Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Savoir - Page 172

  • "L'école est testée par des groupes fondamentalistes"

    Au "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction des téléphones portables en primaire et au collège à la rentrée 2018.

    "La République doit être sûre d'elle-même, sereine, mais regarder les choses en face." Lors du "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", dimanche, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a reconnu qu'il y avait "un certain nombre" de problèmes autour de la laïcité dans les établissements scolaires. S'il n'existe "pas de statistiques aujourd'hui" sur la pression de l'islam dans ces établissements, il a affirmé qu'il y en aurait "dans le futur". "Je sais toute une série de choses factuelles suffisamment développées, a-t-il toutefois précisé, pour que je prenne des mesures."

    Première de ces mesures, la création d'"unités laïcité" dans toutes les académies. Composées de professionnels chargés de faire de la "prévention", mais aussi d'intervenir ponctuellement dans un établissement, elles doivent être mises en place au cours du premier trimestre 2018. Parallèlement, le ministre va nommer "dans les prochains jours" un "conseil des sages de la laïcité". Pour Jean-Michel Blanquer, "il y a la loi de 1905" séparant les Églises et l'État: "C'est une excellente référence, il y a une jurisprudence, on doit évidemment la respecter, mais il y aura (aussi) ce conseil" des sages, "qui donnera la règle du jeu". Objectif? "Rompre avec la solitude" des enseignants confrontés à ce genre de problèmes, "qui parfois capitulent". "Un professeur qui se trouve dans cette situation doit pouvoir compter sur son établissement, martèle Jean-Michel Blanquer, et l'établissement doit compter sur le rectorat.""L'école, insiste-t-il, est la première pierre de l'édifice laïcité."

    Un "exemple problématique, c'est quand on ne fait pas respecter la loi de 2004" sur le voile à l'école, indique le ministre. Pour les accompagnatrices de sorties scolaires, il ne veut pas de voile non plus. "Mon approche personnelle, précise-t-il, c'est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d'être ce qu'on appelle un collaborateur bénévole du service public (…) qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs." "Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacré", enchaîne-t-il, notant "des évolutions" jurisprudentielles à clarifier. En 2013, le Conseil d'État avait estimé que les parents accompagnant des sorties scolaires ne pouvaient être soumis à la neutralité religieuse imposée aux enseignants.

    "Le méchant, c'est l'ignorant"

    "Il est exact que nous sommes testés par des groupes fondamentalistes, reconnaît-il également. Il y a des gens qui essayent de voir si le système résiste." À la question: "Est-ce que vous avez des remontées sur des professeurs radicalisés ou en voie de radicalisation?", le ministre de l'Éducation répond: "Ce type de phénomène peut exister. C'est encore extrêmement marginal. Mais nous allons être très attentifs à ce phénomène." Jean-Michel Blanquer a ensuite été interrogé sur l'enseignement du fait religieux, souhaité par le président de la République. "Les enfants doivent apprendre le fait religieux, ne serait-ce que pour comprendre les religions des autres, assure-t-il, citant une phrase de Platon: "Le méchant, c'est l'ignorant."

    Autre mesure qui figurait dans le programme de campagne d'Emmanuel Macron: Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction à la rentrée 2018 du téléphone portable pour les élèves des écoles et collèges. "Nous sommes en train de travailler sur cette question pour les modalités", précise-t-il. En septembre, il avait évoqué pour ce faire "des casiers qui ferment". Le port de l'uniforme a été rapidement évoqué: "On doit permettre aux établissements qui le veulent de l'instaurer", répond-il.

    Enfin, peut-on imaginer un jour une école au nom de Johnny Hallyday, ou que le chanteur soit étudié dans les programmes scolaires? "II a rendu plus populaire en France Tennessee Williams…, acquiesce le ministre, présent samedi à l'église de la Madeleine. Si demain quelqu'un décide d'étudier Johnny Hallyday, ce sera d'abord surtout en musique! En tout cas, la musique, qu'elle soit classique ou contemporaine, fait partie des choses qui améliorent notre vie."

    La preuve? Lisez l'archive 8 bis de mon blog du site

    www.josyanejoyce.com

  • Les chrétiens se rebiffent... mais d'autres débiles....

