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Science/Tech - Page 15

  • Stephen Hawking: "Nous sommes au moment le plus dangereux de l'histoire de l'humanité"

    Selon le célèbre scientifique, l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis et la sortie imminente du Royaume-Uni de l'UE vient à un moment qui serait le plus dangereux pour la race humaine.

    Selon le professeur de Cambridge, le changement général de politique dans le monde montre que la majorité des humains se sentent complètement abandonnés par les dirigeants et ne leur vouent plus aucune confiance.

     "Nous vivons un moment où les oubliés ont pris la parole pour rejeter unanimement les élites qui les dirigent", explique Stephen Hawking, ajoutant que "l'aspect le plus préoccupant de cette situation est que désormais, plus qu'à n'importe quel moment de notre histoire, notre espèce a besoin de cohésion".

    Le scientifique affirme que le monde est confronté à des défis immenses, dont le changement climatique, la production alimentaire, la surpopulation, la disparition d'espèces, les maladies épidémiques et l'acidification des océans.

     "Tous ces facteurs nous rappellent que nous nous situons bien au moment le plus dangereux du développement de l'humanité", déclare-t-il.

     "Nous pouvons surmonter ces défis. Je dis cela car j'ai toujours été optimiste. Mais il faudra pour cela que les élites, qu'elles soient à Londres ou à Harvard, à Cambridge ou à Hollywood, tirent les leçons de l'année qui vient de s'écouler et apprennent à retrouver une once d'humanité", fait savoir Stephen Hawking.

    Pour l'éminent professeur, l'humanité a atteint un stade d'avancée technologie où elle peut s'autodétruire en réduisant à néant la planète Terre, tout en n'ayant toujours pas développé les possibilités de se réfugier ailleurs.

     "Il est possible que dans quelques centaines d'années, nous aurons établi des colonies humaines dans le cosmos ou sur d'autres planètes. Mais pour le moment, nous n'avons qu'une seule et même planète et nous nous devons de nous serrer les coudes pour la préserver". Le chercheur britannique a également averti que l'intelligence artificielle et l'automatisation croissante de la société qui progresse à une vitesse fulgurante allaient finir par anéantir les emplois de la classe moyenne et aggraver les inégalités, ce qui risque de créer un bouleversement politique significatif partout dans le monde.

     "Les emplois disparaissent, mais aussi les industries. Nous devons aider les gens à se reprendre pour créer un monde nouveau et à les soutenir financièrement dans leur démarche", a ajouté Stephen Hawking.

    Ce n'est pas la première fois que le professeur fait part de son opinion à propos notamment de l'élection de Donald Trump. Dans une interview au réseau télévisé britannique ITV plus tôt dans l'année, il avait qualifié le président élu de "démagogue qui fait appel au plus petit dénominateur commun".

     

  • SAVIEZ-VOUS QUE 17 JOURS APRÈS LA MORT, NOS CELLULES SURVIVENT?

    Oui, j'ai bien dit 17 jours après votre décès, il est possible de récupérer dans vos muscles mort des cellules souches qui, mises en culture, vont se multiplier et se différencier en cellules musculaires. Je n'invente rien: il s'agit du résultat d'une expérience faite en 2012 par une équipe de chercheurs de l'Institut Pasteur à Paris.

     

    Lisez la suite dans mon blog:

    http://www.josyanejoyce.com/blog/index.html

     

     

  • Il n'y aura pas de réchauffement climatique! Préparez-vous à un hiver 2016-2017 très froid!

    2015 : début du refroidissement climatique ?

    Alors que le réchauffement climatique marque une pause depuis les années 2000, dont les causes ne sont pas encore élucidées, certains climatologues envisagent même l'amorce d'une baisse entre 2015 et 2020. La planète risquerait-elle de renouer avec les rigueurs climatiques du 18ème siècle? Décryptage avec notre météorologue Régis Crépet.

    Non, le réchauffement climatique n’est pas aussi évident que cela pour une partie des scientifiques. Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années. Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire, voire même comme certains climatologues (1) l’envisagent de l’amorce d’une baisse à l’horizon 2020 - 2030. Il en va de la climatologie comme de la "pause fiscale" ou de "l'inversion de la courbe du chômage": on peut interpréter les chiffres de différentes manières et en tirer diverses conclusions.

    Le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre (les GES). C'est un raisonnement qui peut s’entendre mais qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres. Dans ses différents rapports rendus publics, le GIEC se base principalement sur la corrélation des courbes d'augmentation du taux de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis le début du XXème siècle et la hausse simultanée des températures planétaires pour se persuader du lien de cause à effet.

