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Savoir - Page 168

  • Les merdias: leur supprimer les aides de l'état, vite!

    Saviez-vous que l'Etat (donc, nos impôts) financent les journaux français? Et pour lire quoi? une diarrhée de gauchiasserie inimaginable!

    Le procureur Courroye: ma tête a été demandée par les medias à Hollande, j’ai été muté…

    Quand les medias font et défont la justice…

    Le réquisitoire du procureur Courroye

    Reconnu comme juge intransigeant sur les affaires politico-financières avant d’être vilipendé comme "proche de Sarkozy", le magistrat défend son intégrité et accuse journalistes, magistrats politisés et politiques dans "Reste la justice".

    A ses débuts, en 1986, il a recueilli les confidences glaciales du " Boucher de Lyon " Klaus Barbie, à la prison Saint-Joseph de Lyon. " Il ne m’a dévoilé que son cynisme " raconte Philippe Courroye de cette première expérience. Il a envoyé en prison Alain Carignon, le maire RPR de Grenoble dans l’affaire du marché de l’eau ; il a instruit les affaires Botton à Lyon, des ventes d’armes à l’Angola et du Crédit lyonnais à Paris. Mais le magistrat, réputé intransigeant avec les politiques, a été cloué au pilori quand, devenu procureur à Nanterre, il a été présenté comme "l’ami" de Sarkozy, avant d’être muté avocat général à la cour d’appel de Paris.

    "Je n’ai connu qu’une pression, celle des médias. Les secrets de l’enquête et de l’instruction ne sont plus des secrets. La présomption d’innocence est devenue une présomption de culpabilité, certains médias s’érigent en procureurs généraux de la nation, les avocats plaident devant les médias et attaquent l’enquête, l’instruction sur la procédure plus que sur le fond. Cela pénalise le magistrat et le justiciable. "

    Êtes-vous un proche de Nicolas Sarkozy?

    "Les contrevérités, “fake news” comme on dit maintenant, je peux en devenir un spécialiste tellement j’en ai été victime. La presse m’a présenté comme le grand ami de Nicolas Sarkozy parce que j’ai eu le tort de répondre à un journaliste que je le connaissais. J’ai été nommé procureur à Nanterre avant son élection, j’ai instruit les affaires concernant ses proches Carignon, Bédier… Dans l’affaire Bettencourt, après les enregistrements effectués chez Liliane Bettencourt révélés par Mediapart, le parquet de Nanterre a effectué 3 345 PV, 357 scellés, 37 perquisitions avant de conclure qu’il n’y avait pas matière à poursuivre. Dépaysée à Bordeaux, l’affaire a abouti au même résultat. Cette accusation bafoue le travail des policiers et de tous les magistrats qui à Nanterre comme à Bordeaux où l’affaire a été dépaysée sont parvenus aux mêmes conclusions juridiques que moi. Je n’ai jamais fait de politique. Un magistrat ne peut pas être politisé“.

    Vous dénoncez une justice politisée et une mutation politique que vous ne souhaitiez pas?

    "Ma mutation a été réalisée avec une rapidité supersonique et inédite (un mois) juste après l’élection de François Hollande à qui ma tête était demandée, y compris par des journalistes. Encore une “fake news” : je créais, paraît-il, des conflits à Nanterre. Or tous mes adjoints au parquet m’ont soutenu. Oui, la justice est politisée. La preuve en a été apportée par ce " mur des cons ", aussi pitoyable que lâche et scandaleux affiché au Syndicat de la magistrature. Pour le moment, cela n’a abouti à aucune sanction à part pour le journaliste qui a révélé son existence, étonnamment enfoncé par les syndicats de sa profession".

    Vous dénoncez aussi les zones de non droit, l’état des prisons et la politique pénale?

    "Les gouvernements successifs ont mis la poussière sous le tapis en laissant l’islamisme radical prospérer dans les zones de non-droit et dans des prisons vétustes et pas adaptées. Pour moi, ces individus doivent être enfermés dans le cadre de dispositifs séparés et spéciaux. La justice ne peut pas être crédible quand 80 000 à 100 000 peines ne sont pas exécutées. Je suis d’accord sur le fait qu’une peine d’un, deux ou trois mois de prison n’a aucun sens. En dessous de six mois ferme, des alternatives sont préférables. Reste à se donner les moyens de traiter et suivre ces personnes. En revanche, le condamné (définitivement) doit aller en prison et purger sa peine“.

    https://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2018/04/15/le-requisitoire-du-procureur-courroye

     

  • A votre avis, escroquerie pure et dure?

    sous couvert d'aide et solidarité….