     

    Budapest: des Hongrois érigent une croix devant un magasin Lidl pour protester contre la "censure de l’identité chrétienne"

    Une énorme croix érigée juste devant le magasin Lidl, pour protester contre certains choix marketing qui censurent l’identité chrétienne de l’Europe.

    C’est l’idée d’activistes hongrois qui ont décidé de punir la chaîne de supermarchés allemande d’avoir supprimé les croix de certaines églises utilisées sur les emballages de leurs produits.

    À l’origine, c’était l’emballage d’un yaourt grec qui avait fait polémique, la croix orthodoxe avait été effacée de l’illustration. Tout cela, avait expliqué Lidl, afin de ne pas choquer la sensibilité des clients non-chrétiens.

     

    et pendant ce temps, d'autres très gros crétins….

    Saint-Sulpice-le-Guérétois (23): la croix du portail du cimetière va être enlevée à la demande du Conseil Municipal

    La municipalité de Saint-Sulpice-le-Guérétois (Creuse) souhaite se conformer à la loi de 1905 et retirer la croix du portail du cimetière communal.

    Sous l’église de Saint-Sulpice-le-Guérétois (Creuse), la porte du four de l’ancienne boulangerie tient lieu de décoration. Un peu plus haut, devant ladite église, on peut apercevoir une pierre reposoir surmontée d’une croix, tout comme sur une pierre au pied de l’église on peut voir se dessiner une autre croix…

    Plus loin dans la rue, le cimetière se dresse, et à l’intérieur, de nombreuses sépultures sont, elles aussi, surmontées de cette croix symbolique…

    Cette démarche ne se veut pas polémique, ce n’est pas contre le catholicisme, mais le cimetière est un espace public partagé où tout le monde a accès

    Le portail de la partie haute du cimetière, certainement installé entre les années 1930 et 1960 d’après le maire Claude Guerrier, dispose lui aussi d’une croix, que la municipalité souhaite enlever. Les devis sont envoyés, la croix sera retirée et un nouveau ventail sera mis en remplacement, sans croix.

    "Cette démarche ne se veut pas polémique, ce n’est pas contre le catholicisme, prévient Claude Guerrier, mais le cimetière est un espace public partagé où tout le monde a accès, quelles que soient ses croyances, convictions ou absence de croyances".

    (…)

    Le Populaire

    C'est contre nos racines chrétiennes? Question: depuis combien de temps cette croix était là?

    Elle fait donc partie du patrimoine de la commune.

    Moi, à la place des habitants, je râlerais très, très fort!!!

     

     

  • Discrimination anti-vieux!

    Je dirai même plus! RACISME ANTI-VIEUX!

     Source

     

    Pour payer ses impôts par ordinateur, il faut  au minimum:

    un ordi, une connexion qui marche, les connaissances du fonctionnement du PC et d'internet et du site des impôts.

    Beaucoup de patience car ce n'est pas toujours très simple

    Des connaissances en comptabilité etc...

    Éventuellement un réparateur de PC pas cher!

    De l'électricité

    Deux mains et pas d'arthrose ou rhumatisme!

    voir clair (avoir des lunettes et être bien corrigée, par ex ),

    Un système nerveux en bon état (pas de parkinson, de séquelles d'AVC etc.)

    Un cerveau “jeune“ et l'envie de se servir d'un PC  (certaines personnes brillantes mais artistiques n'ont pas le gout de cela)

    Il n'y a pas que Geneviève 89 ans qui ne pourra pas payer par informatique….

  • Rides? moi, jamais!

     

     

    Des rides? fin du cauchemar… Cliquez sur l'image

     

     

  • Pôôôôvres ponctionnaires! ils vont être HUMILIES!

    Au Conseil régional d'Île-de-France, il faudra désormais travailler 35 heures par semaine

    Les 1900 agents qui travaillent au siège de la région Île-de-France devront travailler 1607 heures par an contre 1568 actuellement. Une augmentation du temps de travail qui met fin à un système dérogatoire.

    Au siège de la région Île-de-France, c'est un vote qui fait grincer des dents. Et pourtant, il ne fait que rétablir une durée légale du travail. Le Conseil régional a adopté, vendredi 24 novembre, en séance plénière, un texte qui augmente le temps de travail de ses agents au 1er janvier 2018. Pour l'instant, les fonctionnaires - du siège - travaillent 1568 heures par an, mais ils passeront à 1607 heures (soit 35 heures par semaine) l'année prochaine. Soit une augmentation de 39 heures de travail au total.