    Plus généralement il est admis dans la communauté scientifique que le réchauffement climatique "a été exacerbé par l'effet de serre d'origine anthropique", tout en reconnaissant que ce réchauffement ait pu avoir aussi une origine cyclique naturelle.

    Le réchauffement climatique est en pause depuis 1998

    Comment expliquer que le réchauffement climatique global est en "pause" depuis 1998 alors que les émissions de gaz à effet de serre poursuivent leur inexorable augmentation? En effet, selon les dernières données du RSS satellite data il n’y avait plus, en ce mois de septembre 2014, de réchauffement climatique global depuis exactement 17 ans et 9 mois.

    Si les années les plus chaudes depuis le XXe siècle sont observées durant la décennie 2000 - 2010, cela s’explique par la phase de plateau haut avec des températures planétaires qui restent à peu près au même niveau. Cela reste certes un niveau très élevé, mais un niveau qui n’augmente plus.

    La grande question qui se pose aux scientifiques est de savoir ce qui a pu entraîner cette pause non prévue par les modèles climatiques qui servent de base aux rapports du GIEC. La deuxième question est de savoir ce qui va ensuite se produire : la hausse des températures mondiales va t'elle reprendre ou au contraire la courbe va t'elle entamer une lente baisse? Cette deuxième hypothèse est désormais abordée comme une possibilité. Elle pose la question du rôle précis du taux de CO2 émis dans l’atmosphère car les émissions de gaz à effet de serre sont considérées comme responsables du réchauffement climatique contemporain, en particulier le CO² dont le taux de concentration dans l’atmosphère atteint des valeurs records. Le GIEC avait déclaré à ce sujet que le CO² était "le thermostat de la planète". Alors que ces niveaux de CO² poursuivent leur hausse, comment expliquer la stagnation actuelle des températures?

    Refroidissement global en perspective?

    Pour expliquer cette pause dans le réchauffement climatique, de nombreuses hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un infime pourcentage du rayonnement solaire ou encore la baisse d'activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans. "N'oublions pas la variabilité naturelle du climat qui a toujours fonctionné par cycles bien avant notre ère contemporaine", rappelle Régis Crépet, météorologue à METEO CONSULT. "D'autres paramètres comme l'assombrissement global (augmentation des aérosols dans la haute atmosphère liée à la pollution atmosphérique) peuvent aussi tirer les températures vers le bas, à l'image du volcanisme", précise le météorologue.

    Ces paramètres auraient donc pour conséquence d'amoindrir "temporairement" les effets du réchauffement climatique avant la reprise de la hausse, c'est en tout cas la version officielle émise dans les conclusions du GIEC.

    Cependant, il subsiste de grandes inconnues. Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d'interprétation de cause à effet depuis le début? Si le réchauffement climatique n'était en définitive qu'un cycle naturel tel que la planète en a connu sans cesse et bien avant notre époque industrielle? Rappelons, à cet égard, qu'il faisait aussi chaud au Moyen-Age avant une baisse drastique des températures entre le 16ème et le 19ème siècle.

    A ce sujet, Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l'orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique.

    Al Gore et ses 6 mètres d'élévation du niveau de la mer: réalité 1,7 mm par an (2)

    Face à ces interrogations auxquelles on n'a pas de réponse, des climatologues vont plus loin dans leurs extrapolations. Ainsi l'élévation du niveau des océans, stigmatisée par Al Gore en 2006 ("Une vérité qui dérange"), devait atteindre 6 mètres à l'horizon 2100 or les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l'élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle, et serait proche de 13 millièmes de millimètre par an depuis 2001.

    En outre, cette élévation aurait été très inégale avec un maximum entre 1850 et 1900 puis ensuite entre 1930 et 1960 et enfin depuis 1990. L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (scénario du GIEC) à l’horizon 2100. Le géologue et physicien suédois Nils-Axel Mörner affirme même "qu’il n’y a pas eu de réelle augmentation depuis 50 ans", et que "s’il y a une élévation au cours de ce siècle, elle restera proche de 10 cm".

    Le très sérieux Met Office britannique avait rendu public l'année dernière trois gros rapports expliquant la fameuse pause du réchauffement climatique et proposant des modélisations climatiques selon lesquelles les températures commenceraient à baisser dans la prochaine décennie 2020 : ainsi en 2030, les températures planétaires ne seraient que de +0,4°C supérieures à la moyenne de référence 1880 – 2013, contre +0,65°C en 2013. Selon la NOAA-GISS, cette hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.