    Comme j'avais raconté sur le site une expérience de “voyance“ en forme d'IME sur un site et que le médecin (voir plus bas) m'avait répondu en m'indiquant que oui, ma vision pouvait relever d'une EMI*, je viens de recevoir cet incroyable e-mail (le 1er du genre) et là, j'ai toutes les peines du monde à ne pas me mettre en colère!

    *Il est donc possible d'avoir une EMI alors que l'on est EVEILLE-E!

    Finalement, c'est bien ce que j'ai toujours pensé: un jour ou l'autre, les intentions les meilleures deviennent de la pure escroquerie! Honte à ce médecin: tout ceci commence à prendre l'odeur nauséabonde de prémisses d'une secte.

     

    Bonjour à toutes et à tous,
    Nous remercions chaleureusement toutes les personnes qui ont d'ores et déjà soutenu de leurs dons la rencontre "Expériences de Mort Imminente" que notre association organise en juin 2018.
    A ce jour, 34 personnes ont contribué pour un total de 1442 €, avec des dons allant de 5 à 100 €. La moyenne des dons est de 42 €.
    Cette somme nous permettra déjà de défrayer totalement les personnes qui ont les plus faibles revenus.
    Le reliquat sera réparti entre tous les autres participants et permettra de réduire en partie le coût de leur hébergement.
    Cependant, conformément à notre éthique, nous aimerions que cette rencontre soit totalement gratuite pour tous les participants, et nous n'avons pour l'instant recueilli que la moitié de la somme qui serait nécessaire.
    Pour cela, il faudrait que nous réunissions au moins 3000 €, et il ne reste que 9 jours avant la fin de cette campagne de financement participatif, qui se terminera le 29 avril.
    Il est encore temps de contribuer, et si ce n'est déjà fait, vous pouvez vous rendre à l'adresse suivante : https://www.zeste
    Vous pourrez y découvrir tous les détails concernant cette rencontre, qui permettra à 30 personnes de sortir d'un isolement qui, pour beaucoup, dure depuis des dizaines d'années.
    Si vous désirez nous soutenir, il vous suffira de cliquer sur l'encadré "Faites un Zeste" puis de choisir le montant de votre contribution et si vous le désirez, votre contrepartie.
    Au nom de toute l'équipe de bénévoles de IANDS-France, et surtout de toutes les personnes que vous allez aider de votre générosité, je vous adresse par avance mes plus chaleureux remerciements!
    Très cordialement
    Dr Jean-Pierre JOURDAN
    Président, directeur de la recherche médicale IANDS-France
    iands-france.org  
    deadlinelelivre.fr

  • Avant, on le croyait de gauche.....

    .... mais, ça, c'était avant! maintenant, on voudrait savoir où il habite....

     

  • La langue française vaut bien un combat judiciaire

    VIDEZ LA GAUCHIASSE DE NOS FACULTÉS!

    Par Bernard SERGENT, historien et archéologue français

    Après avoir par trois fois débouté les associations qui réclamaient que la langue de Molière soit respectée par les établissements publics, des juges ont condamné une fédération d’universités qui entendait se rebaptiser "Research University". Retour sur les faits.

    Le 7 septembre, la 1re chambre de la 5e section du tribunal administratif de Paris a rendu un jugement dont on ose espérer qu’il fasse désormais jurisprudence.

    A la suite de la plainte d’une association, Francophonie Avenir, la chambre avait à émettre un arrêt sur la question suivante : l’université Paris-Sciences-et-Lettres (PSL), fédération de neuf universités parisiennes, était-elle autorisée à s’appeler désormais "Research University" ? Car ce que faisant, elle violait directement la loi, à savoir celle du 4 août 1994, couramment appelée la "loi Toubon". Cette dernière dispose en effet, en son article 14, que "l’emploi d’une marque de fabrique, de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étrangers est interdit aux personnes morales de droit public dès lors qu’il existe une expression ou un terme français de même sens". Les juges du tribunal administratif ont considéré que tel était le cas, l’université PSL étant un établissement public, et les termes litigieux ayant assurément des équivalents français.

    Ce jugement peut-il exprimer un changement de paradigme ? On peut le souhaiter, car, dans les derniers temps, les plaintes déposées par diverses associations ont toutes été déboutées, bien que toujours appuyées sur les outils légaux existant (loi constitutionnelle de 1992, "loi Toubon", disposition constitutionnelle sur la francophonie communauté, et dispositions de la loi Fioraso sur l’université), et lors même que les cas soulevés étaient de nature analogue à celui de PSL. La subtilité qu’il a fallu déployer pour débouter les plaignants malgré l’évidence de la loi se révèle dans les trois cas suivants.