    Ce chiffre n'a pas été choisi au hasard: il correspond aux nombres d'heures légales à effectuer par an pour les fonctionnaires territoriaux soit...35 heures par semaine. Par ce vote, la région Île-de-France met fin à un système dérogatoire mais légal qui date de 2001, et s'aligne sur une préconisation du rapport rendu en mai 2016 par Philippe Laurent, maire (UDI) de Sceaux et président du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale à Annick Girardin, alors ministre de la Fonction publique.

    Rogner sur les congés

    "La région se devait de passer aux 35 heures, souligne au Figaro la vice-présidente (LR) Marie-Caroline Ciuntu, en charge de l'administration et des lycées en Ile-de-France. Nous sommes dans un contexte où il est normal de faire attention à nos frais de fonctionnement, et que les agents participent à l'effort."

    Concrètement, pour les 1900 fonctionnaires concernés, cela représente 5 jours de congé en moins sur un total de 53 par an. En parallèle, il est aussi prévu de réduire le nombre de jours accordés pour les autorisations d'absences exceptionnelles. "Cela représente au total une trentaine de journées supprimées", rapporte la CGT, contactée par Le Figaro.

    Escrocs de l'intelligence humaine!

    De son côté, Marie-Caroline Ciuntu nuance: "Les syndicats oublient de préciser que parallèlement (NDLR: aux jours de congé supprimés) nous avons ouvert plus largement ces autorisations. Ainsi, par exemple, autrefois pour le mariage d'un agent, il lui était accordé 8 jours, c'est désormais 5. Mais dans le même temps, on a par exemple reconnu l'existence des familles recomposées."

    Le vote de vendredi dernier désole la CGT qui pourfend la remise en cause "d'un accord tout à fait légal". "C'est afficher une volonté d'en découdre avec les agents", poursuit le syndicat. Et la CGT de rappeler qu'au siège "une cinquantaine de postes sont supprimés chaque année, en plus de départs à la retraite non remplacés."

    Toutefois, tous les fonctionnaires territoriaux d'Île-de-France ne sont pas concernés par la mesure.  BIEN DOMMAGE! Le Conseil régional a pris en compte la pénibilité du travail des 8500 agents techniques des lycées. "Cette pénibilité tient aux horaires, aux charges physiques, à l'exposition parfois à des produits dangereux, ou encore à l'explosion des effectifs dans les lycées qui n'a pas été anticipée lors de la précédente mandature", appuie la vice-présidente Ciuntu. Satisfait de cette prise en compte, à la CGT, on confie toute de même: "Madame Pécresse a reconnu la pénibilité pour ces agents (NDLR: les agents techniques des lycées), car en réalité il y avait des menaces de grèves dans les cantines."

    La fin d'un système dérogatoire

    Cette augmentation, n'est en réalité qu'un rattrapage du taux légal. En effet, depuis la mise en place de l'Aménagement et de la réduction du temps de travail dans la fonction publique (ARTT) en 2000, la durée du travail dans la fonction publique a été portée à 1607 heures par an (ce qui équivaut à 35 heures par semaine). Un chiffre que beaucoup d'administrations territoriales ont contourné grâce à une loi du 3 janvier 2001 qui a permis de conserver des systèmes anciens de fonctionnement.

    Le siège de la région Île-de-France doit quitter Paris début 2018 pour Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis. Les agents seront-ils davantage contrôlés dans le bâtiment flambant neuf? Y aura-t-il, par exemple, un système de badgeuse? "Le système de badges n'est pas envisagé, coupe Marie-Caroline Ciuntu. Nous souhaitons promouvoir la confiance et la responsabilisation des agents".

    La confiance???? avec des ponctionnaires?

    saintdikalisés jusqu'aux oreilles????? avec les poils du tchoul qui leur sert de canne?

     

     

  • BIEN ENVOYE! Une opinion d'Hamid Zanaz,

    journaliste et essayiste algérien résidant en France.

    " Monsieur, la France n’est pas un pays raciste. Dire le contraire est un mensonge, une connerie. Alors taisez-vous.