    Des scientifiques américains, dont le très connu Anthony Watts, anticipent même la poursuite de cette baisse qui pourrait atteindre son niveau le plus froid en 2100, à peu près au même niveau qu'à la fin du 19ème siècle. Rien de catastrophique mais un retour aux hivers rudes et à l'avancée des glaciers. Avant d'en arriver là, nos climats tempérés retrouveraient des hivers similaires à ceux des années 1960 entre 2020 et 2030.

    2015 ou 2016: années charnières?

    Dans cette perspective, l'année 2016 pourrait jouer le rôle de charnière après 17 ans de stabilité et avant l'amorce possible d'une baisse des températures planétaires dans la décennie 2020 – 2030 (Met Office). A l'heure actuelle, on constate la reprise de l'extension des glaces de l'Arctique (plus de 1,6 millions de km² regagnés depuis 2012, année du minimum historique avec 2007) (3) tandis que la surface des banquises de l'Antarctique n'a jamais été aussi immense depuis le début des mesures des satellites en 1979, avec une extension  record de plus de 20 millions de km². Là aussi des scientifiques (4) attribuent cette nouvelle extension au réchauffement climatique en raison des vents plus violents qui auraient tendance à accumuler davantage de glace flottante autour du continent Antarctique. Constatons tout de même que l'Antarctique a aussi battu ses records de froid pendant l'hiver austral qui vient de s'écouler.

    Si cette amorce de refroidissement se confirmait, qui aura le courage de le dire en fin d’année 2015  alors que se tiendra à Paris la conférence mondiale sur le climat, une conférence qui souhaite parler surtout de réchauffement ?

    Notes et références :

    (1) Au sujet de l’activité solaire, responsable d’un refroidissement climatique : Journal of Geophysical Research ; voir aussi  Advances in Space Research.

    (2) S. Jevrejeva ((Permanent Service for Mean Sea Level) et Church J.A., N.J. White (2006), (A 20th century acceleration in global sea-level rise).

    (3) NSIDC, National Snow and Ice Data Center.

    (4) Jan Lieser et Tony Worby du Centre de recherche coopératif sur le climat et les écosystèmes de l’Antarctique (CRC).

     

  • Avoir très très peur pour l'avenir de l'homme...

    Cerveau humain, intelligence artificielle et robotique

    Pourquoi les cerveaux humains détiennent la clé d'une intelligence artificielle plus élevée.

    Comprendre l'"évolution interne" permanente du cerveau (et nous aider ainsi à nous adapter et à apprendre des compétences complexes comme la maîtrise du langage) pourrait un jour mener à des robots plus intelligents.

     Pourquoi les êtres humains sont-ils capables d'apprendre des langues complexes si jeunes? Et pourquoi la solution à un "problème faisant appel à la perspicacité" (comme le fait de connecter neuf points sur une grille rectangulaire avec quatre lignes droites contiguës sans relever le crayon) traverse-t-elle soudainement votre esprit à votre réveil le lendemain?

    INSIGHT, un projet révolutionnaire financé par l'UE mené par un des pionniers de la biologie évolutionnaire théorique, est parvenu à mieux comprendre comment nous résolvons exactement les problèmes, en examinant la façon dont les idées dans nos cerveaux pourraient évoluer au cours de nos vies. Les résultats pourraient avoir des implications au niveau de la programmation d'un système robotique de résolution des problèmes qui pense par lui-même et enrichir nos connaissances sur le mode de développement du langage humain.

    "La résolution illimitée de problèmes par l'homme et l'apprentissage sans limite sont de loin supérieurs aux résultats obtenus actuellement avec les machines", explique le professeur Eörs Szathmáry, directeur du Parmenides Centre for the Conceptual Foundations of Science à la fondation Parmenides de Munich, en Allemagne et professeur de biologie à l'université Eötvös à Budapest, en Hongrie. "Ces robots manquent notamment d'algorithmes adéquats permettant de résoudre des problèmes faisant appel à la perspicacité dans divers contextes, ce qui est au cœur de la compréhension humaine."

    Par perspicacité nous entendons la capacité par laquelle nous, humains, pouvons créer de nouvelles représentations plus utiles d'un problème, afin d'autoriser des solutions autres que celles apportées par la "force brute",et guider des actions futures. Cela nous permet de traiter de façon très créative des problèmes sortant de l'ordinaire, chose que l'intelligence artificielle a du mal à faire.

    Par exemple, pendant plusieurs années l'expérience et le jeu nous apprennent à marcher, parler et socialiser, alors que le développement d'idées complexes, qui élargissent les connaissances comme la théorie d'Einstein sur la relativité, peut prendre une décennie, voire plus. Souvent une solution inattendue ("eureka") peut surgir sans avertissement préalable, suggérant que le traitement inconscient joue un rôle crucial dans la perspicacité.