    1) L’aéroport de Lorraine décide un jour de prendre la dénomination de "Lorraine Airport". Une plainte est déposée devant le tribunal administratif de Metz, par Francophonie Avenir. Le cas est semblable au précédent : l’aéroport est un établissement public, et il y a bien des mots français susceptibles de remplacer les mots anglais. On s’attendait à ce que le tribunal juge comme vient de le faire celui de Paris. Il n’en a rien été. Au contraire, le tribunal de Metz a décidé que l’association "ne pouvait ester en justice" (qui, alors ?). Et il a condamné cette dernière à verser 1 500 euros à l’aéroport lorrain (ladite association a un budget annuel de 2 000 euros). En somme, le tribunal condamnait l’association de citoyens à la non-existence juridique et à l’épuisement financier. Comme s’il fallait la punir de défendre la langue française !

    2) Devant la floraison d’anglicismes dans des noms d’associations touristiques savoyardes, du type de Lake Annecy Ski Resorts, La Clusaz Radikal Mountain et autres Radikal Mountain Junior, l’Association de défense de la langue française en pays de Savoie, ne pouvant les attaquer parce qu’elles sont de statut semi-privé, demande aux juges administratifs d’annuler les subventions que le département de Haute-Savoie a prévu de leur accorder ; l’association demande aussi, le site internet du même département étant rédigé en français et en anglais, que le texte, conformément à la loi du 4 août 1994, fasse l’objet d’une traduction en une seconde langue. Sur le premier point, elle est déboutée : selon le tribunal, les organismes incriminés, même sous tutelle du département, ne le représentent pas, et ne sont donc pas visés par la loi, les subventions peuvent être accordées. Sur le second point, elle est également déboutée. Citons le point 9 du jugement du tribunal administratif de Grenoble du 5 octobre 2017: "Considérant que l’emploi obligatoire de la langue française et l’obligation corrélative de double traduction pesant spécifiquement sur les personnes publiques et les personnes privées chargées d’une mission de service public ne concernent pas les sites internet qui ne peuvent être regardés comme formant un lieu physiquement localisé sur le territoire au sens de l’article 3","l’association requérante ne peut utilement se prévaloir des obligations prévues aux articles 3 et 4 de la loi du 4 août 1994 pour demander que le site internet du département de la Haute-Savoie soit traduit en au moins deux langues étrangères". Redoutable dialectique! Car il s’ensuit que toute faute, voire tout délit, commis par le moyen d’un ordinateur échappe à la loi française, parce qu’on ne sait pas où est physiquement le texte qui apparaît sur l’écran!

    3) L’Ecole normale supérieure (ENS) et ses alliés de Polytechnique, de la faculté d’Orsay ont décidé d’offrir une formation diplômante exclusivement en anglais pour les étudiants du niveau le plus avancé. Nulle présence d’étudiants étrangers n’est explicitement évoquée, comme l’aurait permis la loi Fioraso sur l’université. Une plainte est alors déposée par Avenir de la langue française et treize autres associations. Elles s’attendent, légitimement, à être suivies par les juges du tribunal administratif. Mais la défense des trois grandes écoles consiste à invoquer un dispositif du code de l’Education, de 2016, postérieur donc à la loi Fioraso, et qui stipule que peuvent bénéficier de dérogations à l’obligation de faire cours en français "les établissements dispensant un enseignement à caractère international". Le tribunal a admis cette défense, et les plaignants furent déboutés. Idem devant la cour administrative d’appel de Paris. Avenir de la langue française fut finalement condamnée à payer à l’ENS 1 500 euros de frais de justice !

    Il y a pourtant un jeu sur les mots. Que ces écoles aient une renommée internationale est une chose, qu’elles aient un caractère international dans leur recrutement en est une autre. Surtout, ces établissements seraient-ils réellement internationaux, pourquoi devraient-ils établir des cours en anglais ? Le français est la seconde langue de communication internationale et la seconde langue apprise. "Anglais" n’est pas le synonyme obligatoire d’"international", "français" l’est également. Si une université est internationale, alors raison de plus pour y parler, partout, français.

    La Cour constitutionnelle italienne a condamné les formations uniquement en anglais offertes par l’Istituto politecnico de Turin. Un jugement qui peut faire jurisprudence. On regrette de ne pas avoir l’équivalent en France. Mais un changement de paradigme est possible et, bientôt, il se peut que les tribunaux défendent le français conformément aux textes en vigueur et en accord avec leur esprit, plutôt que de se perdre en arguties destinées à protéger les diverses espèces de contrevenants.

     

     

    ET AUSSI:

    https://youtu.be/nDdejkSKb2E

     

    ET ENCORE:

     

    ALORS, VOUS AVEZ COMPRIS??????