    Je suis de culture islamique et universelle, algérien résidant en France depuis plus d’une vingtaine d’années. En vous lisant et en vous écoutant depuis un certain temps sur le sujet de l’islam et des musulmans en France, je me demande, Monsieur Plenel (1), si nous vivons dans le même pays !

    Dans vos articles, dans vos livres, dans vos interventions sur les plateaux de télévision, vous ne cessez de nous présenter, nous les Arabes, les Kabyles, les croyants, les non-croyants, avec éloquence et malice, comme des victimes passives d’un racisme inhérent à la société française. Nous sommes, selon vos analyses, des citoyens de seconde zone, rejetés, discriminés. Non seulement par une majorité de Français, mais par la République française elle-même !

    Permettez-moi, Monsieur l’avocat autoproclamé des pauvres "musulmans", de vous dire que sous l’apparence de votre analyse complexe et de votre indignation scénarisée, vous n’annoncez que des balivernes. N’est-il pas irresponsable et idiot de lancer des mensonges que les faits démentent tous les jours?

    Les Arabes et les musulmans ne vivent pas dans un ghetto en France, ils ne sont pas les juifs du passé comme vous le dites avec légèreté, et sans mesurer les dégâts que pourrait provoquer ce discours calamiteux. Par la vulgarisation du ridicule mot de l’islamophobie, vous avez créé une guerre civile dans l’âme de chaque jeune issu de l’émigration. Depuis des années vous adressez des messages dangereux et irresponsables aux jeunes issus de l’émigration: la France ne veut pas de vous, la France n’aime pas votre religion, la France ne vous considère pas comme des Français à part entière, vous êtes discriminés à l’embauche, la France vous refuse le logement, la France a exploité vos parents, le colonialisme a massacré vos grands-parents, la France refuse de reconnaître ses crimes en Afrique du Nord, etc.

    Comment voulez-vous, après toute cette incitation insidieuse à la haine, que certains de ces jeunes ne prennent pas les armes contre leur propre pays sali par votre discours mensonger?

    Ce discours essentialiste est responsable de l’islamisation des quartiers car vous avez poussé les jeunes dans les bras des Frères musulmans de l’Union des organisations islamiques de France, les amis de votre ami Tarik Ramadan.

    Monsieur, la France n’est pas un pays raciste, dire le contraire est un mensonge, une connerie ni moins ni plus. Et c’est un étranger de culture islamique qui vous le rappelle! Sachez, Monsieur le défenseur d’une cause fictive, que je ne me reconnais absolument pas dans votre discours de victimisation, alors que je ne vous ai rien demandé. Ne me défendez pas, je n’ai pas besoin de vous ni d’aucun autre tuteur. Le temps du paternalisme est révolu.

    "Musulmans", dites-vous? Les musulmans sont-ils tous musulmans, Monsieur l’intellectuel? Les musulmans sont-ils musulmans à perpétuité? Je ne vous permets pas de me désigner par une partie de moi-même, supposée ou réelle! Comme j’ai le devoir de vous dire qu’au moment où les intellectuels dans le monde dit "arabe" luttent avec courage et travaillent pour l’avènement d’une culture post-islamique, vous encouragez ici l’obscurantisme et ses promoteurs tels que Tarik Ramadan.

    Comme tous ceux que vous appelez faussement arabes et musulmans, de France et de Navarre, je suis majeur et vacciné. Ne parlez pas à ma place ! Merci.

     (1) Auteur du livre-plaidoyer "Pour les musulmans" (2014), Edwy Plenel est cofondateur du site d’investigation et d’opinion Mediapart. Il a été récemment la cible de "Charlie Hebdo". Le périodique satirique l’a caricaturé en une sous la forme des singes de la sagesse qui se couvrent la bouche, les oreilles et les yeux pour ne pas voir. Une allusion aux liens de l’homme de presse avec l’islamologue Tariq Ramadan, ciblé par plusieurs dénonciations d’agressions sexuelles voire de viols (dans le cadre du #balancetonporc). En réponse, Plenel a déclaré que cette une fait partie d’une "campagne générale de guerre aux musulmans". Des propos considérés comme un appel au meurtre par la rédaction de l’hebdo.

    http://www.lalibre.be/debats/opinions