    L'évolution de la pensée

    "Les similarités profondes entre la pensée et l'évolution nous conduisent à supposer que des adaptations cognitives (accomplies par la sélection naturelle 'neuronale') ont lieu en temps réel dans les réseaux neuronaux du cerveau humain au cours de la vie", explique Szathmáry. "Nous appelons ce processus la neurodynamique darwinienne“.

    Le projet INSIGHT a fourni des preuves visant à soutenir cette théorie en utilisant des simulations informatiques, des robots, des examens de cultures cellulaires et des expériences de psychologie humaine et de neuro-imagerie. Par exemple, des neurones murins ont été stimulés pour apprendre les modèles temporels d'activité, qui ont été enregistrés et ensuite reproduits sur un réseau naïf pour voir si les informations apprises pourraient être copiées. Les robots ont été nourris d'algorithmes de sélection naturelle conçus pour créer une exploration autonome créative illimitée, et ont été testés pour voir s'ils pouvaient, en effet, créer leur propre objectif.

    "Contrairement à la sélection artificielle, qui dit 'voilà ta fonction, 'c'est à partir de là que tu dois évoluer', nous avons trouvé qu'un robot pouvait développer son propre jeu", explique Szathmáry“. À terme, ces robots pourraient générer leurs propres valeurs et désirs, et en un sens, avoir leur raisonnement propre."Afin de tester cette hypothèse, le projet a mis au point une nouvelle boîte à outils robotique évolutionnaire, appelée Robogen, qui permet à quiconque possédant un ordinateur de créer des corps et cerveaux de robots dans des simulations fondées sur la physique, d'imprimer en 3D des parties évoluées du corps, d'assembler le robot entier et d'observer son comportement dans le monde réel. Le projet a également fait des progrès en cartographiant la façon dont la dynamique darwinienne du cerveau est importante pour le traitement du langage.

    Les implications de ces recherches sont importantes. Une tournure intéressante pourrait être que les processus évolutionnaires qui ont lieu au niveau cérébral pourraient être encore plus puissants qu'à l'état sauvage, étant donné qu'ils sont modifiés et guidés par l'apprentissage. Alors qu'une grande partie de ces hypothèses reste spéculative (et qu'une amélioration des modèles est requise), le projet INSIGHT a commencé à donner corps à une théorie qui pourrait un jour conduire à des machines capables d'apprendre par elles-mêmes, à une traduction plus intelligente du langage et révolutionner l'enseignement et la résolution de problèmes.

     

  • Réchauffement climatique? Préparez-vous plutôt à avoir froid!

    Le soleil annonce un nouveau refroidissement climatique: préparons-nous à avoir froid, plutôt que d’écouter des organismes susceptibles de s’enrichir avec les énergies renouvelables dont ils justifient eux-mêmes l’existence.

    Depuis la nuit des temps, il y a des changements climatiques. Des périodes de froid succèdent à des périodes chaudes. Depuis peu, les changements climatiques sont attribués à l’homme: il jouerait un rôle néfaste en multipliant les émissions de CO2. Ce dernier aurait pour effet de provoquer un réchauffement.

    Pourtant, un refroidissement climatique se prépare. Il découle de la découverte de l’astronome Valentina Zharkova. Cette découverte est capitale: les taches solaires peuvent être prédites et elles sont signe de réchauffement s’il y en a beaucoup, de refroidissement s’il y en a peu.

    L’interprétation des taches solaires

    Depuis des siècles, l’homme observe les taches solaires et le parallèle entre leur nombre et le temps qu’il fait. Il y a 200 ans, William Herschell, l’astronome qui a découvert la planète Uranus, attirait l’attention de ses collègues sur le lien entre le prix du blé en Angleterre et… le nombre de taches solaires. Si elles ne sont pas nombreuses, le ciel est couvert, il fait froid et les récoltes sont faibles, s’il y en a beaucoup, le ciel est dégagé, il fait chaud et les récoltes sont généreuses. D’épouvantables périodes de refroidissement climatique avec très peu de taches solaires, connues sous le nom de Périodes de Maunder et de Dalton, entre 1600 et 1800 ont été encadrées de périodes plus clémentes de 1300 à 1600 et de 1800 à 2000.