     

     

  • Alors Macrouille, qu'est-ce....... bis répétita

    Depuis près d'un mois, les militants de l'UNI ne ménagent pas leur peine pour tenter de contrer l'offensive de l'extrême-gauche sur nos campus. Plusieurs universités sont en train d'être transformées en véritables "ZAD universitaires"» avec leurs lots de violences et de dégradations.

    Nos militants, pour défendre la liberté d'étudier et d'enseigner, ont multiplié les actions : déblocage non-violent à Strasbourg, présence dans les « AG » pour voter la reprise des cours, campagne de mobilisation, lancements de pétitions, mais aussi plusieurs recours juridiques, comme à Paris - Tolbiac ou à Toulouse, pour exiger l'évacuation de ces sites universitaires.

    Pour la première fois, une majorité de Présidents d'université ont finalement entendu nos revendications et ils ont demandé aux forces de l'ordre de faire « débloquer » leur campus.

    Malheureusement, c'est désormais l'Etat qui refuse de rétablir l'ordre. Le ministère de l'intérieur temporise et prend ainsi le risque de voir ces violences s'accentuer et se propager.

    Désormais, les examens sont directement menacés, les diplômes universitaires vont une nouvelle fois être dévalorisés.

    Aidez-nous à faire pression sur le gouvernement. Nous avons besoin de moyens pour imprimer de nouvelles campagnes et continuer à financer nos recours juridiques.

    Merci, je sais pouvoir compter sur votre aide.

    Olivier Vial

    Président de l'UNI - www.uni.asso.fr

     

    Quand je pense qu'on m'a envoyée à l'usine, en 1964 à 14 ans, pour ramener une paye alors que j'aurais voulu faire des études... puisque j'en avais largement la capacité....

    et voir tous ces ultragauchiasse foutre la merde par plaisir lubrique, sadique et débile afin d'empêcher les étudiants intelligents et "propres" dans leur tête, de passer leur examen, ça donne envie de prendre une matraque et de taper dans le tas... sur la tête pour la faire éclater puisqu'il n'y a rien, RIEN à l'intérieur!

     Ce ramassis de merde finira (p)fonctionnaires pour continuer pendant 40 ans à foutre la merde sans perdre leur travail ou finira journaliste à la Pléniel pour devenir islamo-collabos!

     

     

  • Il n’y aurait pas eu d’attaque chimique!!!

    VIDÉO – Les Russes accusent les Anglais d’avoir fait de fausses vidéos. Il n’y aurait pas eu d’attaque chimique

    Cette vidéo est-elle vraie? Est-elle fausse? Les vidéos que l’on nous montre nous montrent-elles la réalité, jusqu’où doit-on douter et, plus important encore, jusqu’où avons-nous le devoir de douter?

    Cette question n’est pas anodine. C’est celle-ci qui devrait animer chacune et chacun de nous, et surtout ceux qui, par leur position d’information et je pense aux journalistes, ne doivent pas se faire instruments passifs de propagandes mais être en permanence à la recherche de la vérité.

    Parfois, il faut savoir dire… "je ne sais pas si ce qui s’est passé est vrai ou pas"!.

    Imaginez un peu Macron prenant la décision d’embarquer le pays vers une aventure militaire hasardeuse, le tout basé sur des informations erronées. Cela serait gênant.

    Nous devons garder les images en tête de Colin Powell, secrétaire d’État à la Défense, brandissant un flacon verdâtre en disant voici les armes chimiques de Saddam Hussein. C’était en 2003. Nous sommes en 2018 et nous les cherchons toujours. L’Irak n’est plus qu’un champ de ruines. Les victimes se comptent par centaines de milliers.

    Nous verrons demain, preuves à l’appui, que les preuves avancées par notre pays pour justifier les frappes sont assez minces, et qu’au minimum, un véritable débat doit pouvoir avoir lieu sur des sujets aussi graves que la paix… ou la guerre!

    Charles SANNAT

    La vidéo est sur le site: https://insolentiae.com/video

    Ici aussi, c'est à lire: bien documenté, très précis... même si vous trouvez que c'est long (il faudrait aussi apprendre à lire, à bien lire....)

     

    https://www.les-crises.fr

    Franchement, "ils" nous prennent tous pour des billes: Macron a téléphoné à Poutine la veille pour lui dire qu'ils allaient bombarder....

    ... et donc, les "ennemis" ont tout planqué avant qu'on ne leur envoie les missiles...

    comment voulez-vous que les usines de productions d'armes s'en sortent si personne ne les utilisent?

    Hein?

    Et puis aussi: si on bombardait vraiment, le gaz s'échapperaient et quid des populations aux alentours???

    Libre à vous d'y croire!!!