d'emballages comestibles sont parvenues à investir le marché, à l'instar de Wikipearl.

    Les concepteurs ont voulu trouver une alternative en remarquant que la plupart des gens boivent de l'eau dans des bouteilles jetables. "La réalité est que de plus en plus, lorsque nous buvons de l'eau nous jetons une bouteille en plastique", note  Rodrigo García Gonzalez. Au final, pourquoi ne pas boire simplement de l'eau du robinet? Une gourde ou une bouteille en verre est-elle si encombrante?

     

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    Et bien pas trop tôt.....

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