    Aujourd’hui, le GIEC, organisme politique de l’ONU, financé pour démontrer le rôle climatique de l’homme, nie ou minimise l’importance des prédictions de Valentina Zharkova. Pourtant, un an plus tard, aucun astronome ou autre scientifique n’a émis la moindre critique sur sa découverte.1

    Réchauffement? Non, refroidissement climatique annoncé

    Jusqu’en octobre 2015, l’évolution du magnétisme solaire conditionnant, pour l’essentiel, ces variations du climat, restait imprévisible. La mathématicienne astronome Valentina Zharkova et ses collègues ont résolu ce problème à la Northumbria University (Angleterre) et un article a été publié dans la célèbre revue Nature.2

    Que se passe-t-il? Imaginons un double moteur thermique à la surface du Soleil. L’un est visible, l’autre, sous la surface, est invisible. Leur mécanique est presque synchrone. Le passé magnétique du Soleil peut alors être parfaitement reproduit… et le futur peut être décrit. Il nous annonce un refroidissement climatique pour bientôt…

    L’augmentation du CO2 est une conséquence, pas une cause

    Cette découverte recevrait le prix Nobel d’astronomie s’il existait mais elle reste dans l’ombre et ridiculise définitivement les élucubrations du GIEC sur le rôle de l’homme dans les changements climatiques3… ce rôle de l’homme qui est la seule justification des investissements dans l’éolien (et autres énergies renouvelables ruineuses pour les citoyens). Énergies renouvelables qui devraient nous épargner des températures de plus en plus élevées, des catastrophes à tous les niveaux… alors que Valentina Zharkova nous apprend qu’une nouvelle ère glaciaire débute.4

    Notez bien que si l’on recherche sur Google "Valentina Zharkova", cela ne nous mène pas directement à son article mais à une pleine page de noms d’articles qui nient tous l’importance des conséquences de sa découverte pour le temps à venir. Ces articles sont souvent écrits par des personnes dont on ne mentionne pas les compétences…5

    Préparons-nous à avoir froid!

    Pour finir, on ne pourra jamais libérer assez de CO2 à temps pour compenser la perte d’activité des plantes obligées de résister aux froids intenses annoncés pour 2030! Il s’agit bien entendu des régions où les températures seront encore suffisamment élevées pour permettre une végétation, pas de régions polaires. Et précisons que le CO2 seul est concerné. Il est accompagné le plus souvent de pollutions réelles, nocives, et nous devons tout faire pour les diminuer….

    En conclusion: préparons-nous à avoir froid, sans savoir à quel point nous aurons froid, et cessons d’écouter les lobbies pour lesquels changement climatique signifie uniquement augmentation des profits.6

    Ainsi, la quête du Boson de Higgs a duré des décennies tout comme la recherche de la mécanique solaire qui régit les taches solaires. Pour les deux recherches, on est arrivé à un degré de précision extrême qui les a fait passer du stade de théorie au stade de découverte.

    NB: il n’est jamais arrivé qu’une découverte soit infirmée mais il arrive qu’on puisse l’intégrer dans une théorie plus générale; le cas le plus illustre est la mécanique d’Isaac Newton intégrée dans la relativité d’Albert Einstein. ↩

    V.V. Zharkova et alt.: Heart beat of the Sun from Principal Component Analysis and prediction of solar activity on a millenium timescale – Nature. ↩

    Al Gore a reçu le prix Nobel pour son film Une vérité qui dérange. Son contenu le plus impressionnant portait sur l’analyse des carottes de glace extraites des zones polaires. Celles-ci révèlent un parallèle étroit entre la variation de la température terrestre et le taux de gaz carbonique de l’atmosphère durant les 800 000 dernières années.

    Une analyse plus fine des glaces a montré que la croissance du CO2 suivait l’augmentation de la température et non le contraire, thèse fondamentale d’Al Gore et du GIEC. En fait, quand la Terre se réchauffe, les océans crachent leur CO2…. ↩

    De très violentes éruptions volcaniques refroidissent aussi occasionnellement la planète tandis que, à plus long terme, d’autres phénomènes liés à l’orbite terrestre jouent des rôles climatiques décisifs… ↩

    Et je précise être mathématicien, avoir enseigné le cours d’astronomie à l’université de Lubumbashi (RDC) et me tenir informé des recherches dans ce domaine passionnant. ↩

    Ces lobbies se moquent éperdument de notre santé et, pour ceux qui ne seraient pas convaincus, il paraît à l’heure actuelle des livres sur les escroqueries du monde médical, des laboratoires pharmaceutiques qui prennent le risque de tuer pour augmenter leurs profits. On peut espérer le même genre de livre concernant le GIEC, les lobbies de l’énergie éolienne… ↩

    https://www.contrepoints.org/2016/09/26/266947-soleil-annonce-refroidissement-climatique

  • Les babyphones sont-ils nocifs pour le cerveau des bébés?

     

     

     

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